"La Vie Hospitalière"

mardi 23 juin 2020

Coronavirus : pourquoi il faut “surveiller de très près” la Nouvelle Zélande ?


Dans une vidéo publiée le 16 juin 2020, le professeur Didier Raoult émet une hypothèse sur la suite de la pandémie du Covid-19

Le covid-19 reviendra-t-il cet hiver, en France ?

L'hiver en Nouvelle-Zélande sera probablement un révélateur.


Didier Raoult revient sur les résultats du suivi de patients atteints du Covid-19 avant de déclarer que "personne n'est capable de prédire l'avenir"...
Toutefois il sera judicieux de surveiller  la Nouvelle-Zélande, car ce pays entre dans sa saison hivernale compte tenu qu'il se situe dans l'hémisphère sud, et possède des conditions climatiques qui sont assez proches de celles de la France, ainsi s'il y a une épidémie en Nouvelle-Zélande, on peut éventuellement penser qu'il y aura le même type d'épidémie l'hiver prochain en France (1).
"C'est comme ça que ça se passe pour la plupart des infections respiratoires"  explique le Professeur Didier Raoult.

La Nouvelle-Zélande  compte (au 23 juin) 1.515 cas confirmés de Covid-19 et a 22 décès. Le pays a fait état de deux nouveaux cas le 16 juin dernier selon les autorités sanitaires, qui sont deux femmes originaires de l'Écosse et venues rendre visite à un proche en fin de vie. Ces deux personnes avaient été dispensées de quatorzaine en raison du motif de leur venue, leur proche étant mourante.
Pour conclure compte tenu des excellents résultats de la Nouvelle Zélande,  nous tenons à rappeler l'article : " L'hydroxychloraquine classée "thérapie la plus efficace" par les médecins pour le coronavirus : enquête mondiale",  ce dernier date du 29 avril et est toujours d'actualité !





1) Le 20 avril, la Première ministre, Jacinda Ardern, s'était félicitée de la politique de son gouvernement, alors que 1.461 cas avaient été détectés, et 18 décès enregistrés. Les patients ont été traités à l'hydroxycloroquine notamment, comme c'est étrange...
Deux mois après ce ne sont que 54 cas de personnes contaminées et 4 décès qui ont été relevés (données du 23 juin 2020) soit un taux de létalité de 1,45 %, alors que la France à ce jour a un taux de létalité de 18,42 % ce qui est considérable et comme l'a dit le Professeur Christian Perronne : 25.000 morts auraient pu être évités. D'autant que dans la réalité il faut compter près de 40.000 morts en France les décès à domicile n'étant toujours pas répertoriés.






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