"La Vie Hospitalière"

lundi 30 novembre 2020

Situation sanitaire du 30 Novembre 2020

 


2.222.488 personnes ont été ou sont contaminées par le SRAS-CoV-2, dont 162.281 sont guéries.

 406 décès comptabilisés ce jour ce qui donne un total de 52.731 morts.

Le taux de guérison est de 7,3 % (ce pourcentage est  très médiocre).

Afin de comparer le taux de guérison au niveau mondial  est de 69,14 %  !

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne, dont 50 personnes de la grippe  saisonnière.





Voir aussi : 








Halte à la maltraitance des enfants !





 NOS LIBERTES (chanté par Ingrid Courrèges)




















Faisons arrêter ces criminels !









Lorsque nous examinons les événements entourant la pandémie du SRAS-CoV-2, diverses questions demeurent sans réponse. Le 18 octobre 2019, quelques semaines seulement avant que ground zero ne soit déclaré à Wuhan, en Chine, deux événements majeurs ont eu lieu. L’un était « Événement 201 », l’autre les « Jeux mondiaux militaires », qui s’est tenue à Wuhan. Depuis lors, une pression mondiale pour les vaccins et le suivi biométrique a été lancée.


Bill Gates, qui a publiquement déclaré son intérêt à « réduire la croissance démographique » de 10 à 15 %, au moyen de la vaccination, est à l’avant-garde de cette question. Gates, l’UNICEF et l’OMS ont déjà été accusés de manière crédible d’avoir stérilisé intentionnellement des enfants kenyans grâce à l’utilisation d’un antigène HCG caché dans les vaccins contre le tétanos.

















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Monsieur le Président, Je ne vous autorise plus à vous occuper de Moi !

Par Jean-Paul Peltras, écrivain-journaliste




https://odysee.com/@Pluton-Nix:3/Monsieur-le-Président,-Je-ne-vous-autorise-plus-à-vous-occuper-de-Moi-!:a






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Vers la fin des médecins urgentistes ?

L'AMUF est scandalisée par le projet de loi "visant à améliorer le système de santé" en cours de discussion au Parlement et ses conséquences sur le métier de médecin en France à moyen et long terme



(Photo "La Vie Hospitalière")


L’ensemble des urgentistes se consacre à essayer de contrer la crise sanitaire de la Covid 19 en compensant notamment les carences de l'hôpital public dénoncées depuis plus d'un an. En guise de reconnaissance, le gouvernement est en train de casser la profession de médecin avec la création du métier d’infirmiers en pratique avancée (IPA). 

Cette évolution devait être réservée aux pratiques de suivi et de malade chronique mais désormais les IPA vont pouvoir faire du diagnostic soin et traitement aux urgences, SMUR et au SAMU. Au lieu de s'attaquer aux causes du désamour de nos collègues pour les métiers de permanence de soins et pour l'hôpital public en repensant notamment les conclusions du Ségur, le gouvernement répond aux problèmes de sous-effectif médical chez les urgentistes avec la création d’une profession médicale intermédiaire.


Il s'agit d’une dérive de projets qui visaient initialement à élever la qualification des infirmières dans la prise en charge notamment des maladies chroniques.

 

Le Ministre de la Santé avait pourtant bien indiqué que pendant la crise les négociations sociales étaient "mises entre parenthèses". De fait c'était faux. La création de ces infirmiers pour les soins aigus aux urgences est une américanisation de notre système de santé. Il s'agit en réalité de mettre en place un système visant à pallier le manque de médecins par un nouveau corps de qualification intermédiaire pour une offre de soins également de niveau "intermédiaire".

 

Le but est donc d’en finir avec la médicalisation des urgences et pour les directeurs d’avoir un personnel moins coûteux car les IPA coûteront moins cher que les urgentistes


Nous exigeons la présence de médecins urgentistes dans les SMUR, les SAMU et les services d'urgence dans un souci d'égalité d'accès aux soins. Qu'est-ce que cette époque qui invente une médecine low-cost, une ubérisation du soin oubliant toute l’importance de la relation médecin-malade ?

 

Il ne s’agit pas de s’en prendre aux personnes notamment des IPA mais aux principes afin de défendre notamment un nombre suffisant de médecins formés en France chaque année.

 

Nous demandons que la concertation se fasse avec les professionnels et le Conseil de l'ordre des médecins. Nous demandons un rendez-vous au Ministre de la Santé et nous avons interpellé le Premier Ministre par courrier afin de protester, car le monde d'après la crise du COVID-19 ne doit pas être pire que le monde d'avant.

 

La médecine d'urgence trouve difficilement sa place dans le paysage hospitalier que cela soit dans l'hôpital, dans les régions ou nationalement. Le tout est sous-tendu par un mépris, au mieux, latent. Les IPA aux urgences, telles que prévues, ne fera qu'aggraver ce mépris source de jouissances pour beaucoup et ainsi l’Hôpital continuera à être en tête de la lutte des classes entre les personnels et entre les spécialistes.

 


Source : www.amuf.fr






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Ça suffit il y en a marre que des incapables !

Par le Docteur Jean-Marc Majeau




https://m.facebook.com/100018439991090/posts/714030049221655/












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Pr Toussaint - "Notre étude montre que le confinement n'a aucun impact sur la mortalité"

Le professeur Jean-François Toussaint, directeur de physiologie à l'université Paris-Descartes et directeur de l'Irmes, est face à André Bercoff dans "Bercoff dans tous ses états" pour révéler les grands traits d'une étude menée avec des chercheurs et médecins de l'Irmes, du CNRS, de l'AP-HP et autres











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AstraZeneca : manque de rigueur des essais de vaccins

AstraZeneca et Oxford « obtiennent une mauvaise note pour la transparence et la rigueur des résultats des essais de vaccins qu'ils ont publiés », a déclaré Natalie Dean, biostatisticienne à l'Université de Floride


 



L'annonce cette semaine qu'un vaccin bon marché et facile à fabriquer contre les coronavirus semblait efficace à 90 % a été accueillie avec jubilation. "Faites-vous vacciner", a déclaré un tabloïde britannique, en soulignant que le vaccin, développé par AstraZeneca et l'Université d'Oxford, coûte moins cher qu'une tasse de café.


Mais depuis qu'il a dévoilé les résultats préliminaires, AstraZeneca a reconnu une erreur majeure dans le dosage du vaccin reçu par certains participants à l'étude, ce qui ajoute aux questions de savoir si l'efficacité apparemment spectaculaire du vaccin tiendra la route lors de tests supplémentaires.


Les scientifiques et les experts de l'industrie ont déclaré que cette erreur et une série d'autres irrégularités et omissions dans la manière dont AstraZeneca a initialement divulgué les données ont entamé leur confiance dans la fiabilité des résultats.


Les fonctionnaires américains ont noté que les résultats n'étaient pas clairs. C'est le chef de l'initiative fédérale phare en matière de vaccins - et non la société - qui a révélé en premier lieu que les résultats les plus prometteurs du vaccin ne reflétaient pas les données des personnes âgées.


Le résultat, selon les experts, est que les chances de voir les autorités réglementaires aux États-Unis et ailleurs autoriser rapidement l'utilisation d'urgence du vaccin AstraZeneca diminuent, ce qui constitue un revers inattendu dans la campagne mondiale visant à enrayer la pandémie dévastatrice.


"Je pense qu'ils ont vraiment porté atteinte à la confiance dans l'ensemble de leur programme de développement", a déclaré Geoffrey Porges, analyste de la banque d'investissement SVB Leerink.


Michele Meixell, porte-parole d'AstraZeneca, a déclaré que les essais "ont été menés selon les normes les plus élevées".


Dans une interview accordée mercredi, Menelas Pangalos, le dirigeant d'AstraZeneca en charge d'une grande partie de la recherche et du développement de la société, a défendu la façon dont la société a géré les essais et les divulgations publiques. Il a déclaré que l'erreur de dosage avait été commise par un entrepreneur et que, dès qu'elle a été découverte, les autorités de réglementation ont été immédiatement informées et ont approuvé le projet de poursuivre les essais du vaccin avec des doses différentes.


Lorsqu'on lui a demandé pourquoi AstraZeneca avait communiqué certaines informations aux analystes de Wall Street et à certains autres fonctionnaires et experts, mais pas au public, il a répondu : "Je pense que la meilleure façon de rendre compte des résultats est de les publier dans une revue scientifique à comité de lecture, et non dans un journal".


AstraZeneca a été la troisième société ce mois-ci à faire état de résultats préliminaires encourageants sur un candidat vaccin contre le coronavirus. À première vue, lundi matin, les résultats semblaient prometteurs. Selon la concentration à laquelle les doses ont été administrées, le vaccin semblait être efficace à 90 ou 62 pour cent. L'efficacité moyenne, selon les développeurs, était de 70 %.


Presque immédiatement, cependant, des doutes ont été émis sur les données.


Le régime qui semblait être efficace à 90% était basé sur le fait que les participants recevaient une demi-dose de vaccin suivie un mois plus tard d'une dose complète ; la version moins efficace impliquait une paire de doses complètes. AstraZeneca a révélé dans son annonce initiale que moins de 2 800 participants ont reçu le schéma posologique réduit, contre près de 8 900 participants qui ont reçu deux doses complètes.


Les principales questions étaient les suivantes : pourquoi l'efficacité du vaccin variait-elle autant selon les doses et pourquoi une dose plus faible semblait-elle donner de bien meilleurs résultats ? Les chercheurs d'AstraZeneca et d'Oxford ont déclaré qu'ils ne le savaient pas.


Des informations cruciales manquaient également. La société a déclaré que l'analyse initiale était basée sur 131 cas symptomatiques de Covid-19 qui étaient apparus chez les participants à l'étude. Mais elle n'a pas ventilé le nombre de cas trouvés dans chaque groupe de participants - ceux qui ont reçu la dose initiale à demi-force, la dose initiale à force normale et le placebo.

Briefing sur les coronavirus : Un guide éclairé sur l'épidémie mondiale, avec les derniers développements et les conseils d'experts.

"Le communiqué de presse a soulevé plus de questions qu'il n'a apporté de réponses", a déclaré John Moore, professeur de microbiologie et d'immunologie au Weill Cornell Medical College.

Le vaccin d'AstraZeneca, qui a été développé avec l'université d'Oxford, utilise une approche impliquant un virus de chimpanzé pour provoquer une réponse immunitaire au coronavirus.

Pour ajouter à la confusion, AstraZeneca a mis en commun les résultats de deux essais cliniques conçus différemment en Grande-Bretagne et au Brésil, ce qui constitue une rupture par rapport aux pratiques habituelles de communication des résultats des essais de médicaments et de vaccins.

"Je n'arrive pas à comprendre d'où viennent toutes les informations et comment elles se combinent entre elles", a déclaré Natalie Dean, biostatisticienne et experte en conception d'essais de vaccins à l'université de Floride. Elle a écrit sur Twitter qu'AstraZeneca et Oxford "obtiennent une mauvaise note pour la transparence et la rigueur lorsqu'il s'agit des résultats des essais de vaccins qu'ils ont communiqués".


Les actions d'AstraZeneca ayant chuté lundi, les dirigeants de la société ont tenu plusieurs conférences téléphoniques privées avec des analystes du secteur, au cours desquelles ils ont divulgué des détails qui ne figuraient pas dans l'annonce publique, notamment la répartition des cas de Covid-19 entre différents groupes. De telles divulgations aux analystes ne sont pas rares dans l'industrie, mais elles suscitent souvent des critiques sur les raisons pour lesquelles les détails n'ont pas été communiqués au public.


Des problèmes plus importants sont rapidement apparus.


Mr Pangalos a déclaré à Reuters lundi que la société n'avait pas prévu qu'un participant reçoive la demi-dose. Les chercheurs britanniques qui y mènent l'essai avaient prévu de donner la dose complète au départ à des volontaires, mais une erreur de calcul a fait qu'ils n'ont reçu par erreur qu'une demi-dose. M. Pangalos a qualifié l'erreur de "hasard", permettant aux chercheurs de tomber sur un schéma de dosage plus prometteur.

Pour de nombreux experts extérieurs, cela a entamé la crédibilité des résultats car les essais cliniques étroitement calibrés n'avaient pas été conçus pour tester l'efficacité d'une demi-dose initiale.


L'annonce initiale de la société n'a pas mentionné le caractère accidentel de la découverte.


"La réalité est que cela pourrait s'avérer être une erreur très utile", a déclaré M. Pangalos dans l'interview accordée mercredi au New York Times. "Cela ne mettait personne en danger. C'était une erreur de dosage. Tout le monde allait très vite. Nous avons corrigé l'erreur et poursuivi l'étude, sans la modifier, et nous avons convenu avec le régulateur d'inclure également ces patients dans l'analyse de l'étude".

Il a ajouté : "Qu'y a-t-il à divulguer ? En fait, peu importe que cela ait été fait exprès ou non".

Dans la déclaration attribuée à Oxford, Mme Meixell, porte-parole d'AstraZeneca, a déclaré que l'erreur provenait d'un problème, qui a depuis été résolu, concernant la manière dont certaines des doses de vaccin ont été fabriquées.

Puis, mardi, Moncef Slaoui, le chef de l'opération Warp Speed, l'initiative américaine visant à accélérer les vaccins contre les coronavirus, a noté une autre limite dans les données d'AstraZeneca. Lors d'un appel aux journalistes, il a laissé entendre que les participants qui avaient reçu la dose initiale de demi-force avaient 55 ans ou moins.


Pangalos a confirmé cela mercredi, en disant que les participants avaient reçu la dose réduite de moitié en quelques semaines avant que l'erreur ne soit découverte.


Le fait que la dose initiale de demi-force n'ait pas été testée chez les participants plus âgés, qui sont particulièrement vulnérables au Covid-19, pourrait saper le plaidoyer d'AstraZeneca auprès des autorités de réglementation pour que le vaccin soit autorisé en cas d'urgence.


Stephanie Caccomo, porte-parole de la Food and Drug Administration, a refusé de se prononcer sur la question de savoir si l'erreur de dosage nuirait aux chances du vaccin d'être autorisé. La F.D.A. a déclaré qu'elle s'attendait à ce que les vaccins soient au moins 50 % efficaces pour prévenir ou réduire la gravité de la maladie, une barre que le vaccin semble avoir franchie même dans le groupe qui a reçu les deux doses complètes.


Les actions d'AstraZeneca ont chuté d'environ 5 % cette semaine, tandis que les indices boursiers plus larges ont atteint des sommets. Les investisseurs semblent être déçus par ces résultats sombres, surtout si on les compare aux données beaucoup plus claires publiées par deux des principaux rivaux d'AstraZeneca dans la course au vaccin contre les coronavirus.


Pfizer et Moderna ont déclaré ce mois-ci que leurs vaccins, qui utilisent une technologie connue sous le nom d'"ARN messager", semblent être efficaces à environ 95 %. Les deux offres semblent presque sûres d'obtenir l'autorisation d'urgence de la F.D.A. dans les semaines à venir.


Le vaccin d'AstraZeneca, qui utilise une approche différente impliquant un virus de chimpanzé pour provoquer une réponse immunitaire au coronavirus, a toutes les caractéristiques d'un blockbuster.


Il était peu coûteux - seulement quelques dollars par dose - et facile à produire en masse.


Contrairement aux vaccins de Pfizer et de Moderna, celui d'AstraZeneca pouvait être conservé pendant des mois dans des réfrigérateurs normaux. La société a estimé qu'elle sera en mesure de produire quelques trois milliards de doses l'année prochaine, soit suffisamment pour vacciner près d'un cinquième de la population mondiale.

Comparé à la plupart des autres grands développeurs de vaccins Covid-19, AstraZeneca est inexpérimenté en matière de vaccins. Et même avant la publication chaotique des résultats, la société faisait l'objet d'un examen minutieux pour sa gestion du processus de test.

 

En septembre, AstraZeneca a interrompu les essais cliniques dans le monde entier après qu'un participant soit tombé malade - mais la société n'a pas annoncé publiquement cette décision dans les plus brefs délais. AstraZeneca a également été critiquée pour avoir fourni des détails sur la nature de la maladie lors d'une conférence téléphonique privée avec des investisseurs organisée par la banque d'investissement J.P. Morgan, plutôt que de diffuser l'information au public. Ces deux faits ont été signalés pour la première fois par la STAT, qui couvre l'actualité sanitaire et scientifique.


Depuis que l'équipe Oxford-AstraZeneca s'est imposée dans la course à la mise au point d'un vaccin au printemps dernier, le Premier ministre britannique Boris Johnson s'est rallié à cet effort. Le gouvernement a pré-commandé 100 millions de doses et a fait de cette recherche l'une des plus importantes contributions du pays à la lutte contre la pandémie.


En se réjouissant des résultats obtenus lundi, M. Johnson a déclaré que le vaccin "a les caractéristiques d'une merveilleuse réalisation scientifique britannique".

Aux États-Unis, qui ont commandé au moins 300 millions de doses du vaccin d'AstraZeneca, la voie réglementaire à suivre n'est pas claire. AstraZeneca s'est montré circonspect lundi quant à ses plans pour obtenir l'approbation réglementaire. La société a déclaré qu'elle demanderait à la Food and Drug Administration si elle devait officiellement soumettre ses conclusions pour demander une autorisation d'urgence.

AstraZeneca n'a pas testé la dose initiale prometteuse de demi-force dans son essai en cours aux États-Unis. La société a déclaré qu'elle travaillerait avec l'agence pour l'ajouter le plus rapidement possible à cet essai.


Pangalos a déclaré que la société prévoit un essai mondial pour comparer les deux schémas de dosage. Le nombre de participants n'a pas encore été déterminé, mais il se comptera en milliers.

"La seule façon de le savoir est de tester spécifiquement et délibérément cette observation fortuite", a déclaré le professeur Moore. "Il leur incombe de prouver la spéculation."

Par Rebecca Robbins et Benjamin Mueller  




Rebecca Robbins a rejoint le Times en 2020 en tant que journaliste économique, spécialisée dans la couverture des vaccins Covid-19. Elle fait des reportages sur la santé et la médecine depuis 2015. @RebeccaDRobbins

Benjamin Mueller est un correspondant au Royaume-Uni du New York Times. Avant cela, il était journaliste de police et de maintien de l'ordre au bureau du Metro depuis 2014. @benjmueller





Source : cielvoile.fr

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dimanche 29 novembre 2020

Situation sanitaire du 29 Novembre 2020


2.218.483 personnes ont été ou sont contaminées par le SRAS-CoV-2, dont 161.427 sont guéries.

198 décès comptabilisés ce jour ce qui donne un total de 52.325 morts.

Le taux de guérison est de 7,28 % (ce pourcentage est  très médiocre).

Afin de comparer le taux de guérison au niveau mondial  est de 69,04 %  !

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne, dont 50 personnes de la grippe  saisonnière.






Voir aussi : 








Halte à la maltraitance des enfants !





 NOS LIBERTES (chanté par Ingrid Courrèges)




















Faisons arrêter ces criminels !









Lorsque nous examinons les événements entourant la pandémie du SRAS-CoV-2, diverses questions demeurent sans réponse. Le 18 octobre 2019, quelques semaines seulement avant que ground zero ne soit déclaré à Wuhan, en Chine, deux événements majeurs ont eu lieu. L’un était « Événement 201 », l’autre les « Jeux mondiaux militaires », qui s’est tenue à Wuhan. Depuis lors, une pression mondiale pour les vaccins et le suivi biométrique a été lancée.


Bill Gates, qui a publiquement déclaré son intérêt à « réduire la croissance démographique » de 10 à 15 %, au moyen de la vaccination, est à l’avant-garde de cette question. Gates, l’UNICEF et l’OMS ont déjà été accusés de manière crédible d’avoir stérilisé intentionnellement des enfants kenyans grâce à l’utilisation d’un antigène HCG caché dans les vaccins contre le tétanos.

















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Covid19 et carence en Vitamine D

Une plaidoirie de Maître Di Vizio qui dit bien des vérités




https://twitter.com/i/status/1332681715492544513








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« Hold-Up », une œuvre de sédition

Terrifiés à l’idée de perdre le monopole du récit de la pandémie de Covid-19, le pouvoir et ses organes de propagande ont violemment réagi à la sortie du documentaire polémique « Hold-Up ». Quelques heures après sa mise en ligne sur Internet, les actes de censure sur les plateformes de diffusion et les articles à charge se sont multipliés, trahissant un sentiment de panique des autorités. Et si c’était leur monde qui s’écroulait ?




« Quand le pouvoir économise l’usage de ses armes, c’est au langage qu’il confie le soin de garder l’ordre opprimant » écrivait Mustapha Kayhati en 1966, dans le dixième numéro de la revue « Internationale Situationniste ». Cinquante-quatre ans plus tard, en écho à l’ordre policier mis en place depuis le printemps au nom d’une épidémie virale, les médias menottent le langage. Comment garder le contrôle narratif d’un évènement qu’ils ne comprennent pas ? Simple : à coups de mot-valise (« deuxième vague », « rassuriste », « antivax »…) moulinés jusqu’à l’écœurement. Des mots de pure novlangue, absents de la littérature scientifique rigoureuse, dont ils assurent sur tous les supports, la viralité.


Ce 11 Novembre, date de sortie du documentaire de Pierre Barnérias, les moutons de l’intelligentsia n’en avaient choisi qu’un seul : conspirationnisme (ou théorie du complot). Un mot répété en boucle, sur tous les tons, dont ils n’ignoraient pas la charge symbolique. 

Dans l’imaginaire collectif de la société moderne, le conspirationnisme est en effet associé aux « Protocoles des Sages de Sion », ce faux document qui a servi d’alibi, entre autres, aux délires antisémites des nazis. Il n’a d’ailleurs pas fallu longtemps pour qu’un journaliste crache le morceau en faisant l’amalgame. 

Ce fut Jean-Luc Mano, ressorti des cartons pour l’occasion, qui lâcha l’insulte suprême. En quelques heures, le point Godwin était atteint. Tout le reste fut à l’avenant. Jouant les arbitres des élégances, d’obscurs spécialistes du « complotisme » vinrent livrer leurs avis péremptoires sur les plateaux ou dans les colonnes des journaux. Reconvertis en commissaires politiques, les instances politico-médiatiques avaient déjà oublié la liberté d’expression qu’elles célébraient quelques jours avant. Comme quoi, le naturel revient vite au galop.


Le premier visionnage de « Hold Up » éclaire aisément leur dégoupillage. Pulvérisant le storytelling officiel, le documentaire dresse un constat implacable des mensonges, contradictions et scandales qui ont émaillé l’épisode pandémique depuis le mois de mars : l’interdiction de l’hydroxychloroquine sur la base d’une étude mondiale frauduleuse, la promotion du Remdesivir (nouvelle molécule coûteuse, inefficace et néphrotoxique) portée par un efficace lobbying du laboratoire Gilead et de médecins médiatiques, le décret ministériel autorisant l’injection de Rivotril, la politique incohérente et inefficace de testing, le sketch des masques (inutiles… puis obligatoires), la remise en cause de la liberté de prescription des médecins généralistes et les pressions subies pour rester dans la ligne du parti…


Loin du catéchisme officiel, les intervenants interrogés (médecins, soignants, chercheurs, sociologues, politiques, experts…) offrent un regard critique sur la conduite de crise et réinjectent un point de vue hétérodoxe dans un débat scientifique soigneusement cadenassé depuis le début de l’épidémie. Les mesures coercitives, appliquées sous contrôle policier (confinement, couvre-feu, masques obligatoires…), trop souvent présentées comme des évidences sont ramenées ici à ce qu’elles sont véritablement : des arbitrages expérimentaux et aventureux, sans grande justification scientifique, à l’efficacité contestable et aux effets négatifs (économiques, sanitaires, psychologiques) jamais évalués et potentiellement colossaux.


« Hold-Up » identifie un point de bascule dans le déroulé du récit médiatique : l’affaire du Lancet sur laquelle la presse française s’est fracassée. Obsédée par la figure du Professeur Raoult, microbiologiste réputé mondialement qu’elle s’est acharnée à délégitimer tout au long de l’épidémie, elle a médiatisé à outrance, au mépris de toute prudence déontologique et de toute analyse sérieuse des faits, une étude scientifique contre l’hydroxychloroquine qui s’est avérée intégralement falsifiée. 

Comme l’affirmait le fameux aphorisme debordien : « Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux ». En confondant journalisme et règlement de comptes, en mêlant dangereusement faits scientifiques et dogmes idéologiques, la presse s’est fourvoyée dans un scandale planétaire et ses officines de fact-checking furent prises au piège de leur propre désinformation. Morale de ce naufrage historique : on ne remplace pas le journalisme de qualité par le Ministère de la Vérité.


Pour saisir le fonctionnement de la machine médiatique, « Hold-Up » s’attache à souligner le rôle crucial de son cœur nucléaire : l’AFP (Agence France Presse). Le 3 juin, lorsque le Lancet publie un « Expression of Concerns » à propos de cette étude dont l’intégrité scientifique semble désespérément battre de l’aile, l’AFP ne trouve rien de mieux que de tweeter un publi-reportage faisant la promotion du Remdesivir. 

Après l’incompétence journalistique authentifiée, la corruption ? Il faut dire que le système d’information en France ressemble à un étrange mélange entre la mafia soviétique et une coulisse de transmission des puissances d’argent. Et l’épidémie du virus SARS-COV-2 fut l’occasion de l’admirer dans sa splendeur réalisée. 

Le matériau : une pensée unique matraquée en mode endoctrinement, ne relayant rien d’autre que le point de vue du pouvoir et des laboratoires pharmaceutiques. Le matériel : de jeunes journalistes aux dents longues, branchés et opportunistes, ultra-actifs sur les réseaux sociaux copinant sans gêne avec leurs alter-ego du monde scientifique, réunis sous la bannière des « NoFakeMed » (la plupart de ses membres n’étant même pas médecins). Selon la formule consacrée : qui se ressemble s’assemble. L’uniformité sociologique et idéologique des médias n’est pas la moindre explication dans son incapacité à comprendre les phénomènes sociaux. On vit ainsi France Culture convoquer un doctorant pour faire l’apologie de l’étude foireuse du Lancet, lequel s’illustrera quelques mois plus tard en publiant une méta-analyse bidon sur le même sujet. Un journalisme de complaisance, arrogant et médiocre, mais façon hipster.


Dans « The Big Short », beau film sur la crise financière de 2007, l’un des héros réalise l’imminence du krach immobilier américain en se confrontant violemment au réel : il rencontre une strip-teaseuse qui accumule avec nonchalance les crédits puis fait du porte-à-porte auprès de ménages endettés qui avouent ne plus arriver à rembourser leurs échéances. La planète finance, des traders aux agences de notation, sûre de ses modèles mathématiques, ne voit rien arriver. On connait la suite : l’effondrement. La médecine, comme l’économie, est victime d’une maladie très contemporaine : sa mathématisation. 

Quand Didier Raoult, interrogé à l’Assemblée Nationale, critique vertement les méthodologistes, son discours est inaudible à l’heure du tout-virtuel, des algorithmes et des modélisations. Il est pourtant fondamental puisqu’il rappelle que la médecine, contrairement aux mathématiques, n’étudie pas des objets abstraits mais du vivant. 

En cela, une étude observationnelle bien menée vaut bien mieux qu’une étude randomisée mal dessinée. Ainsi, lorsque le journaliste scientifique de France Culture, Nicolas Martin, affirme que « la randomisation est la seule méthode qu’on connaisse qui permette d’attester l’efficacité d’une molécule », il confond utilité et vérité. Mathématiser une science du vivant selon des concepts mal définis ne rapproche pas de la vérité scientifique. Ou pour le dire plus trivialement : repeindre en rouge sa Renault Twingo n’en fait pas une Ferrari Testarossa.


Cette faillite de la pensée critique au sein des élites (politiques, journalistes, experts…) a parfaitement été étudiée par l’historien et démographe Emmanuel Todd sous le prisme du système éducatif contemporain qui conduit à « une suraccumulation de conformisme et de crétinisme par obéissance aux consignes reçues depuis la petite enfance ». 

D’où la production d’une pensée unique, recouvert du vernis de « progressisme » dont ces élites n’interrogent ni les enjeux ni les implications. A ce stade, il est probablement utile de convoquer l’enseignement que nous prodiguait George Orwell au siècle dernier : « L’homme a besoin de chaleur, de vie sociale, de loisirs, de confort et de sécurité : il a aussi besoin de solitude, de travail créatif et du sens du merveilleux. S’il en prenait conscience, il pourrait utiliser avec discernement les produits de la science et de l’industrie, en leur appliquant à tous le même critère : cela me rend-il plus humain ou moins humain ? ».


Ce questionnement essentiel est précisément au cœur de « Hold-Up » qui n’hésite pas à opposer à la logique capitaliste des grands laboratoires pharmaceutiques une vision humaine et éthique de la santé. Comme l’explique Astrid Stuckelberger en ouverture du documentaire : « La politique sanitaire peut-être gouvernée par la logique de la maladie ou par la logique de la santé ». Le philosophe Ivan Illitch avait déjà averti que « l’entreprise médicale menaçait la santé » dans un ouvrage majeur paru en 1975 : « Némesis médicale ». 

Aujourd’hui, la situation est bien pire qu’à son époque. « Hold Up » s’attarde ainsi longuement sur la puissance de plus en plus considérable des Big Pharma, ces labos qui peuvent amasser des milliards de dollars par simples variations de cours de bourse et qui n’hésitent pas à pratiquer une intense activité de lobbying pour vendre à tout prix leurs nouvelles molécules. Le dévoiement d’une organisation internationale comme l’OMS est aussi abordée sous l’angle de ses fonds privés (comme ceux de la fondation Bill & Melinda Gates) qui ont acquis un poids énorme en son sein et influencent, de fait, les recommandations internationales sur les politiques de santé. Les intérêts personnels de Bill Gates et la priorité absolue qu’il donne à la politique de vaccination dans le monde entier avec tous les effets collatéraux que cela peut provoquer, sont ainsi sévèrement questionnés.


Et puisque la simple mention de l’influence de Bill Gates semble déclencher l’alarme incendie dans le cerveau des anti-complotistes de salon, il n’est pas étonnant qu’ils aient littéralement fondu les circuits lorsque furent abordés dans le documentaire le sujet brûlant du « Great Reset », le plan de déploiement de la 5G ou la recherche sur les nanoparticules. On imagine comment aurait été reçu aujourd’hui un essai comme « The Shock Doctrine » de Naomi Klein qui analysait en 2007 le lien entre les « désastres » (catastrophes naturelles, attentats…) et les violentes politiques néo-libérales qui en découlaient. 

Peut-être imaginent-ils encore qu’au forum de Davos, on chante l’Internationale ? Quelles que soient les maladresses de cette fin de documentaire, les procès d’intention envers son auteur ne pourront dissimuler longtemps son vrai projet, bien éloigné du complot : celui de décrire un monde qui se déshumanise à petit feu. Un constat qui rejoint celui de Michel Houellebecq qu’il exprimait déjà lors du premier confinement, lorsque les ravis de la crèche nous vendaient un idyllique « monde d’après » : « Le coronavirus, au contraire, devrait avoir pour principal résultat d’accélérer certai­nes muta­tions en cours. Depuis pas mal d’années, l’ensemble des évolutions technologiques, qu’elles soient mineures (la vidéo à la demande, le paiement sans contact) ou majeures (le télétravail, les achats par Internet, les réseaux sociaux) ont eu pour principale conséquence (pour principal objectif ?) de dimi­nuer les contacts matériels, et surtout humains. L’épidémie de coronavirus offre une magni­fique raison d’être à cette tendance lourde : une certaine obsolescence qui semble frapper les relations humaines ».


N’en déplaise à ses détracteurs dont le gonflement des chevilles semble inversement proportionnel à celui de leur courage, le documentaire de Pierre Barnérias restera le premier qui aura eu l’audace d’affronter, seul contre tous, l’absurdité totalitaire qui se déploie sans résistance depuis mars 2020. L’Histoire se chargera de faire les comptes. 

Dans « La Société du Spectacle », son chef-d’œuvre de 1967, le stratège Guy Debord écrivait : « La critique qui atteint la vérité du spectacle le découvre comme la négation visible de la vie ; comme une négation de la vie qui est devenue visible ». Négation de la vie comme ce délire sadique de masquer 8 heures par jour des enfants de 6 ans pour masquer sa propre aliénation. Négation de la vie comme ces mesures autoritaires dignes d’un pays en guerre relevant davantage de la croyance religieuse que des bases élémentaires de la médecine. Face à ce « déferlement totalitaire de khmers blancs qui nous emmènent vers un monde invivable » comme le dénonçait récemment le Dr. Fouché, « Hold-Up » devient soudain une œuvre à la puissance séditieuse que la panique des autorités ne fait que trahir. Et si la peur changeait de camp ? 

Car nous étions nombreux à penser les simples mots que cette aide-soignante prononça un matin sur RMC, face à une Apolline de Malherbe éberluée : "Je n’ai plus envie d’obéir".

Article de Swank

Citoyen éclairé et non-aligné





Source : francesoir.fr

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