"La Vie Hospitalière"

mardi 28 janvier 2020

Le 29 manifestons pour le retrait du projet de réforme des retraites !


Sur tout le territoire de nombreuses actions sont déjà programmées, interpellations de parlementaires, soirées de soutiens, débats, meeting, manifestations... Notre mouvement s'étend et se renforce dans la durée avec énergie et volonté.
L'intersyndicale réclame plus que jamais le retrait du projet de réforme pour ouvrir des négociations constructives afin d'améliorer le régime actuel pour tous les secteurs professionnels et toutes les générations.
Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNL et UNEF appellent à faire du mercredi 29 janvier, veille de la conférence de financement, une journée massive de grève et de manifestations interprofessionnelles et intergénérationnelles. 
Elles appellent à poursuivre le renforcement et l'élargissement de la mobilisation en multipliant les initiatives les jeudi et vendredi qui suivent notamment avec des retraites aux flambeaux, des dépôts d'outils de travail, des assemblées générales, des initiatives en direction de la population.
Nos organisations décident de se revoir le 29 janvier pour décider ensemble des suites.
(Extrait d'un communiqué intersyndical)




Note de "La Vie Hospitalière" : il y a un départ collectif prévu pour 13 heures 30 de l'hôpital Cochin. Ayons ce jour là une pensée pour l'agent qui s'est suicidé le 7 mars 2017 à  Cochin. (Nous y étions ayant participé ce jour là à une manifestation quelques heures auparavant devant le Ministère de la Santé).

C'est maintenant, plus qu'hier qu'il faut bouger ! 
Face à ce gouvernement que l'on peut effectivement qualifier d'autoritaire (1), car il impose notamment aux citoyens et citoyennes des orientations contraires à leurs intérêts.
La démocratie ce n'est pas contrairement aux dires de certains s'autoriser d'avoir la main mise sur les patrimoines, spoliant ainsi le peuple avec pour finalité et insidieusement faire profiter des groupes financiers.
Il y a non seulement une sorte de despotisme mais encore des actions de détournements de capitaux appartenant aux citoyens et citoyennes, comme ceux de la Sécurité sociale (fruits de la Libération).
De là, une question se pose :  de quel côté sont nos ennemis ? 

1) Comme l'a dénoncé dernièrement Ségolène Royal, en effet l’ancienne ministre socialiste a estimé que  " la France basculait dans  " un régime autoritaire ", avec un pouvoir qui n'écoute pas, qui en fait qu'à sa tête ".






Aucun commentaire: