Alors que partout l'épidémie d'infections au coronavirus progresse, et malgré les avertissements des instances sanitaires internationales, l'État français n'a pas pris à temps les mesures nécessaires pour protéger les personnes sur son sol
Les mesures prises récemment sont tardives, insuffisantes et incohérentes. De ce fait, de nombreuses personnes, dont du personnel médical, ont été et sont toujours exposées à des risques sanitaires, sont tombées malades ou sont décédées.
Le droit français protège les personnes de ces négligences, mises en danger et violences. Selon la situation dans laquelle vous vous trouvez.
Le site vise à faciliter le dépot d'une plainte contre X à l'aide de dossiers pré-rempli assorti d'une notice explicative.
Source : plaintecovid.fr
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Pour "La Vie Hospitalière" si les médecins se trouvent menacés dans leurs choix de traitements il y a là un gros problème. Et le gouvernement de près comme de loin a bien des responsabilités. Bien des malades meurent faute d'avoir eu des traitements leur permettant de survivre il y a là aussi un grave problème! La France est par exemple le seul pays à interdire aux médecins, la prescription de l'hydoxychloroquine ( fait troublant : la chloroquine a été classée comme substance vénéneuse par la ministre de la Santé le 13 janvier 2020 ?...).
Pourtant les médecins se doivent d'avoir tous les moyens possibles pour soigner c'est une obligation, faute de pouvoir garantir, dans certains cas, de bons résultats.
Le serment d'Hippocrate est considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale, même si il n’a pas de valeur juridique au sens propre du terme, mais il peut toutefois être invoqué par tout médecin digne de cette qualité.
Ci-dessous un extrait de ce serment :
"...Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux."
"...Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque."
Noublions pas la déclaration de Genève également intitulée Serment du médecin inscrit en annexe du code de déontologie médicale. Cette déclaration a été adoptée par l'assemblée générale de l'Association Médicale Mondiale en 1948
Ci-dessous un extrait :
"...EN QUALITÉ DE MEMBRE DE LA PROFESSION MÉDICALE
JE PRENDS L’ENGAGEMENT SOLENNEL de consacrer ma vie au service de l’humanité.
JE CONSIDÉRERAI la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité.
JE RESPECTERAI l’autonomie et la dignité de mon patient.
JE VEILLERAI au respect absolu de la vie humaine.
JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient..."
Il y a encore beaucoup de chemin à faire pour certains.
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