Madame,
Votre séance « d’information » du 15 Janvier sur le vaccin contre le Covid-19 m’a donné le sentiment d’assister à un « miracle scientifique » : voilà un produit qui a été réalisé en dix fois moins de temps qu’il n’en faudrait - warp speed pour utiliser l’allégorie intergalactique chère aux Etasuniens -, absolument nouveau, à l’efficacité - excusez du peu ! - de 95%, sur lequel nous ne possédons aucun recul, dont le principe consiste à « bidouiller » nos propres cellules, qui ne présente pas de risques de modifier le génome mais tout au plus quelques effets secondaires rares qu’on peut traiter avec un petit antihistaminique, voire des AINS, et qu’on peut prescrire à la femme enceinte. Le tout sans que nous médecins n’encourions le moindre risque pénal en injectant un vaccin génique expérimental qui exige du corps humain la production d’une protéine de virus !
Le Temps - Janvier 2021. Un exemple parmi tant d’autres du dénigrement de toute opposition à l’idée du vaccin sauveur du monde.
Je suis navré, aucun médecin doué de raison ne peut acheter un tel discours. En ce qui me concerne, je reste ébahi et même accablé de vous voir prescrire - et encourager à prescrire - au nom de la sempiternelle balance « bénéfices/risques » un produit potentiellement létal et aux effets inconnus à des millions de gens inconscients de participer à ce qui n’est rien d’autre qu’une expérimentation mondiale puisque le vaccin Pfizer, et celui de Moderna, verra son étude de phase III se terminer seulement en 2022.
Dans un poème célèbre, Ella Wheeler[1] écrit que « c’est en gardant le silence quand ils devraient hurler que les hommes deviennent des lâches ». Bien que ce soit le sentiment exact qui m’anime en tant qu’homme, citoyen et médecin homéopathe, permettez-moi de vous soumettre ces quelques lignes sans déroger à la courtoisie confraternelle.
Le contexte général d’hystérie de dictature
Chaque citoyen devrait s’interroger sur le bien-fondé de mesures de plus en plus ubuesques[2] et totalitaires au prétexte de la pandémie SARS-CoV-2 :
Port du masque généralisé qui présente de sérieux risques chez les gens en bonne santé[3]. A cet égard la docilité et la soumission[4] du corps médical devant cette absurdité restera une marque honteuse dans les annales. Une étude chinoise publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux. Pourquoi nos gouvernants maintiennent-ils ces dispositions stupides, nuisibles,[5] et grotesques, alors qu’ils en appellent eux-mêmes à la « science » pour justifier leurs actions ?[6]
Confinement aveugle - ou plutôt assignation à résidence - justifié par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[7] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes.
Panique généralisée de la population, générée et entretenue grâce au martelage incessant des médias[8] et l’outil de la PCR. A cet égard on ne peut s’empêcher de comparer la situation actuelle avec ce que l’on a connu lors de la fausse épidémie d’hépatite B : « toutes les six heures en France un patient meurt des conséquences du virus de l’hépatite B » répétaient en boucle les messages publicitaires de l’époque ; ou encore on lisait sur les tracts distribués dans les collèges : « l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an ». Le Dr. Plassart, aujourd’hui recouvert du linceul de l’oubli[9] déclarait : « Le virus de l’hépatite B se transmet par voie vénérienne et la salive. A l’heure des premiers baisers, les jeunes courent le grand risque de contracter l’hépatite B. » Combien de parents paniqués se sont empressés de faire vacciner leur enfant ? Combien d’adolescents se sont dits qu’ils seraient cuits avec un baiser sur la bouche, qui ne se souvenait pas d’avoir bu dans le verre d’un ami. Assurément, à la lumière de ce que nous voyons aujourd’hui, « l’épidémie d’hépatite B » n’était qu’une simple répétition.
Pour notre plus grand malheur la médecine classique a souscrit à l’idée paranoïde de Pasteur selon laquelle le germe suffit à rendre malade et qu’il convient de le combattre. Aujourd’hui encore personne n’évoque la question fondamentale de la susceptibilité individuelle, qui est implicitement supposée être à 100%.
Le scandale des tests PCR[10] utilisés à tort comme moyen diagnostic —souvent totalement déconnecté de la clinique.[11] Le nombre de faux positifs croit quasi exponentiellement à partir d’une trentaine de cycles d’amplification. Quel laboratoire mentionne combien de cycles CT ont été effectués et sur quelle séquence ? Je souscris à l’avis de l’avocat international Reiner Fuellmich qui déclare que « c’est le seul outil pour garder les gens en mode panique ». Il ne sera sans doute plus possible de voyager sans la preuve de la vaccination, c’est quelque chose que j’avais malheureusement prédit dès Mars 2020. Dès aujourd’hui par exemple on ne pourra plus se rendre en France sans une PCR négative de moins de 72 heures, encore une mesure sans la moindre justification scientifique.
Destruction systématique de l’économie par des mesures folles et disproportionnées parfaitement injustifiées en regard de la mortalité ridicule de 0,05% avec une létalité de 0,5% du SARS-CoV-2 ?[12] Vous-même nous avez déclaré que la vaccination se justifiait pour désengorger les hôpitaux. A ce sujet, différents coups de fil dans divers services de réanimation en France et en Suisse m’ont convaincu qu’on nous raconte n’importe quoi en ce qui concerne l’occupation des lits de réanimation. Même en supposant que les hôpitaux soient saturés, la vaccination est-elle la réponse adaptée à ce qui n’est qu’une déplorable gestion de l’offre de soins de la part de nos gouvernants ?
Véritable maltraitance des patients et empêchement d’accéder aux traitements de ville.[13]
Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
Les médecins généralistes se sont vus interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[14], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. Des protocoles avec l’Ivermectine ont aussi largement prouvé leur efficacité.
On a fait mourir sciemment des innocents[15], sans cesser de dire qu’il n’existait pas de traitement et que notre seul salut c’était le vaccin qu’on s’est mis à attendre comme le Messie.
Je mentionne en passant le succès partout où il a pu être appliqué malgré la répression, du traitement homéopathique à tous les stades de la maladie. Mon expérience personnelle directe et indirecte s’élève à une centaine de cas, tous traités en quelques jours, sans la moindre complication. En cela je rappelle que l’homéopathie s’est développée et popularisée depuis deux siècles justement grâce à ses succès foudroyants dans toutes les pathologies épidémiques comme la rougeole, la fièvre jaune, la scarlatine, les pneumonies, la grippe, le choléra, etc. Ce n’est sans doute pas un hasard si nous avons assisté à une attaque orchestrée mondialement contre l’homéopathie peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui a fait le tour du monde et servi d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale australienne a révélé la falsification de l’étude. Mais aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse, ce qui nous amène aux deux derniers points suivants :
Musèlement de toute voix discordante par une qualification immédiate et souvent frénétique de « complotisme ».[16] Comment en est-on arrivé à poursuivre le Pr. Raoult pour charlatanisme ? Pourquoi les propos du Pr. Perronne ne sont-ils jamais diffusés dans les grands médias ? Pourquoi n’écoute-t-on pas les appels à la prudence de la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialisée sur l’ARN depuis 12 ans, éditeur associée d’issue spéciale de Current Gene Therapy, détentrice de 2 brevets sur l’ARN, professeur de cours internationaux, quand elle prévient des risques d’altération génétique avec la vaccination ?
Un système lamentable de déclaration des complications vaccinales. Une nouvelle étude évaluée par des pairs sur les effets indésirables des vaccins ROR souligne le besoin urgent d’une recherche indépendante sur la sécurité des vaccins et l’importance du consentement éclairé et du choix du vaccin. Comment s’évalue la fameuse balance bénéfice risque en trichant sur les données ?
Pourquoi faire confiance au discours de Pfizer ou Moderna ?
Pour résumer ce qui précède, on a bouté le feu à la maison parce qu’il y avait un moustique dans la chambre à coucher. L’avantage dans une dictature c’est qu’elle sécrète une information binaire : tout ce qui est proclamé comme vrai a toutes les chances d’être faux, tout ce qui est adulé devrait être au contraire rejeté. Dans un tel contexte, les personnes de référence qui tournent en boucle dans les médias sont pour la plupart suspectes, étant pour la plupart tenues par de sordides conflits d’intérêts. Le cas du Dr. Fauci vient immédiatement à l’esprit avec sa manière de s’extasier sur les résultats « incroyablement impressionnants » du vaccin Moderna, sa position criminelle sur l’HCQ, et ses immenses conflits d’intérêt que ce soit avec ses divers brevets, ou son partenariat avec la Fondation Gates qui s’est engagée à dépenser 100 millions de dollars avec le NIH.
Or justement depuis le début de la pandémie[17], si l’on en croit par exemple l’expert autoproclamé en maladies infectieuses qu’est M. Bill Gates, on nous a martelé qu’il n’y aura pas de retour à la normale sans le vaccin et ce depuis février 2020 (il était le premier à dire cela). Le cas Gates représente aussi un autre miracle : la philanthropie lui a permis de tripler sa fortune personnelle estimée aujourd’hui à environ 96 milliards de dollars et de tout comprendre à la médecine sans l’avoir jamais étudiée.
« Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
L’histoire nous rappelle que :
1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.[18]
Outre le « miracle vaccinal » et les autres miracles susmentionnés, il nous faudrait maintenant croire à un autre miracle : le laboratoire Pfizer serait soudainement devenu honnête. Il nous a pourtant habitués à la fraude systématique avérée : en 2009 Pfizer a été condamné à 2,3 milliards de dollars d’amende pour la promotion de médicaments à des fins non approuvées de 13 médicaments. Et désormais, avec des enjeux financiers planétaires, notre firme nous livrerait des données fiables ? Rien que le score qui ferait pâlir Staline d’envie devrait nous alarmer.
La confiance ne peut s’obtenir qu’avec une transparence maximale. Or je ne vois aucun intervenant mentionner ses conflits d’intérêt quand il s’agit de discourir sur le vaccin.
En décembre 2007, un communiqué de l’Université de Genève annonçait que la Fondation Bill & Melinda Gates donnait 1,3 million pour la « vaccinologie » à L’UNIGE dans le but de former les décideurs à la vaccinologie. Cette somme devait permettre d’offrir chaque année pendant quatre ans une formation en « vaccinologie » à des responsables de santé publique de pays en développement. Dans les faits c’est près de 5 Millions qui ont été reçus.
N’y voyez-vous pas dans votre cas un conflit d’intérêt patent qu’il aurait été sans doute utile de nous mentionner ?[19]
Même le respectable BMJ trouve aujourd’hui nécessaire de dénoncer la « corruption d’état » et la « suppression de la science », c’est dire dans quelle situation catastrophique nous sommes.
Dans ce contexte, l’immunité des laboratoires[20] n’est pas faite pour nous persuader. Ni votre discours erroné en matière de responsabilité médicale.
En effet vous m’avez expliqué que le médecin vaccinateur n’encourt aucune responsabilité du moment qu’il ne pique pas dans un vaisseau sanguin. Ceci ne me semble pas correct au vu de l’article paru dans le BMS du 6 janvier 2021 dans lequel l’avocat de la FMH explique que la responsabilité du médecin est pleine et entière justement en fonction de l’absence de tout consentement éclairé ou information complète donnée au patient.
Or comme nous l’avons vu plus haut, le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ?
Nous nageons en pleine illégalité, et vous nous dites « allez-y il n’y a aucun souci ! »
Aucune étude non plus sur les personnes de plus de 75 ans : on ignore tout de la tolérance de ces sujets. Ici encore, à vous entendre, c’est la population générale qui a servi de cobaye avant d’injecter les vieillards. Or, contrairement à ce que vous avancez, les complications mortelles sont visiblement très nombreuses[21] chez ces personnes fragiles, celles-là mêmes supposées être protégées par le vaccin. Et selon la tautologie habituelle, ces morts serviront à justifier l’intensification de la vaccination. L’acharnement vaccinal sur les vieux, le sort qui a été le leur dans les maisons de retraite, la liquidation —je ne trouve pas d’autre mot— à coup de Rivotril et de morphine de milliers d’entre eux, tout cela présente des relents méphitiques d’eugénisme. Or il faut avoir bien peu de culture pour ignorer que Ford, les Rockefeller, et la plupart des milliardaires américains ont toujours promu l’eugénisme qui a inspiré Hitler à son tour.
Gates,[22] au père banquier proche des Rockefeller, ne s’est jamais caché de ses vues eugénistes. Tout cela non plus n’est pas de nature à nous rassurer.
Quand je soulève le risque d’ADE (anticorps facilitateurs), vous me faites part de votre grand soulagement de constater qu’apparemment le vaccin n’en produit pas. Votre réponse m’a sidérée :
- Cela implique que vous avez vacciné des patients en connaissance d’un risque mortel dont vous ne leur avez pas fait part.
- Pour une personne qui ne jure habituellement que par des études, c’est sur la seule base de votre expérience personnelle, très limitée actuellement, que vous écartez ce risque.
Le vaccin et son étude clinique déjà très contestable
La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.
La technologie vaccinale employée est embryonnaire[23] sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiées. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà, et ce depuis des mois, sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.
La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.
De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination, ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix sociale.
Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer-blind ». Habituellement, on mentionne « double-blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.
Ici je dois évoquer votre réponse plutôt embrouillée à ma question : vous m’avez certifié qu’il s’agissait d’une étude en double aveugle —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.
Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude. Il écrit par exemple :
« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3.410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1.594 dans le groupe vacciné contre 1.816 dans le groupe placebo. »
« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »
« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29 % »
Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que celles-ci « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». On doit comprendre ici entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses peuvent ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.
Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi les 40.000 personnes de l’étude. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus sur la durée de l’étude…
Effets secondaires
La stratégie reste désespérément la même, elle est aussi celle de tous les manipulateurs. Le rush permet d’induire un maximum de tourbillon émotionnel pour sidérer la réflexion de la victime. Peu importe que dans quelques mois on ne puisse plus masquer le désastre : les milliards auront atterri dans les bonnes poches et « après moi le déluge. »
Les anticorps facilitateurs. Le phénomène des anticorps facilitateurs est une réponse « inadéquate » à une nouvelle infection par un virus au cours de laquelle les anticorps présents contre ce virus vont aggraver l’infection. Ces anticorps ont été produits suite à une première infection (ou vaccination) par un virus apparenté (ou plus rarement par le même virus.[24]
D’après Rachel Roper (experte en vaccins anti-coronavirus, « SARS Vaccines : where are we ? » Roper et Rehm, 2009) le principal problème à prendre en compte dans le développement de vaccins anti-coronavirus est l’ADE : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines.
Une revue de 2016[25] également écrite par des développeurs de vaccins souligne les mêmes craintes. Une interview récente de deux experts en vaccins français souligne aussi ce danger[26], des experts américains ont aussi soulevé le problème.[27]
Cet ADE a été montré par des essais sur les animaux de vaccins contre le SARS-CoV-1 de 2003.[28] Je me dois aussi de mentionner ici les résultats catastrophiques de Dengvaxia, pourtant claironné de la même manière que nos deux nouveaux « vaccins miracles. » Dans un geste royal, Sanofi se propose de rembourser au gouvernement les doses inutilisées. Qui se préoccupe de suivre l’état de santé des 850.000 écoliers vaccinés ? La démarche est aussi décalée que le dédommagement des propriétaires de plantations lorsqu’ils furent contraints de libérer leurs esclaves.On pourra aussi lire avec intérêt dans un autre article fondamental Informed consent disclosure to vaccine trial subjects of risk of COVID-19 vaccines worsening clinical disease : Le risque d’ADE spécifique et significatif du COVID-19 aurait dû être et devrait être divulgué de manière visible et indépendante aux sujets participant actuellement aux essais de vaccins, ainsi qu’à ceux qui sont recrutés pour les essais et aux futurs patients après l’approbation du vaccin, afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension des patients permettant un consentement éclairé.
Le PEG, supposé être un composant inerte. On a passé sous silence la tolérance au PEG : produit déjà tellement répandu que 72% de la population des USA présente des anticorps ! Vous nous avez « rassurés » en déclarant qu’il ne fallait pas s’en inquiéter, certes mais le sujet ne bénéficie d’aucune étude sérieuse à ma connaissance. Disposons-nous aussi d’une pharmacocinétique de la substance ? Certains chocs anaphylactiques après l’injection pourraient-ils trouver là leur origine ? Personne ne sait.
Risque génétique. Comme nous l’avons dit plus haut, nous foulons aux pieds aussi bien la Convention d’Oviedo que les Protocoles de Nuremberg. Aucun patient n’est prévenu qu’il participe à une expérimentation, ni du risque de facilitation de l’infection (ADE), et encore moins du risque génétique encouru avec une technologie par ARNm.
Ce risque est suffisamment sérieux pour ne pas le balayer d’un revers de main comme vous le faites. Cela soulève le problème d’une médecine qui se base sur des découvertes scientifiques fragmentaires. Le théorème d’incomplétude de Gödel est pourtant clair : vous disposez d’une connaissance finie dans un domaine infini.
Cela condamne définitivement la vieille approche allopathique basée sur le réductionnisme : vous ne pourrez jamais savoir, ni comprendre, comment se comporte un ensemble de 1013 cellules, ni les interactions entre ces cellules et encore moins ce qui se passe dans les mécanismes intracellulaires, probablement du même ordre de grandeur.
La scélératesse qui se dessine dans cette vaccination est consubstantielle de la pensée allopathique qui a toujours imposé le même traitement à tous les patients. En niant les spécificités individuelles, la médecine allopathique se fait le complice naturel de toutes les dictatures.
Strictement rien ne vous permet de dire qu’il n’y aura pas d’impact sur l’ADN. A commencer par la composition du vaccin que nous ignorons. Contient-il par exemple de l’ADN résiduel ? Nous ne le savons pas. Autre point à éclaircir : la présence de transcriptase reverse. Une simple infection à rétrovirus rend sa présence possible. Dans ces conditions qui se préoccupe par exemple des infections à spumavirus qui touchent 100% du règne animal, dont on ignore la prévalence dans la population ?
Sélection des souches les plus virulentes. Lorsqu’un virus infecte une population humaine, seuls les virus qui ont un hôte humain vivant survivent. Si un virus est si pathogène qu’il tue l’homme qu’il a infecté, il meurt aussi. Par conséquent, la mortalité de l’hôte tue les formes les plus graves de tout virus au fil du temps. Les taux d’infection peuvent augmenter, mais la mortalité diminue.
Les chercheurs ont émis l’hypothèse que la vaccination peut renverser ce processus en permettant à des souches de virus plus virulentes (c’est-à-dire plus pathogènes et potentiellement mortelles) de vivre dans des hôtes vaccinés pendant des périodes prolongées sans tuer les hôtes.
Conclusion : science et profit
Ainsi que la tragédie du Titanic l’a démontré depuis 1912 : la science et le profit ne font pas bon ménage. La formule de Rabelais est trop célèbre pour la citer ici, je me bornerai à dire simplement que la science disparaît dès lors qu’elle est l’otage de l’argent. L’exemple de la vaccination du Coronavirus servira sans le moindre doute de révélateur mondial d’une médecine qui a sombré depuis longtemps - pour ne pas dire dès ses débuts[29],- dans une corruption dont nous ne pouvons pas sonder l’ampleur.
A travers les maigres arguments qui précèdent on peut cependant mesurer une autre ampleur : celle du drame planétaire qui se prépare et qui - je l’espère - poussera les peuples à prendre conscience et se révolter. Alors arrivera le moment de rendre compte devant des tribunaux, et pour ma part - n’ayant de comptes à rendre qu’à Dieu et à ma conscience - je ne désire pas être sur le banc des accusés. Je refuse d’être complice d’une pure folie et d’un crime sans précédent, personne n’ayant l’excuse de dire (cette fois ?) « je ne savais pas ».
Voilà pourquoi, Madame le Professeur, je ne partage ni votre optimisme, ni votre candeur, ni votre zèle à pousser les médecins à injecter en se mettant hors la loi.
Dans l’espoir du plaisir de vous rencontrer un jour prochain, recevez Madame, l’expression de mes sentiments les plus confraternels.
Dr. Edouard BROUSSALIAN
Genève, le 20 Janvier 2021
Réponse reçue du Professeur Claire-Anne SIEGRIST
Cher Collègue,
Merci de m’avoir fait part de vos opinions, que je respecte en comprenant parfaitement que votre spécialisation en naturopathie/homéopathie vous donne une vision différente de celles des infectiologues – vaccinologues que sont les experts d’Infovac.
Nous proposons ces séances questions-réponses dans le prolongement du service que nous offrons jour après jour aux abonnés à Infovac – conscients qu’elles répondent aux attentes de beaucoup… mais pas de tous. Nous répondons en direct, sans préparation, au mieux de nos capacités – mais parfois pas aussi clairement que nous le souhaiterions ou que nous le réalisons après coup. Désolée !
Désolée aussi de ne pas avoir le temps de reprendre chacune des opinions exprimées… comme en témoigne l’heure tardive de ce message…
Heureusement les sources d’information sont multiples, permettant à chacun de s’informer comme cela lui convient le mieux. Sur le plan de la sécurité vaccinale, sans doute avez-vous entendu le communiqué de Swissmedic de ce jour confirmant la très bonne tolérance de la vaccination même chez les patients très âgés qui ont reçu l’immense majorité des 120’000 premières vaccinations…
Avec mes meilleures salutations,
Claire-Anne Siegrist
EFFETS SECONDAIRES : PETITE REVUE DE PRESSE
Information du CDC; 3 150 personnes vaccinées en une journée sont « incapables d’effectuer des activités quotidiennes normales, incapables de travailler » après la vaccination.
Il s’agit d’un énorme 2,7% des personnes qui ne peuvent plus travailler après avoir reçu le vaccin Pfizer.
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf
California pauses use of Moderna vaccine batch over allergic reactions. California’s top epidemiologist Dr. Erica S Pan issued a statement recommending the pause in the administration of Moderna’s COVID-19 vaccine lot ‘041L20A’
Vaccination des sujets âgés: 23 morts en Norvège… Au 18 Janvier 33 morts. Des experts Chinois appellent à la suspension de la vaccination par le vaccin Pfizer. 10 morts en Allemagne.
https://www.bmj.com/content/372/bmj.n149
Source : planete-homeopathie.org
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