Le 26 mars, un décret (1) publié au Journal officiel autorisait les médecins hospitaliers à prescrire de l'hydrochloroquine aux patients, le 27 mars, le gouvernement a fait marche arrière en modifiant ce décret...
Tout se passe encore avec en toile de fond probablement certaines pressions...
Comment l'expliquer autrement ?
La vie des malades ne compte donc pas vraiment ?
Comment l'expliquer autrement ?
La vie des malades ne compte donc pas vraiment ?
D'après ce que nous savons le traitement doit être prescrit au tout premier temps de la contamination et au plus tard avant, bien évidemment, l'entrée du patient en soins intensifs où là ce sont surtout les complications qu'il faut traiter et non plus le COVID-19.
Le traitement fait chuter la charge virale, c'est à dire que le coronavinus ne duplique plus et disparaît par la force des choses.
Est-ce si compliqué que ça à comprendre ?
Depuis que le Professeur Didier Raoult l'a dit et répété maintes fois, que penser vraiment ?
Depuis que le Professeur Didier Raoult l'a dit et répété maintes fois, que penser vraiment ?
L'heure est grave et les décisions gouvernementales sont loin d'être à la hauteur de la catastrophe sanitaire à venir qui elle n'attendra pas deux mois...
Si l'on comprend bien les nouvelles dispositions du décret il autorise seulement le traitement qu'aux personnes en grave détresse, c'est à dire quand elles sont dans un service de réanimation.
Le gros problème, et il faut le répéter encore et encore, le traitement ne peut plus avoir d'effet réel concernant la charge virale car il est déjà trop tard le coronavirus a presque gagné la partie, à l'heure où il n'y a pratiquement plus de lits de réanimation en Île-de-France (par exemple) la décision prise est incompréhensible, et très grave de conséquences, nous serions même tentés de penser qu'elle est irresponsable.
Pour ne pas conclure.
1) Décret n°2020-314 du 25 mars 2020, présenté comme « complétant le décret n°2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ». Ce même décret interdit l’exportation des spécialités contenant l’association de l’hydroxychloroquine.
1) Décret n°2020-314 du 25 mars 2020, présenté comme « complétant le décret n°2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ». Ce même décret interdit l’exportation des spécialités contenant l’association de l’hydroxychloroquine.
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