Selon les déclarations du président du Conseil scientifique COVID-19, Jean-François Delfraissy ( invité mercredi au Sénat ) il faut s'interroger sur ces paroles qui apparaissent de plus en plus inconsidérées. Ci-dessous un extrait de l'article du journal "Le Parisien".
"Pour un Français sur quatre, ou presque, le 11 mai ne sera pas synonyme de déconfinement. Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique - boussole de l'Etat dans son combat face au conoravirus -était l'invité du Sénat ce mercredi midi. Et il a donné quelques grandes tendances sur la physionomie de la France à la sortie du déconfinement.
Source : leparisien.fr
Pour plus d'informations
Ci-dessous l'extrait d'un article du site L'Insolent, écrit par JG Malliarakis :
Note de "La Vie Hospitalière"
"Pour un Français sur quatre, ou presque, le 11 mai ne sera pas synonyme de déconfinement. Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique - boussole de l'Etat dans son combat face au conoravirus -était l'invité du Sénat ce mercredi midi. Et il a donné quelques grandes tendances sur la physionomie de la France à la sortie du déconfinement.
Ce sont donc 18 millions de citoyens français qui devront prolonger leur isolement. Il s'agit des personnes âgées de plus de « 65-70 ans » ainsi que de toutes les personnes atteintes de pathologies à risques (insuffisances respiratoires, cardiaques, hypertension, obésité...).
Pour un Français sur quatre, ou presque, le 11 mai ne sera pas synonyme de déconfinement. Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique - boussole de l'Etat dans son combat face au conoravirus -était l'invité du Sénat ce mercredi midi. Et il a donné quelques grandes tendances sur la physionomie de la France à la sortie du déconfinement.
Ce sont donc 18 millions de citoyens français qui devront prolonger leur isolement. Il s'agit des personnes âgées de plus de « 65-70 ans » ainsi que de toutes les personnes atteintes de pathologies à risques (insuffisances respiratoires, cardiaques, hypertension, obésité...).
«Ce n'est pas un scoop, ces personnes continueront le confinement. Dans quelles conditions, pour combien de temps ? Je ne sais pas », a indiqué le professeur Delfraissy. « En attendant de trouver un traitement préventif », a-t-il simplement avancé.
Pour le reste de la population, le déconfinement annoncé par Emmanuel Macron pour le 11 mai ne pourra se faire que si un certain nombre de conditions sont réunies, a-t-il estimé.
Une « brigade » nécessaire pour compléter le traçage numérique
« Je suis extrêmement clair : si on n'a pas les pré-requis il faut rester confinés » et « s'il faut retarder de quelques jours parce qu'on n'est pas prêt, il faudra retarder de quelques jours », a insisté le Pr Delfraissy. Parmi ces impondérables, il a mis notamment en avant la disponibilité d'un nombre suffisant de tests de dépistage du virus, et la prise en charge des personnes contaminées mais ne nécessitant pas d'hospitalisations.
Il a également abordé la fameux système de traçage numérique des contacts des nouveaux cas identifiés. Mais attention, selon lui, ce dispositif controversé ne marchera pas qu'il s'accompagne de moyens humains. Il en veut pour preuve l'exemple sud-coréen. A Séoul, une « brigade de 20.000 personnes » avait pour mission la prise en charge des nouveaux contaminés et le traçage des cas contacts. « C'est de l'humain qu'il y a derrière. Et on ne l'a pas en France et si on ne l'a pas, ça ne marchera pas », a-t-il estimé, évoquant un chiffre de 30.000 personnes pour cette « brigade » en France.
« 10.000 à 15.000 nouvelles contaminations » par jour
Malgré le ralentissement de l'épidémie attendu, les estimations théoriques tablent sur « 10.000 ou 15.000 nouvelles contaminations » par jour à partir de la mi mai ou de la fin mai, a-t-il noté. Un « ordre d'idée » calculé à partir du nombre d'entrées en réanimation. « Il faut se mouiller un peu pour qu'on essaie tous d'avoir un petit exercice d'intelligence et de compréhension sur ce qui va être possible et pas possible », a insisté le professeur Delfraissy, après avoir donné ces chiffres.
Le conseiller de l'Elysée a enfin tenu à exprimer ses inquiétudes sur le million de personnes vivant en France dans une extrême précarité : les SDF et les migrants, sur laquelle l'État a « très peu de données » en termes de niveau de contamination."
Source : leparisien.fr
Pour plus d'informations
Ci-dessous l'extrait d'un article du site L'Insolent, écrit par JG Malliarakis :
" Quand on lit les déclarations de ce professeur "d'éthique" cela n'est pas annoncé au conditionnel, cela ne se veut pas un conseil de prudence, c'est écrit comme un ordre, comme un décret. Au nom de la Science, vous dis-je. Quelle Science ?
Celle du Dr Mengele ?
Celle du Dr Mengele ?
Robespierre fut destitué et guillotiné en 1794, en très grande partie pour avoir imaginé et mis en scène, quelques semaines avant sa chute, le culte de la Déesse Raison.
On se demande si l'affreux, le monstrueux, Incorruptible n'était pas un précurseur."
Note de "La Vie Hospitalière"
Jean-François Delfraissy était l’invité de la matinale de Guillaume Durand le mardi 3 mars, toujours bien droit dans ses bottes alors qu'il y avait 191 victimes et trois personnes décédées, on voit aujourd'hui l'hécatombe qui se résume à 364 nouveaux décès dans les hôpitaux et 278 au sein des
Ehpad selon le dernier bilan officiel soit 642 morts de plus.
Le
bilan du Covid-19 en France a atteint 19.323 décès, dont 11.842 dans les
établissements hospitaliers et 7.481 dans des établissements sociaux et
médico-sociaux...les personnes décédées à leur domicile ou sur le trottoir ne sont pas prises en compte...
Depuis ce 3 mars où il y avait 3 morts le gouvernement n'a pas vraiment pris de mesures sanitaires, il y a comme un grand laxisme, le professeur Delfraissy a été nommé président du conseil scientifique COVID-19 institué par le ministre de la Santé Oliver Véran le 11 mars...toutefois aucune mesure de prophylaxie sanitaire a été vraiment prise, il fallait que les personnes qui se trouvaient au moins dans les zones les plus exposées soient testées efficacement, et que le port du masque soit une nécessité pour tous, il fallait séparer les personnes susceptibles d'avoir été contaminées des personnes saines, ceci aurait évité, au moins, un confinement général mais rien a été entrepris dans le bon sens, et en toute logique.
On a même l'impression que les orientations étaient plus dirigées vers une manipulation de masse, voire à la limite pour imposer une vaccination générale tant souhaitée par Bill Gates ce "grand professeur"...(qui a même noyauté l'OMS)...
Donc aujourd'hui la responsabilité du gouvernement est énorme, et nous ne saurions accepter que des mesures privatives de libertés interviennent plus encore pour les français et les françaises.
Il faut des mesures sanitaires à la hauteur des besoins, donner desmoyens aux hôpitaux, à tous les soignants et à tous ceux qui de près ou de loin participent à l'aide, aux soins etc de nos concitoyens et concitoyennes touchés par la maladie, et, non des mesures liberticides déplacées et de plus en plus injustifiées.
Le gouvernement en place actuellement semble oublier que nous avons une Constitution qui depuis 1793 est toujours en vigueur...
Que de questions ?
Que d'interrogations sur les buts réellement poursuivis ?
Les résultats sont là : aucun traitement officialisé par le "grand clan scientifique", et si le Professeur Didier Raoult n'avait pas eu une attitude responsable et digne du grand scientifique qu'il est, où en serions-nous ?
Que d'interrogations sur les buts réellement poursuivis ?
Les résultats sont là : aucun traitement officialisé par le "grand clan scientifique", et si le Professeur Didier Raoult n'avait pas eu une attitude responsable et digne du grand scientifique qu'il est, où en serions-nous ?
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