L'interview explosive de Fabrice Di Vizio, avocat d’un collectif de 600 médecins

Fabrice Di Vizio est l'avocat d’un collectif de plus de 600 médecins qui a porté plainte contre Agnès Buzyn et Édouard Philippe pour leur gestion de la crise du coronavirus ! 

Fabrice Di Vizio  avocat d’un collectif de plus de 600 médecins qui a porté plainte contre Agnès Buzyn et Édouard Philippe pour leur gestion de la crise du coronavirus

..."Moi, dès le 20 décembre on savait qu' il y avait un virus qui circulait parce que je suis sur un blog médical chinois", dit-elle, international en vérité,  " et on savait que ce virus circulait tant et si bien que j'ai averti le Premier-ministre,  j'ai envoyé un message le 15 janvier au Président de la République et le but c'était de reporter les élections municipales parcequ'on savait que ces élections ne pourraient pas se tenir compte tenu de ce qu'il allait se passer et de ce virus qui allait empêcher en raison de sa propagation à toutes les élections. J'ai averti le Directeur Général de la Santé, et lorsqu'effectivement je suis partie du Ministère j'avais les larmes aux yeux, et pourquoi  je pleurai, parceque je savais le Tsunami qui allait s'abattre sur nous." 

Pourquoi :

- Il n'y a pas eu de mesures propres à empêcher la propagation du virus ?

- Madame Buzyn, le 24 janvier, a dit le contraire devant les  français, en disant que le virus n'arriverait pas en France ou qu' il y a très peu de chances ?

En Fait Madame Buzyn a démontré qu'elle savait tout, qu'elle a rien dit et qu'elle arien fait.

Pour Maître Fabrice Di Vizio c'est un aveu, c'est très clair.

À un moment donné il y a un degré de confiance qui s'appelle en droit européen : la confiance légitime, c'est un grand principe, à un moment dans l'action administrative publique les gouvernants doivent pouvoir faire en sorte que les citoyens aient une confiance légitime en eux, c'est un concept assez compliqué mais l'idée elle est là.

Je dois avoir confiance dans le gouvernenent, la confiance elle est au coeur des politiques publiques elle est au coeur de la relation entre un état de droit et ses citoyens. 

Aujourd'hui le problème que nous avons c'est que ce gouvernement a rompu le lien de confiance, certains parlerait du Contrat social de Rousseau, mais c'est un peu ça, c'est très, très grave ce qu'il se passe aujourd'hui, c'est très très grave.

Le gouvernement envoie des gens à la mort, on est sur un taux de mortalité de 5 %, et vous avez vu ce qu'il se passe en Italie.

C'est comme ci le gouvernement italien arrivait à la télé pour dire : " On savait, mais on a choisi de ne rien dire et de ne rien faire" est-ce que vous imaginez ce que ça représenterait pour les familles ?

En France on en est pas encore là mais on va y arriver...

Source : 
PUTSCH Media

( Matteo Ghisalberti et  Nicolas Vidal )





...