"La Vie Hospitalière"

vendredi 31 mai 2019

Acharnement contre Vincent Lambert – L’Etat, par le biais du Ministère de la Santé, se pourvoit en cassation !


C’est une procédure exceptionnelle qui témoigne de l’acharnement de ce gouvernement pour imposer l’euthanasie de Vincent Lambert !
Le gouvernement s’oppose à la décision de la cour d’appel de Paris qui avait ordonné la reprise des soins et se pourvoit en cassation dans l’affaire Vincent Lambert, annonce le ministère de la Santé ce vendredi.
« Une déclaration de pourvoi a été déposée aujourd’hui en fin de matinée auprès de la Cour de cassation pour le compte des ministères parties », a indiqué le ministère de la Santé.





vendredi 24 mai 2019

En Seine-Maritime, une famille porte plainte contre un Ehpad pour maltraitance


Un rapport d’experts a conclu que la victime avait été négligée par le personnel soignant.

Une famille de Seine-Maritime a porté plainte contre un Ehpad après la mort d’Henri Tessier, 89 ans, en mai 2017. Elle accuse l’établissement de Grugny, au nord de Rouen, de maltraitances.
La famille d’Henri Tessier a décidé de porter plainte pour défaut de soin et maltraitance sur personne vulnérable ayant entraîné la mort après qu’un rapport médical et un rapport d’experts ont conclu qu’il avait été négligé par le personnel soignant.
« Le rapport d’expertise conclut qu’il y a eu des manquements graves qui ont entraîné la mort de mon papa, explique Isabelle Tessier au micro de RTL, qui révèle l’information. Ce qui est sûr c’est que si on n’était pas venus à l’improviste cinq jours avant sa mort, mon père serait mort dans l’indifférence la plus totale », déplore-t-elle.
« Même à un chien on fait pas ça »
« Comment vous voulez faire le deuil de votre papa quand vous savez comment il est mort, comment pendant des semaines il a souffert, c’est inhumain. Même à un chien on fait pas ça, on le pique le chien. Jusqu’au bout, il a supplié avec ses yeux. C’est marqué dans le dossier médical que j’ai récupéré et ils n’ont rien fait, ils l’ont laissé souffrir dans l’indifférence. »
Scandale des Ehpad : le récit poignant de Hella Kherief, aide-soignante
Isabelle Tessier a indiqué qu’elle souhaitait que justice soit faite dans cette affaire.
La direction de l’Ehpad de Grugny n’a pas souhaité faire de commentaire, affirmant cependant comprendre la douleur de la famille.

Source:   nouvelobs.com


Qu'est l'EHPAD de Grugny ?

C'est  une structure publique médicalisée (établissement public départemental), d'une  capacité d'accueil de 331 pensionnaires. Située à 25kms au nord de l'agglomération rouennaise et à 40 kms au sud de Dieppe, dans un magnifique parc arboré. Cette structure accueille des personnes âgées de plus de 60 ans, seules ou en couples, sans condition de ressources.Une unité de douze places en accueil de jour , destinée aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou apparentée existe ainsi qu'une place d'hébergement temporaire. En complément  à l'accueil de jour, la plateforme d'accompagnement et de répit est dévolue aux aidants, et leur offre des moments de pause, ainsi que d'information dans l'accompagnement de leur proche face à la maladie.
Pour "La Vie Hospitalière" l'établissement apparaît correct c'est un lieu de vie dans un espace assez agréable, toutefois si il y a eu un problème de maltraitance ce n'est pas pour autant qu'il faut jeter le discrédit sur un établissement public dont l'intérêt pour bien des familles n'est plus à démontrer (notamment le prix journalier par rapport aux établissements privés etc etc).
Pour nous c'est toujours la même problématique qui est liée aux difficultés de recrutement des personnels et de fait au manque de personnels dans certains services. Quand le Ministère donnera les moyens nécessaires pour que les établissements à orientations gériatriques puissent fonctionner normalement, là il y aura beaucoup moins de difficultés dans la prise en charge des résidents. Le cas de Grugny n'est pas un cas isolé, ce sont tous les EHPAD qui sont concernés par un manque de personnel, d'où de possibles dérives souvent liées à un manque de temps pour s'occuper pleinement des personnes à charge. Ce n'est pas nouveau et tant que perdurera cette insuffisance de moyens bien des problèmes se feront jour au fil du temps. C'est dans la finalité une remise en cause profonde du système de santé qui doit être fait au nom de l'intérêt général et rien de plus ni de moins...



jeudi 23 mai 2019

Rassemblement le 24 mai devant le siège de l'AP-HP


La situation des hôpitaux publics se dégrade de jour en jour, une nouvelle journée de grève a été décidée le 24 mai à l'AP-HP.
Deuis dix ans, ce sont 95 services d'urgences et la moitié des maternités qui ont fermé ! 3.500 postes ont été supprimés à l'AP-HP (dont 1.200 soignants), en quatre ans, et,  Martin Hirsch entend bien poursuivre cette politique par la suppression de 800 postes par an !
L'AP-HP envisage aussi la fermeture de 1.200 lits de gériatrie alors que le vieillissement de la population ne fait lui que s'accroître ...
Où va le service public hospitalier ?
Où allons-nous ?



mardi 21 mai 2019

Vincent Lambert : la cour d'appel de Paris ordonne la reprise des traitements


La cour d'appel de Paris, saisie par les parents de Vincent Lambert, a ordonné lundi soir le rétablissement des traitements visant à le maintenir en vie, interrompus depuis lundi matin, ceci jusqu'à ce qu'un comité de l'ONU se prononce sur le fond de son dossier. 
La cour « ordonne à l’Etat français (...) de prendre toutes mesures aux fins de faire respecter les mesures provisoires demandées par le Comité international des droits des personnes handicapées le 3 mai 2019 tendant au maintien de l’alimentation et l’hydratation » de Vincent Lambert...

Extrait d'un article de Coline Garré


Autre source d'information sur ce sujet (Le JDD)

Combien y a-t-il de services d'urgence actuellement en grève en France ?


Le collectif Inter-Urgences recense une soixantaine de services d'urgences en grève dans l'Hexagone. Un mouvement qui dure depuis plusieurs mois pour certains établissements. L'accueil des patients reste néanmoins assuré.

...(...)...Mais c’est surtout après une agression au service des urgences de l’hôpital Saint-Antoine à Paris le 18 mars que la mobilisation se répand vraiment au sein des hôpitaux de Paris (AP-HP). Un collectif militant Inter-Urgences est alors créé.

«Les urgences des hôpitaux de Paris sont dans une attente sociale forte : afflux de patients toujours plus nombreux, tensions du fait des embouteillages et du temps d’attente, et même agressions du personnel soignant»,  le journal Libération du 14 avril.
Deux jours plus tard, lors d’une réunion face à la direction de l’AP-HP et de l’agence régionale de santé d’Ile-de-France, les personnels déversent «leur trop-plein de souffrances».
Depuis, le mouvement ne cesse de prendre de l’ampleur. De plus en plus de services d’urgences se sont ainsi déclarés en grèves, allant jusqu’à faire dire à l’économiste Thomas Porcher, le 16 mai, que «Plus de 40 services d’urgences sont en grève en France. Du jamais vu. Qui en parle ?»...

Le développement de la protestation est aussi sensible en régions. Mulhouse, Vienne, Nantes, Lyon, ou encore Besançon sont touchés. Le 17 mai, et Sciences et Avenir parlait de 40 services en grève...
Le collectif Inter-Urgences, de son côté, tient à jour une carte des services d’urgence en grève. Au 20 mai au matin, il décompte 62 sites grévistes (en bleu). D’autres sites (61, en vert), ont été contactés pour participer à l’assemblée générale prévue samedi. La France compte environ 650 services d’urgences, dont 520 publics.
Ces services en grève accueillent néanmoins les patients, puisqu’ils sont soumis au service minimum. «Le service normal est égal au service minimum, étant donné qu’on ne peut pas réduire plus les effectifs», note amèrement le collectif Inter-Urgences (1).
L’application du référentiel mis en place par Samu-Urgences de France pour définir les effectifs minimums d’un service d’urgence., démontre selon ce calcul, qu'il manquerait 700 postes à l’AP-HP.

Sources: Libération - Le Quotidien du Médecin.fr - Samu-Urgences de France et autres

1) Pour "La Vie Hospitalière" le Collectif Inter-Urgences se doit de rassembler tous les personnels (syndiqués ou non) il ne faut pas d'arbre qui cache la forêt, et à notre connaissance les organisations syndicales qui sont partie prenante dans les grèves aux urgences  sont l'AMUF, la CFE-CGC, la CFDT, la CFTC, la CGT Santé, FO Santé, le SMPS, SUD Santé Sociaux, et l'UNSA...liste non exhaustive bien évidemment. Donc, comme toujours, se méfier des tentatives de récupération de certains professionnels en la matière lorsque les revendications sont spontanées c'est une "manoeuvre toujours possible" qui risque de faire perdre toute dynamique à ces grèves (exemple très actuel : le mouvement des Gilets Jaunes où les tentatives de récupérations ne manquent pas) ceci écrit en passant... 

lundi 20 mai 2019

Le Salon international Santé et Innovation de la Fédération Hospitalière de France ouvre demain



Mardi 21 mai sera inauguré le Salon International Santé et Innovation de la FHF (regroupant HopitalExpo, GerontHandicapExpo et HIT) qui réunit l’ensemble des acteurs des secteurs de la santé et du médicosocial.
Pour cette occasion, et comme il est de tradition, Frédéric  Valletoux, Président de la Fédération hospitalière de France, proposera un discours inaugural. 


Dans un contexte marqué par le projet de loi santé ainsi que par le Grand Débat national  qui a fait émerger des attentes fortes de la part des Français en matière de santé, cette séance inaugurale représentera l’un des moments les plus attendus de la journée.

Rendez-vous mardi 21 mai à 11 heures (salle S03 – Hall 7.3)

dimanche 19 mai 2019

Près de 200 personnes se sont rassemblées devant le CHU de Reims, ce dimanche.



Vincent Lambert n'est pas en fin de vie, nourrissez Vincent Lambert." Environ 200 personnes se sont rassemblées, dimanche 19 mai devant le CHU de Reims pour protester contre l'arrêt des traitements de Vincent Lambert, programmé dans la semaine à venir...

La décision d'arrêter les traitements de Vincent Lambert, en état végétatif depuis dix ans, est depuis 2013 au cœur d'une bataille judiciaire qui oppose deux parties de sa famille : d'un côté, les parents, un frère et une sœur s'y opposent, de l'autre, son épouse, son neveu et six frères et soeurs du patient veulent qu'il soit mis fin à un "acharnement thérapeutique".
La quatrième procédure d'arrêt des soins, demandé en avril 2018 par l'équipe médicale et soutenu par son épouse et tutrice  qui affirme qu'il n'aurait pas souhaité faire l'objet d'un acharnement thérapeutique, a été validée fin avril par le Conseil d'Etat.
Les avocats des parents ont depuis saisi le tribunal administratif de Paris et la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), qui ont rejeté leur recours. 
Le Défenseur des Droits a, lui, estimé vendredi qu'il "ne lui appartient pas" de trancher.



vendredi 17 mai 2019

Exposition photographique à ABBEVILLE : "Au coeur de l'hôpital"


Pendant plus d'un an dans les services des urgences et de la maternité de l'hôpital d'Abbeville, Pascal BACHELET, photographe Abbevillois, a fixés des instants de vie, des émotions, des attitudes ...
Ses photographies sont exposées dans plusieurs points de la ville. Elles témoignent principalement de la vie des soignants aux urgences et à la maternité de l'hôpital d'Abbeville. 





Ces photos sont visibles notamment au  service Santé et accueil de l’hôpital d'Abbeville, à la Place Max-Lejeune,  au Jardin et à l'Hôtel d’Emonville...

Entrée de l'exposition se trouvant dans l'Hôtel d'Emonville  (Photo "La Vie Hospitalière")

48 photographies présentées sous forme de tableaux sont ainsi exposées (24 pour la maternité, et 24 pour les urgences) elles représentent des instants précis où les services de secours, les personnels hospitaliers (médicaux et paramédicaux) ainsi que leur patients sont immortalisés.

Toutes ces photos sont visibles du 17 mai au 17 juin 2019. 

Une belle exposition sur plusieurs sites à ne pas manquer.

mercredi 15 mai 2019

La mère de Vincent Lambert appelle à un rassemblement pour sauver son fils


L’affaire Vincent Lambert n’est autre qu’une légalisation détournée de l’euthanasie. Et c’est bien contre ce projet mortel de société que se battent les parents, frères et sœurs de Vincent Lambert.


La mère de Vincent en appelle à un rassemblement dimanche devant l’hôpital de Reims où se trouve son fils, tétraplégique, afin de tenter d’empêcher l’arrêt programmé de l’alimentation et l’hydratation annoncé par le médecin du CHU de Reims, le docteur Vincent Sanchez.
«Ce dimanche 19 mai, je serai dès 15 heures devant l’hôpital de Reims pour les supplier de continuer à hydrater et nourrir Vincent. En France, en 2019, personne ne devrait mourir de faim et de soif. Si vous le souhaitez, vous pouvez m’accompagner», écrit Viviane Lambert sur le site «Je soutiens Vincent».
«Il faut garder espoir jusqu’au bout et expliquer à tout le monde que Vincent n’est pas en fin de vie, il est handicapé ! Rien n’est perdu, le comité des personnes handicapées de l’ONU a demandé à la France de continuer à hydrater et alimenter Vincent», ajoute-t-elle. «Il faut que la France respecte la convention qu’elle a signée, elle doit le faire pour Vincent mais aussi pour tous les autres handicapés».

Article de Francesca de Villasmundo



VAX, ANTIVAX quand la réalité dépasse la fiction...



Anne Gourvès tient une place à part au sein de l’équipe des rédacteurs de l’AIMSIB, celle du coeur. Docteur en Biologie spécialisée en génotoxicité, la thématique vaccinale sans vraie science ni absolument aucune conscience lui vaut périodiquement des prises de position d’une très grande précision, toujours parfaitement référencées. Cet article est limpide, érudit et au final, désabusé parce que le moment l’impose. Plus long que d’habitude aussi, mais quand la qualité est là… Bonne lecture.

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Résumé
  • Dans un climat d’épidémie de rougeole fantôme, on alarme les Français sur la situation sanitaire catastrophique du pays, espérant ainsi récupérer les 41% de Français qui doutent de l’efficacité et de la sécurité des vaccins. A cours d’argumentaire convainquant, les autorités de santé ont donc imposé 11 vaccins à tous les bébés français depuis janvier 2018. 11 vaccins non testés comme des médicaments, et pour lesquels personne ne connaît l’impact d’un tel cocktail sur un bébé de moins de 18 mois. En Afrique certains vaccins stérilisent les jeunes filles, les garçons, et augmentent la mortalité infantile. Chez nous, des nanoparticules, du glyphosate, du Viagra© et l’absence d’antigène nécessaire à l’efficacité des vaccins. Notre calendrier vaccinal, quant à lui, incite à l’administration conjointe de vaccins alors que les notices indiquent des risques plus importants d’effets secondaire dans ce cas. Déni total de tous ces scandales, déni des augmentations de maladies auto-immunes. Les autorités de santé camouflent les drames les uns après les autres, s’assurant que toute information mettant le doute sur les vaccins sera qualifiée de fake news et censurée sur les réseaux sociaux. Quant aux experts de la vaccination, ils usent d’un double discours, confirmant les scandales en coulissent et niant tout drame vaccinal sur la place publique. En attendant, tout enfant qui n’aura pas ses 11 vaccins sera banni de l’école et les parents seront dénoncés et fichés comme parents irresponsables, mettant en danger la santé de leurs enfants. Et c’est dans ce climat de dictature médicale que les français ont retrouvé la confiance dans les vaccins : comme par magie, la couverture vaccinale augmente depuis l’obligation de janvier 2018…et les labos retrouvent de la croissance.
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La vaccination est aujourd’hui le sujet le plus censuré du net. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination. 11 vaccins sont obligatoires depuis le 1er Janvier 2018. Etrange d’imposer un acte médical. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination. Aucun bébé 2018 ne pourra rentrer à l’école sans ces 11 vaccins. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination.
Onze vaccins au lieu de trois malgré l’absence d’urgence sanitaire
Depuis le 1er janvier 2018, tous les bébés ont l’obligation de recevoir 11 vaccins. Avant c’était 3. Mais tout le monde sait que la situation sanitaire de la France est devenue tellement catastrophique entre 2017 et 2018 qu’il a fallu vite augmenter le nombre de valences pour passer de 3 à 11…
Surtout à cause de la rougeole : 349 cas confirmés en 2017, l’alerte est lancée et on parle d’épidémie de rougeole en France. Sauf que lorsqu’on se penche sur les données épidémiologiques, il y avait 15 000 cas de rougeole en 2011, et depuis 2012, c’est en fait…le calme plat ! (1)
Et donc en 2019… on est loin d’une épidémie. Il y a encore moins de cas cette année que l’an dernier à la même période. Difficile de comprendre ces médias qui s’excitent comme jamais sur la rougeole alors qu’ils étaient silencieux sur ce même sujet en 2011, malgré 15.000 cas.
Et l’urgence apparemment est aussi de vacciner tous les bébés contre l’hépatite B. Une maladie sexuellement transmissible… Je dirais même que je suis choquée par cette obligation car s’il est aussi important de vacciner des bébés contre une maladie sexuellement transmissible, que craint-on vraiment? Dans ce cas, on se trompe de combat…
Trêve de cynisme, pourquoi la France est-elle le seul pays dans le monde où l’on impose 11 vaccins malgré la méfiance de plus de 40% de la population en matière de vaccination ?
Obliger pour mieux convaincre
Comment a-t-on fait pour ne pas avoir réussi à convaincre 41% des parents français pleins d’amour pour leurs enfants de la nécessité à vacciner leurs progénitures ?
Ce chiffre, record mondial et à la hausse en France serait donc à l’origine de l’obligation vaccinale. Et c’est là que je ne comprends pas : je n’arrive pas à convaincre, donc j’oblige.
C’est un véritable aveu d’échec de la part des autorités de santé ! Comment semer encore plus de doute lorsque toutes les autorités de santé s’avouent impuissantes à trouver des arguments convaincants pour garantir l’efficacité et la sûreté des vaccins ?
On en vient aussi à la censure, en interdisant donc à tout parent de se faire sa propre opinion sur la vaccination, même lorsque cette opinion se base sur des sources scientifiques, puisque ce sont aussi ces sources qui disparaissent de la toile.
On parle de censure de la « désinformation », mais s’il s’agissait de désinformation, une argumentation sérieuse suffirait à démanteler ces soi-disant « fausses informations ».
Insulte également aux médecins incompétents qui n’ont pas su convaincre leurs patients, ceux-là même qui leur confient leur santé depuis des dizaines d’années… Mais cette dictature va t elle redonner confiance en la vaccination ?
Pas de vaccin, pas d’école
Je suis toujours surprise de voir des parents qui ont peur que leurs enfants vaccinés soient contaminés par des enfants non vaccinés en milieu scolaire. Donc, au final, les parents qui vaccinent comme ceux qui ne vaccinent pas ont de sérieux doutes sur l’efficacité de la vaccination ! Certains vaccinent leurs enfants en pensant faire un acte d’altruisme : « mon enfant vacciné aujourd’hui contre la diphtérie, le tétanos et la polio protège aussi les autres ». Même pas ! La vaccination contre ces 3 maladies n’empêche en aucun cas la dissémination des bactéries responsables de la diphtérie, ou du tétanos ni du virus de la polio (vaccin sous forme injectée), sans parler du fait que le tétanos n’est pas une maladie contagieuse (2). Quant à la fameuse vaccination contre la rougeole dont on nous rabat les oreilles, elle est aussi loin de protéger les autres :
« Par conséquent, le virus de la rougeole peut circuler sans être détecté dans une population vaccinée, ce qui augmente faussement l’estimation de l’efficacité de la vaccination (3) ».
Ce qui a d’ailleurs été confirmé aussi par des congressistes scientifiques de la Société Française de Santé Publique en 2017, mais ils s’empressèrent d’ajouter qu’on ne peut tout dire au public, justifiant ainsi le manque de transparence sur la vaccination.
L’exigence altruiste en matière de santé publique n’est donc pas non plus la base de l’obligation vaccinale imposée en collectivité. Finalement sur quelles bases (autres que commerciales) repose aujourd’hui l’obligation de vacciner tous les bébés avec 11 vaccins ? L’obligation vaccinale exigée à l’entrée de l’école s’annonce comme une réelle discrimination. A Otranto, en Italie, une école maternelle a affiché sur la porte d’entrée la liste des enfants non vaccinés. Près de New York, depuis le 26 mars, les enfants non vaccinés contre la rougeole sont exclus de tout lieu public y compris des moyens de transport. (4)
Ira-t-on jusqu’à épingler un insigne discriminatoire sur les vêtements des enfants non vaccinés?
Ainsi, sans aucune justification sanitaire ou altruiste, pas de vaccin, pas d’école. Et pourtant, selon le bulletin officiel du 25 juin 2015, l’école a l’obligation d’un enseignement moral et civique basé sur les valeurs de la République. « Ces valeurs sont la liberté, l’égalité, la fraternité, la laïcité, la solidarité, l’esprit de justice, le respect et l’absence de toute forme de discrimination ». (5)
Mais un parent qui ose défier la loi est aujourd’hui harcelé par son médecin, dénoncé, harcelé par la responsable de la crèche, par sa nounou, se retrouve avec les services de la PMI sur le dos suite aux dénonciations, avec un ultimatum à la vaccination de son enfant, et n’aura pas le droit d’inscrire son enfant à l’école. Donc, au bout du compte il vaccine… car il a retrouvé confiance en la vaccination n’est-ce pas ?
Vaccination, une prévention prioritaire pour qui?
La santé de nos enfants serait donc tellement importante pour nos autorités de santé qu’elles auraient choisi de décider pour nous malgré nos réticences ? On oblige donc à vacciner car c’est la priorité en matière de prévention. Et si nous ne sommes pas d’accord, nos enfants seront privés d’école. Dans ce même cadre de prévention de santé, a-t-on nous aussi le droit de dire à nos dirigeants : « si vous continuez à autoriser la présence de glyphosate dans la nourriture de nos enfants, nous ne paieront plus nos impôts » ? Mais ce n’est pas possible, il semblerait que cette dictature ne puisse aller que dans un seul sens. Et d’ailleurs on trouve aussi des traces de glyphosate dans les vaccins (6).
Comment peut-on, au sein d’un même gouvernement autoriser la présence de poisons dans l’alimentation de nos enfants et imposer la vaccination car soudain on se soucie de leur santé ? Comment peut on laisser des enfants mourir de faim en 2018 alors que la moitié du budget alloué aux campagnes de vaccinations mettrait fin à la faim dans le monde ? Comment garder confiance dans les autorités de santé lorsque les décisions politiques prises en matière de prévention ne sont que celles qui profitent aux industriels ?
Un calendrier vaccinal qui inspire aucune confiance
11 vaccins, 10 injections, 6 consultations chez le médecin nous annonce Mme Buzyn. (7) Ce qui suppose donc que les vaccins mentionnés à 2 mois, 4 mois et 11 mois sont injectés lors du même rendez-vous chez le médecin. Et c’est effectivement ce qui se passe : l’Infanrix© Hexa et le Prévenar© 13 sont injectés simultanément. Mais comme je suis une maman consciencieuse, j’ai lu les notices.
« Une augmentation des taux de déclarations de convulsions (accompagnées ou non de fièvre) et d’épisodes d’hypotonie-hyporéactivité (EHH) a été observée lors de l’administration concomitante de Prevenar© 13 et d’Infanrix© Hexa  (8)
Comment peut-on recommander un calendrier vaccinal qui optimise des effets secondaires ?
Ce qui suppose aussi que les médecins ne sont pas au courant, et qu’ils n’informent pas non plus leurs patients des risques d’effets secondaires. Dans un souci de bienveillance, L’AIMSIB a mis au point une série de recommandations provisoires nécessaires à toute vaccination (9), mais est-ce à une association de définir ces recommandations ? Pourquoi nos autorités de santé supposent-elles encore que cet acte ne présente absolument aucun risque de santé et ne nécessite aucune précaution particulière ni de mise en garde des patients et des médecins?
La raison est simple : il faut redonner confiance en la vaccination. Circulez, vaccinez, il n’y a rien à dire, les vaccins sont sûrs et efficaces et toute mention contraire est une fake news.
Une Pharmacovigilance qui en inspire pas plus
Daniel Floret, ancien président du Comité Technique des vaccinations à la HCSP, écrivait lui-même dans un dossier de juin 2010 (dossier : « comment faire de la pédagogie autour du vaccin ? »  ADSP n°71, juin 2010)  : « La liste des effets secondaires énumérés dans le résumé des caractéristiques (RCP) des vaccins donne le vertige. Comment communiquer sur l’association vaccination contre l’hépatite B et maladies démyélinisantes dès lors que la sclérose en plaques et le syndrome de Guillain Barré apparaissent en tête de la liste des effets secondaires neurologiques liés au vaccin ? ».  (10) Et pourtant tous les médias grands publics clament que « les vaccins sont absolument sûrs ». Où se trouve réellement la désinformation ?

Pr. Daniel Floret, 2010
Au 7 février 2019, sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (11), pour l’Infanrix© Hexa (indiqué pour la vaccination de 800 000 bébés en France chaque année), en Europe, sont répertoriés 23.379 effets secondaires graves et 584 décès. (Ces chiffres sont en plus sous-estimés : dans un pays comme la France, « Il est généralement admis que 1 à 10 % des effets secondaires graves liés aux médicaments font l’objet d’une déclaration aux centres régionaux de pharmacovigilance. » (10)
Alors bien sûr, on me rétorquera que ces chiffres sont des valeurs absolues, que ce sont des observations faites pour des millions d’enfants vaccinés…oui…sauf que…
Un vaccin serait un médicament ?
On n’injecte pas un vaccin pour traiter un patient malade, on injecte un vaccin chez une personne parfaitement saine, en estimant que cela puisse éventuellement lui éviter de contracter peut-être un jour une maladie…qu’elle n’aurait sans doute jamais eu. Lorsqu’une personne est malade, il est plus logique d’envisager des effets secondaires lorsque le traitement entraîne une nette amélioration de l’état de santé du patient.
La vaccination c’est donc comme une assurance-vie : vous payez sans vraiment connaître le risque. Dans ce sens, les effets secondaires graves et les morts, si « faibles » soient-ils comparés au nombre de personnes vaccinées sont-ils acceptables ?
Personnellement, je ne souhaite pas que l’on m’impose ce type « d’assurance-vie » : c’est à moi seul d’en estimer les risques, d’autant plus qu’aucun des 11 vaccins obligatoires n’a été évalué selon les exigences imputées à un médicament en ce qui concerne l’efficacité clinique.
Les vaccins ne sont pas non plus soumis à des études de pharmacocinétique, de carcinogénèse, mutagénèse ou tératogénèse contrairement aux médicaments. Aucune étude non plus pour évaluer l’impact de l’administration de plusieurs vaccins sur une période aussi courte chez un bébé de moins de moins de 18 mois. Et pourtant aucune application du principe de précaution, la remise en question n’est jamais d’actualité, et toute personne émettant des doutes sur l’efficacité et la toxicité sera demain censurée partout sur la toile.
Mais c’est pour la bonne cause n’est-ce pas : il faut redonner confiance en la vaccination. Et donc l’absence de transparence est de mise
Déni de la contamination chimique et biologique des vaccins
En Italie, la controverse vaccinale bat son plein depuis des mois et des mois. Vincenzo d’Anna, ancien parlementaire et président de l’Ordre national des Biologistes a proposé un partenariat avec l’association CORVELVA afin de lancer un projet d’analyse de la composition des vaccins par un laboratoire indépendant.
Fragments d’ADN humains au-delà de la norme, fragments de virus (singe, souris..), traces de pesticides, médicaments (antibiotiques, sildenafil…), herbicides (glyphosate…) et autres contaminants chimiques jamais notés sur la notice. Le plus étonnant fut de ne retrouver aucun des antigènes nécessaires à l’efficacité de l’Infanrix© Hexa, mais une grosse molécule insoluble à la place. (12)
Ces informations relèvent d’un énorme scandale sanitaire, et même si elles demandent confirmations par d’autres laboratoires elles seraient à prendre au sérieux très rapidement. Est-ce le cas ? NON. Aucun de nos médias ne parlent de cette découverte cruciale sur les vaccins, ni des travaux d’Antonietta Gatti concernant la mise en évidence de nanoparticules en très grand nombre dans les vaccins, malgré sa publication dans la revue Vaccine en janvier 2017 (13).
Aucune déclaration officielle des autorités de santé. Dans le doute, s’abstenir ? Encore NON, aucune levée même temporaire de l’obligation vaccinale. En revanche, Mme Agnès Buzyn a tout de même demandé (poliment) aux fabricants de couches pour bébés d’enlever des substances toxiques histoire de montrer aux français que l’on se préoccupe de la santé des enfants.
Mais surtout ne pas ébruiter ce scandale sanitaire sur la composition des vaccins. Pourquoi ?
Pour garder confiance en la vaccination.
Déni des maladies auto-immunes générées par les vaccins
Pourtant ce joli petit cocktail vaccinal pourrait bien expliquer l’épidémie de maladies auto-immunes que l’on observe aujourd’hui de plus en plus chez des enfants !
Non, nous dit-on, les vaccins ne sont responsables d’aucune maladie auto-immune ! Pourtant dans une lettre de la direction médicale de Pasteur Vaccins de 1992, il est clairement admis qu’une stimulation de l’immunité peut révéler ou provoquer une poussée de maladie auto-immune (cf infra). Une ancienne infirmière a d’ailleurs été indemnisée en France en 2014 à hauteur de plus de 2 millions d’euros pour une sclérose en plaque déclenchée après une vaccination hépatite B. (14)
Institut Pasteur, correspondance
Concernant le Gardasil, Robert F. Kennedy a déroulé un exposé édifiant devant une Cour de Justice Américaine récemment, montrant que selon les données du laboratoire Merck, 2,3 % des filles recevant le vaccin se sont plaintes de symptômes de maladie auto-immune dans les 7 mois. Comme le cancer du col de l’utérus ne tue que 1,5 Américaines sur 100 000, il a fait remarquer : « Les propres données de Merck montrent que les risques de contracter une maladie auto-immune à cause de ce vaccin sont 1000 fois plus élevées que le risque de mourir du cancer du col de l’utérus ». (15)
Malgré cela, certains trouvent que le déclenchement de maladies auto-immunes est un avantage de la vaccination ! Un très respecté praticien hospitalier, professeur des universités a déclaré sur Twitter en 2018 : « La vaccination contre l’hépatite B ne provoque pas la sclérose en plaques, mais la démasque, ce qui est une bonne chose pour les futurs malades, car cela permet de débuter plus tôt les nouveaux traitements efficaces qui les sauveront. »  (16)
La stupidité de tels propos ne va pas non plus restaurer la confiance des patients dans les médecins…Ne serait-ce pas plutôt ce genre de propos cyniques qu’il faudrait censurer ?
Des hormones stérilisantes dans les vaccins antitétaniques
Récemment, un ancien ministre du Kenya a confirmé que les vaccins de la campagne de vaccination contre le tétanos de 2014-2015 contenaient une hormone de stérilisante, dénommée HCG. “Aujourd’hui, nous pouvons confirmer au pays que l’Église catholique avait raison. Des centaines de milliers de filles et de femmes âgées de 14 à 49 ans, issues des populations les plus dynamiques du pays, n’auront pas d’enfants, en raison de la stérilisation parrainée par l’État qui a été vendue au pays comme vaccin contre le tétanos ». (17) Les hommes étaient d’ailleurs écartés de ce programme de vaccination, même ceux qui souhaitaient recevoir cette vaccination. Etonnant d’avoir mené une campagne de vaccination uniquement dédiée aux femmes en âge de procréer alors que le tétanos peut naturellement toucher aussi les hommes et les enfants…
Le Kenya avait déjà été le pays destinataire de vaccins du même type : certains vaccins contre la polio destinés aux enfants de moins de 5 ans contenaient de l’oestradiol, une hormone stérilisante lorsque administrée aux garçons.
Mais ce n’est pas nouveau. Dans les années 90, l’OMS avait lancé une grande campagne de vaccination contre le Tétanos dans de nombreux pays du Tiers-Monde, toujours à destination des femmes en âge de procréer et l’analyse des produits injectés avait aussi montré la présence d’hCG, qui en aucun cas ne peut être considéré comme une contamination fortuite du vaccin. Mais on comprend mieux l’existence de ce type de campagne de vaccination lorsque l’on sait que L’OMS a tenté pendant plus de 20 ans de mettre au point un « vaccin contraceptif » à base d’hCG introduit dans le vaccin anti-tétanique (18). Ces recherches furent soutenues par la Banque Mondiale, la Fondation Rockefeller et de nombreuses universités. Le dossier de l’OMS de 1994 relatif à ce sujet devait être très intéressant, mais malheureusement, la version actuelle ne rend accessible que 31 pages sur les 199 du dossier (19)… Sans doute s’agit il à nouveau d’une censure de « fake news » ?
Ce « vaccin contraceptif » n’a pas obtenu d’AMM, mais continue apparemment d’être utilisé comme vaccin anti-tétanique dans les pays du tiers monde… Et plusieurs vaccins contiennent aussi d’autres substances stérilisantes plus « modernes » : le polysorbate 80 et le borate.
Ainsi en Afrique les drames vaccinaux se poursuivent : en Mars 2019, une campagne de vaccination (contre une maladie non indiquée) menée en Guinée dans des écoles primaires a tourné au vinaigre : plusieurs élèves se sont évanouis systématiquement après la vaccination, suscitant panique et colère dans la population. (20)
Ce sont sans doutes ces informations qui seront aussi bientôt qualifiées de « fake news » et qui seront censurées, afin de maintenir la confiance dans la vaccination.
La vaccination peut augmenter la mortalité infantile
Si dans nos pays il est impossible de réaliser des études comparatives d’enfants vaccinés versus enfants non vaccinés (proportion trop faible de non vaccinés), ces études sont possibles dans les pays en voie de développement et notamment en Afrique. L’équipe du Pr P. Aaby (fervent défenseur des campagnes de vaccination en Afrique) a été commissionnée par l’OMS pour évaluer la mortalité infantile dans des populations vaccinées et non vaccinées, et selon les résultats de plusieurs campagnes depuis 1981: (13).
Les résultats ont été publiés en mars 2018 et sont sans appel : les campagnes de vaccination Diphtérie, Tétanos, Polio, Coqueluche en Guinée-Bissau ont augmenté en moyenne de 100% la mortalité infantile (multiplié par 4 dans certains sous-groupes) ! Ceci malgré le fait que les enfants vaccinés étaient aussi ceux qui étaient les mieux nourris…
Ces campagnes ont elles été suspendues suite à ces études ? Non. Les médias français ont-ils fait état de ces données scandaleuses ? Encore et toujours non.
Pourquoi ?
Il faut vraiment garder confiance en la vaccination. On vous dira donc, malgré tout ceci que la confiance revient car la couverture vaccinale est en hausse depuis 2018. Mais c’est la confiance ou l’obligation qui a augmenté la couverture vaccinale ? Sous couvert d’épidémie de rougeole fantôme, dans un climat volontaire de peur, on justifie une obligation vaccinale qui ne repose sur aucun critère sanitaire ou scientifique.
A court d’arguments pour convaincre ceux qui doutent de l’efficacité et de l’innocuité des vaccins, les autorités de santé étouffent les scandales, utilisent les médias pour imposer une pensée unique en matière de vaccins et mettent en place un système de censure sur internet.
Quant aux experts scientifiques institutionnels, ils jouent un double jeu, admettant les scandales sanitaires en coulisse, et clamant l’innocuité des vaccins sur la place publique… Car il faut redonner confiance dans les vaccins… pour améliorer l’état de santé… celle des labos bien sûr, car grâce à la vaccination, Merck est redevenu un labo « rentable », dégageant en 2018 1,82 milliards de dollars de bénéfice net. (22)
Gardons donc confiance dans les vaccins, car la santé financière des grands laboratoires pharmaceutiques dépend… de nos comportements de moutons parfaitement dociles.

Sources:
(1) http://invs.santepubliquefrance.fr
(2) « Introduction générale à la médecine des vaccins », M. de Lorgeril, Ed. Chariot d’Or, nov. 2018
(3) Orenstein WA, Bernier RH, Hinman AR. Epidemiol Rev. 1988;10:212-41. Review. / https://www.yumpu.com/fr/document/view/38634696/souches-africaines-du-virus-de-la-rougeole-etude-
(4) https://www.sciencesetavenir.fr/sante/new-york-les-enfants-non-vaccines-bannis-des-lieux-publics_132462
(5) https://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=90158
(6) « Analyse scientifique de la toxicité des vaccins », M. de Lorgeril, Ed. Chariot d’Or, fév. 2019
(7)https://www.vidal.fr/actualites/22542/obligation_vaccinale_des_nourrissons_en_pratique_10_injections_6_consultations_14_vaccins_disponibles/
(8) https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/123-prevenar-13
(9) https://aimsib.org/2019/03/31/les-six-precautions-preconisees-par-laimsib-pour-la-vaccination-des-nourrissons-mars-2019/
(10) https://www.hcsp.fr/explore.cgi/Adsp?clef=111
(11) http://www.adrreports.eu/fr/search.html
(12) http://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi/vaccingate-initial-results-on-infanrix-hexa-chemical-composition.html
(13) A. Gatti and S. Montanari, New Quality-Control Investigations on Vaccines: Micro- and Nanocontamination, International Journal of Vaccines and Vaccination, vol. 4, issue 1, january2017). https://static1.squarespace.com/static/56d36e9d86db43f4f77637c1/t/59f6629e24a694055a6fa602/1509319356231/Quality+Control+-+Vaccines+study.pdf
(14) http://www.doctissimo.fr/medicaments/news/indemnisation-record-pour-une-sclerose-en-plaques-apres-un-vaccin-contre-l-hepatite-b
(15) https://www.collective-evolution.com/2019/01/30/athlete-confined-to-wheelchair-after-her-third-gardasil-vaccine-takes-merck-to-court/?fbclid=IwAR2LxNNpu3qz1Wz6wBlMnsG4N0aI4_oE1QPfj9bHSEnNGD70zS_2j83PtWQ
(16) http://docteurdu16.blogspot.com/2019/01/la-phrase-la-plus-comment-dire-la-plus.html)
(17) http://www.wikistrike.com/2018/03/kenya-un-ancien-ministre-presente-le-vaccin-contre-le-tetanos-comme-un-programme-cible-de-sterilisation-de-masse.html
(18) Françoise Joet, « Tétanos, le mirage de la vaccination »
(19) https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/39653/924156170X.pdf?sequence=1&isAllowed=y
(20) http://www.ledjely.com/sanoyah-des-eleves-sevanouissent-apres-leur-vaccination/
(21) « Evidence of Increase in Mortality After the Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis Vaccine to Children Aged 6-35Months in Guinea-Bissau: A Time for Reflection? », P. Aaby et coll, Front Public Health, 2018 Mar 19 ;6 :79  https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29616207
(22) http://www.lefigaro.fr/flash-eco/merck-repasse-dans-le-vert-grace-aux-vaccins-et-anti-cancereux-20190201



L’AIMSIB est une association française déclarée dans le cadre de la loi 1901. L’AIMSIB est un collectif de bonnes volontés issues de la société civile, des patients déçus, blessés ou en colère et des professionnels de la santé du monde entier.




"La Vie Hospitalière" n'entend pas privilégier la pensée unique, bien au contraire, car nous devons nous déterminer en tant que citoyens, que citoyennes, qu'hommes et femmes responsables dans cette société qui souvent impose au peuple des directions qui ne sont pas forcément bien perçues comme l'obligation de 11 vaccins pour les jeunes enfants... 
Là, nous demandons une certaine réflexion car il faut surtout savoir vers quel type de société nous allons ? ... C'est déjà là une préoccupation.
Ceci écrit, même si certains considèrent les vaccins comme efficaces le fait de les imposer n'apparaît pas primordialement comme une décision prophylaxique, elle semble surtout suivre la politique engagée concernant la marchandisation de la santé, on voit le souci qu'ont les décideurs dès qu'il faut s'engager vers des orientations privilégiant la santé dans le cadre de la prise en charge des patients, des conditions de soins etc etc dès lors qu'il n'y a pas d'intérêts privés derrière... donc nous pensons  que les décisions du gouvernement sont profitables à de intérêts particuliers qui pourraient être très éloignés de l'intérêt général...

Les parents doivent avoir le droit de décider ou non de faire vacciner leur enfant, et, tout autant : les laboratoires doivent être pleinement responsables des produits qu'ils utilisent pour les vaccins quant à des éventuels effets secondaires dans le temps !

Il faut aussi beaucoup de réflexion sur ce sujet car les informations qui existent sont divergentes, et voire même opposées !
On ne peut pas injecter des produits qui peuvent être considérés comme des neurotoxiques (dont la très faible dose peut avoir des effets irréversibles) et faire ensuite la politique de l'autruche quand des nourrissons décèdent... sans pour autant confondre la mort inattendue du nourrisson (MIN) avec les effets secondaires liés à un ou des vaccins, encore qu'il serait intéressant de faire des recherches plus poussées sur les causes réelles de mortalité de ces nourrissons.

Toujours est-il depuis le premier janvier 2018  les bébés doivent avoir 11 vaccins à la place des 3 déjà imposés jusqu'alors... Ces vaccins doivent être faits pour qu'un enfant soit admis en crèche ou inscrit à l'école. Au traditionnel DTP ( diphtérie, tétanos et poliomyélite ) s'ajoutent donc les injections contre la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'hépatite B, la bactérie haemophilus influenzae (source de méningites), le pneumocoque et le méningocoque C... elle est pas belle la vie ? 

Ainsi, le hasard faisant bien les choses, des médecins et chercheurs ont participé à une conférence de presse qui s'est tenue à l'Université Paris-Descartes, le 22 décembre,  sur le thème : "Les vaccins, une chance pour nos enfants". Les professionnels de santé ont assurée que la vaccination permet d'éviter des drames (dans la plupart des cas faut-il le rajouter, sans oublier les laissés pour compte ? ...).  Toujours est-il, selon Françoise Barré-Sinoussi, (chercheuse française en virologie, prix Nobel de médecine en 2008, co-découvreuse du VIH et directrice de recherche émérite à l'Inserm) : "Les vaccins ça marche"  donc il faut y croire probablement... mais quand même 3 ou 4 milligrammes d'aluminium dans le corps d'un nourrisson ce n'est  pas anodin (quoi qu'il soit dit ou écrit )...
Que penser de l'augmentation des cas de sclérose en plaques (SEP) cette maladie du système nerveux central touche le cerveau et la moelle épinière ?
Elle affecte la myéline ( la gaine qui entoure et protège les fibres nerveuses ) dont la destruction progressive ralentit la transmission des influx nerveux, et si les neurotoxiques en étaient l'une des causes ?...


Pour ne pas conclure, car nous y reviendrons autant de fois qu'il le faudra :  injecter un produit qui peut avoir des conséquences pouvant être graves  peut être considéré comme un acte à la limite de l'empoisonnement, à méditer...




mardi 14 mai 2019

Enquête ouverte après la mort d'une patiente devant les urgences de Lunéville


Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Nancy, après la mort le 17 mars d'une femme devant le sas des urgences de Lunéville. Quelques jours après avoir subi une cholécystectomie, la quinquagénaire, en proie à de vives douleurs, avait sollicité le 15, qui lui avait enjoint de se rendre à l'hôpital par ses propres moyens.

La venue d'une ambulance aurait-elle fait la différence ? C'est la question que se posent les enquêteurs, après le décès d'une femme de 56 ans, le 17 mars, devant les urgences de Lunéville (Meurthe-et-Moselle).
Trois jours plus tôt, cette mère de deux enfants avait subi une cholécystectomie dans une clinique. L'intervention, pratiquée en ambulatoire, se déroule sans problème : la patiente quitte la clinique à 15 heures, le jeudi 14 mars. Le lendemain, elle téléphone au service de chirurgie digestive, faisant état de douleurs intenses. Un antidouleur dérivé d'opiacé lui est prescrit par téléphone. Mais la douleur se fait plus forte et se propage. "Elle avait mal partout", témoigne l'un de ses enfants dans L'Est Républicain.

Le dimanche 17 mars, ses proches composent le 15. Après interrogatoire de la patiente et de la famille, le Samu conseille de se rendre aux urgences de Lunéville, à une demi-heure de route de son domicile de Barbas. À 5 km de l'hôpital, la quinquagénaire vomit et perd connaissance. À son arrivée devant le sas des urgences, la patiente est prise en charge par les pompiers et le personnel des urgences, à même la chaussée. Un massage cardiaque est pratiqué durant 45 minutes, en vain.

Dès le lendemain, sa famille a porté plainte contre X. Le parquet de Nancy a ouvert une enquête préliminaire en recherche des causes de la mort, et ordonné qu'une autopsie soit pratiquée. "Ce n'est qu'une fois le rapport d'expertise médicale déposé que nous pourrons au regard des conclusions ouvrir éventuellement une procédure du chef d'homicide involontaire", a précisé à l'AFP le procureur. En parallèle, l'ARS a ouvert une enquête médico-administrative "afin de préciser les circonstances et les causes de ce décès".

De son côté, le CHU affirme qu'il n'y a pas eu de dysfonctionnement dans le traitement de l'appel. "Au regard des éléments fournis par la patiente lors de l’interrogatoire et de l’absence de détresse vitale constatée par le médecin régulateur, il a été proposé à la patiente de se rendre à la maison médicale de garde des urgences du Centre hospitalier de Lunéville par ses propres moyens (famille), ce qu’elle a accepté. L’analyse de la procédure suivie n’a pas révélé à ce stade de dysfonctionnement."
Le cas de cette patiente n'est pas sans rappeler l'affaire Naomi Musenga. Cette jeune femme de 22 ans était décédée aux urgences de Strasbourg le 27 décembre 2017, faute d'avoir été prise au sérieux par les ARM du Samu.

Source : Egora.fr





Attaqué sur Facebook, un médecin coordonnateur en EHPAD poursuit en diffamation la fille d'une résidente décédée


Ce mardi 14 mai, un médecin coordonnateur d'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) près de Dole (Jura) était devant le tribunal correctionnel de Lons-le-Saunier, la préfecture du département.
Face à lui, la fille d'une des résidentes de l'établissement où il exerce et contre laquelle il a porté plainte en août dernier pour « injures et propos diffamatoires », à la suite d'une lettre ouverte publiée sur les réseaux sociaux. Le jugement a été mis en délibéré au 4 juillet prochain.

Colère de la famille

Publié sur Facebook le 4 juin 2018, le texte (partagé 30.000 fois) vise directement le médecin coordonnateur (qui n'était pas le médecin traitant) et remet en cause sa prise en charge de la patiente, à l'époque en fin de vie et depuis décédée.
Âgée de 90 ans et souffrant d'une gangrène à une jambe (à la suite d'une ischémie), la résidente refuse l'amputation et demande, en mai 2018, à mourir à domicile, c'est-à-dire à l'EHPAD. Le médecin coordonnateur accepte ce choix et met en place de la morphine en patchs, puis en gouttes, pour soulager les douleurs de la patiente. Au bout de plusieurs semaines, ses proches demandent la mise en place d'un pousse-seringue avec de la morphine en continu. Pour des raisons qu'il reste à déterminer, le médecin coordonnateur n'est pas en mesure d'accorder une réponse favorable à cette requête, déclenchant la colère de la famille et la publication de cette lettre ouverte.
« Ce n'est pas une euthanasie que l'on vous demande, juste un confort de fin de vie, qui lui permettra de mourir en douceur », y écrit la fille de la résidente, avant d'indiquer : « J'avais commencé à percevoir que vous étiez un salaud. » Plus loin dans sa publication, on peut également lire : « Vous aviez cette arrogance des gens bien nés, vous savez le charme discret de la bourgeoisie, on traite les petits par le mépris. J'ai essayé de parler avec vous de la prise en compte de la douleur de ma mère, et vous m'avez parlé de démocratie, que vous seriez le dernier rempart, pour un peu il aurait fallu vous passer sur le corps pour qu'elle ait enfin son pousse-seringue ! »
D'autres paragraphes du texte sont plus virulents. La famille y précise aussi : « L'infirmière cadre a clairement exprimé son refus de continuer à voir ma mère souffrir, et elle a mis en place le protocole d'injection, elle a rempli les papiers, prévenu les soins palliatifs, signé la feuille mais il faut la signature du médecin et vous avez refusé de signer. »

Soutien de la CSMF

À la suite de ce texte, le médecin dolois porte plainte, soutenu par la CSMF régionale et par l'Ordre départemental, qui s'est constitué partie civile. Le médecin n'a pas souhaité répondre à nos questions avant le délibéré.
« Notre confrère a été victime d'un e-lynchage massif à la suite de cette publication, il a reçu des menaces de mort ! », assure de son côté le Dr Stéphane Attal, président de la CSMF Bourgogne - Franche-Comté, qui a assisté à l'audience de ce 14 mai. Il remet en cause la version des faits exposés par la famille dans sa lettre ouverte.
« Un pousse-seringue a bien été demandé, mais il n'y en avait pas de disponible dans l'établissement. Pour que cela soit possible, le médecin coordonnateur a donc demandé une hospitalisation à domicile (HAD) pour la fin de vie, sauf qu'il a fallu attendre la validation du médecin traitant, ce qui a pris plusieurs jours. Or, la lettre a été publiée entre-temps ! Mais l'HAD a bien eu lieu et la résidente est décédée dans ce cadre », assure le Dr Attal.
Pour le syndicaliste, ce genre d'utilisation des réseaux sociaux est « plus que délétère » pour la profession. « C'est la porte ouverte à toutes les exigences personnelles des patients : dès que le médecin ne voudra pas répondre "oui", les citoyens vont se tourner vers les réseaux sociaux ou les notations sur Internet. C'est un danger pour les professionnels de santé », estime le Dr Stéphane Attal.

Article de Marie Foult



Ehpad : "Nous sommes arrivés en situation de maltraitance institutionnelle"


Les arrêts maladies s'enchaînent dans la résidence de Notre-Dame-de-Monts dont le Dr Marcellin Meunier a la charge. A la tête d'une équipe épuisée, il lance un cri d'alarme.

Vivre et parler au rythme du patient : c’est ce qu’on apprend en cours de médecine gériatrique. Dans l’Ehpad de Notre-Dame-de-Monts, c’est devenu impossible. "Nous sommes arrivés en situation de maltraitance institutionnelle" s’insurge le docteur Marcellin Meunier. Généraliste et gériatre sur cette commune de Vendée, il est aussi médecin coordonnateur de la résidence "Les Oyats" depuis dix ans.

Comme dans de nombreux autres établissements, l’équipe tourne en sous-effectif depuis des mois. Dans cet établissement où résident 80 personnes, le nombre de patients en fauteuils roulant a fortement augmenté, passant de dix à 40 entre 2009 et 2019. Pour correctement prendre soin des personnes à mobilité réduite, il faut pouvoir travailler en binôme.
Or en dix ans, le nombre de soignants n'a pas évolué. "On se dépêche en permanence, on n’a plus de temps pour l’écoute. Nous sommes épuisées moralement et physiquement. C’est très difficile psychologiquement", témoigne Lucille Biron, infirmière dans cette résidence depuis onze ans.

Larmes et démissions s'enchaînent

Cet épuisement physique et moral conduit à des arrêts maladie à répétition. Actuellement, une quinzaine de salariés sont en arrêt de travail, et ne sont pas remplacés, ce qui accroît encore davantage la pression sur le personnel présent. La directrice de l'établissement et l'infirmière cadre sont elles-même en arrêt. "Trois infirmières ont démissionné depuis le mois de septembre", s’inquiète le docteur Meunier. Il lui arrive de devoir soigner le personnel soignant en plus des patients. Souvent, les larmes coulent. L’épuisement se généralise.

"On n’en peut plus, on est fatigués et on ne peut plus offrir des soins de qualité", regrette Lucille Biron. Avant d’ajouter : " Cela fait des mois que nous essayons d’alerter la direction sur la surcharge de travail". Sans succès.
"Le conseil départemental, la mairie et l’Agence Régionale de Santé se renvoient la balle mais rien ne bouge. Personne n’est recruté", déplore lui aussi le docteur Meunier. "Un dimanche soir, j’ai craqué et j’ai lancé un appel à l’aide", explique-t-il. Le 5 mai, il poste un long message sur la page Facebook du quotidien régional Ouest France. Alerter l’opinion et attirer l’attention des médias : voici son dernier recours.

Faire cesser cette "mise en danger"

"Le 19 juin, deux mois se seront écoulés depuis la dernière réunion de concertation avec les autorités. Si aucun changement n’est intervenu d’ici-là, je ne serais plus complice de cette mise en danger du personnel et des patients", prévient le médecin. Il envisage de démissionner. "Je me demande même si je ne vais pas aller porter plainte pour non-assistance à personne en danger", souffle-t-il. Il y a quelques semaines, une résidente, Lydie le Sann, s’est fêlée la clavicule après une chute, le lève-malade était mal accroché. L’aide-soignante était toute seule pour la déplacer.

Le docteur Meunier demande que les 15 personnes en arrêt maladie soit remplacées d’urgence et estime que "pour casser le cercle vicieux", il faut aller plus loin. "Pour travailler correctement, il faudrait recruter 15 aides-soignantes et agents sociaux supplémentaires", estime-t-il. Grâce à cet appel, il espère obtenir de l’aide des autorités.
Lundi en fin de journée, la mairie de Notre-Dame-de-Monts n'était pas joignable par téléphone. Contactée, l'ARS Pays de La Loire fait savoir qu'une réunion sera organisée dans les prochains jours en présence du maire de la commune, d'un représentant du conseil départemental et d'un représentant de l'ARS avec pour objectif de "faire le point sur la situation". Elle souligne qu'elle n'a reçu aucun signalement récemment, ni de la part de la direction ni de celle d'un ou d'une patiente. Une réunion est prévue le 6 juin afin de discuter des moyens à allouer à l'avenir dans le cadre du CPOM (contrat pluriannuel d'objectifs et de moyens).


Source : France 3 Pays de La Loire