Au secours ! Ils assassinent !

Les morts s'accumulent... en moins d'un mois 
nous avons des centaines de morts !

C'est une situation intolérable !

Pourtant les autorités sanitaires savaient depuis le mois de décembre qu'une menace épidémiologique grave arrivait sur notre pays !

Le principe de précaution n'a même pas été pris en considération !

Dès les trois premiers cas de contamination, reconnus comme tels le 25 février aucune mesure a été prise pour protéger les français.

En plus nous avons appris que le 13 janvier la chloroquine a été classée comme substance vénéneuse, alors qu'en Chine ce médicament avait été utilisé pour combattre le COVID-19 ?...De qui se moque t'on ?

Comment pouvons-nous comprendre qu'un médicament utilsé depuis 50 ans puisse d'un coup être interdit alors qu'il peut mettre un coup d'arrêt à une menace de contamination qui devenait un réel danger pour tout le pays ?

Comment se fait-il que dès la première personne décédée, le 16 février,  alors que nous avions déjà 12 victimes aucune mesure de confinement dans les zones touchées a été prise ? 

Comment se fait-il qu'aucun test a été réalisé dans les zones suspectées de contamination, à l'ensemble des habitants ? Afin, en toute logique,  d'isoler les cas qui pouvaient être considérés comme positifs !

Nous sommes aussi en droit de nous interroger sur le fait que la protection des individus par l'utilisation de masques a complètement été mise de côté, laissant ainsi les citoyens et citoyennes en pleine immersion avec le COVID-19.

On voit tristement l'hécatombe qui se poursuit dans les EHPAD, ainsi que dans les villes où aucune mesure de désinfection des lieux publics a été prise (dont les transports ...) !...

Il y a bien des faits, des actions que nous aimerions comprendre, d'autant plus que  le Professeur Didier Raoult, un éminent savant connu mondialement, a (dès les premiers cas signalés en France)  dit que l'hydroxychloroquine faisait tomber la charge virale des patients et de là le COVID-19 disparaissait, entraînant la guérison des personnes atteintes.

Comment se fait-il qu'il a été déconsidéré d'une manière inqualifiable ?

Nous ne pouvons attendre plus encore et lançons un appel aux médecins qui se doivent de respecter le serment d'Hippocrate loin des tribulations, et dénis graves de ceux qui ont perdu la confiance des citoyens et citoyennes, et qui devront dans un temps très rapproché donner des comptes au peuple souverain.

Nous avons en plus appris de la censure s'opérait insidieusement, ainsi BFMTV qui a décidé de retirer la vidéo du Professeur Perronne (chef du service infectiologie de l'hôpital de Garches) qui avait taclé vivement le "conseil scientifique du gouvernement" qui depuis le début s'oppose à un traitement (à faible coût en plus) qui est en mesure d'enrayer ce fléau.

Les grands responsables devront le moment venu être considérés comme coupables d'homicides involontaires, et bien plus...