C’est une procédure exceptionnelle qui témoigne de l’acharnement de ce gouvernement pour imposer l’euthanasie de Vincent Lambert !
Le gouvernement s’oppose à la décision de la cour d’appel de Paris qui avait ordonné la reprise des soins et se pourvoit en cassation dans l’affaire Vincent Lambert, annonce le ministère de la Santé ce vendredi.
« Une déclaration de pourvoi a été déposée aujourd’hui en fin de matinée auprès de la Cour de cassation pour le compte des ministères parties », a indiqué le ministère de la Santé.
Source : medias-presse.info
1 commentaire:
Il ne m'appartient pas de prendre une position en faveur d'un camp ou d'un autre !
Hélas, on peut parler de "camps"... Pour moi, personnellement, la vie a trop d'importance pour faire le choix de laisser mourir une personne en toute impunité ! Où se trouve l'once qui fera basculer la balance pour l'un ou l'autre camp ?...
Comment peut-on aujourd'hui décider de vie ou de mort sur un patient ? Car en fait c'est bien du droit à l'euthanasie dont il est question tout particulièrement...
Une orientation politique dans l'ombre d'une dérive qui met à mal la déontologie médicale qui veut que le médecin ait une obligation de moyens pour soigner un patient.
Sachant que l'exercice médical ne peut se dissocier ou s'écarter des grands principes de moralité, de probité et de dévouement qui sont jugés indispensables à l'exercice de la médecine selon le Code de déontologie (article 3).
Alors pour moi ce n'est pas une question de camps, il faut que la vie soit respectée, il appartient à personne de mettre fin à la vie d'une autre. Dans ce respect de la dignité de tout être, si une personne ne peut être soignée dans un hôpital alors où peut-elle l'être ?
Il y a un grand malaise en France (et bien évidemment dans d'autres pays où la libéralisation de la santé fait que cette dernière est devenue un produit)... Ceci fait peur car demain si une personne du "milieu médical" estime que le patient ne pourra plus avoir une vie normale, qu'il est devenu alors une charge pour la "société" (ne nous voilons pas la face) alors un choix pourra être fait : celui d'interrompre les soins... c'est une grande atteinte au droit de vivre, tout simplement.
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