Si les soignants sont mis à l'honneur en ce 14 Juillet après leur dévouement pendant la crise du coronavirus, certains ont néanmoins été sanctionnés pour avoir lancé l'alerte sur des dysfonctionnements du système de santé. Deux d'entre eux témoignent...
Les soignants seront mis à l'honneur en ce 14 Juillet : un hommage leur sera rendu lors de la cérémonie place de la Concorde à Paris, au moment de la Marseillaise et 1.400 d'entre eux ont été conviés en tribunes. Mais pour d'autres, cette journée aura un goût plutôt amer : certains personnels soignants ont en effet été sanctionnés, voire carrément licenciés, pendant la crise du coronavirus, pour avoir lancé l'alerte au sein de leur établissement, ou simplement réclamé des masques.
Younès, infirmier dans un Ehpad de Toulouse, se sent "délaissé, négligé", et il ne regardera même pas le défilé. Il a été mis à pied, dit-il, pour avoir demandé avec insistance l'accès au stock de masques de son établissement, un week-end où cinq résidents présentaient des symptômes. "Ma collègue a contacté le Samu, qui lui a recommandé de déstocker les masques et les blouses, car il s'agissait de cas suspects. La direction a refusé de déstocker le matériel", raconte-t-il. "Ce n'est pas juste."
Des policiers pour évacuer le soignant
Trois jours plus tard, selon Younès, sa collègue est mise à pied et lui est à son tour convoqué par la direction. "Elle m'a dit que j'étais obligé de quitter l'établissement. J'ai refusé et elle a appelé la police. Quatre policiers m'attendaient devant la porte, ça m'a vraiment choqué", relate le soignant.
Source : europe1.fr
Pour plus d'informations
Note de "La Vie Hospitalière"
"Du foutage de gueule" ?... Mais c'est pire que ça, c'est un mépris total des soignants, un irrespect pour ceux qui sont morts, c'est un parjure !
Une stratégie de la peur a été mise en place, et là il faut reconnaître qu'ils sont diaboliquement au Top. Mais pas de masques, de gants dans certains services hospitaliers au moment où l'épidémie de la covid-19 était sanitairement préoccupante, certains soignants ont payée de leur vie ces décisions de..."responsables"...
Pourtant le 26 janvier 2020 la ministre d'alors déclarait publiquement : "Nous avons des dizaines de millions de masques en stock. En cas d'épidémie ce sont des choses qui sont d'ores et déjà programmées"...
On connaît la suite. Le 29 février l'autre ministre de la Santé avait alors déclaré : " Personne n'a besoin de porter un masque si le médecin ne vous demande pas d'en porter"...Nous avions une cinquantaine de personnes contaminées et 2 personnes décédées, à ce jour là.
La suite effectivement on l' a connaît. Et, maintenant ils disent aux citoyens et citoyennes qu'ils devront obligatoirement porter des masques dans les lieux publics clos à compter du 1er août ?...Et, ceci alors que la covid-19 est sur sa courbe descendante et qu'il n'est plus un danger réel du fait de sa baisse au niveau de sa charge virale.
Là je crains que la situation ne va pas aller effectivement en s'améliorant...
Ils ne savent plus quoi trouver pour alimenter leur statégie de la peur, créant un climat anxiogène lourd de conséquences...
Quant à "l'épidémie de la covid-19" qui d'un seul coup pourrait devenir de nouveau menaçante, sur quels critères se base le président élu par le peuple ? : - Les données de Neil Ferguson (et ses modélisations aberrantes). https://blogs.mediapart.fr/anne-marie-ropert/blog/040420/modelisations-aberrantes
- Les avis de certains professionnels de la santé (qui sont loin de représenter les avis controversés de biens des médecins dont des scientifiques, et ceci dans le monde entier. ).
- Les conseils des laboratoires (de Gilead notamment de la Fondation du génocidaire Bill Gates)...
- Les avis des citoyens et citoyennes dont des milliers ne sont plus là pour donner un avis critique sur la gestion de l'épidémie...et surtout dénoncer le fait que "quand c'est plus l'heure, c'est plus l'heure !"
- Les commerçants qui vont essuyer une perte économique du fait de ces mesures injustifiées et disproportionnées avec la réalité, (On pense que les personnes feront de moins en moins d'achats dans les magasins, se limitant au strict nécessaire sur principalement des achats alimentaires, les gens commencent à se lasser de cette situation sans aucun précédent).
Les interrogations il y en a, et nous déplorons ces mesures qui en plus, ce qui est très graves, sont attentatoires aux libertés fondamentales.
L'épidémie est dans sa courbe descendante, le coronavirus en lui même a perdu de sa charge virale il rejoindra les autres coronavirus comme le H1N1 cet hiver. Il suffit de regarder les pays qui sont en période hivernale en ce moment pour estimer ce que sera la covid-19 en hiver en France.
Prenons par exemple la Nouvelle Zélande ce pays qui est en période hivernale et qui correspond environ pour nous au 10 janvier, Cela fait déjà plus de 70 jours que ce pays ne compte plus de transmission communautaire.Ceci démontre le déclin du coronavirus et nous permet d'envisager pour nous un hiver qui ne sera pas plus contagieux au niveau grippal que l'année dernière.
Bien évidemment si l'on veut des informations sérieuses il faut rechercher ces derniàres à la source, c'est ce que nous avons fait et un journal de Wellington nous a donné toutes les informations désirées et elles sont bien éloignées de celles qui alimentent la stratégie de la peur, en France dans le but de manipuler et mieux contrôler la population, nous avons là un gouvernement de despotes, et savons ce qu'il nous reste à faire en tant que citoyens et citoyennes.
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