"La Vie Hospitalière"

mardi 8 décembre 2020

Le déni quand la vérité sur le Covid fait trop mal

Comment des gens peuvent-ils encore penser que les contraintes imposées par le gouvernement sont prises pour lutter contre le virus ?

Comment font-ils pour accepter de mettre un masque sur une plage déserte ?




Comment ne voient-ils pas que les cas Covid ne signifient pas que les gens sont malades mais que les test PCR indiquent une majorité de faux positifs ?


Comment envisagent ils avec confiance  d’être des cobayes en se faisant injecter un vaccin OGM bricolé à la hâte dont on ne connaît pas l’efficacité mais dont on sait qu’il comporte de gros risques ?


La peur du virus peut-elle empêcher tout discernement ? 

Pourquoi tant de personnes sont-elles prêtes à brader leurs libertés pour un virus de moins en moins létal ? Sont-elles hypnotisées par la propagande ? 

Sans doute ! Pourtant ce ne sont pas les moins cultivées. Leur niveau d’études leur confère un sentiment de supériorité intellectuelle qui leur permet de dévaloriser la pensée de ceux qu’elles considèrent comme des complotistes incultes.


Peu leur importe de rester sourdes aux arguments de la généticienne Alexandra Henrion Caude, du Professeur Raoult de bien d’autres chercheurs bardés de diplômes et reconnus de leurs pairs. Rien ne doit les ébranler.


Des personnes optimistes qui ont fait de la bienveillance, leur ligne de conduite refusent d’imaginer que les dirigeants du monde puissent avoir des intentions malveillantes. 

Se demander pourquoi les gouvernement nous mentent et pourquoi la même politique liberticide sanitaire est appliquée dans la plupart des pays leur donnerait le vertige.


De la critique d’un gouvernement qui ne prenait pas suffisamment de précautions sanitaires à la certitude que beaucoup de décisions mortifères étaient volontaires, il m’a fallu du temps. Mes interrogations m’ont conduites à m’informer, m’indigner à propos du décret Rivotril, accueillir avec réserves l’idée du nouvel ordre mondial que j’esquissais pourtant dans l’un de mes tous premiers articles de blog


Trop de gens hésitent encore à franchir le pas et préfèrent rester dans le déni :


« Je le vois mais je ne veux pas savoir. Je suis lucide mais ne n’ai pas envie de trop ouvrir les yeux parce que ça pique. Il y a des gens qui ont de funestes projets pour réduire la population à un milliard de personnes mais ceux qui disent ça croient aussi aux Illumninatis. »


Les raisons de douter de ce qui semble de plus en plus évident sont nombreuses. Pourtant,  on se raccroche aux dernière lueurs d’humanité qui font que l’on ne conteste pas des consignes débiles. « Je porte le masque pour protéger les plus fragiles. Je ne passe pas Noël avec ma mère âgée pour ne pas prendre le risque de la tuer ». 

Mais comment ne pas voir que cette empathie commandée par nos bourreaux nous met sur le chemin de l’inhumanité ?


Un jour, il faudra poser les bonnes questions sans craindre les réponses qui font peur. Ce sera douloureux de se rendre compte que tout ce que l’on a construit, les enfants qu’on a mis au monde, les liens avec les gens qui nous ont donné leur amour, l’avenir des jeunes, nos projets, nos espoirs… Oui tout peut être balayé par une poignée de dingues qui veulent diriger le monde et nous détruire en commençant par contrôler toute la population.


S’apprêter à vivre dans un tel monde c’est l’effondrement de ce en quoi on a cru.

C’est à la fois violent et désespérant.


Alors, on retarde au maximum le moment d’ouvrir les yeux et on se montre agressif envers ceux qui veulent nous voler nos derniers rêves où protégés par des masques, nous nous confinons dans notre bulle.


Pourtant, il faudra bien sortir de cette illusion pour devenir des êtres libres et préserver une intégrité lucide qu’aucune dictature ne peut atteindre.

Article de Martina Charbonnel


Source : marcha3200.wordpress.com

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