Toutes les personnes malades qui n'ont pu être soignés pendant le confinement arrivent mal en point dans les hôpitaux avec un personnel diminué
"On a eu ce soutien parce que tout le monde devait prendre soin des soignants donc d’un coup ils ont mis plein de moyens pour le Covid. Et au final dès que ça s’est fini, plus rien et de toutes façon personne ne le voit puisqu’il n’y a plus de Covid ! Donc il n’y a plus de raisons de soutenir les soignants alors que ça devient pire et que c’est plus lourd, c’est plus lourd et ils nous diminuent."
En tant que membre du service de médecine interne de la clinique Pasteur de Vitry-sur-Seine, cette infirmière a traversé toute la crise du Covid-19 au front. Une période "vraiment bien" confie t'elle.
En effet la crise sanitaire a fait qu'elle a pu compter sur des renforts bienvenus pour gérer l'afflux des malades. "On nous avait mis tout le personnel qu’il fallait, ils avaient mis tous les moyens. On était jamais moins de trois infirmiers, moins de trois aide-soignants quelque soit le nombre de patients. On pouvait avoir 20 patients, on nous laissait à trois infirmiers."
Mais le ralentissement de l'épidémie a aussi coïncidé avec un retour à l'anormal. Les renforts ont disparu et les plans d'économies sont de retour. Avec sa collègue elles doivent chaque nuit se partager près de 40 patients, faire les visites, surveiller les dosages et parer aux urgences, avec dans la précipitation, la peur constante de faire une erreur.
Le travail dans l'après Covid est pire que celui d'avant l'épidémie pour elle. Travaillant en clinique, elle ne peut même pas attendre la revalorisation salariale prévue par le Ségur de la santé. De toute façons ce sont des moyens qu'elle réclame et que l'on arrête de faire des économies sur son mal être au travail. Las de tirer la sonnette d'alarme face à une direction sourde elle a décidé de démissionner.
En effet la crise sanitaire a fait qu'elle a pu compter sur des renforts bienvenus pour gérer l'afflux des malades. "On nous avait mis tout le personnel qu’il fallait, ils avaient mis tous les moyens. On était jamais moins de trois infirmiers, moins de trois aide-soignants quelque soit le nombre de patients. On pouvait avoir 20 patients, on nous laissait à trois infirmiers."
Mais le ralentissement de l'épidémie a aussi coïncidé avec un retour à l'anormal. Les renforts ont disparu et les plans d'économies sont de retour. Avec sa collègue elles doivent chaque nuit se partager près de 40 patients, faire les visites, surveiller les dosages et parer aux urgences, avec dans la précipitation, la peur constante de faire une erreur.
Le travail dans l'après Covid est pire que celui d'avant l'épidémie pour elle. Travaillant en clinique, elle ne peut même pas attendre la revalorisation salariale prévue par le Ségur de la santé. De toute façons ce sont des moyens qu'elle réclame et que l'on arrête de faire des économies sur son mal être au travail. Las de tirer la sonnette d'alarme face à une direction sourde elle a décidé de démissionner.
"La Vie Hospitalière" apporte tout son soutien à cette soignante qui en a assez tout simplement. Une femme courageuse qui a passés des moments durs à vivre, il ne devait pas être toujours facile de trouver le sommeil.
Les soignants ont payé un lourd tribut, avec en plus biens des difficultés au niveau de l'approvisionnement en matériel sanitaire, et ceci dans les moments les plus difficiles !
Aujourd'hui, le gouverment, des médecins et même un avocat (qui a probablement été mal informé) estiment, obligent dans certaines conditions les citoyens et citoyennes à porter des masques. Or, des scientifiques ont démontrés que les masques sont dangereux pour la santé. Il est évident que le ridicule ne tue pas, mais ... ils osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît...
Actuellement il n'y a pratiquement plus d'hospitalisations, et en ce qui concernent les cas présumés positifs ils démontrent que le virus est loin d'être au plus haut de sa virulance.
Quand au plus fort de l'épidémie il fallait porter des masques ils en portaient pas, et maintenant ils en portent alors que la tempête est passée, triste parodie, qui ne peut cacher le sens profond de ces manoeuvres, avec en fond le spectre de Bill Gates...
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