"La Vie Hospitalière"

mercredi 30 septembre 2020

Situation sanitaire du 30 Septembre 2020

 563.535 personnes ont été ou sont contaminées par le SRAS-CoV-2, dont  96.797 sont guéries.

63 décès comptabilisés ce jour ce qui donne un total de 31.956 morts.

Le taux de guérison est de 17,18 % (ce pourcentage est  très médiocre) il était de 17,49 % hier....


Afin de comparer le taux de guérison au niveau mondial  est de 74,26 %  (il était de 74,28 % hier).
















Nous dénonçons la confusion actuelle qui consiste à parler de milliers de cas nouveaux de SRAS-CoV-2, alors que ce ne sont que les résultats positifs des tests qui sont loin de vouloir dire que la personne est malade, elle peut avoir été porteuse du SRAS-CoV-2, sans plus, ce sont peut être des fragments ou encore  une réaction au chromosome humain 8...

Et, pendant ce temps là  (les petits charlatans financés par Bill Gates notamment) continuent dans les médias de tromper les gens, continuent d'alimenter une stratégie de la peur, continuent de diffuser des informations alarmistes, des communiqués morbides...ils se disent spécialistes et veulent démontrer qu'ils détiennent la vérité, la science infuse, or, la réalité démontre le contraire...et avec un taux de guérison le plus bas au Monde il serait temps qu'ils démontrent leur savoir dans la pratique car pour le moment ce ne sont que tromperies bien à l'image des charlatans...









Lire aussi : 













Hôpital : 3.400 lits supprimés en 2019, malgré la saturation des hôpitaux et la contestation sociale

Ni les manifestations de médecins et personnels médicaux, ni la pandémie de Covid-19, n'ont empêché la suppression de plus de 3 400 lits d'hospitalisation en 2019

Une manière, selon le ministère de la Santé de «réorganiser l'offre». Un peu plus de 3.400 lits d'hospitalisation complète ont été fermés en 2019 dans les établissements de santé français qui ont créé, dans le même temps, 1 500 places d'hospitalisation partielle (de moins d'un jour), selon une étude du ministère de la Santé publiée le 29 septembre. Les grèves et manifestations qui ont agité l'hôpital l'an dernier n'ont pas inversé la tendance: hôpitaux et cliniques ont encore réduit leur capacité d’accueil de 0,9% en 2019.

Les 3.005 établissements publics et privés disposaient de 392.262 lits d'hospitalisation complète, soit 3.408 de moins en un an, selon la direction statistique des ministères sociaux (Drees). Un «repli dans la tendance observée depuis plusieurs années», qui «reflète la volonté de réorganiser l'offre, parfois face à des contraintes de personnel empêchant de maintenir les lits». A l'inverse, le «virage ambulatoire» a poursuivi sa course : 1.499 places «de jour» ont été ouvertes, soit une hausse de 1,9% portant leur nombre total à 78.790. L'hospitalisation à domicile a même enregistré un bond de 5,5%, avec 19.100 patients, «pouvant être pris en charge simultanément sur le territoire».

Mouvements sociaux à répétition 

Depuis plus d'un an, les médecins, urgentistes, infirmiers, aides-soignants et autres personnels hospitaliers protestent dans la rue et font grève contre le manque d'effectifs, la tension des services d'urgences, la bassesse des salaires et la fermeture de lits. Une crise d'autant plus visible depuis le printemps 2020, les hôpitaux ayant été saturés et ayant difficilement fait face à l'afflux de patients atteints du coronavirus.  




Source : francais.rt.com

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Manifestation des hospitaliers le 16 juin 2020 à Paris




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Covid-19 : Où en est -on ?

Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

« Marseille et les Bouches du Rhône ont été touchés de manière comparable par l’épidémie...les surmortalités  observées sont liées à la différence de prise en charge »...

En 2020 il y aurait moins de morts à l’AP-HM qu’en 2019 ou 2018...







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“Pas d’affolement mais de la vigilance” : l’AP-HM tient un point de situation de l’épidémie



120 personnes hospitalisées dans notre département, 40 lits toujours disponibles


Face au rebond de l’épidémie, l’AP-HM tient à ce moment même un point de situation dans les Hôpitaux Universitaires de Marseille et en Région.

170 personnes sont actuellement hospitalisées en réanimation dans la Région Sud, avec une forte concentration dans notre département. Dans les Bouches-du-Rhône, 120 personnes sont actuellement en réanimation. “La croissance est pour l’instant lente mais marquée” explique Anthony Valdez, directeur des soins à l’ARS PACA.

“La capacité en lits est suffisante à ce stade” assure encore Anthony Valdez. Il reste aujourd’hui 80 lits sur l’ensemble de notre région, 40 dans les Bouches du Rhône.

“Le système hospitalier est prêt, il n’y a pas d’affolement mais de la vigilance”. 20 personnes de la réserve sanitaire sont d’ailleurs venues prêter main forte aux équipes hospitalières déjà en place.

À l’AP-HM,  168 patients sont hospitalisés pour Covid-19. 46 sont en réanimation. Les capacités sont d’ailleurs prêtes à être augmentées.

“Nos capacités sont stables,  nous accueillons tous les patients” insiste Jean-Olivier Arnaud, le directeur général de l'APHM. Peu d’opérations ont d’ailleurs été déprogrammées. “Nous maîtrisons parfaitement la situation” ajoute-t-il. Autre tendance importante : le ralentissement net et récent de l’activité aux urgences. “Il ne faut pas que les patients non-Covid renoncent à être soignés”.

Même son de cloche du côté du Pr Dominique Rossi, président de la CME à l’APHM. ” La situation est parfaitement maîtrisée dans le calme, dans la sérénité, mais on doit se préparer à tout”. En temps normal, sur l’APHM, 90%  des lits sont déjà occupés. “On doit gérer 2 flux constants, il faut rester prudents”.

En ce qui concerne les décès, depuis le 15 août 48 personnes sont décédées. 24 entre le 15 août et le 15 septembre. 24 autres entre le 15 septembre et aujourd’hui. La moyenne d’âge est de 80 ans.


Source : maritima.info

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mardi 29 septembre 2020

« La science est un sport de combat »

Le nouveau livre du Professeur Didier Raoult

L’éditrice Olivia Recasens a eu l’excellente idée de faire repasser au tamis, les nombreux articles, notes et textes scientifiques du patron de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection. Le livre permet de mieux cerner sa démarche scientifique, son mode de raisonnement, la culture, les principes et les combats qui irritent nombre de ses confrères. Dans la tête de Didier Raoult, on savait que Darwin, Nietzche, Michel Foucault, Gilles Deleuze et Félix Guattari, Jacques Derrida et Jean Baudrillard avaient déjà toute leur place, mais aussi Lewis Caroll et Borgès. Rien de cuistre dans cette brillante théorie. Juste des amis de qualité qui lui chuchoteraient à l’oreille quelques idées pour continuer un parcours déjà prestigieux. On y trouvera aussi dans ce cerveau accueillant, l’héritage de l’épidémiologiste Paul Feyerabend ( Notamment Contre la méthode : Esquisse d’une théorie anarchiste de la connaissance), le philosophe et médecin Georges Canguilhem, ou encore l’empirisme de Francis Bacon et sa théorie des quatre idoles qui nous aveuglent : la nature humaine qui nous oblige à organiser le monde en fonction de ce que nous sommes ; le théâtre de la société ; les conflits d’intérêt nés de notre propre histoire ; les illusions du langage.

Tout le long du livre, Raoult met au clair ses rapports parfois houleux avec le milieu français de la recherche, ses tutelles, ses revues et ses lobbys. Aux chausse-trappes de la prédictivité à tout-prix et des simulacres du contrôle pour manager l’opinion publique, lui préfère dire « Je ne sais pas, »

Il déroule avec simplicité, les « mythes, modes et ignorance en médecine » et leurs effets surenchérisseurs, mais aussi les découvertes les plus lumineuses ou excitantes concernant la lutte contre les virus et bactéries. Il voit dans la recherche une école de liberté : « La recherche (avec le sport) est, à condition d’arriver à un certain niveau international, le seul domaine dans lequel les jeunes peuvent s’offrir eux-mêmes un destin sans dépendre de leur gouvernement. »

Un bémol du mandarin underground qui déteste l’égalitarisme entre les chercheurs et critique un pays qui cultiverait « la haine du succès » : « Il faut faire remarquer que la science n’est pas très rentable, en France. Les chercheurs n’ont jamais été très riches mais également la science n’est plus très glorieuse, et c’est inquiétant. »

Une dose de libertarisme ambivalente également chez ce gaulliste amoureux : alors que le spectre du confinement généralisé, les mesures administrativo-sanitaires s’imposent ici et là, l’épidémiologiste de Marseille, lui, s’insurge depuis longtemps contre ces applications faussement prédictives, selon lui : « La traçabilité de nos vies est supérieure à celle que redoutait George Orwell » s’inquiète t-il.

« Le XXIème siècle sera le siècle de la complexité », s’enthousiasme l’auteur, et dans sa discipline, la microbiologie, les révolutions conceptuelles à venir s’annoncent considérables et perturbantes. Raison de plus pour penser avec un peu plus d’imagination iconoclaste, de poésie et d’ambition.




La Science est un sport de combat (Humensciences) 

Professeur Didier Raoult, 452 pages 22 euros






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Situation sanitaire du 29 Septembre 2020

 550.690 personnes ont été ou sont contaminées par le SRAS-CoV-2, dont  96.327 sont guéries.

85 décès comptabilisés ce jour ce qui donne un total de 31.893 morts.

Le taux de guérison est de 17,49 % (ce pourcentage est  très médiocre).

Afin de comparer le taux de guérison au niveau mondial  est de 74,28 %  !















Nous dénonçons la confusion actuelle qui consiste à parler de milliers de cas nouveaux de SRAS-CoV-2, alors que ce ne sont que les résultats positifs des tests qui sont loin de vouloir dire que la personne est malade, elle peut avoir été porteuse du SRAS-CoV-2, sans plus, ce sont peut être des fragments ou encore  une réaction au chromosome humain 8...

Et, pendant ce temps là  (les petits charlatans financés par Bill Gates notamment) continuent dans les médias de tromper les gens, continuent d'alimenter une stratégie de la peur, continuent de diffuser des informations alarmistes, des communiqués morbides...ils se disent spécialistes et veulent démontrer qu'ils détiennent la vérité, la science infuse, or, la réalité démontre le contraire...et avec un taux de guérison le plus bas au Monde il serait temps qu'ils démontrent leur savoir dans la pratique car pour le moment ce ne sont que tromperies bien à l'image des charlatans...









Lire aussi : 













Covid-19 : l’appel au calme et à la raison d’un médecin généraliste

Thierry Lagrange, médecin généraliste à la Rochelle s’est exprimé au micro de C17 Info dans le cadre de la crise du covid-19. Le médecin prend la parole pour dénoncer le climat anxiogène dans lequel les Français sont plongés depuis maintenant six mois. Son témoignage et son appel à la sagesse de tous sont sans équivoque



Comme le rappelle Thierry Lagrange « La covid existe, il y a eu une épidémie avec de nombreux cas, un pic en mars-avril, il y a eu le déconfinement, les gens se sont remis à vivre librement, et il se passe quelque chose de normal et prévisible, le virus est toujours là et circule [..] ,nous assistons à l’immunisation collective »

« Le virus circulant, les gens l’ont attrapé et c’est normal, on nous le présente comme la peur d’une 2ème vague […] les virus sont partout et nous vivons en permanence en interrelation entre notre milieu intérieur et notre milieu extérieur, nous avons un système physiologique qui nous permet de nous défendre en permanence contre ce qui nous entoure »

"On utilise la peur par ces messages quotidiens comme si nous étions en guerre et qu’un danger imminent allait nous tomber sur la tête."

Selon le médecin « ce qui est critiquable c’est la méthode, on utilise la peur par ces messages quotidiens comme si nous étions en guerre et qu’un danger imminent allait nous tomber sur la tête… la peur est une émotion ancestrale qui nous permet d’échapper au danger, or là il n’y a pas de danger immédiat » et de rajouter « tout est fait tous les jours pour qu’on nous fasse croire que le danger arrive, qu’il y a une croissance exponentielle des malades, des morts potentiels, sans que cela ne corresponde à la réalité et cela provoque (lorsque la peur est là mais que le danger n’est pas là) l’anxiété généralisée ».

             Les enfants : victimes de la peur entretenue par le système

« Les gens [...] ont peur de tout, cela touche toute la population et y compris les enfants, les enfants sont en train d’absorber cette peur qui est décuplée par le système, un système qui va trop loin »

« Par ailleurs cela provoque de plus en plus de réactions phobiques […] Certains patients demandent à leurs enfants qui allaient prendre un crayon pour dessiner, de ne pas le prendre. [...] Ce sont des réactions pathogènes pour l’organisme, des réactions névrotiques qui sont en train de se mettre en place pour chacun et dans toute la société. »

« Non content de nous mettre dans la peur, on nous met aussi dans la contrainte. […] Mettre une masque avec l’illusion que même mettre un masque au bord de la mer ou seul serait bénéfique pour notre santé : c’est Faux »

« Ce système mis en place n’appelle pas à l’intelligence des gens il appelle et j’ose dire le mot à l’endoctrinement, la peur, la contrainte et la culpabilité et ce dès le premier age » pour l’exemple le médecin reprend cette poésie qu’un de ses patients, parent d’un enfant en CE1, a bien voulu partager avec lui et que nous retranscrivons ici :

« L’école a été fermée et nous vivons confinés car tu peux nous infecter tu peux même nous tuer.

Les visites aux grands-parents c’est interdit pour l’instant car si on veut les aimer il faut bien les protéger.

Nous resterons solidaires tous unis dans cette guerre et pour sauver notre terre nous t’enverrons en enfer »

Thierry Lagrange l’affirme, cette poésie « c’est totalement délirant et cela va provoquer des problèmes chez ces enfants qui sont pris dans un apeurement général »

L'interview complet à regarder ici :




"C’est effrayant cela est totalement disproportionné par rapport à ce virus."

Il rappelle que le rôle du médecin est mis à mal dans la gestion de cette crise, « le médecin est normalement la clé de voute de tout le système de santé, il est là pour rassurer les gens, leur expliquer comment marche l’immunité. Voir le médecin permet de décharger les hôpitaux qui sont en grande crise et ça n’a pas évolué depuis 6 mois, aucun moyen n’a été mis en place, il n'y a pas plus de lits de réanimation, pas d'amélioration des conditions de travail alors que c'etait la première urgence.»


Source : francesoir.fr

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Note de "La Vie Hospitalière"

Ils vont continuer encore longtemps cette politique de la peur ?

Le temps passe, les enfants grandissent, et on craint qu'ils ne pourront oublier toute leur vie, durant, le "virus de la peur" avec toutes ses conséquences.

La manipulation qui est mise en place depuis quelque temps semble diabolique !

Il est temps, grand temps d'arrêter cette politique dévastatrice tant au niveau psychologique qu'au niveau socio-économique. 

Nous avons l'impression qu'un système autoritaire insidieusement s'installe, ayant que faire de l'avenir de nos enfants, de l'avenir même de notre société démocratique tout simplement.



L'asservissement









¡No pasarán!

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Belgique : Des experts de la santé demandent une enquête sur l’OMS pour avoir simulé une pandémie de coronavirus

Médecins et professionnels de la santé de Belgique ont écrit une lettre ouverte aux autorités demandant l’enquête de l’OMS pour la création de coronavirus infodémique simulant la pandémie. La lettre suivante a eu un impact sur les autorités de santé publique non seulement en Belgique, mais dans le monde entier. Le texte pourrait porter sur n’importe quel cas où les États ont enfermé leurs citoyens plutôt que de permettre aux gens la liberté et de permettre aux professionnels de la santé de supporter le rôle principal de l’atténuation des maladies


Quand l’OMS a simulée une pandémie

Plus tôt, il a été révélé qu’une Pornstar et un écrivain de science-fiction ont influencé les politiques de l’OMS sur l’hydroxychloroquine avec de fausses données. Une obscure société américaine d’analyse des soins de santé a fait l’objet d’un examen minutieux pour l’intégrité de ses études clés qui ont été publiées dans certaines des revues médicales les plus prestigieuses au monde. L’Organisation mondiale de la Santé et plusieurs gouvernements nationaux ont modifié leurs politiques et traitements COVIDE-19 en fonction des données erronées fournies par la société avec une star du et un écrivain de science-fiction sur leur masse salariale.

Un rapport exclusif de GreatGameIndia a révélé comment, en 2009, l’OMS a déclaré prématurément que la « grippe porcine » était une pandémie qui a entraîné une augmentation des commandes de vaccins. Les pays riches et riches n’ont pas tardé à acheter les vaccins pour leur peuple. Ironiquement, la plupart des décès ne sont pas survenus en Europe, mais en Afrique et en Asie du Sud-Est.

Dans son livre controversé, le célèbre auteur Stuart Blume révèle que bon nombre des conseillers les plus influents, tant au niveau de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qu’au niveau national, sont des consultants rémunérés pour l’industrie vaccinale, ce qui soulève une question très sérieuse - que l’OMS pourrait travailler pour les intérêts de l’industrie vaccinale et non pour les personnes - la raison pour laquelle il y a 10 ans, l’OMS a truqué une pandémie..


LETTRE OUVERTE https://docs4opendebate.be/en/open-letter/ )

Nous, médecins belges et professionnels de la santé, souhaitons exprimer notre vive préoccupation face à l’évolution de la situation de ces derniers mois autour de l’apparition du virus SRAS-CoV-2. Nous demandons aux politiciens d’être informés de manière indépendante et critique dans le processus décisionnel et dans la mise en œuvre obligatoire des mesures coronaires. Nous demandons un débat ouvert, où tous les experts sont représentés sans aucune forme de censure. Après la panique initiale entourant le covid-19, les faits objectifs montrent maintenant une image complètement différente - il n’y a plus de justification médicale pour toute politique d’urgence.

La gestion actuelle de crise est devenue totalement disproportionnée et cause plus de dégâts qu’elle ne le fait de bien.

Nous demandons la fin de toutes les mesures et demandons le rétablissement immédiat de notre gouvernance démocratique normale et de nos structures juridiques et de toutes nos libertés civiles.

«Un remède ne doit pas être pire que le problème » est une thèse qui est plus pertinente que jamais dans la situation actuelle. Nous notons toutefois que les dommages collatéraux causés à la population auront un impact plus important à court et à long terme sur toutes les couches de la population que le nombre de personnes qui sont maintenant protégées de la couronne.

À notre avis, les mesures actuelles de la couronne et les sanctions sévères en cas de non-respect de ces mesures sont contraires aux valeurs formulées par le Conseil suprême belge de la santé, qui, jusqu’à récemment, en tant qu’autorité sanitaire, a toujours assuré une médecine de qualité dans notre pays : « Science – Expertise – Qualité – Impartialité – Indépendance – Transparence ». 1

Nous croyons que la politique a introduit des mesures obligatoires qui ne sont pas suffisamment fondées sur des données scientifiques, dirigées unilatéralement, et qu’il n’y a pas assez de place dans les médias pour un débat ouvert au cours duquel des points de vue et des opinions différents sont entendus. En outre, chaque municipalité et province a maintenant l’autorisation d’ajouter ses propres mesures, qu’elles soient fondées ou non.

En outre, la politique répressive stricte sur la couronne contraste fortement avec la politique minimale du gouvernement en matière de prévention des maladies, le renforcement de notre propre système immunitaire par un mode de vie sain, des soins optimaux avec attention pour l’individu et l’investissement dans le personnel de soins.2

Le concept de santé

En 1948, l’OMS a défini la santé comme suit : « La santé est un état de bien-être physique, mental et social complet et pas seulement l’absence de maladie ou d’autres déficiences physiques3. »

La santé est donc un concept général qui va au-delà du physique et qui se rapporte également au bien-être émotionnel et social de l’individu. La Belgique a également le devoir, du point de vue de l’abonnement aux droits fondamentaux de l’homme, d’inclure ces droits de l’homme dans sa prise de décision lorsqu’il s’agit de mesures prises dans le cadre de la santé publique. 4

Les mesures mondiales actuelles prises pour lutter contre le SRAS-CoV-2 violent dans une large mesure cette vision de la santé et des droits de l’homme. Les mesures comprennent le port obligatoire d’un masque (également en plein air et pendant les activités sportives, et dans certaines municipalités, même lorsqu’il n’y a pas d’autres personnes dans les environs), la distanciation physique, l’isolement social, la quarantaine obligatoire pour certains groupes et les mesures d’hygiène.

La pandémie prévue avec des millions de décès

Au début de la pandémie, les mesures étaient compréhensibles et largement soutenues, même s’il y avait des différences dans la mise en œuvre dans les pays qui nous entourent. À l’origine, l’OMS avait prédit une pandémie qui ferait 3,4 % de victimes, c’est-à-dire des millions de décès, et un virus hautement contagieux pour lequel aucun traitement ou vaccin n’était disponible. Cela exercerait une pression sans précédent sur les unités de soins intensifs (USI) de nos hôpitaux.

Cela a conduit à une situation d’alarme mondiale, jamais vu dans l’histoire de l’humanité: « aplatir la courbe » a été représenté par un verrouillage qui a fermé toute la société et l’économie et mis en quarantaine les gens en bonne santé. La distanciation sociale est devenue la nouvelle norme en prévision d’un vaccin de sauvetage.

Les faits sur covid-19

Peu à peu, la sonnette d’alarme a été tirée de nombreuses sources : les faits objectifs ont montré une réalité complètement différente. 5 6

Le cours de covid-19 a suivi le cours d’une vague normale d’infection semblable à une saison de grippe. Comme chaque année, nous voyons un mélange de virus de la grippe suivre la courbe : d’abord les rhinovirus, puis les virus de la grippe A et B, suivis des coronavirus. Il n’y a rien de différent de ce que nous voyons normalement.

L’utilisation du test PCR non spécifique, qui produit de nombreux faux positifs, a montré une image exponentielle. Ce test a été effectué d’urgence et n’a jamais été sérieusement auto-testé. Le créateur a expressément averti que ce test était destiné à la recherche et non au diagnostic7.

Le test PCR fonctionne avec des cycles d’amplification du matériel génétique – un morceau de génome est amplifié à chaque fois. Toute contamination (p. ex. autres virus, débris provenant d’anciens génomes de virus) peut éventuellement entraîner de faux positifs8.

Le test ne mesure pas le nombre de virus présents dans l’échantillon. Une véritable infection virale signifie une présence massive de virus, la charge dite virale. Si quelqu’un est positif, cela ne signifie pas que cette personne est effectivement infectée cliniquement, est malade ou va tomber malade. Le postulat de Koch n’a pas été rempli (« agent pur trouvé chez un patient avec des plaintes peut provoquer les mêmes plaintes chez une personne en bonne santé »).

Étant donné qu’un test pcr positif n’indique pas automatiquement une infection active ou une infectiosité, cela ne justifie pas les mesures sociales prises, qui sont basées uniquement sur ces tests. 9 10

Confinement

Si l’on compare les vagues d’infection dans les pays aux politiques de blocage strictes aux pays qui n’ont pas imposé de blocages (Suède, Islande...), nous voyons des courbes similaires. Il n’y a donc aucun lien entre le verrouillage imposé et le cours de l’infection. Le verrouillage n’a pas entraîné une baisse du taux de mortalité.

Si nous examinons la date d’application des verrouillages imposés, nous voyons que les fermetures ont été fixées après le pic était déjà terminée et que le nombre de cas diminue. Cette baisse n’est donc pas le résultat des mesures prises. 11

Notre système immunitaire

Depuis des milliers d’années, le corps humain est exposé quotidiennement à l’humidité et aux gouttelettes contenant des micro-organismes infectieux (virus, bactéries et champignons).

La pénétration de ces micro-organismes est empêchée par un mécanisme de défense avancé - le système immunitaire. Un système immunitaire fort repose sur une exposition quotidienne normale à ces influences microbiennes. Des mesures trop hygiéniques ont un effet néfaste sur notre immunité. 12 13 Seules les personnes dont le système immunitaire est faible ou défectueux doivent être protégées par une hygiène étendue ou une distanciation sociale.

La grippe réapparaîtra à l’automne (en combinaison avec le covid-19) et une diminution possible de la résilience naturelle pourrait entraîner d’autres pertes.

Notre système immunitaire se compose de deux parties : un système immunitaire congénital et non spécifique et un système immunitaire adaptatif.

Le système immunitaire non spécifique forme une première barrière : peau, salive, jus gastrique, mucus intestinal, cellules capillaires vibratoires, flore commensale, ... et empêche l’attachement des micro-organismes aux tissus.

S’ils se fixent, les macrophages peuvent causer l’encapsulation et la destruction des micro-organismes.

Le système immunitaire adaptatif se compose de l’immunité muqueuse (anticorps IgA, principalement produites par les cellules des intestins et de l’épithélium pulmonaire), de l’immunité cellulaire (activation des lymphocytes T), qui peut être générée en contact avec des substances ou des micro-organismes étrangers, et de l’immunité humorale (anticorps IgM et IgG produits par les cellules B).

Des recherches récentes montrent que les deux systèmes sont très enchevêtrés.

Il semble que la plupart des gens ont déjà une immunité congénitale ou générale contre la grippe et d’autres virus. Cela est confirmé par les conclusions sur le navire de croisière Diamond Princess, qui a été mis en quarantaine en raison de quelques passagers qui sont morts de Covide-19. La plupart des passagers étaient âgés et se trouvaient dans une situation idéale de transmission à bord du navire. Cependant, 75 % ne semblaient pas infectés. Ainsi, même dans ce groupe à haut risque, la majorité sont résistants au virus.

Une étude publiée dans la revue Cell montre que la plupart des gens neutralisent le coronavirus par l’immunité muqueuse (IgA) et cellulaire (lymphocytes T), tout en éprouvant peu ou pas de symptômes 14.

Les chercheurs ont trouvé jusqu’à 60 % de réactivité du SRAS-Cov-2 avec des cellules CD4+T dans une population non infectée, ce qui suggère une réactivité croisée avec d’autres virus froids (corona)15.

La plupart des gens ont donc déjà une immunité congénitale ou croisée parce qu’ils étaient déjà en contact avec des variantes du même virus.

La plupart des personnes qui sont positives (PCR) n’ont rien à redire. Leur système immunitaire est assez fort. Le renforcement de l’immunité naturelle est une approche beaucoup plus logique. La prévention est un pilier important, insuffisamment mis en évidence : une nutrition saine et à part entière, l’exercice de l’air frais, sans masque, la réduction du stress et les contacts émotionnels et sociaux nourrissants.

Conséquences de l’isolement social sur la santé physique et mentale

L’isolement social et les dommages économiques ont entraîné une augmentation de la dépression, de l’anxiété, des suicides, de la violence intrafamiliale et de la violence envers les enfants16.

Des études ont montré que plus les gens ont d’engagements sociaux et émotionnels, plus ils sont résistants aux virus. Il est beaucoup plus probable que l’isolement et la quarantaine aient des conséquences fatales. 17

Les mesures d’isolement ont également conduit à l’inactivité physique chez de nombreuses personnes âgées en raison de leur être forcé de rester à l’intérieur. Cependant, un exercice suffisant a un effet positif sur le fonctionnement cognitif, réduisant les plaintes et l’anxiété dépressives et améliorant la santé physique, les niveaux d’énergie, le bien-être et, en général, la qualité de vie18.

La peur, le stress persistant et la solitude induites par la distanciation sociale ont une influence négative avérée sur la santé psychologique et générale. 19

Un virus très contagieux avec des millions de décès sans aucun traitement?

La mortalité s’est avérée beaucoup plus faible que prévu et proche de celle d’une grippe saisonnière normale (0,2 %). 20

Le nombre de décès enregistrés dans les couronnes semble donc encore surestimé.

Il y a une différence entre la mort par couronne et la mort avec la couronne. Les humains sont souvent porteurs de plusieurs virus et de bactéries potentiellement pathogènes en même temps. Compte tenu du fait que la plupart des personnes qui ont développé des symptômes graves souffraient d’une pathologie supplémentaire, on ne peut pas simplement conclure que la corona-infection était la cause du décès. Cela n’a surtout pas été pris en compte dans les statistiques.

Les groupes les plus vulnérables peuvent être clairement identifiés. La grande majorité des patients décédés avaient 80 ans ou plus. La majorité (70%) du défunt, moins de 70 ans, a eu un désordre sous-jacent, tel que la souffrance cardio-vasculaire, le diabète sucré, la maladie pulmonaire chronique ou l’obésité. La grande majorité des personnes infectées (>98%) n’est pas ou à peine tombé malade ou récupéré spontanément.

Pendant ce temps, il existe une thérapie abordable, sûre et efficace pour ceux qui présentent des symptômes graves de la maladie sous la forme de HCQ (hydroxychloroquine), de zinc et d’AZT (azithromycine). Cette thérapie rapidement appliquée conduit à la guérison et empêche souvent l’hospitalisation. Presque personne n’a à mourir maintenant.

Cette thérapie efficace a été confirmée par l’expérience clinique de collègues dans le domaine avec des résultats impressionnants. Cela contraste fortement avec la critique théorique (justification insuffisante par des études en double aveugle) qui, dans certains pays (par exemple les Pays-Bas) a même conduit à l’interdiction de cette thérapie. Une méta-analyse dans The Lancet, qui ne pouvait démontrer un effet de HCQ, a été retirée. Les principales sources de données utilisées se sont avérées peu fiables et 2 auteurs sur 3 étaient en conflit d’intérêts. Cependant, la plupart des lignes directrices basées sur cette étude sont restées inchangées ... 48 49

Nous avons de sérieuses questions sur cet état de fait.

Aux États-Unis, un groupe de médecins sur le terrain, qui voient des patients sur une base quotidienne, unis dans « America’s Frontline Doctors » et a donné une conférence de presse qui a été regardé des millions de fois.21 51

Le Professeur Didier Raoult de l’Institut d’Infectiologie de Marseille (IHU) a également présenté cette thérapie combinée prometteuse dès le mois d’avril. Le GP duTch Rob Elens, qui a guéri de nombreux patients dans sa pratique avec le HCQ et le zinc, a appelé ses collègues dans une pétition pour la liberté de thérapie22.

Des images pénibles de médias de ARDS (syndrome de détresse respiratoire aiguë) où les gens suffoquaient et ont donné la respiration artificielle dans l’agonie, nous savons maintenant que ceci a été provoqué par une réponse immunisée exagérée avec la coagulation intravasculaire dans les vaisseaux sanguins pulmonaires. L’administration d’anticoagulants et de dexaméthasone et l’évitement de la ventilation artificielle, qui s’est avéré causer des dommages supplémentaires aux tissus pulmonaires, signifie que cette complication redoutée, aussi, n’est pratiquement plus mortelle. 47

Ce n’est donc pas un virus tueur, mais une maladie bien traitable.

Propagation

La propagation se produit par l’infection goutte à goutte (seulement pour les patients qui toussent ou éternuent) et les aérosols dans les pièces fermées et non ventilées. La contamination n’est donc pas possible en plein air. Les recherches de contact et les études épidémiologiques montrent que les personnes en bonne santé (ou les porteurs asymptomatiques testés positivement) sont pratiquement incapables de transmettre le virus. Les personnes en bonne santé ne se mettent donc pas mutuellement en danger. 24 25

Le transfert par l’intermédiaire d’objets (p. ex. argent, magasinage ou chariots de magasinage) n’a pas été scientifiquement prouvé.26 27 28

Tout cela remet sérieusement en question toute la politique de distanciation sociale et de masques de bouche obligatoires pour les personnes en bonne santé – il n’y a pas de base scientifique pour cela.

Masques

Les masques oraux appartiennent à des contextes où des contacts avec des groupes à risque avérés ou des personnes ayant des troubles respiratoires supérieurs ont lieu, et dans un contexte médical/hôpital-maison de retraite. Ils réduisent le risque d’infection par les gouttelettes en éternuant ou en toussant. Les masques oraux chez les personnes en bonne santé sont inefficaces contre la propagation des infections virales. 29 30 31

Porter un masque n’est pas sans effets secondaires. 32 33 L’insuffisance d’oxygène (maux de tête, nausées, fatigue, perte de concentration) se produit assez rapidement, un effet similaire au mal d’altitude. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d’hyperventilation en raison du port de masques. En outre, le CO2 accumulé conduit à une acidification toxique de l’organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus en cas d’utilisation inappropriée du masque34.

Notre Code du travail (Codex 6) fait référence à une teneur en CO2 (ventilation sur les lieux de travail) de 900 ppm, maximum 1200 ppm dans des circonstances particulières. Après avoir porté un masque pendant une minute, cette limite toxique est considérablement dépassée par rapport à des valeurs trois à quatre fois supérieures à ces valeurs maximales. Toute personne qui porte un masque est donc dans une pièce extrêmement mal aérée. 35

Les hôpitaux ont un environnement stérile dans leurs salles d’opération où le personnel porte des masques et il ya une régulation précise de l’humidité / température avec un débit d’oxygène correctement surveillé pour compenser cela, répondant ainsi à des normes de sécurité strictes. 36

Une deuxième onde corona ?

Une deuxième vague est en cours de discussion en Belgique, avec un nouveau durcissement des mesures en conséquence. Toutefois, un examen plus approfondi des chiffres de Sciensano (dernier rapport du 3 septembre 2020)37 montre que, bien qu’il y ait eu une augmentation du nombre d’infections depuis la mi-juillet, il n’y a pas eu d’augmentation des admissions à l’hôpital ou des décès à ce moment-là. Il ne s’agit donc pas d’une deuxième vague de corona, mais d’une soi-disant « yshésique de cas » en raison d’un nombre accru de tests. 50

Le nombre d’hospitalisations ou de décès a connu une courte augmentation minime au cours des dernières semaines, mais en l’interprétant, il faut tenir compte de la récente vague de chaleur. En outre, la grande majorité des victimes sont encore dans le groupe de population >75 ans.

Cela indique que la proportion des mesures prises par rapport à la population active et aux jeunes est disproportionnée par rapport aux objectifs visés.

La grande majorité des personnes « infectées » testées positivement se trouvent dans le groupe d’âge de la population active, qui ne développe aucun symptôme ou simplement limité, en raison d’un système immunitaire qui fonctionne bien.

Donc, rien n’a changé - le pic est terminé.

Renforcer une politique de prévention

Les mesures de la couronne constituent un contraste frappant avec la politique minimale menée jusqu’à présent par le gouvernement, lorsqu’il s’agit de mesures fondées avec des avantages prouvés pour la santé tels que la taxe sur le sucre, l’interdiction des (e)cigarettes et la rendre des réseaux alimentaires sains, d’exercice et de soutien social financièrement attrayants et largement accessibles. C’est une occasion manquée d’une meilleure politique de prévention qui aurait pu entraîner un changement de mentalité dans toutes les couches de la population avec des résultats clairs en termes de santé publique. À l’heure actuelle, seulement 3 % du budget des soins de santé est consacré à la prévention. 2

Le serment d’Hippocrate

En tant que médecin, nous avons prêté le serment d’Hippocrate :

« Je vais avant tout prendre soin de mes patients, promouvoir leur santé et soulager leurs souffrances ».

« J’informerai mes patients correctement. »

« Même sous pression, je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour des pratiques contre l’humanité. »

Les mesures actuelles nous obligent à agir contre ce serment.

D’autres professionnels de la santé ont un code similaire.

Le « primum non nocere »(1), que tout médecin et professionnel de la santé assume, est également miné par les mesures actuelles et par la perspective d’une éventuelle introduction d’un vaccin généralisé, qui n’est pas soumis à des tests préalables approfondis.

Vaccin

Des études menées sur les vaccinations antigrippales montrent qu’en 10 ans, nous n’avons réussi que trois fois à mettre au point un vaccin avec un taux d’efficacité de plus de 50 %. Vacciner nos personnes âgées semble inefficace. Plus de 75 ans, l’efficacité est presque inexistante.38

En raison de la mutation naturelle continue des virus, comme nous le voyons également chaque année dans le cas du virus de la grippe, un vaccin est tout au plus une solution temporaire, qui nécessite de nouveaux vaccins à chaque fois par la suite. Un vaccin non testé, mis en œuvre par procédure d’urgence et pour lequel les fabricants ont déjà obtenu l’immunité juridique contre d’éventuels dommages, soulève de sérieuses questions. 39 40 Nous ne voulons pas utiliser nos patients comme cobayes.

À l’échelle mondiale, 700 000 cas de dommages ou de décès sont attendus à la suite du vaccin41.

Si 95 % des personnes souffrent de Covid-19 pratiquement sans symptômes, le risque d’exposition à un vaccin non testé est irresponsable.

Le rôle des médias et le plan de communication officiel

Au cours des derniers mois, les fabricants de journaux, de radio et de télévision ont semblé se tenir presque sans critique derrière le groupe d’experts et le gouvernement, là, où c’est précisément la presse qui devrait être critique et empêcher la communication unilatérale du gouvernement. Cela a conduit à une communication publique dans nos médias d’information, qui ressemblait plus à de la propagande qu’à des reportages objectifs.

À notre avis, il appartient au journalisme d’apporter des nouvelles de manière aussi objective et neutre que possible, visant à trouver la vérité et à contrôler de manière critique le pouvoir, les experts dissidents étant également dotés d’un forum pour s’exprimer.

Ce point de vue est étayé par les codes d’éthique journalistiques42.

L’histoire officielle qu’un verrouillage était nécessaire, que c’était la seule solution possible, et que tout le monde se tenait derrière ce verrouillage, a rendu difficile pour les gens avec un point de vue différent, ainsi que les experts, d’exprimer une opinion différente.

Les opinions alternatives ont été ignorées ou ridiculisées. Nous n’avons pas vu de débats ouverts dans les médias, où des points de vue différents pourraient être exprimés.

Nous avons également été surpris par les nombreuses vidéos et articles de nombreux experts scientifiques et autorités, qui ont été et sont encore retirés des médias sociaux. Nous estimons que cela ne cadre pas avec un État constitutionnel libre et démocratique, d’autant plus qu’il mène à une vision tunnel. Cette politique a également un effet paralysant et nourrit la peur et l’inquiétude dans la société. Dans ce contexte, nous rejetons l’intention de censure des dissidents de l’Union européenne ! 43

La façon dont Covide-19 a été dépeinte par les politiciens et les médias n’a pas fait de bien non plus. Les termes de guerre étaient populaires et le langage belliqueux ne manquait pas. Il a souvent été question d’une « uerr » avec un « nnemi invisibl » qui doit être « é vaincu ». L’utilisation dans les médias de phrases telles que « héros de soins en première ligne » et « victimes de la couronne » a encore alimenté la peur, tout comme l’idée que nous sommes globalement aux prises avec un « virus tueur ».

Les bombardements incessants avec des nombres, qui ont été balancés sur la population jour après jour, heure après heure, sans interpréter ces nombres, sans les comparer à des décès par grippe dans d’autres années, sans les comparer à des décès d’autres causes, a induit une véritable psychose de la peur dans la population. Ce n’est pas de l’information, c’est de la manipulation.

Nous déplorons le rôle de l’OMS dans ce domaine, qui a demandé que l’infodémique (c’est-à-dire toutes les opinions divergentes du discours officiel, y compris par des experts ayant des points de vue différents) soit réduite au silence par une censure médiatique sans précédent43.

Nous appelons d’urgence les médias à prendre leurs responsabilités ici!

Nous exigeons un débat ouvert au cours duquel tous les experts sont entendus.

Droit d’urgence contre les droits de l’homme

Le principe général de bonne gouvernance exige que la proportionnalité des décisions gouvernementales soit évaluée à la lumière des normes juridiques plus élevées : toute ingérence du gouvernement doit respecter les droits fondamentaux tels que protégés par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). L’ingérence des pouvoirs publics n’est autorisée que dans les situations de crise. En d’autres termes, les décisions discrétionnaires doivent être proportionnées à une nécessité absolue.

Les mesures actuellement prises concernent l’ingérence dans l’exercice, entre autres, du droit au respect de la vie privée et familiale, de la liberté de pensée, de conscience et de religion, de la liberté d’expression et de liberté de réunion et d’association, du droit à l’éducation, etc., et doivent donc respecter les droits fondamentaux protégés par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH).

Par exemple, conformément à l’article 8, paragraphe 2, de la CEDH, l’atteinte au droit à la vie privée et familiale n’est autorisée que si les mesures sont nécessaires dans l’intérêt de la sécurité nationale, de la sécurité publique, du bien-être économique du pays, de la protection de l’ordre public et de la prévention des infractions pénales, de la protection de la santé ou de la protection des droits et libertés d’autrui. , le texte réglementaire sur lequel repose l’ingérence doit être suffisamment clair, prévisible et proportionné aux objectifs poursuivis45.

La pandémie prévue de millions de morts semblait répondre à ces conditions de crise, conduisant à la mise en place d’un gouvernement d’urgence. Maintenant que les faits objectifs montrent quelque chose de complètement différent, la condition de l’incapacité d’agir autrement (pas le temps d’évaluer en profondeur en cas d’urgence) n’est plus en place. Covide-19 n’est pas un virus du rhume, mais une affection bien traitable avec un taux de mortalité comparable à la grippe saisonnière. En d’autres termes, il n’y a plus d’obstacle insurmontable à la santé publique.

Il n’y a pas d’état d’urgence.

D’immenses dommages causés par les politiques actuelles

Une discussion ouverte sur les mesures de la couronne signifie qu’en plus des années de vie acquises par les patients atteints de corona, nous devons également tenir compte d’autres facteurs affectant la santé de l’ensemble de la population. Il s’agit notamment des dommages dans le domaine psychosocial (augmentation de la dépression, de l’anxiété, des suicides, de la violence intrafamiliale et de la maltraitance des enfants)16 et des dommages économiques.

Si nous prenons en compte ces dommages collatéraux, la politique actuelle est hors de toute proportion, l’utilisation proverbiale d’un marteau-piqueur pour casser un écrou.

Nous trouvons choquant que le gouvernement invoque la santé comme raison de la loi d’urgence.

En tant que médecins et professionnels de la santé, face à un virus qui, en termes de nocivité, de mortalité et de transmission, s’approche de la grippe saisonnière, nous ne pouvons que rejeter ces mesures extrêmement disproportionnées.

Nous exigeons donc la fin immédiate de toutes les mesures.

Nous remettons en question la légitimité des experts consultatifs actuels, qui se réunissent à huis clos.

Dans la foulée de l’ACU 2020 46  nous demandons un examen approfondi du rôle de l’OMS et de l’influence possible des conflits d’intérêts dans cette organisation. Elle était également au cœur de la lutte contre l’infodémique, c’est-à-dire la censure systématique de toutes les opinions dissidentes dans les médias. C’est inacceptable pour un État démocratique régi par l’État de droit. 43

(Avec l’aimable autorisation de Docs tor Open Debate)

via https://greatgameindia.com/belgium-who-investigation-coronavirus/



Références

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  2. standaard.be/preventie
  3. https://www.who.int/about/who-we-are/constitution
  4. https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/human-rights-and-health
  5. https://swprs.org/feiten-over-covid19/
  6. https://the-iceberg.net/
  7. https://www.creative-diagnostics.com/sars-cov-2-coronavirus-multiplex-rt-qpcr-kit-277854-457.htm
  8. President John Magufuli of Tanzania: “Even Papaya and Goats are Corona positive” https://www.youtube.com/watch?v=207HuOxltvI
  9. Open letter by biochemist Drs Mario Ortiz Martinez to the Dutch chamber https://www.gentechvrij.nl/2020/08/15/foute-interpretatie/
  10. Interview with Drs Mario Ortiz Martinez https://troo.tube/videos/watch/6ed900eb-7459-4a1b-93fd-b393069f4fcd?fbclid=IwAR1XrullC2qopJjgFxEgbSTBvh-4ZCuJa1VxkHTXEtYMEyGG3DsNwUdaatY
  11. https://infekt.ch/2020/04/sind-wir-tatsaechlich-im-blindflug/
  12. Lambrecht, B., Hammad, H. The immunology of the allergy epidemic and the hygiene hypothesis. Nat Immunol 18, 1076–1083 (2017). https://www.nature.com/articles/ni.3829
  13. Sharvan Sehrawat, Barry T. Rouse, Does the hygiene hypothesis apply to COVID-19 susceptibility?, Microbes and Infection, 2020, ISSN 1286-4579, https://doi.org/10.1016/j.micinf.2020.07.002
  14. https://www.cell.com/cell/fulltext/S0092-8674(20)30610-3?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS0092867420306103%3Fshowall%3Dtrue
  15. https://www.hpdetijd.nl/2020-08-11/9-manieren-om-corona-te-voorkomen/
  16. Feys, F., Brokken, S., & De Peuter, S. (2020, May 22). Risk-benefit and cost-utility analysis for COVID-19 lockdown in Belgium: the impact on mental health and wellbeing. https://psyarxiv.com/xczb3/
  17. Kompanje, 2020
  18. Conn, Hafdahl en Brown, 2009; Martinsen 2008; Yau, 2008
  19. https://brandbriefggz.nl/
  20. https://swprs.org/studies-on-covid-19-lethality/#overall-mortality
  21. https://www.xandernieuws.net/algemeen/groep-artsen-vs-komt-in-verzet-facebook-bant-hun-17-miljoen-keer-bekeken-video/
  22. https://www.petities.com/einde_corona_crises_overheid_sta_behandeling_van_covid-19_met_hcq_en_zink_toe
  23. https://zelfzorgcovid19.nl/statistieken-zwitserland-met-hcq-zonder-hcq-met-hcq-leveren-het-bewijs/
  24. https://www.cnbc.com/2020/06/08/asymptomatic-coronavirus-patients-arent-spreading-new-infections-who-says.html
  25. http://www.emro.who.int/health-topics/corona-virus/transmission-of-covid-19-by-asymptomatic-cases.html
  26. WHO https://www.marketwatch.com/story/who-we-did-not-say-that-cash-was-transmitting-coronavirus-2020-03-06
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  28. https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-germany-banknotes/banknotes-carry-no-particular-coronavirus-risk-german-disease-expert-idUSKBN20Y2ZT
  29. 29. Contradictory statements by our virologists https://www.youtube.com/watch?v=6K9xfmkMsvM
  30. https://www.hpdetijd.nl/2020-07-05/stop-met-anderhalve-meter-afstand-en-het-verplicht-dragen-van-mondkapjes/
  31. Security expert Tammy K. Herrema Clark https://youtu.be/TgDm_maAglM
  32. https://theplantstrongclub.org/2020/07/04/healthy-people-should-not-wear-face-masks-by-jim-meehan-md/
  33. https://www.technocracy.news/blaylock-face-masks-pose-serious-risks-to-the-healthy/
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  41. https://www.newsbreak.com/news/1572921830018/bill-gates-admits-700000-people-will-be-harmed-or-killed-by-his-covid-19-solution
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  49. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31324-6/fulltext
  50. There is no revival of the pandemic, but a so-called casedemic due to more testing.
    https://www.greenmedinfo.com/blog/crucial-viewing-understanding-covid-19-casedemic1
  51. https://docs4opendebate.be/wp-content/uploads/2020/09/white-paper-on-hcq-from-AFD.pdf




1) "En premier ne pas nuire"...?  
Mais que font en ce moment, aussi en France, les politiques ? 
Les médecins corrompus ? 
Les médias tout autant corrompus ?
Que veulent dire toutes ces mesures incohérentes ? 
Et, il est extrémement grave de s'attaquer aux enfants ! 
De s'attaquer à leur santé sous des prétextes plus politiques que dictés par la science !
Il est criminel d'amener au suicide des personnes fragilisées, et tout autant criminel de faire en sorte que les malades ne peuvent avoir les traitements qui peuvent couper court au SRAS-CoV-2 dans la plupart des cas !
Combien de morts pouvaient être évités en toute connaissance de la gravité de la situation quand l'épidémie était réellement une menace pour les personnes ayant particulièrement des problèmes cardio-respiratoires et autres. 
Combien suite à la peur générée ne sont pas allé se faire soigner ? 
Combien en sont morts ?





(Note de "La Vie Hospitalière")

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