Un lecteur m’a interpelé aimablement au sujet de l’article que j’avais publié le 16 mars dernier intitulé « Covid-19 : fin de partie ?! » Reprenant les résultats que le Pr Didier Raoult venait d’annoncer, faisant état d’une forte réduction de la charge virale observée suite à la prescription conjointe d’hydroxychloroquine et d’azithromycine sur un petit groupe de patients atteints du Covid, j’y exprimais mon espoir que cette épidémie puisse être gérée sans grands dommages
On savait en effet déjà que le Sars-CoV-2 étaient bien moins létal qu’annoncé, que l’infection qu’il provoquait était bénigne pour l’immense majorité des gens et que les catégories à risque (grand âge et maladies chroniques) avaient été identifiées. Et dès lors que l’on disposait du moyen de les traiter précocement et de les monitorer pour repérer le développement éventuel d’une hypoxie heureuse (cette désaturation en oxygène redoutable puisque ceux qui la vivent ne la remarquent pas avant qu’il soit trop tard…), un optimisme serein semblait de mise.
Nous disposions alors bel et bien (dans le cadre des plans pandémie de qualité qui avaient été élaborés) de tout ce dont nous avions besoin pour gérer au mieux cette épidémie et limiter les dégâts pour qu’elle n’excède pas l’équivalent en termes de morbidité et de mortalité de la grippe saisonnière.
Ce constat ne s’en est jamais démenti, les dernières évaluations du Pr John Ioannidis de Stanford venant de confirmer un taux de létalité pour le Covid (Infection Fatality Rate) à l’échelle mondiale de 0,15% c’est-à-dire peu sur l’échelle des pandémies. Avec il est vrai un taux deux fois plus élevé dans les pays occidentaux, sous le double effet du vieillissement de la population et de réponses sanitaires aberrantes.
Par contre, cet espoir s’énonça sans compter avec la déliquescence de nos systèmes de gouvernance, la prégnance imparable de la corruption systémique (dont je suis pourtant un des bons connaisseurs actuels) et d’une désorientation de la population parfaitement orchestrée par les milieux qui nous gouvernement avec une presse aux ordres qui a démissionné dans le déshonneur de son éthique comme de sa mission sociétale.
Et donc, depuis une année, nous vivons à la fois un Hold-Up, une prise d’otages et une fuite en avant vers un Great Reset qui est aujourd’hui (sauf pour les indécrottables crédules) la finalité du prétexte sanitaire exploité de manière éhontée.
Avec cette réalité que nous sommes aujourd’hui sur la corde raide : l’étendue de la manipulation et la compilation de mensonges qui la fonde finissent quand même par rendre l’ambition douteuse, aussi bien mise en œuvre soit-elle. Les plans foireux ourdis par des crapules n’ont pas tant que ça vocation à se réaliser… le principe de réalité ayant des vertus in fine imparables pour mettre en échec les délires mégalo-paranoïaques comme ceux des transhumanistes fous et des véreux sans scrupules qui tirent pour l’instant les marrons du feu.
Et puis, et puis, l’histoire nous a aussi montré hélas à quel point les peuples sont sans grande immunité face aux dérives les plus perverses (correspondant à mon humble opinion à ce que nous sommes en train de vivre). Bref, le (mauvais) film à suspense bat son plein et à ce stade, nous pouvons avoir autant de raisons d’être optimiste que pessimiste. A cela près qu’au fond nos états d’âme importent peu : il y a un combat à mener contre des forces d’aliénation et de déshumanisation servies par une classe politique et une redoutable médico-cratie qui a tout verrouillé grâce à des pratiques mafieuses comme celles de l’Ordre des médecins ou de l’OMS, une des organisations internationales les plus corrompues qui soit.
Et donc voilà, la fin de partie attendra que nous ayons triomphé de l’hydre ou que nous soyons déportés dans un camp pour éléments séditieux…
En attendant, dans ce désastre et cette infamie, surnagent dieu merci quelques personnalités courageuses et intègres qui sont autant de phares dans la noirceur des temps.
Le lecteur cultivé saura que le seul antidote à l’expérience de Milgram (celle de soumission par laquelle l’autorité en blouse blanche ou en uniforme peut faire de chacun facilement un tortionnaire) consiste dans une dissension au sein de l’autorité. Et un observateur avisé m’a fait remarquer à quel point nous aurions sans nul doute tout perdu si au cours de cette année (et heureusement très tôt) des figures d’immense qualité ne s’étaient levées pour combattre d’emblée la dérive toxique qui débutait.
Je pense bien sûr en premier lieu aux Pr Didier Raoult et Christian Perronne. J’ai souvent souligné qu’il s’agissait ni plus ni moins que des meilleurs spécialistes et connaisseurs des épidémies infectieuses comme celle à laquelle nous faisions soudain face.
Certes, une nouvelle génération est arrivée aux affaires médicales, moins cultivée, moins expérimentée, moins éthique surtout, c’est-à-dire issue de cette nouvelle médecine pseudo-scientifique (la médecine n’est pas et ne peut pas être une science !), obsédée par la méthodologie, avide de pouvoir et d’argent.
Et donc le clash s’est produit dans toute sa violence entre les gardiens du sens et des valeurs fondamentales de la médecine (et donc de son honneur) et cette nouvelle caste, identifiée de manière prémonitoire par Albert Jacquard comme profondément dangereuse.
Elle est symbolisée à mes yeux en France par ces piliers centraux du système de corruption systémique que sont (parmi de nombreux autres) les Yazdan Yazdanpanah et son exécutant Nathan Pfeiffer-Smadja, Karine Lacombe, Roselyne Bachelot, Agnès Buzyn et Yves Lévy, Dominique Martin, Jérôme Salomon et Olivier Véran, mais aussi de tristes et vieilles gloires comme Gilbert Deray ou Axel Khan qui se sont montrés sous un jour rien moins que lamentable tout au long de l’année écoulée.
En Suisse, nous avons les nôtre tout aussi redoutables, installés et aux commandes, squattant les positions de prestige et les salaires mirobolants au sein des hôpitaux universitaires et autres cercles pseudo-savants.
En outre, dans notre petit pays, c’est la « Task Force » elle-même qui s’est auto-constituée et imposée au gouvernement pour ne faire depuis que de l’antiscience systématique. Avec cette difficulté supplémentaire qu’il n’y a pas eu d’opposition de poids en ce qui nous concerne (hormis votre bien modeste serviteur, vite ostracisé derrière un cordon sanitaire et quelques rares courageux comme les Dr Philippe Saegesser et Edouard Broussalian.)
Alors que les suppôts des pharmas et autres fondations Gates s’en donnent à cœur joie, acoquinés avec les gouvernants comme avec le piteux reste de médias qui leur assure le monopole de la parole publique et une absence totale de contradiction.
La science du Pr Raoult éclate à chacune de ses interviews. Non seulement l’homme est-il sans contestation possible un des tous meilleurs au monde dans son domaine, mais il est encore un exemple de connaissances et de compréhensions multiples, d’une pensée ouverte sur la complexité, qui seules peuvent fonder une véritable excellence.
À l’inverse, les hordes de gredins qui pervertissent la médecine sont des « spécialistes » dans le sens le plus rabougri du terme, des gens qui semblent n’avoir ni culture, ni curiosité, ni capacité de penser hors du troupeau. Or nous savons depuis des décennies que les pires catastrophes sont dues à l’uniformité de la pensée au sein de cercles d’experts qui pensent tous la même chose. Comme le dit l’adage « si tout le monde pense pareil, il y en a au moins un qui pense faux ! »
Et hélas, comme l’avait si pertinemment pressenti Jacquard, ce sont ces profils dangereux (selon son appréciation, que je partage) qui ont eu le champ libre dans ce nouveau système gouvernemental, administratif, académique et médical où règnent la métrique, les ambitions, l’absence d’éthique et la conformité. Sans y prendre garde, nous avons constitué des strates dirigeantes nocives et perverses.
Face à cette dérive qui coûte à nos sociétés une jambe et un bras et sa tête (pour l’instant…), restent donc quelques figures qui résistent et tiennent bon envers et contre tout.
Christian Perronne est au premier rang de ceux-ci. Et pour moi qui ai vécu (à ma petite échelle) un peu de ce qu’il a subi, je tiens à exprimer ici ma conviction qu’à peu près personne ne peut mesurer ce qu’il a traversé.
Le bashing (campagne de dénigrement professionnellement orchestrée) qu’il subit ne s’explique qu’à la lumière du danger qu’il représente du fait de son expérience : ayant présidé pendant sept ans la Commission spécialisée « maladies transmissibles » au Haut Conseil de la Santé publique, Christian Perronne est mieux placé que quiconque pour savoir ce qu’il aurait fallu faire et constater l’aberration des décisions prises, contraires à toutes les recommandations en la matière comme aux plans pandémie de qualité qui avaient été préparés !
Décrédibiliser cet homme est donc devenu une priorité pour les mafias en place, dont l’objectif est de tirer profit au maximum des opportunités offertes par cette crise. Avec la condition nécessaire qu’elle dure. Et que celles et ceux qui trouvent cette perspective peu crédible fassent simplement l’effort d’étudier la gestion de l’épidémie de H1N1 (détaillée dans un excellent rapport du Sénat français) qui décortique les magouilles qui se déroulèrent alors : elles n’auront été qu’une répétition générale (déjà très lucrative) de la truanderie en cours.
Et l’on comprend comment et pourquoi Christian Perronne -avec sa compétence, son intégrité et son courage de nommer les choses- est devenu le cauchemar et donc la cible de ces truands.
Sa situation me rappelle cette parole fondatrice du général de Gaulle à la libération de Paris. Je vois en Christian Perronne un immense honnête homme, compétent et intègre, et qui, du fait des malfrats qui sont désormais aux commandes, subit des outrages ignobles depuis une année. Écoutons Mongénéral :
« Pourquoi voulez-vous que nous dissimulions l’émotion qui nous étreint tous, hommes et femmes, qui sommes ici, chez nous, dans Paris debout pour se libérer et qui a su le faire de ses mains.
Non ! nous ne dissimulerons pas cette émotion profonde et sacrée. Il y a là des minutes qui dépassent chacune de nos pauvres vies.
Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré ! libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l’appui et le concours de la France tout entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle.
Eh bien ! puisque l’ennemi qui tenait Paris a capitulé dans nos mains, la France rentre à Paris, chez elle. Elle y rentre sanglante, mais bien résolue. Elle y rentre, éclairée par l’immense leçon, mais plus certaine que jamais, de ses devoirs et de ses droits. »
Que vienne ce jour où la bonne foi, la sincérité, la générosité et la probité auront prévalu et triomphé ! Pour l’instant, je vois un Christian Perronne outragé, que l’on cherche à briser, à martyriser, et qui résiste avec un courage admirable, à la mesure de la sincérité et de la justesse de ses convictions.
Au livre brillant qu’il avait publié en juin dernier avec le succès que l’on sait a succédé un second tome, encore plus incisif, ironique, mordant, au service de cette posture qu’ont renié tant de scientifiques et de médecins, qui continue à voir en chaque malade l’équivalent d’un membre de sa propre famille à soigner envers et contre tout.
Pendant que les pendables ourdissent des plans hideux pour ne soigner que certains patients en laissant mourir d’autres à des fins d’établir des statistiques, testent des remèdes ou des interventions toxiques en empêchant des recherches honnêtes sur les médicaments les plus prometteurs (ou ceux dont l’efficacité est avérée), Christian Perronne va au charbon, ne lâche rien, subit les rétorsions et les vexations des fascisants qui sont ses supérieurs et les torrents de bave de la presse. Un homme, un professeur de médecine qui s’est battu toute sa vie pour ses patients et à leur service, traité comme un malpropre, un moins que rien, un conspirationniste par des hordes de pisse-vinaigres qui servent les intérêts les plus crapuleux qui soient et qui mettent notre espèce en souffrance à l’échelle planétaire.
Alors oui, avec le risque d’une pomposité à la mesure de mon émotion face à cette ignominie, je tiens ici à nouveau à dire à quel point Christian Perronne est un homme admirable.
Les Français ne s’y sont pas trompés, qui savent encore dans leur immense majorité reconnaitre un honnête homme ainsi qu’un homme de bien et d’honneur.
Oui, Christian Perronne, avec de nombreux autres (Dieu merci) est l’honneur de sa profession et l’espérance que la médecine ne se laissera pas anéantir par le stupre, l’appât du gain et la corruption.
Ne nous trompons pas, pour lui, le chemin de croix continue.
Démis de sa chefferie, harcelée par le misérable Nathan Pfeiffer-Smadja (une créature du très douteux Yazdan Yazdapanah, lui-même un des plus « arrosés » des acteurs du systèmes) et autres sbires des puissants, Christian Perronne, je le sais par différents canaux, subit à l’heure où j’écris des pressions insensées ainsi que son éditeur et les médias qui prennent le risque de l’accueillir.
Sud Radio (un des derniers espaces où s’exprime la liberté de la presse, c’est-à-dire la liberté de conscience) subit à en croire le magazine Capital des menaces de fermeture de sa chaîne Youtube pour avoir osé continuer à l’accueillir, lui et quelques autres courageux qui refusent de rentrer dans le rang de la magouille en cours.
L’avoir maltraité et cherché à l’humilier ne suffit pas : il faut le faire taire, le réduire au silence, lui faire rendre gorge… Je le redis, aucun de nous ne peut mesurer la solitude d’un homme à qui on fait vivre cela.
Et puis je sais de ma petite expérience combien le sens du combat et la vitalité des valeurs essentielles qui nous animent est un réservoir qui ne tarit pas. Je sais combien les milliers et les milliers de messages de soutien et d’encouragement adressés avec une telle générosité par tant de gens, des gens importants, des collègues aussi bien que des gens sans qualifications ou modestes (mais personne évidemment qui ne soit rien comme l’affirme odieusement un certain discours) peut nous porter bien au-delà de nos propres forces.
Alors voilà, Christian Perronne, pour nous et pour une certaine idée de la médecine, ne lâche rien. Il est au front, vent debout et tient bon. Demain chez Morandini, mercredi pour un Facebook live, là où il est invité dans ce qui reste de presse digne de ce nom, avec ses collaborateurs, dans des Collectifs comme Coordination Santé Libre et son Conseil Scientifique Indépendant.
Et entouré de nombre d’autres médecins et experts eux aussi courageux et admirables, comme (je m’excuse envers celles et ceux que je vais inévitablement et injustement oublier) la magnifique Alexandra Henrion Caude, Violaine Guérin et Martine Wonner, Astrid Stuckelberger, Odile Ouachée, Nicole et Gérard Delépine, Frédérique Giacomoni, Louis Fouché, Jean-Jacques Erbstein, Eric Chabrière et Philippe Parola, Stéphane Gayet, Olivier Soulier, Frédéric Badel, Gérard Maudrux, Bernard Kron, Jean-François Toussaint et Laurent Toubiana, les mathématiciens Vincent Pavan et Thomas Fernique, les sociologues et anthropologues Laurent Mucchielli, Jacques Pollini, Matt Smyth, Hélène Strohl et Michel Maffesoli, les merveilleux belges Caroline Vandermeeren et Isabelle Duchateau, Christophe de Brouwer, Bernard Rentier, Pascal Sacré, Yves Couvreur, ainsi que les philosophes Michel Rosenzweig et Michel Weber, les artistes Francis Lalane, Jean-Marie Bigard, Ingrid Courrèges, Juliette Binoche et Sophie Marceau, les journaliste Catherine Riva et Serena Tinari, Amèle Debey, Pierre Barnérias, le vieux lion André Bercoff , Xavier Azalbert, Bernard Crutzen, Slobodan Despot, Ema Krusi, les juristes et avocats Fabrice di Vizio, Virginie de Araujo-Recchia, Valérie Bugault, les physiciens Philippe Guilemant et Philippe Bobola, la docteure en psychopathologie Ariane Bilheran, l’économiste Liliane Held-Khawan et tant d’autres que je m’excuse d’oublier mais qui sont mes héros, ceux dont la compagnie, proche ou lointaine, personnelle ou impersonnelle, me nourrit et me porte et me fait garder espoir qu’un autre devenir est possible que celui concocté par (ce n’est pas nouveau) les malades qui nous gouvernent.
Car certes, à toute chose malheur est bon. La cacade en cours, d’une brutalité crasse envers des personnes vulnérables, nous fournit aussi le modèle de ce que nous ne voulons pas : des gouvernements dévoyés, lâches et indifférents aux souffrances qu’ils infligent ; des universités débilitées par le réductionnisme et la compétition ; une science instrumentalisée, corrompue ou même prostituée ; une économie déshumanisée et hors sol ; une éducation qui continue (on en voit les effets) de viser l’obéissance avant tout. Des « zélites » et corps constitués dont on se demande hélas ce qu’il reste de leur intégrité, de leur sens du devoir et du service à la population.
Nous savons qu’il est de notre responsabilité de préserver et même à ce stade sauver une médecine humaine, tendre, qui sache mettre à profit les vertus de la démarche statistique sans étouffer la clinique, la relation et le soin, sans aliéner les médecins à leur propre humanité, sans les transformer en lampistes tout juste bons à prescrire de manière mécanique les seuls traitements autorisés pathologie par pathologie. Et qui cesse de poursuivre avec un acharnement qui rappelle la Gestapo les médecins qui osent encore faire usage de leur responsabilité de soigner en respectant le serment qu’ils ont prêté.
Tout ceci a été résumé par Reinfocovid dans un texte joli au possible que je partage en guise de conclusion de ce petit coup de gueule printanier.
Alors : fin de partie ?! Ça le sera je jour où NOUS sifflerons la fin de ce jeu de con en virant à grands coups de pied où je pense les abrutis qu’on a hélas laissés faire…
Toute l’équipe de Reinfocovid adresse un grand merci à tous ses contradicteurs et au Coronavirus.
Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.
Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.
Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.
Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos oeillères, nous laissant contempler le désastre.
D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.
Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.
Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.
Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.
Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.
Nous ne voulons pas vivre masqués.
Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.
Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.
Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.
Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.
Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.
Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».
Vous nous avez rassemblés.
Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.
Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.
Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.
Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.
Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.
Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.
Par Jean-Dominique Michel
Source : anthropo-logiques.org
Note de "La Vie Hospitalière"
Merci à Jean-Dominique Michel pour cet article et pour tous ses écrits et interventions, il faut du courage, de la ténacité tout autant, pour aller à l'encontre de projets de personnes que nous estimons malveillantes, à la limite diabolique...
Pour nous ces personnes ont l'apparence humaine mais elles sont loin d'avoir des sentiments humains, très loin..
...
1 commentaire:
A la liste des personnes remerciées par Jean Dominique Michel, il convient de rajouter le médecin Jean Bernard Fourtillan, le journaliste Richard Boutry et l'avocat Carlo Brusa qui chacun à leur manière font également office de phares dans les ténèbres qui nous entourent.
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