"La Vie Hospitalière"

mercredi 30 novembre 2022

Situation Sanitaire du 30 Novembre 2022

Toutes les données sont à prendre en considération à compter du 31 Décembre 2019.


36.909.229  personnes sont guéries de la covid.

37.846.799 tests positifs ont été effectués. 

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne  ( 91  décès sont liés théoriquement à la covid, incluant les injectés).








Concernant le Continent africain

12.018.211 personnes sont guéries de la covid.

12.708.908 tests positifs ont été effectués  ( aucun décès lié à la covid).





















NON au port d'un masque !
NON au pass sanitaire !
NON aux injections toxiques
Réintégration des personnels 
suspendus illégalement !












Voir aussi : 







Halte à la maltraitance

des enfants !

 






 NOS LIBERTÉS (chanté par Ingrid Courrèges)




























... 

L’Ordre des médecins va juger le Docteur Loridan parce qu’il a entièrement raison sur les masques

« Ce que sera la santé de demain dépendra de tous mais il est clair que va apparaître l’expert de sa propre santé en chacun des citoyens. » 








Après la sanction révoltante infligée par la Chambre disciplinaire de l’Ordre des Médecins du Grand Est contre l’ancienne Députée et médecin psychiatre Martine Wonner (*), c’est au tour du Dr Éric Loridan de se confronter à ses pairs vendredi 2 décembre. Son crime ? Il a eu le malheur de démontrer de manière parfaitement scientifique que le simple port d’un masque facial en polypropylène ne représentait absolument aucune protection contre la pénétration-expulsion respiratoire des virus. Qu’en plus, ce dispositif pouvait facilement menacer la sécurité de ses porteurs. Ce qui va se jouer à Lille sera capital : est-il dit dorénavant qu’en France, un médecin doit penser faux parce que son Ordre le lui commande ? Bonne lecture. La rédaction de l’AIMSIB



(*)





Quid de la liberté de parole dans une société qui, trop souvent, se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ?

par le Dr Éric Loridan


Je suis le Dr Éric Loridan, chirurgien général digestif et bariatrique, domicilié à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Bien qu’exerçant depuis 18 ans en tant que praticien hospitalier, je fus contraint de cesser mon activité pour refus d’injection anticovid le 15 septembre 2021. Pardonnez-moi de ne pas appeler cela « vaccin » dans ces colonnes. En effet, un vaccin est censé apporter une immunité artificielle fiable et solide, avec un minimum d’effets secondaires, par conséquent une balance bénéfice-risque acceptable. Force est de constater que ce n’est pas le cas avec ces produits expérimentaux à ARN messager, quoi qu’en dise la nouvelle définition du Larousse, au vu de toutes les complications recensées par l’ANSM, EudraVigilance et le VAERS, le collectif Où est mon cycle ? et, plus récemment, la Société Française de Cardiologie.


Non content d’être empêché d’exercer, je suis convoqué en chambre disciplinaire du Conseil régional de l’Ordre des médecins le vendredi 2 décembre 2022, 13h30 à Lille, suite à la plainte du Conseil départemental (CDOM 62) à mon encontre.


Les raisons ? Des vidéos postées sur les réseaux sociaux. L’une sur le bon usage du masque par des professionnels de santé1 et l’inutilité de celui-ci en milieu non professionnel. L’autre vidéo2, réalisée en civil, en tant que citoyen et en milieu neutre et non reconnaissable, sur la dangerosité du masque chez les personnes fragiles, des enfants, l’inutilité des tests et sur le totalitarisme sanitaire qui était en train de s’installer.


Celles-ci me valent par conséquent l’accusation d’avoir enfreint principalement l’article R4127-12 du code de la santé publique stipulant :


« Le médecin doit apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes en vue de la protection de la santé et de l’éducation sanitaire. Il participe aux actions de vigilances sanitaires. »


Ce qui est plus surprenant, c’est que la plainte du CDOM 62 se réfère aussi à l’article suivant dont il est pourtant très facile de reconnaître qu’il est respecté par votre serviteur. Article R4127-13 :

« Lorsque le médecin participe à une action d’information du public à caractère éducatif, scientifique ou sanitaire, quel qu’en soit le moyen de diffusion, il ne fait état que de données confirmées, fait preuve de prudence et a le souci des répercussions de ses propos auprès du public. Il ne vise pas à tirer profit de son intervention dans le cadre de son activité professionnelle, ni à en faire bénéficier des organismes au sein desquels il exerce ou auxquels il prête son concours, ni à promouvoir une cause qui ne soit pas d’intérêt général. »


En effet, toute la bibliographie sur le port du masque est vérifiable par n’importe quel praticien habitué aux moteurs de recherches de publications médicales.


Je n’ai par ailleurs tiré aucun profit personnel, bien au contraire. Quant à la défense de l’intérêt général, cela reste à l’appréciation de chacun selon sa vision des choses. Peut-être faudra-t-il laisser l’histoire en juger, même si en cette fin d’année 2022, il est aisé d’y voir plus clair.


Étant allé à l’entretien du CDOM 62 le 9 juillet 2021, un énorme classeur rempli d’articles médicaux sous le bras, j’ai pu en parler librement et sereinement aux médecins de l’ordre, qui ont pu constater le sérieux de mes recherches. Cette bibliographie s’est même enrichie de nouvelles données que j’ai pu présenter au congrès de l’ AIMSIB à Marseille fin juin 2022 3, et au Conseil Scientifique Indépendant en juillet4.


Ainsi, mes données étaient confirmées par la science, et ce, depuis 1975.


Faisons ici une parenthèse pour rappeler que la plainte initiale venait d’un collègue de l’établissement où je travaillais, qui a envoyé un mail au Conseil national de l’Ordre, collègue que, par ailleurs, je ne connaissais pas. La délation en France et le manque de confraternité ont encore de beaux restes.


Il est possible, par contre, que je n’ai pas fait « preuve de prudence » : j’aurais bien dû me douter, en effet, que ces expressions publiques n’auraient pas l’heur de plaire à ces messieurs considérés comme « autorités compétentes » selon l’article R4127-12.

Il m’est, par ailleurs, reproché d’avoir « brouillé l’information délivrée au public en invoquant des données non-vérifiées » (CDOM 62), un manquement à mon devoir de réserve et déconsidération de la profession !


Mais le devoir de réserve ne doit-il pas s’effacer lorsque le citoyen, surtout s’il s’agit de son expertise professionnelle, découvre des faits mettant en danger le bien commun, particulièrement la santé de ses contemporains, selon la définition de l’OMS « Un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité »5 ? On arrive alors dans le cadre non pas du devoir de réserve mais de celui du lanceur d’alerte, dont le statut est protégé par la loi. Plus largement que cela, la question fondamentale est : quid de la liberté d’expression dans une société qui trop souvent se contente d’un prêt-à-penser bien commode et arrangeant ? Est-ce que dans l’histoire, les « autorités compétentes » se sont toujours montrées dignes de la confiance que leur accorde le peuple ? Était-il alors légitime de s’y opposer par tous moyens, dont le premier à la portée de tous : une parole divergente ?


Le masque en population générale n’était qu’un prélude nécessaire à tout ce qui suivit, notamment la vaccination en population générale. En effet, cet ustensile facial, dont il faut rappeler ici qu’il est aussi efficace pour contrer une épidémie virale qu’un château de sable pour arrêter les grandes marées, n’est là que pour rappeler à tous qu’une épidémie persiste et qu’il faut prendre toutes les mesures nécessaires, un peu comme un nœud à son mouchoir pour se rappeler une chose importante à faire. Source : OMS6.


En novembre 2022, alors qu’il y a maintenant plus de 14 mois que des milliers de soignants (chiffre invérifiable tant les disparités sont énormes) sont suspendus, sans travail, sans salaire, RSA, chômage ou financement de réinsertion professionnelle, bref condamnés à une mort sociale quand ce n’est pas à la mort tout court par désespoir7, il est pourtant difficile de maintenir cette position dogmatique du « tout vaccinal » dans cette crise Covid. 

Les révélations officielles de la vice-présidente de Pfizer en commission européenne en octobre dernier sur l’absence d’étude sur l’efficacité contre la transmission virale en sont l’éclatante preuve. Citons également le revirement du professeur Jean-François Delfraissy, ex-président du Conseil Scientifique, que même les médias auto-proclamés fact-checkers ont du mal à contrer8.


Rappelons tout de même que l’une des missions de l’Ordre des Médecins est de défendre « l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française : usagers et citoyens, administrations et services de l’État, associations, … », selon un paragraphe trouvé en mai 2021 sur le site du CDOM 62 et visible sur celui du CROM9. Il me paraît donc nécessaire, en ces temps de crises inédites, de rappeler chacun à ses devoirs humains. La vérité ne saurait supporter de compromission trop longtemps.

Des médecins bien plus renommés que moi sont inquiétés ou déjà condamnés, pour des prises de parole ou des soins aux indigents, citons :


Martine Wonner, médecin psychiatre et ex-députée dont le verdict de la chambre disciplinaire de Nancy est tombé ce vendredi 25 novembre 2022 ;


Alain Houpert, Sénateur en exercice, condamné à 6 mois d’interdiction d’exercer dont 3 avec sursis ;


Stéphane Gayet, radié de l’Ordre pour des prescriptions jugées dangereuses, alors qu’il a passé énormément de temps à soigner des patients en situation de Covid long que personne ne réussissait à soigner ; il n’a aucun décès à déplorer, aucune plainte de patients. Juste dénoncé par des collègues infectiologues. Confraternité, toujours !


Pauline Chaniat, chirurgien-dentiste, en audience au CROM de Dijon le lundi 28 novembre pour sa liberté de parole.


Olivier Soulier, qui doit se justifier le mardi 29 novembre 2022 au CDOM 59 pour avoir repris une citation d’un expert, au Conseil Scientifique indépendant.

 

De nombreux paramédicaux ont aussi affaire avec leurs ordres respectifs, des infirmières de la Sarthe ont même reçue une convocation orale pour une déposition au commissariat.


Pour notre plus grande satisfaction, il a été donné au professeur Christian Perronne de sortir blanchi de toutes les accusations portées contre lui. Les membre du jury du CROM d’Ile-de-France se sont comportés avec justesse et discernement, il faut leur rendre cet hommage.


Et pendant ce temps, des éminents personnages peuvent continuer à parler librement sur les plateaux télé et/ou les réseaux sociaux sans qu’il leur soit demandé des comptes sur la véracité de leurs affirmations et, souvent même, sur leurs compétences professionnelles pour parler d’infection virale et vaccins alors que leur spécialité est tout ailleurs. Nous ne les citerons pas ici par respect déontologique mais chacun a les noms qui lui reviennent.

Pendant ce temps également, des médecins devenus politiciens, une prestigieuse académie, des présidents d’ordres professionnels, multiplient les prises de paroles et de positions contre la réintégration des soignants suspendus sans qu’aucune justification scientifique ne ressorte de leurs propos, et préférant laisser les établissements hospitaliers à l’agonie avec des soignants vaccinés ET contaminants plutôt que de réintégrer dans leurs droits et leur dignité d’honnêtes ouvriers de la santé qui ont tout perdu dans l’affaire : leur travail, leur passion, leur salaire. Mais pas leur honneur !


Tout ceci aura, espérons-le, une fin heureuse, tant le château de cartes semble s’écrouler. Mais que de dégâts cette crise et ses réponses politiques auront fait dans la société et dans la confiance en notre belle médecine. Ce que sera la santé de demain dépendra de tous mais il est clair que va apparaître l’expert de sa propre santé en chacun des citoyens. Et c’est très bien ainsi. Certaines parties de notre médecine sont amenées à disparaître car non respectueuses du bien-être, notamment tout ce que l’industrie pharmaceutique a corrompu. Mais, comme il sera toujours difficile de soigner une fracture ouverte de jambe avec des plantes, la chirurgie aura encore pignon sur rue.


Il nous est aussi possible, avec cette traversée du désert de la médecine, de faire le point sur tout ce que nous avons appris. Sur nous-mêmes d’abord, nos capacités à comprendre les choses et dire non quand c’est nécessaire. Il nous est possible de répondre à la question que nous a posée Jean-Jacques Goldman dans les années 90 : « Qu’aurais-je fait si j’étais né en 17 à Leidenstadt ? » sur l’état de notre société dans toutes les strates. Sur nos capacités à nous mettre en lien et envisager une autre façon de concevoir les rapports humains. C’est dur mais cela semble vraiment en valoir la peine.


Pour finir, j’invite tous ceux qui le peuvent à nous rejoindre à Lille, le vendredi 2 décembre 2022, 13 heures 30, devant les bureaux du CROM 59, 42 rue du faubourg de Roubaix, 59000 Lille

Sans animosité, sans colère mais avec joie et bonne humeur. Dans le plaisir de faire de belles rencontres. Ce n’est pas pour ma petite personne que je demande cela, mais c’est pour bien montrer aux princes qui nous gouvernent et à leurs intermédiaires que nous ne sommes pas dupes du jeu qu’on veut nous faire jouer. 

Et en venant, chacun vient aussi pour lui, pour ses enfants, ses aînés. Pour une dignité humaine à revendiquer, non négociable.


Ils ne sont forts que par le pouvoir que nous leur accordons.


Dr Éric Loridan

Chirurgien empêché d’exercer depuis le 15 septembre 2021.



 1- https://www.youtube.com/watch?v=hRui0I1Gw40

 2- https://lemediaen442.fr/le-chirurgien-eric-loridan-pousse-un-coup-de-gueule-contre-la-dictature-sanitaire

 3- https://www.aimsib.org/2022/06/30/brulez-vos-masques-ils-ne-sont-que-nuisibles

 4- https://crowdbunker.com/v/PB9hobdK

 5- https://apps.who.int/iris/handle/10665/332448

 6- https://www.who.int/fr/about/governance/constitution

 7- https://twitter.com/JuliaMarguer

 8- https://www.liberation.fr/jean-francois-delfraissy-a-t-il-change-davis-sur-la-balance-benefice-risque-de-la-vaccination-contre-le-covid/2022/06/13

 9- https://www.conseil-national.medecin.fr/lordre-medecins/linstitution-ordinale/missions




Source : reseauinternational.net

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Les autopsies prouvent que les microfibres des masques conduisent à de graves nodules dans les poumons

Ce qu'un spécialiste réputé d'Autriche rapporte maintenant devrait signifier la fin immédiate des masques le long de la protection du droit du travail







Au début, cela ressemble à un message d'horreur de la partie des alarmistes: les granulomes auraient été trouvés dans la majorité des poumons examinés des porte-masques. Des microfibres de masques ont été identifiées comme le déclin de cette formation de nodules.


Mais cela ne dit personne, mais celui Le professeur de Linz Martin Haditsch, expert reconnu, en réseau mondial et spécialisé en hygiène et microbiologie, infectiologie et médecine tropicale, virologie et épidémiologie des infections. 


Prof. Haditsch est également appelé par des vérificateurs de faits autoproclamés de Correctiv.org Adversaire de Corona“ led. Le portail n'a pas peur de représenter des organigrammes qui ne veulent pas être similaires à ceux des chasseurs de la mafia pour une raison. Mais le zénith de ces portails a longtemps été dépassé, les gros titres deviennent de plus en plus lugubres et assoleillé comme des romans bon marché de Jerry Cotton groschen:  Dans le réseau des adversaires de Corona .


Le professeur a maintenant donné au rapport24 l'entretien avec une longueur, à partir de laquelle nous avons écrit la partie concernant les masques: 


Les gens ont également transplanté les poumons pendant la période de Corona et ont regardé les organes prélevés. Et dans le principe des parties des poumons enlevées – les malades bien sûr - si des granulomes, c'est-à-dire des nodules, ont été trouvés, ils ont été examinés.


Et, ces nodules ont été déclinés par des microfibres en masques. Ce n'est pas amusant ! Si je dis cela maintenant: eh bien, mais il y a des gens qui le portent, vous devez dire: Oui, ils l'ont toujours porté. Mais il y a une raison pour laquelle la médecine du travail - est une question médicale professionnelle - a défini des conditions-cadres très spécifiques et contraignantes pour qui est autorisé à porter quel masque pendant combien de temps et quand. 


Et par exemple, pour le masque FFP2, il est prévu que ce masque ne peut être porté que pendant 75 minutes si l'activité physique est difficile. C'est un masque anti-poussière.


Et si le travail est facile, je pense que c'est cent minutes en Allemagne, en Autriche c'est plus 50%, mais ça sort à peu près la même chose. Et ce temps doit être observé. 


Et, puis une pause masque de trente minutes doit être observée. Cela sert à protéger la santé des personnes qui en sont de plus en plus accablées. 

Et, aucune de ces personnes ne porte alors automatiquement ces masques pendant huit heures par jour pendant des semaines ou des mois. 









Source : telegra.ph

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Source initiale :  www.alexander-wallasch.de







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mardi 29 novembre 2022

Situation Sanitaire du 29 Novembre 2022

Toutes les données sont à prendre en considération à compter du 31 Décembre 2019


36.882.249  personnes sont guéries de la covid.

37.778.417 tests positifs ont été effectués. 

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne  ( 88  décès sont liés théoriquement à la covid, incluant les injectés).









Concernant le Continent africain

12.016.943 personnes sont guéries de la covid.

12.707.172 tests positifs ont été effectués  ( 3 décès liés théoriquement à la covid).























NON au port d'un masque !
NON au pass sanitaire !
NON aux injections toxiques
Réintégration des personnels 
suspendus illégalement !












Voir aussi : 







Halte à la maltraitance

des enfants !

 






 NOS LIBERTÉS (chanté par Ingrid Courrèges)




























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Mort Subitement ( Died Suddenly )

Le nouveau documentaire sur les victimes des vaccins COVID - Ceci n'est pas un fake






Pour suivre la vidéo


     














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Japon : Masanori Fukushima, professeur émérite à l'université de Kyoto dit ses 4 vérités au ministre de la Santé

"Vous ignorez la science, la médecine et laissez les soins s'effondrer! C'est un désastre...

Vous dépensez des milliards pour le vaccin et forcez les gens à se l'injecter"





https://twitter.com/i/status/1596785618386038786

 @hirt_benjamin









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Les victimes du Remdesivir poursuivent des centres médicaux aux États-Unis pour dommages et intérêts

Il devient de plus en plus clair pour les gens que les plus gros problèmes avec le SRAS-CoV-2 sont, d'une part, les mesures de santé nocives imposées par les politiciens ( verrouillage, obligation de masque, distance, fermetures d'écoles …) la peur et la panique étaient-elles répandues en coopération avec les médias et, d'autre part, les traitements épris de science ou le refus de traiter efficacement la vitamine D3, Zinc, etc. ainsi que des médicaments tels que l'ivermectine ou l'hydroxychloroquine. Et cette clarté et ces connaissances conduisent à des plaintes de victimes contre les blessés. Non seulement en Suisse, maintenant aussi aux USA








Contre un certain nombre de centres médicaux communautaires en Californie nouvelles poursuites soumis pour leur protocole d'approvisionnement Covid. Le Remdesivir couramment utilisé par Gilead est un médicament qui a dû à juste titre être critiqué.


Lied de la pandémie même l'Organisation mondiale de la santé a cessé d'utiliser le médicament en raison de mauvaises études. Von l'autorité américaine Des études parrainées par le NIAD avaient également documenté des problèmes troublants. Les indésirables signalés effets secondaires étaient importants:


Donc ça pointait diverses études suggèrent que le médicament dépend potentiellement de la santé du patient dangereux et pourrait avoir des effets mortels. Chez les patients présentant une faiblesse multi-organes, par exemple, des effets indésirables sur la fonction rénale ont été trouvés après l'administration du médicament. Néanmoins, la FDA a accordé une autorisation d'urgence ( Autorisation d'utilisation d'urgence, EUA ) pour Remdesiv après qu'une étude a montré qu'elle avait raccourci la durée du séjour à l'hôpital avec COVID de 4 jours.


À partir de ce moment, Remdesivir aux USA inclus dans chaque protocole COVID-19. Les rapports de 2020 montrent que lorsqu'un patient en voie de disparition ( 65 ans et plus ) est venu dans un centre médical et a été testé positif, Remdesivir était le traitement, le plus offert. Ce patient serait alors hébergé dans l'unité de soins intensifs ou déclaré hospitalisé.


Des sources locales en Californie ont constaté que les hôpitaux qui traitent des cas complexes que les patients hospitalisés pouvaient représenter jusqu'à 144 fois un cas ambulatoire. Dès qu'ils ont traité ces patients dans leurs établissements, ils ont pu demander un remboursement auprès de Medicare. En d'autres termes, les hôpitaux étaient clairement incités à sur-traiter les patients „ “ pour maximiser leurs profits.


Au vu de ces informations, 14 résidents californiens de la région de Fresno ont intenté une action en justice contre divers établissements médicaux. Il s'agit notamment du Centre médical régional communautaire, du Centre médical communautaire de Clovis et du Centre médical de Sainte-Agnès.


Surtout significatif sont les détails un demandeur sur le protocole Covid d'un centre médical:


" Un patient se rend souvent à l'hôpital pour des problèmes qui n'ont rien à voir avec COVID-19. On leur dit qu'ils ont une pneumonie COVID-19 ou ‚ COVID ‘. Ils sont immédiatement séparés de leurs proches et généralement dans l'unité de soins intensifs déplacé, bien qu'ils ne soient souvent logés que dans une seule pièce. On leur dit que le remdesivir mortel est le seul traitement disponible et sûr. En règle générale, on leur dit que leur assurance expirera si elles quittent l'hôpital contrairement au conseil médical „ “. Vous serez sur une machine BiPap ( Pression positive binivel ) connecté à haute fréquence, ce qui rend la respiration difficile pour eux. Ils sont souvent attachés à la main afin de ne pas pouvoir retirer l'appareil BiPap de leur visage. Une fois les mains liées, parfois avant, un psychiatre entre dans la pièce et se rend compte que le patient est „ instable “. En conséquence, le patient protocole est placé sur de la morphine ou quelque chose de similaire. Les patients sédatifs leur rendent plus difficile la communication et la lutte contre les effets du remdesivir, notamment en ce qui concerne leur capacité à respirer... “.


Toutes les poursuites sont intentées par le groupe d'intérêt médical à but non lucratif basé en Arizona Fondation Truth For Health financé. L'organisation est dirigée par le Dr Elizabeth Lee Vliet dirigé. Trois procès seront à nouveau jugés par un tribunal en janvier.

Par le Docteur Peter F. Mayer


Source : tkp.at

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lundi 28 novembre 2022

Situation Sanitaire du 28 Novembre 2022

 Toutes les données sont à prendre en considération à compter du 31 Décembre 2019.


36.853.642 personnes sont guéries de la covid.

37.686.603 tests positifs ont été effectués. 

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne  ( 95  décès sont liés théoriquement à la covid, incluant les injectés).

Toujours aucune donnée pour le 24 Novembre...







Ce jour, pour le 26 Novembre : 29 décès ont été rapportés 
ainsi que 8 pour le 27.









Concernant le Continent africain

12.015.712 personnes sont guéries de la covid.

12.704.998 tests positifs ont été effectués  ( aucun décès lié à la covid).























NON au port d'un masque !
NON au pass sanitaire !
NON aux injections toxiques
Réintégration des personnels 
suspendus illégalement !












Voir aussi : 







Halte à la maltraitance

des enfants !

 






 NOS LIBERTÉS (chanté par Ingrid Courrèges)




























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