"La Vie Hospitalière"

mercredi 15 avril 2020

COVID-19 : Le traitement de la Doctoresse iséroise Sabine Palliard-Franco donne de bons résultats

Le docteur Sabine Paliard-Franco est un médecin de l'Isère qui a publiés deux rapports il y a peu. Elle soigne les patients ayant les symptômes du Covid-19 avec des antibiotiques de la famille des macrolides associés ou non à une C3G. 
Elle soigne ses patients avec un taux de réussite de 100 %. 
Un autre médecin de Moselle, le docteur Jean-Jacques Erbstein utilise également les macrolides avec le même succès


Le docteur Sabine Palliard-Franco a partagés le 26 mars des résultats  très positifs sur quelques patients aux symptômes similaires au Covid-19, non confirmés pour cause d'absence de test. Pour que le professeur  Raoult se sente moins seul, en voici le détail, à noter que sont utilisés des macrolides préconisés (azithromycine)  par Didier Raoult. 

Ces résultats ne sont pas "scientifiques", mais ils sont positifs et c'est assez probant... C'est un bilan de tentatives de soins administrés de manière empirique, fonction de l'expérience du  docteur Sabine Palliard-Franco , comme le font tous les médecins qui appliquent le serment d'Hyppocrate auquel ils ont juré de se conformer...
Ci-dessous les deux rapports médicaux :

Premier rapport en date du 26 mars 2020

Dans le cadre de cette épidémie galopante de Covid-19 qui inquiète tout le monde, à toutes fins utiles, je vous fais part de ce qui se vit dans notre secteur :
Sur Châbons, dans la Bièvre, comme chacun de mes confrères du Centre Médical, j’ai reçu depuis 15 jours en consultation déjà au moins 36 patients pour des syndromes grippaux atypiques, ayant les symptômes bien évocateurs du Covid 19.
En effet, les symptômes comme de la fièvre, de la toux, des maux de gorge très inflammatoires, de l'anosmie, agueusie, des troubles digestifs inauguraux et des malaises pour des patients âgés, qui pour la plupart avaient été vaccinés ou avaient déjà fait la grippe saisonnière, dont 11 ont fait une forme sévère. Ces patients n’ayantévidemment pas été testés, faute de tests disponibles jusqu'à il y a une semaine, ces tests restant très rationnés, dans un labo distant d'1/2 h en voiture.(Voiron)
Pour toutes les formes sévères et variées de pneumopathies sur des sujets à risque (diabète, obésité, âge avancé, troubles cognitifs, terrain cardio vasculaire ou cancer…) j’ai prescrit dans un premier temps de la Rocéphine injectable 1 à 2 g/jour selon la
corpulence, ce qui a rapidement fait chuter la fièvre et amélioré certain symptômes respiratoires chez les patients. Cependant, malgré ce traitement à large spectre, il demeurait souvent une dyspnée avec état inflammatoire des bronches et du rhinopharynx, une sibilance, une oppression thoracique, ou des glaires épaisses et douloureuses dans les voies aériennes supérieures et inférieures.
Parallèlement, pour un jeune de 23 ans ayant les mêmes symptômes grippaux, mais ne présentant pas de risque autre qu’un terrain allergique, avec fièvre, toux et aggravation
inquiétante de l’essoufflement et oppression thoracique à j7 , n'ayant que la clinique pour prendre une décision, je l’ai traité par ZECLAR /Innovair /anti-histaminique comme pour une surinfection de bronchiolite chez les nourrissons ou une pneumopathie
atypique printanière. Traitement qui a donné un très bon résultat en à peine 24 heures sur tous les symptômes.
Confortée par la rapidité et l'efficacité de cette classe médicamenteuse, j’ai donc ajouté à tous mes cas critiques cette prescription de macrolide (ZECLAR, RULID ou Zithromax
dont on connait l’action bactéricide sur les germes atypiques et l’action virucide) ce qui a dans les 24 heures amélioré les symptômes subsistants chez tous les patients, même sévères,
âgés ou polypathologiques.

En cas d’essoufflement et/ou de toux rebelle, je prescris volontiers une association fixe de bronchodilatateur et de corticoïde inhalé, et un anti-histaminique sur les terrains allergiques. (pour réduire l'inflammation générale).
Je fais un suivi journalier de tous ces cas de syndromes grippaux atypiques et en particulier pour tous les cas sévères.

Pour ceux à la limite de l’hospitalisation, je constate que sous ce double traitement, (Rocéphine IM ou SC et macrolide per os, bronchodilatateurs) ils n’ont plus de symptômes inquiétants ou sont déjà guéris.
Pour les cas les moins sévères, le macrolide suffit et agit dès les premières 24h tant sur la toux, la fièvre, les myalgies, les signes ORL et l’état général.
C'est étonnant. Quel que soit le stade d’avancement de la maladie lors du début du traitement ( J5, J7, J9 ou J12) je constate une réponse significative en moins de 48 heures et généralement dans les 24 heures, sur la surinfection, et les symptômes inquiétants, manifestement dissociée de l’évolution naturelle du virus.
N’ayant pas accès aux tests, je ne peux pas savoir si la charge virale diminue avec ce traitement, mais il est certain qu’avec ce traitement on lutte efficacement contre la surinfection et l’inflammation, ce qui est l’objectif et m’a permis d’éviter au moins 7 hospitalisations dont 5 au-dessus de 75 ans.
Je suis en train de réaliser une synthèse des données médicales de cette population que je ne manquerai pas de vous faire parvenir.
En espérant que cela vous sera utile, pour contribuer à la prise en charge en ambulatoire des cas groupe I et II et éviter le basculement vers l'hospitalisation et la réanimation.
En attendant d'autres consignes thérapeutiques pour les cas graves, comme l'hydroxychloroquine, que je ne me suis pas risquée de prescrire, dans l'attente, cela pourrait peut-être aider d'autres patients, notamment âgés, ou en institution. Ou éviter
le recours à la quinine en cas de contre-indication ou de risque de toxicité.
Bien cordialement,
Dr Sabine Palliard-Franco 


Deuxième rapport en date du 29 mars 2020 

Retour d'expérience  sur la prise en charge de Malades suspects de Covid-19 : 
Groupe I
Cabinet médical de Chabons. Dr Sabine Palliard-Franco 

Suite à ma communication du 26 mars 2020 concernant les patients suspects de Covid-19 sévères (de groupe II) vous trouverez ci-dessous les graphes montrant l’évolution des symptômes des 24 patients ayant fait une forme modérée de syndrome grippal atypique (de groupe I), et pour lesquels je pensais qu’ils devaient quand même bénéficier d’un traitement et d’une surveillance rapprochée :
Les critères d’instauration du traitement sont les suivants : Durée d’évolution supérieure à 5 jours, toux sèche persistante, dyspnée, signes généraux marqués, fièvre prolongée, rechute d’une toux après un semblant de guérison à la 2ème semaine entre J7 et J10... 
Facteurs de risque respiratoires et cardio-vasculaires, maladie auto-immune, cancer. Tabagisme, surpoids. Terrain allergique. 

Contexte social.
Les patients ont tous reçu au moins un Macrolide (Zithromax, Zeclar, Rulid ou Josacine) et dans les cas présentant une pneumopathie mal tolérée, une association avec une C3G (CEFTRIAXONE) ou Cefpodoxime.
J’ai prescrit le macrolide seul aux patients chez lesquels je constatais l’existence d’un syndrome bronchique avec pneumonie atypique, bilatérale, avec diminution du murmure vésiculaire et dyspnée, et une C3G en plus en cas de signes ORL marqués ou d’infections pulmonaires basses, franches lobaires aiguës. Car l’on constate lors de ce syndrome grippal une atteinte de tout l’arbre respiratoire à différents niveaux.
Nous avons suivi les patients chaque jour et relevé l’état les symptômes, au démarrage de la maladie, au jour d’instauration du traitement (noté T) et les 3 jours suivants (T1,T2,T3).
Les symptômes étudiés sont la toux, la fièvre, la dyspnée, l’asthénie, les troubles digestifs, les céphalées et les signes ORL (maux de gorge, obstruction nasale, anosmie et agueusie).

Graphique toux groupe 1



Après instauration du traitement au temps T, l’on constate la disparition rapidement progressive de la toux : 50 % des patients n’ont plus de toux en 24 heures, et plus personne ne se plaint de toux à 72 heures.
La lutte contre ce symptôme contribuant à la réduction du risque de contagion par projection de gouttelettes.

Graphique fièvre groupe 1



Une fièvre modérée est observée avant le traitement. Elle se normalise dans les 48 heures sous traitement.

Graphique dyspnée d'effort intense groupe 1



Le symptôme principal étant l’essoufflement, on observe, peu après l’introduction du traitement, une amélioration rapide de la dyspnée d’effort.

Graphique asthénie groupe 1


En à peine 24 heures de traitement, la fatigue diminue nettement, la plupart des patients retrouvant un bien meilleur état général.

Graphique ORL groupe 1



Les signes ORL comme les maux de gorge ou l’obstruction nasale diminuent très fortement à 48 heures après le début du traitement.

Graphique digestif groupe 1


Les patients ayant présenté des troubles digestifs inauguraux à type de douleurs abdominales fébriles, syndrome septique, diarrhée ou vomissements, ont reçu :
- soit une fluoroquinolone plus axée sur les symptômes coliques.
- soit un macrolide s’ils présentaient secondairement des signes respiratoires une fois la crise digestive passée.

Graphique céphalées groupe 1


Les céphalées présentes chez 1/3 des patients cèdent en à peine 24 heures de traitement chez 3 patients sur 4 et chez tous les patients en 3 jours.

Graphique myalgies groupe 1


Près de 50% des patients présentaient des douleurs musculaires ou articulaires.
Les myalgies étant un signal d’alarme chez les patients, associées à une baisse de l’état général, et fréquemment de l’anxiété, cèdent en 48 heures avec le traitement.

Divers points :

1) Il faut noter que les patients n’ont pas tous été pris en charge au même stade de la maladie (entre J5 et J 20). 

2) Il est remarquable que les patients présentent de nombreux symptômes qui cèdent tous dans le même délai de 48 heures, ce qui par conséquent écarte l’hypothèse d’une simple élimination naturelle du virus dans ce processus de guérison. 

3) Les patients pour lesquels nous avons le plus de recul ne présentent plus de symptômes. 

4) J’ai utilisé 4 macrolides différents, et n’ai pas remarqué de différence d’efficacité, mais seulement de tolérance digestive.

Conclusion :

Le covid-19, ce coronavirus venu d’Orient qui nous occupe depuis plusieurs mois partout dans le Monde, génère de l’angoisse chez des milliards d’individus confinés, fait des dégâts humains et économiques considérables, même dans des pays développés qui n’avaient pas vu venir la catastrophe.
Cette communication de la part d’un médecin généraliste n’était pas préméditée, surtout en ces temps où l’on est débordé de travail. Elle a été faite dans l’urgence car il ne fallait pas garder cela pour soi.

Même de manière bien peu académique, il m’a semblé important, dans ce contexte très particulier de partager à mes confrères au plus vite de bons résultats d’un traitement empirique sur une maladie très contagieuse, encore bien méconnue et entraînant des pneumopathies atypiques parfois graves et mortelles.
Cette étude clinique, montre la réponse rapide des patients hautement suspects de covid 19 à un protocole très simple : la prise d’un macrolide donné seul dans le groupe I ou combiné à une C3G dans le groupe II, ce qui semble, d’une part, stopper la dégradation de la maladie, et d’autre part, soigner efficacement tous ses symptômes en 24 ou 48 heures.
C’est étonnant et soulève de nombreuses questions :
En effet, il serait intéressant de savoir si le macrolide a aussi une action virucide même modérée, en complément de son activité contre la surinfection bactérienne et l’inflammation qui en découle.
Le Zithromax a pour sa part fait l’objet de travaux japonais en Octobre 2019 qui ont prouvé son action virucide sur le virus H1N1, avec une bonne description de son mécanisme de lutte contre les infections intra-cellulaires.

Cette activité anti-virale s’appliquerait-elle aussi au coronavirus ?

Il serait intéressant de comprendre si certains macrolides ont effectivement des propriétés virucides, si certains seraient plus performants que d’autres, ou s’il s’agit simplement d’un effet de classe. Cette dernière hypothèse semble se confirmer compte-tenu de l’équivalence d’efficacité sur les symptômes lorsque l’on varie les molécules.
Ce qui aurait l’avantage de mettre à l’abri d’une éventuelle pénurie de médicaments macrolides s’ils s’avèrent très sollicités.
Il y a lieu de déterminer s’il faut prolonger le traitement antibiotique tant que l’excrétion virale persiste. Une durée de traitement minimale de 10 à 14 jours semble indiquée pour éviter les rechutes de ces pneumopathies atypiques.
A ce jour, il est très rassurant de constater que tous les patients que j’ai reçus avec ces symptômes sont répondeurs au protocole Macrolide seul (groupe I) ou Macrolide-C3G pour les formes sévères (groupe II). (une quarantaine de patients au 28 mars 2020 et cela ne cesse de croître)
La pandémie actuelle et le pic épidémique qui arrive dans notre pays nécessitent de réagir rapidement pour éviter les hospitalisations, et l’engorgement des hôpitaux.

Compte-tenu :

1/ de la relative innocuité des macrolides, et des céphalosporines, médicaments anciens et bien connus, évidemment dans le respect des contre-indications,
3/ de leur accès facile en Médecine de ville ou à l’Hôpital,
4/ dans l’attente de molécules actives validées, sûres ou innovantes, et d’un vaccin
5/ le rapport bénéfice-risque étant clairement favorable,
6/ lorsque l’hydroxychloroquine n’est pas envisageable chez certains patients ou mal tolérée
6/ il serait sans doute bénéfique d’en faire profiter sans tarder aux personnes touchées par ce virus, surtout les plus vulnérables, âgées, qui sont malheureusement variables d’ajustement dans cette période de pandémie.

Je n’ai pas testé les formes injectables des macrolides (Erythromycine, Rovamycine), qui pourraient être utiles auprès des personnes âgées ou dépendantes. Ce médicament tout simple n’est certes pas le premier envisagé dans les structures hospitalières habituées à utiliser des molécules à plus large spectre, mais il pourrait retrouver sa place dans ce contexte épidémique.
Il serait important que d’autres confrères s’engagent dans cette démarche d’appliquer ce protocole et communiquent leurs résultats pour conforter cette analyse. Le risque pour les patients est faible, par contre le bénéfice attendu est important en l’absence de traitement spécifique validé du covid-19. Car il est évident que les procédures engagées par les autorités entraînent des délais qui ne sont pas adaptés à l’urgence de la situation de terrain, qui nécessite des solutions applicables immédiatement.
Et ce, pour éviter la perte de chance et sauver des vies humaines quand on commence à entrevoir des traitements actifs.
Des études prospectives seraient à entreprendre, en faisant tester les patients dans des Ehpad ou des services hospitaliers et permettraient, je l’espère, de confirmer ces bons résultats et de conforter l’espoir qu’ils suscitent.
Avec mes salutations respectueuses et dévouées.
Dr Sabine Paliard-Franco
38690 Chabons


Son fils Philippe Paliard  a publié sur son site Facebook une page d'hommage à sa mère.

Je suis TRÈS fier de ma mère, le Dr Sabine Paliard-Franco, qui a guéri 100% de ses patients atteints du coronavirus.
Depuis plus d’un mois, ma mère est confrontée à plusieurs patients présentant les symptômes du Covid-19. Dans sa commune du Nord-Isère, de nombreuses personnes travaillent à Lyon, ville fortement touchée par l’épidémie.
En l’absence de piste de traitement pour ses patients –car c’était avant les premières apparitions publiques du Pr Raoult–, elle décide alors de leur prescrire une combinaison « Macrolide + C3G » : deux familles d’antibiotiques bien connus, très peu chers et faciles à produire, utilisés depuis 20 ans contre les pneumonies atypiques. Après tout, elle trouve que cela ressemble bien à une pneumonie…
En 24 à 48h, tous les symptômes disparaissent brutalement. Prodigieusement. Cela chez tous ses patients, des formes bénignes aux plus graves !
Quinze personnes présentaient des formes sévères de la maladie, avec des problèmes respiratoires et des terrains à risque (personnes très âgées, fumeurs, diabète, cancer, etc.). Elle imaginait devoir les envoyer aux urgences rapidement, et pensait même ne plus revoir certains d’entre eux.
Mais aucun n’a eu besoin d’aller à l’hôpital. Tous ont intégralement guéri en 24 à 72 heures !
Je peux moi-même témoigner de l’efficacité de ce traitement. Après avoir tenu un bureau de vote la journée du 15 mars pour les municipales, j’ai eu plusieurs symptômes du Covid. Au bout de plusieurs jours, j’étais de plus en plus malade et fatigué. Quand ma mère m’a prescrit ce traitement un matin, j’étais remis sur pied le soir même ! Le lendemain, je n’avais plus aucun symptôme et j’étais en pleine forme.
Quinze personnes, mais près de 80 en incluant les formes moins sévères, ce n’est que le petit échantillon qu’un médecin seul peut produire. Mais face à l’efficacité de son traitement, ma mère a rapidement souhaité partager son expérience à ses collègues. Son protocole de soins a alors été diffusé nationalement par la très sérieuse société française de gériatrie.

Voici les liens :

- Synthèse du 26 mars : http://www.agree-asso.fr/.../123-experiences... [ 1 ]

- Formes sévères (groupe II) : https://sfgg.org/.../03/covid-traitement-macrolide-c3g.pdf [ 2 ]

- Formes modérées (groupe I) : https://sfgg.org/.../protocole-groupe-i-29-mars-2020-bis... [ 3 ]


Ce n’est pas une étude scientifique. Ma mère ne fait pas de recherche. Elle n’est pas payée pour faire des publications scientifiques dans des grandes revues. Elle n’est pas non plus payée par des laboratoires pour promouvoir des traitements à prix exorbitants. Elle ne recherche pas la gloire ni même la moindre publicité. C’est simplement un médecin généraliste, fidèle à son serment d’Hippocrate, qui veut sauver les vies de ses patients.
Depuis, plusieurs praticiens partout en France, mais aussi de nombreux services hospitaliers et EHPAD en Isère, Savoie, Haute-Savoie, dans le Grand Est et en région parisienne appliquent son protocole de soins. De nombreuses vies ont pu être sauvées ! Il y a quelques jours encore, ma mère a reçu les remerciements d’un médecin qui a ainsi pu guérir un patient de 97 ans en insuffisance respiratoire.
Nous avons beaucoup entendu parler du Professeur Raoult et de l’hydroxychloroquine. Le débat s’est vite porté sur cette molécule : traitement miracle pour les uns, inefficace voire même dangereux pour les autres à cause de ses effets secondaires.
Mais ce tumulte nous fait oublier quelque chose : le Professeur Raoult ne donne pas seulement l’hydroxychloroquine. Il la combine avec un antibiotique : l’azithromycine (ou Zithromax). Et qu’est-ce que l’azithromycine ? Un macrolide ! Référez-vous au début du texte : c’est ce que ma mère prescrit à ses patients ! Inutile de vous dire que cela l’a confortée dans sa conviction que son protocole fonctionnait.
Seulement, ma mère n’a jamais prescrit de chloroquine associée au macrolide. Il n’y a donc pas ces risques d’effets secondaires cardiovasculaires.
Et si le traitement miracle, ce n’était pas la chloroquine dont on n’arrête pas de parler ?
Et si c’était le macrolide, donné à la fois par le Pr Raoult, par ma mère et divers autres praticiens avec les mêmes excellents résultats ?
Il y a quelques jours, nous avons découvert la mise en ligne d’un dossier du Haut Conseil de la Santé Publique, daté du 5 mars 2020 et demandé par Jérôme Salomon, directeur Général de la Santé, avec les recommandations de traitement contre le covid-19. Il est écrit noir sur blanc ce même traitement : Macrolide + C3G.
Voici le lien, cela figure page 19/33 du rapport : 

Enfin, pour les personnes ayant des contre-indications aux macrolides, il est possible de se faire prescrire une autre famille d’antibiotiques : les tétracyclines. Une étude américaine a montré leur action virucide contre le covid, et ma mère les a prescrits là-encore avec succès aux personnes qui ne pouvaient pas prendre de macrolides.
Il y a un traitement. Nous savons aujourd’hui qu’il fonctionne. Il sauve des vies chaque jour. Il est peu coûteux, facile à produire en grande quantité. Des institutions importantes commencent à diffuser cette information.
Relayez ce message. Car si vous ou l’un de vos proches est touché par le Covid, demandez à ce que l’on donne ce traitement.
L’heure est trop grave. Tant de personnes meurent chaque jour dans le monde de ce virus. Les réseaux sociaux peuvent nous aider à sauver ces vies.
Alors s’il vous plaît, partagez, partagez !

Vous trouverez également le témoignage de Philippe Paliard dans une vidéo YouTube de Silvano Trotta parue le 11 avril 2020.




En complément, un article de l'Est Républicain du 11 avril 2020 sur un autre médecin de Moselle, le docteur Jean-Jacques Erbstein, qui a aussi d'excellents résultats en donnant des macrolides.

Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine

Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.

Par Thierry Fedrigo - 11 avr. 2020 (à 6 heures 30 )

Jean-Jacques Erbstein, médecin à Créhange, a mis au point un protocole médicamenteux pour combattre le coronavirus. Photo RL /Thierry SANCHIS

Il avance à pas de loup sachant le sujet épineux, mais il ne s’en montre pas moins enthousiaste. Médecin généraliste à Créhange, Jean-Jacques Erbstein a testé sur ses patients atteints par le coronavirus, un protocole médicamenteux excluant la controversée hydroxychloroquine, mais mettant en avant l’azithromycine qui entre, elle aussi, dans la combinaison thérapeutique prônée par le professeur marseillais Didier Raoult. Et ses observations sont étonnantes. « Depuis quinze jours que j’expérimente cette formule, je n’ai plus ni décès, ni hospitalisation », affirme le praticien.

Prudents

Le traitement, assemblant plusieurs substances actives, découle de discussions menées sur le groupe Facebook médical « Le Divan des médecins » avec un confrère mosellan, Denis Gastaldi, et une consœur belge, Olivia Van Steen Berghe. « On a réfléchi ensemble à des alternatives thérapeutiques en se disant que par rapport à l’hydroxychloroquine, on allait rester prudent. 
Le professeur Raoult parle d’une association entre l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Or, ce dernier médicament, je le connais très bien et je l’aime beaucoup parce qu’il a trois propriétés reconnues : c’est un antibiotique de la famille des macrolides, il stimule une réaction antivirale alors que ce n’est pas un antiviral, et il a une action anti-inflammatoire pulmonaire. Je le prescris au long cours aux gens qui ont des bronchites chroniques parce qu’il évite les surinfections et des hospitalisations itératives. »

À l’azithromycine, Jean-Jacques Erbstein a allié le Singulair, une molécule utilisée dans le traitement de l’asthme pour son action anti-inflammatoire. « Ensuite, on a pensé à incorporer du zinc dans le protocole pour renforcer l’action de l’azithromycine », poursuit le médecin. Puis, en dernier lieu, afin de juguler les complications de type phlébite et embolie pulmonaire, il a été ajouté au protocole une injection quotidienne d’un anticoagulant, l’héparine, à « dose préventive ».

Méthode empirique

« Depuis qu’on applique ce protocole, c’est simple, on n’a plus d’hospitalisation. J’ai un retour positif sur une trentaine de patients. Le docteur Gastaldi, sur une bonne centaine. Et le docteur Olivia Van Steen Berghe, sur une trentaine également », dénombre Jean-Jacques Erbstein tout précisant bien que ses conclusions ne reposent pas sur une étude scientifique consolidée : « C’est sûr, on n’a pas de comparaison. Notre méthode est très empirique. Mais, le résultat est là. »

Le traitement est administré au début de la maladie, lorsque l’infection est diagnostiquée. « Coïncidence, fruits du hasard, je ne sais pas… En tout cas, ça a l’air de bien se passer », termine le thérapeute qui a systématisé sa médication et est convaincu qu’il y a là matière à pousser la réflexion sur l’emploi de cet antibiotique contre le Covid-19 à l’heure où tout le monde se « focalise sur l’hydroxychloroquine, sans vraiment s’intéresser à l’azithromycine », prédominante dans le protocole du professeur Raoult.



Notes de "La Vie Hospitalière"

[ 1 ] Si vous allez sur ce site la réponse est : ERREUR 404 
[ 2 ] Il n'y a plus de texte sur le site ?...
[ 3 ] Idem !...

Donc il est évident que tout est entrepris pour que les médecins, les malades, les familles etc ne soient pas correctement informés, il y a en ce moment, des pressions, des articles de presse plus que douteux, des manipulateurs malfaisants qui tentent de contrôler pour leurs seuls bénéfices tout ce qui touche de près ou de loin les traitements pour soigner les malades. 
Ces actes sont très graves ! 
Les personnes qui sont victimes du COVID-19 ne peuvent être soignés correctement, de là ils vont en soins intensifs avec bien des finalités fatales !...
Certains sont victimes  de "médicaments tests" qui ne donnent pas les résultats escomptés, de là, faute que la maladie soit enrayée nous sommes en droit de nous poser bien des questions compte tenu du nombre de morts chaque jour, compte tenu aussi que des traitements sont bénéfiques pour les patients mais que ceux-ci sont mis de côté sans aucun égard, sans aucun sentiment humain vis à vis de ceux qui se meurent faute d'être soignés autrement que par des médicaments valant une fortune et dont les réels effets secondaires sont loin d'être connus. 
Nous avons dépassés les 15.000 morts en France !
L'urgence des urgences est bien là et nous tenons à remercier tous les professeurs, tous les docteurs qui n'ont pas oublié le serment d'Hippocrate.
Nous aurons le moment venu bien des comptes à régler. 
Il faut arrêter de prendre les citoyens et citoyennes pour des imbéciles aussi. 
L'interview du grand Professeur Didier Raoult  rappelle encore que des traitements sont possibles avant que les malades soient dirigés dans des services de soins intensif, quand il est déjà trop tard.
Selon lui :..."c'est mieux de sauver des gens que de faire des méthodes"...








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