Cela fait plus de 100 ans que la médecine occidentale s’oppose en deux camps
Il y a d’un côté les « chercheurs scientifiques » qui se reposent sur la technologie, les modélisations mathématiques et les vaccins qui affaiblissent notre système immunitaire et de l’autre les médecins qui observent, déduisent de l’expérience, cultivent et surtout soignent en renforçant notre système immunitaire, ce sont les héritiers de l’empirisme médical [1].
Cet affrontement a démarré entre Pasteur et Béchamp et se perpétue aujourd’hui avec l’opposition Y. Lévy vs D. Raoult, leur brouille ayant débuté avec leurs recherches sur le Sida.
L’IHU de Marseille de Didier Raoult et l’équipe du Pr Yves Lévy à Créteil (Inserm) étaient co-auteurs d’une étude sur le Sida.
Ils avaient constatée la guérison spontanée apparente de deux hommes infectés par le virus du sida (VIH). « Cette observation représente une piste pour la guérison », indiquait alors Didier Raoult. La guérison serait due à l’intégration de ce rétrovirus dégradé et neutralisé dans leur ADN. [2]
Les chercheurs avaient ainsi pu montrer qu’il était inactivé par un système d’interruptions de l’information délivrée par les gènes du virus. Ce système, dit de « codon-stop », marque la fin de la traduction d’un gène en protéine. Le virus est ainsi devenu incapable de se multiplier mais reste présent à l’intérieur de l’ADN des patients.
Les interruptions seraient dues à une enzyme connue, l’Apobec.
Mais pour l’INSERM, la guérison du Sida repose uniquement sur l’idée de protéger l’organisme du virus par le vaccin toujours promis et jamais arrivé depuis plus de trente ans.
IMPOSTURE LOUIS PASTEUR
L’imposture vaccinale
La France, pays de Descartes et de la rationalité scientifique est tombée dans une bien étrange assuétude : la dépendance aux vaccins. Si la France est bien la patrie de Descartes elle est aussi, pour son plus grand malheur, celle de Louis Pasteur !
La démonstration d’un fait scientifique par la méthode expérimentale ne repose que sur des mesures de laboratoire, reproductibles, vérifiées par d’autres scientifique et indiscutables.
Premier mensonge ou péché par omission : Contrairement à ce que croit une majorité de Français, Louis Pasteur (1822-1895) n’était pas médecin, ni même biologiste, il n’était que “agrégé-préparateur de chimie” sans que l’on en sache plus sur cette dénomination, et … pas très bon dans sa spécialité. La seule chose qu’on ne peut pas lui enlever : c’était un travailleur acharné, il dormait moins de 4 heures par nuit. Dans les années 1850, Internet n’existait pas et Louis Pasteur était au courant de tout ce qui se passait dans le monde scientifique de l’époque. C’était un activiste, arriviste, il voulait la Légion d’Honneur et il l’a eue (en 1853) ! Louis Pasteur fut le seul Français, à ma connaissance, à avoir bénéficié de son vivant du titre de “bienfaiteur de l’humanité”. Mais, quand on creuse un peu, on se rend compte que la réalité est bien loin de la légende.
Tous les travaux que Pasteur s’attribua sans vergogne, furent en fait “copiés” sur d’autres scientifiques. La seule vraie découverte de Pasteur et dont personne ne parle jamais, c’est la serviette en papier jetable pour s’essuyer les mains. Pasteur était paranoïaque, il voyait des microbes partout, et il pensait, fort justement, qu’en s’essuyant deux fois les mains dans la même serviette on avait toujours les mains sales.
La vérité : Pasteur n’a jamais découvert aucun micro-organisme, à l’origine, il n’y croyait d’ailleurs pas, attribuant la maladie à “une faiblesse constitutionnelle” la découverte en incombe à un vrai biologiste : Antoine Béchamp (1816-1908) docteur en sciences, en médecine et en chimie et diplômé en pharmacie, dont en France, le nom est toujours interdit de cité (lire sur Internet le très intéressant article que lui consacre l’encyclopédie en ligne Wikipédia). Antoine Béchamp avait appelé ces structures microscopiques : microzymas, ( 3.1 Antoine Béchamp et la théorie du microzyma). Pasteur les a rebaptisés : microbes “empruntant” ce nom au chirurgien Français Sédillot (1808-1875).qui fut le premier à l’utiliser.
Béchamp ne courait pas après la gloire, Pasteur si ! Béchamp ne fut pas dupe des manœuvres de Pasteur, car il écrivit : “Je suis le précurseur de Pasteur, exactement comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie.”
Le théorème pasteurien : L’être humain, créature de Dieu est pure et sans souillure, la maladie ne peut donc être provoquée que par une “faiblesse constitutionnelle” puis, se ravisant, devant la démonstration évidente d’Antoine Béchamp sur l’origine de la maladie des vers à soie (sujet sur lequel ils travaillaient tous les deux), la maladie est provoquée par des “agents” extérieurs. En injectant cet agent dans le corps, on crée une réaction de défense qui protège de la maladie.
N’oublions pas qu’à cette époque (milieu du 19e siècle) la médecine était d’essence religieuse, on croyait à la “force vitale” (impossibilité de passer du règne “minéral” au règne “organique” sans cette “force vitale” nécessairement d’origine divine) et “à la génération spontanée” le cadavre d’un animal pourrit car il génère des éléments destructeurs sortis de nulle part (on croyait que les asticots de mouche étaient générés par le cadavre) ! Béchamp n’était ni “vitaliste” ni ne croyait à la génération spontanée, ce qui n’était pas le cas de Pasteur, tout du moins à ses débuts ! Pasteur était opportuniste et savait s’adapter à “l’air du temps” (il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis !).
De ce théorème (jamais démontré) découle donc le corollaire (pas plus démontré) : pour lutter contre les maladies et les épidémies, il suffit donc de “vacciner” (terme emprunté à Jenner) massivement les populations avec le ou les agents responsables de ces maladies.
A ce stade, on fait tout simplement l’impasse totale des connaissances que nous avons aujourd’hui sur le système immunitaire humain et la génétique en général. Ce raisonnement implique que tous les humains possèdent le même système immunitaire et que celui-ci répond d’une manière identique aux mêmes sollicitations extérieures. L’immunité de troupeau, prônée par Pasteur et ses disciples n’existe tout simplement pas, c’est une hérésie scientifique !
L’hérésie scientifique : Au 21e siècle, nous raisonnons, dans ce domaine particulier, avec des théories élaborées au 19e siècle, et que personne ne semble remettre en cause ? il s’agit tout simplement d’une aberration de l’esprit humain et de la négation de nos connaissances scientifiques actuelles !
Le mensonge :
Ce théorème induit un deuxième corollaire : chaque “micro-organisme pathogène” est responsable d’une maladie parfaitement identifiée.
Faux : en matière scientifique la causalité unique n’existe pas, tout événement observable est le produit d’un enchaînement de causes. La suppression d’une seule de ces causes rend l’événement impossible !
D’abord, qu’est-ce qu’une maladie ? à ce jour, je n’ai encore rencontré personne qui soit capable de répondre à cette question élémentaire. Les sommités médicales que j’ai pu interroger sur ce sujet, n’ont pu me fournir qu’un sourire gêné en guise de réponse. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie.
Le mensonge :
Pasteur a prétendu avoir vu le virus de la rage avec son petit microscope optique. Pour observer le virus de la rage, il faut un microscope électronique car la taille du virus est inférieure au pouvoir discriminant du microscope optique.
Le mensonge :
les vaccins ont permis de mettre un terme aux grandes épidémies qui dévastaient l’humanité ! La vérité :
Aux 13ème et 14ème siècle, l’Europe fut dévastée par plusieurs épidémies de peste qui tuèrent des centaines de milliers d’individus. Ces épidémies disparurent pour ne jamais revenir, qui a inventé le vaccin contre la peste ?
Le mensonge :
la variole a été éliminée de la surface de la Terre grâce au vaccin.
La vérité :
c’est l’OMS elle-même, pourtant entièrement à la solde des labos pharmaceutiques qui, en 1980, lança un appel à tous ses adhérents pour arrêter les vaccinations antivarioliques et détruire les souches virales encore détenues dans certains labos. Les dernières campagnes de vaccination s’étaient toutes soldées par une poussé épidémique quel que soit le pays où eut lieu cette campagne !
Le mensonge :
Les vaccins sont inoffensifs et les accidents qu’on attribue aux vaccins ne sont que de tristes coïncidences.
La vérité :
les vaccins sont des médicaments au même titre que les autres molécules de la pharmacopée et, à ce titre, ils sont dangereux et toxiques. Les médicaments tuent en moyenne 20 000 personnes par an en France, et les vaccins ne tueraient personne ? C’est un miracle, et dans les labos, les miracles, ça n’existe pas !
Se mettre dans la tête qu’on va “éradiquer” telle ou telle maladie, ou le virus responsable est une illusion dangereuse. Chaque fois que les humains vident une niche écologique d’un de ses occupants, la Nature ayant horreur du vide, la niche va être occupée par un nouvel habitant souvent pire que le précédent. Tout ce que nous risquons, c’est d’éradiquer l’espèce humaine de la surface de la planète, mais la Nature se passe très bien de nous !
Ce que contient réellement un vaccin : une partie dite “atténuée” d’un virus ou bactérie que l’on croit responsable d’une maladie, des éléments de manipulations génétiques comme les ARN ou ADN double brin. Des traces protéiques du milieu de culture, car on ne sait pas filtrer totalement la fraction vaccinale. Ce qui veut dire que si les protéines de culture sont polluées pour une raison ou une autre, le vaccin le sera aussi. Il contient également des adjuvants tels l’hydroxyde d’aluminium qui se révèle un redoutable toxique puisqu’il est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique. Le cerveau est le seul organe humain qui soit stérile et qui doit le rester, y introduire un produit chimique amène des accidents graves. Pourquoi retrouve-t-on des traces d’aluminium dans les plaques amyloïdes de la maladie d’Alzheimer ? Les coupes qui servirent en 1906 à Alzheimer à décrire la maladie qui porte son nom existent toujours, elles ont été examinées de nouveau avec nos techniques modernes et il n’y a aucune trace d’aluminium dans ces coupes. L’aluminium trouvé dans les cerveaux (examen post-mortem) analysés est … celui des vaccins !
On y trouve aussi des traces de formaldéhyde, cancérogène de 1re classe, des sels de mercure (stabilisants) le mercure est un neurotoxique reconnu, personne ne peut le mettre en doute.
Le “vaccinalisme” est une manie française. Chaque petit Français doit recevoir entre 0 et 18 ans pas moins de 60 injections vaccinales.
Les trucages des labos : il y a en France des obligations vaccinales, les labos s’ingénient à mélanger dans la même ampoule les obligatoires avec les autres, il faut bien faire marcher le commerce !
Nous avions essayé de mettre au point une “dose” magistrale qui contenait 10 virus ! Ils se sont bouffés entre eux, on n’a pas pu dépasser 6, ce fut “l’Hexavac” une belle réussite commerciale et un calvaire pour les vaccinés.
Mis sur le marché en 2003 il a été retiré, sur recommandation de l’Afssaps en 2005.
La théorie et le mythe pasteuriens ne souffrent en France aucune discussion ni aucune contestation. La vaccination de masse est devenue une religion, on y croit sans voir et sans preuve “Heureux celui qui croira sans avoir vu” et ce sont les opposants, majoritairement des scientifiques qui passent pour des illuminés, membres de sectes inavouées et inavouables.
J’avoue, j’appartiens à cette redoutable secte des chercheurs qui ne croient pas aux discours majoritaires. Claude Bernard, qui reste mon maître à penser en la matière, écrivait dans “Introduction à la médecine expérimentale” (1865) “Le scientifique est d’abord un douteur …” où est le doute aujourd’hui ?
Ce fut aussi Claude Bernard qui arbitra le match : Pasteur vs Béchamp et, à la fin de sa vie, il eut cette phrase remarquable : “ Béchamp a raison, le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout, Pasteur est fou !” (phrase que l’on attribue aussi à Pasteur, donnant raison à Béchamp, ce qui est proprement impensable) Sur la fin de sa vie, Pasteur eut un AVC qui le laissa hémiplégique, il perdit complètement la raison et se lança dans des théories encore plus folles et plus fausses que celles de ses débuts !
L’organisme humain est une merveille d’équilibre, entre ses propres cellules et des cellules étrangères, virus et autres bactéries, c’est la rupture de cet équilibre qui provoque ce que l’on appelle “maladie” le système immunitaire n’est pas un jouet. Vacciner un bien-portant et l’on en fait un malade chronique !
Le mensonge :
le tétanos, la rage, la poliomyélite ont été endigués par la vaccination !
La vérité :
ces trois maladies sont des maladies sans immunité, les toxi-infections ne passent pas par la voie sanguine.
Le mensonge :
la vaccination ROR a permis de supprimer les maladies infantiles !
La vérité :
ces maladies dites “infantiles” servent à la maturation du système immunitaire de l’enfant pour en faire un adulte en bonne santé. Avec le ROR on a créé des souches mutantes de la rougeole et des adultes qui l’avaient eu enfants, l’attrapent sous une forme “aggravée” au contact de leurs enfants vaccinés.
Le mensonge :
Nos enfants deviendront centenaires !
La vérité :
les centenaires d’aujourd’hui sont des personnes qui sont nées dans les années 1910, époque où il n’y avait pas de vaccinations obligatoires ! On en reparlera dans quelques années.
Toutes les études internationales arrivent à la même conclusion : les enfants à jour des vaccinations obligatoires sont globalement en plus mauvaise santé que ceux qui n’ont jamais été vaccinés.
Le mensonge :
il faut vacciner les personnes fragiles pour les protéger.
La vérité :
toute personne atteinte d’un déficit immunitaire ou souffrant d’une pathologie auto-immune est une contre-indication majeure à toute forme de vaccination ! Pour qu’une vaccination soit réellement efficace, il faudrait faire un groupage HLA à chaque individu pour connaître l’état exact de ses défenses immunitaires. Trop cher ! Répondent les autorités dites “compétentes” et on vit avec les accidents vaccinaux qui ne sont officiellement que de la faute à pas de chance ou à des coïncidences malencontreuses.
L’aveuglement des autorités sanitaires françaises nous conduit à une catastrophe sanitaire majeure qui a déjà commencé à bas bruit. Tous ces cas d’autisme soudain, d’hyperactivité, de cancers infantiles ne seraient dus qu’à des problèmes environnementaux ? L’air pollué ? La malbouffe ? Disons que ça se cumule et comme l’on ne connaît pas les synergies entre tous ces éléments, la prudence voudrait qu’on arrête les frais et que l’on ne sacrifie plus nos enfants et petits-enfants sur l’autel du profit industriel !
En conclusion : le principe de la vaccination de masse ne repose sur aucune base scientifique indiscutable et démontrée.
Marc JASPARD, Chimiste – Biochimiste
05 10 2012
Le lien de cet article de Sylvie Simon : .Quelques extraits intéressants pour les pressés (!) :
Pasteur. Mensonge, mystification, pillage… Au regard des faits rapportés par les historiens, le mythe du << plus grand Français de tous les temps >> s’avère être la plus grande imposture....
Bien que l’aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIème siècle avec le médecin anglais Edward Jenner, c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté un long cortège de mensonges. Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Satactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes. C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable....
En avril 2005, au cours d’une émission de télévision qui illustrait bien la déchéance de l’information et du niveau culturel, Pasteur a été élu de deuxième<>, après Charles de Gaulle. Ajoutant un nouveau mensonge à ceux qui entourent Pasteur, le Pr Axel Kahn, membre de Comité consultatif national d’éthique français, directeur de recherche à l’Inserm, et l’un des plus fidèles supporters(teurs) de Pasteur, n’a pas hésité à affirmer que c’était grâce à lui que les femmes ne mouraient plus en couches de la fièvre puerpérale.
Cette découverte est en vérité celle du médecin hongrois Ignace Semmelweis qui avait observé que les femmes ne mouraient plus lorsque les accoucheurs prenaient des précautions d’hygiène, à commencer par se laver les mains. Il faut savoir qu’il déclencha alors les ricanements de ses confrères et ne parvint pas à les convaincre malgré des résultats évidents. On prétendit que les statistiques qu’il avait publiées étaient erronées, mensongères, et on le révoqua. Ses travaux, publiés en 1861, ne furent reconnus qu’en 1890 et ce retard coûta des vies. Révolté par ce comportement, un autre médecin, mais celui-là écrivain, Louis-Ferland Céline, le défendit avec virulence en publiant sa biographie en 1937. Sans doute Axel Kahn ne l’a-t-il pas lue.
Nous pouvons ainsi constater que ce mythe de Pasteur perdure sur des bases totalement erronées, mais que le grand public croie aveuglément...
Cependant, de nombreux faits rapportés dans les écrits parfaitement authentifiés, venant de proches ou d’historiens comme le Dr Lutaud, le Dr Philippe Decourt, le Dr Xavier Raspail, Adrien Loir, Éthyl Douglas Hume, Émile Duclaux... etc, devraient suffire à le faire tomber de son piédestal. Mais le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur...
Pasteur a maquillé les résultats d’expériences qui ne lui étaient pas favorables, comme l’aurait fait un vrai faussaire avec l’aide de complices. Il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin, biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la Faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la faculté libre de Lille.
Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses.
Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée et falsifiée au profit des intérêts personnels de Pasteur... En juin 1865, Pasteur fut nommé par le gouvernement pour étudier les maladies des vers à soie, alors que Béchamp avait déjà déterminé et publié l’origine parasitaire de la pébrine. Pasteur critiqua les travaux de Béchamp... En 1868, Pasteur comprit que Béchamp avait raison – depuis, la théorie <> est reconnue par tous – et déclara à l’Académie des sciences et au ministre de l’Agriculture qu’il avait été le premier à démontrer l’origine parasitaire de la pébrine,<>. En fait d’impudence, il est difficile de faire mieux !
En 1870, il publia un ouvrage sur les maladies des vers à soie qu’il dédia à l’Impératrice car, depuis longtemps, il cultivait ses relations avec la cour impériale, ce qui lui permit de se lier d’amitié avec des ministres et des représentants officiels de pays étrangers, relations toujours utiles... Quelques années plus tard, Davaine, ami et protecteur de Pasteur, avait lui aussi vu Pasteur s’attribuer une partie de ses travaux...
L’affaire de la rage est l’exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour le commun des mortels. Contrairement à ce que l’on nous enseigne, le vaccin antirabique ne fut pas créé par Pasteur, mais par Henri Toussaint, professeur à l’école vétérinaire de Toulouse, dont le nom n’a pas marqué l’histoire. Celui-ci avait réussi à bien atténuer la virulence du virus en chauffant la préparation et en y ajoutant un antiseptique. Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné.
D’ailleurs, Émile Roux, collaborateur de Pasteur, avait estimé que l’application du vaccin Pasteur était trop hasardeuse et avait refusé de s’associer aux premiers essais dits de << traitement intensif >>, c’est-à-dire plusieurs injections pendant douze jours...
En 1886, tant en France qu’à l’étranger, les morts à mettre officiellement au passif de la méthode Pasteur s’élevaient déjà à soixante-quatorze : quarante étrangers et trente-quatre Français. Certains étaient morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres avaient succombé à une affection nouvelle <>...
Au mois de mars 1886, Pasteur déclarait au Dr Navarre : "Je n’admets pas qu’on discute désormais mes théories et ma méthode ; je ne souffrirai pas qu’on vienne contrôler mes expériences." ! Pasteur inaugurait ainsi une pratique désormais institutionnalisée, celle du mensonge scientifique, proféré avec impudence par des hommes de science auréolés d’un prestige usurpé. L’histoire n’a retenu que le succès de vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage... Pr Michel Peter, de l’Académie de médecine : << la rage chez l’homme, est une maladie rare, très rare ; j’en ai vu deux cas, en trente-cinq ans de pratique hospitalière et civile et tous mes collègues des hôpitaux, de la ville, comme de la campagne, comptent par unités et non par dizaines (encore moins par centaines), les cas de rage humaine qu’ils ont observés.
Pour amplifier les bienfaits de sa méthode et en masquer les insuccès, M. Pasteur a intérêt à faire croire plus forte la mortalité annuelle par la rage en France>>. Ce procédé basé sur la peur sera repris plus tard par les laboratoires qui fabriquent les vaccins et par leurs complices.
Devant ses pairs de l’Académie, le Pr Peter a accusé Pasteur, non seulement d’avoir augmenté l’incidence de la rage mais d’avoir << provoqué des cas de rage paralytique et même convulsive >>, au lieu de l’avoir fait disparaître complètement, comme il l’avait pompeusement annoncé. << La méthode de M. Pasteur n’est pas moins jugée au point de vue de l’analyse des cas de mort, l’analyse clinique démontrant qu’un certain nombre de ces cas mortels sont dus aux inoculations pastoriennes, ce qui explique l’augmentation de la mortalité par la rage chez l’homme. >> Le Pr Peter concluait : << Monsieur Pasteur ne guérit pas la rage, il la donne >> !....
C’est ainsi, grâce à de multiples mensonges, que la rage fut le premier grand triomphe de Pasteur, mais auparavant il y avait eu le vaccin contre le charbon, ou anthrax, maladie qui sévissait parmi le bétail. À cette époque,Pasteur opposait vigoureusement ses théories à celles d’Henri Toussaint, qui avait découvert la nature inoculable du charbon et la possibilité de vacciner contre cette maladie avec des cultures atténuées. Pasteur prétendait que le procédé de Toussaint était inefficace et dangereux, et que son vaccin était le meilleur. Pour le prouver, il signa le protocole d’une expérience qui se réalisa le 28 août 1881 à Pouilly-le-Fort, près de Melun.
On avait sélectionné cinquante moutons dont vingt-cinq seulement furent vaccinés. Le charbon virulent fut inoculé quinze jours plus tard aux cinquante bêtes. Pasteur affirma alors que les moutons non vaccinés mourraient et que les autres résisteraient. Le jour de l’expérience, Pasteurconfia à ses collaborateurs qu’il allait utiliser non pas son vaccin, mais celui de Toussaint qui contenait un antiseptique capable d’atténuer la virulence de la bactérie charbonneuse. Depuis longtemps, Pasteur essayait en vain d’obtenir cette atténuation par l’oxygène de l’air. Les moutons reçurent effectivement le vaccin mis au point par Toussaint auquel fut ajouté du bichromate de potassium, puissant poison qui tue les microbes, mais induit des cancers. Il était évident que personne plus tard ne se soucierait des cancers des moutons. Comme prévu, les vingt-cinq moutons qui avaient reçu le vaccin atténué par le bichromate de potassium survécurent.
Ce fut un triomphe pour Pasteur et tout le monde croit encore que c’est << son vaccin >> et non l’antiseptique de Toussaint qui a sauvé les moutons. Le propre neveu de Pasteur, Adrien Loir, a rapporté ces faits en détail dans un ouvrage intitulé "À l’ombre de Pasteur", mais peu de gens l’ont lu et plus personne ne sait aujourd’hui que l’expérience de Pouilly-le-Fort ne fut qu’une lamentable tromperie.
On pourrait multiplier les exemples de supercheries dont Pasteur était coutumier : Le Pr Peter a jugé tout aussi sévèrement le vaccin contre le charbon que celui contre la rage et il a rapporté au Dr Lutaud les résultats de la vaccination pratiquée à partir du 10 août 1888 à l’institut bactériologique d’Odessa, où, <<à l’instar de celui de Paris, on fabrique le vaccin, d’après les recettes de M. Pasteur>>.
En effet, un vaccin anticharbonneux, fabriqué à Odessa et envoyé à Kachowka, dans la Russie méridionale, a alors occasionné non moins de 3.696 décès. Sur 1.582 brebis vaccinées, 1.075 ont succombé à l’inoculation, soit 61 % (dans une autre ferme, sur 4.564 bêtes vaccinées, 868 seulement ont survécu à l’inoculation, soit 19 %.)...
Dans une thèse de deux cent cinquante pages sur Antoine Béchamp, Marie Nonclercq, docteur en pharmacie, explique bien l’avantage de Pasteur sur Béchamp : << C’était un falsificateur des expériences et des résultats, qu’il voulait favorables à ses idées premières, Les falsifications commises par Pasteur nous paraissent actuellement incroyables...
Pasteur a volontairement ignoré les travaux de Béchamp, un des grands savants français du XIXème siècle, dont l’œuvre considérable dans le domaine de la chimie de synthèse, de la biochimie et de la pathologie infectieuse est presque totalement méconnue aujourd’hui, parce qu’elle a été systématiquement falsifiée, dénigrée, pour les intérêts personnels d’un personnage illustre (Pasteur) qui avait, contrairement à Béchamp, le génie de la publicité et de ce que l’on appelle aujourd’hui « les relations publiques »… >>.
Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination. Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants. Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin : la maladie n’a qu’une seule cause, donc un seul remède. Enfin, l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection...
La révolution industrielle était en marche et laissait deviner un enjeu économique considérable : l’industrie des vaccins.
Gerald Geison, de l’université de Princeton, a étudié pendant vingt ans les notes de laboratoire de Pasteur, jusqu’alors restées secrètes, sur l’ordre de Pasteur lui-même. Enfin, il a communiqué le résultat de ses recherches au Congrès annuel de l’AAAS (American Association for the Advancement of science), et le journal anglais The Observer l’a publié le 14 février 1993. À son tour, la semaine suivante, le magazine médical Science dénonçait<>.
Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les dernières découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux.
Si chaque germe provoquait une maladie, il y a longtemps qu’il n’y aurait plus de vie sur Terre. Pasteurs’est trompé, mais dans ce cas il est excusable, car l’erreur est humaine.
Cependant, il est moins pardonnable pour son animosité envers Béchamp, fondateur de l’enzymologie, qui a identifié de minuscules corpuscules, plus petits que la cellule, les microzymas.
Ces derniers sont les véritables éléments responsables de la vie, qu’elle soit humaine, animale ou végétale. Les microzymas peuvent traverser les siècles, mais ils sont aussi susceptibles d’évoluer avec le temps. Chez l’humain, leur forme varie suivant l’état général du terrain dans lequel ils vivent et dont ils se nourrissent.
Ce sont des éléments aussi bien constructeurs que destructeurs. Si cette théorie du polymorphisme avait été reconnue, elle aurait bouleversé notre façon d’envisager la santé et la maladie.
Quand un déséquilibre perturbe le fonctionnement normal des microzymas – malnutrition, intoxication, stress physique ou psychique – le microzyma se transforme en germe pathogène, c’est-à-dire en microbe, et la maladie survient. Dans cette optique, il suffit de renforcer la santé de la personne pour que les germes pathogènes internes retrouvent leur forme originelle et leur fonction protectrice.
Ces recherches ont permis à Béchamp de juger la vaccination scandaleuse
Sur sont lit de mort, Pasteur aurait affirmé que c’était Claude Bernard qui avait raison, que le microbe n’était rien, que le terrain était tout.
En effet, si le microbe était le seul responsable, comment pouvait-on expliquer le fait que les infirmières qui soignaient les tuberculeux n’étaient pas contaminées, alors que d’autres personnes, bien moins exposées au bacille, tombaient rapidement malades ?
Se posant la question, Claude Bernard en vint à développer la notion de réceptivité à la maladie, admettant qu’il devait exister une tendance innée ou acquise à développer certaines pathologies.
Et le Pr Jean Bernard n’est pas loin d’adhérer à cette théorie lorsqu’il pose la question : << Si dans la lutte contre le cancer, on n’a pas avancé aussi vite que dans d’autres domaines, c’est probablement parce qu’on s’est trop attaché aux théories de Pasteur. [...] Ces virus sont-ils bien en dehors de nous ? Ne viendraient-ils pas de nos organismes traumatisés ? >>....
Pasteur l’imposteur et les conséquences de ses tricheries
Le lien de cet article de Sylvie Simon Quelques extraits intéressants pour les pressés (!) :
Pasteur. Mensonge ...
La fraude concerne jusqu’aux personnages les plus emblématiques de la culture scientifique. Même Pasteur, ce célèbre scientifique français, chimiste et physicien de formation n’a pas toujours respecté la déontologie. Comment le sait-on ? Parce qu’il notait toutes ses hypothèses, les substances qu’il utilisait et les résultats de ses expériences dans des carnets de laboratoire. Il a ainsi laissé derrière lui 102 recueils de notes qui ont tous été interdits à la consultation du public pendant près d’un siècle.
Ce n’est que dans les années 1970 que les étudiants et les chercheurs ont pu les consulter à la Bibliothèque nationale de France. Dr. Gerald L. Geison s’est penché sur ces carnets et y a trouvé de nombreuses incohérences avec les publications des travaux de Pasteur.
Louis Pasteur est une figure de la Science, un personnage de l’Histoire française et pourtant tout cela ne repose au final que sur du vide, un mensonge. C’est un homme qui a su jouer de ses relations et de son audace pour arriver à ses fins et à créer un mythe. Il a proclamé siens des résultats appartenant à d’autres, et cela en toute impunité.
De nos jours encore, le public ne connaît pas la vérité sur cet homme et continue à lui attribuer le vaccin contre la rage et, par extension, la technique de la vaccination. Pourtant, il ne l’a pas inventé et ce n’est même plus sa préparation, trop dangereuse, que l’on utilise actuellement. La manière dont il a réussi à imprimer son image et son œuvre fictive dans l’imaginaire collectif est un véritable tour de force.
En lisant ses notes, on découvre certes, qu’il a testé le vaccin antirabique sur 50 chiens enragés avec des résultats concluants. Néanmoins, c’est une nouvelle version non testée sur les animaux qu’il a injectée au petit Meister lors de sa démonstration la plus connue. Après de premiers essais sur l’Homme couronnés de succès, son vaccin devient célèbre et les gens viennent se faire vacciner en masse ; chaque « guérison » est considérée comme une preuve de l’efficacité du vaccin et cela même si on ne sait pas si le chien responsable de la morsure avait bien la rage... Pourtant, en 1886, un enfant décède 24 jours après l’injection et Pasteur fait l’objet d’une plainte déposée par le père de la victime.
Une autopsie est alors demandée pour déterminer les causes du décès. André Loir, neveu et ancien assistant-préparateur de Pasteur, raconte que c’est un collaborateur proche du scientifique, Emile Roux, qui a été chargé de faire un premier rapport. Il a inoculé un extrait du bulbe rachidien de l’enfant à des lapins qui développent alors la rage. Il n’a cependant pas communiqué ces résultats incriminant Pasteur.
Un médecin légiste, Paul Brouardel, a été ensuite chargé de vérifier les dires de Roux. Comprenant la situation, il a pris le parti de l’accusé : « Si je ne prends pas position en votre faveur, c’est un recul immédiat de cinquante ans dans l’évolution de la science, il faut éviter cela ! ». Il affirme que l’enfant n’est pas mort de la rage.
À la fin des années 1890, c’est un autre jeune garçon qui meurt en présentant des symptômes atypiques : c’est une rage humaine à symptômes de rage de lapin ; on surnommera cette maladierage de laboratoire ou encore rage Pasteur, sachant que le scientifique faisait ses vaccins à partir de virus prélevé sur de la moelle de lapins... En 1908, le traitement est abandonné au profit du vaccin phéniqué de Fermi dans le monde entier, excepté en France où on attend les études de Lépine et Sautter de 1937 qui démontrent que les vaccins phéniqués protègent les lapins dans une proportion de 77,7 % alors que la méthode de Pasteur n’en protège que 35 %. L’arrêt total de l’utilisation du vaccin ne se fera pourtant qu’en 1973.
Plus on fouille dans les notes, plus on se rend compte de la manière de travailler de Pasteur. Il reprend visiblement les travaux de ses pairs. Il s’est ainsi intéressé à la dissymétrie moléculaire et à la fermentation alors que les études sur le sujet étaient déjà bien avancées. Ses expériences sur la génération spontanée sont basées sur des principes vieux de plus d’un siècle. Pour finir, la vaccination a été inventée par Edward Jenner à la fin du XVIIIe siècle. Pourtant, on continue à associer ces découvertes à Louis Pasteur.
André Pichot, chercheur au CNRS en épistémologie et histoire des sciences, remarque que Pasteur « donne parfois même l’impression de se contenter de vérifier des résultats décrits par d’autres [...] c’est précisément quand il reprend des démonstrations laissées, pour ainsi dire, en jachère, qu’il se montre le plus novateur : le propre de son génie, c’est son esprit de synthèse . »
À la lumière de ces informations, on peut encore considérer Pasteur comme un génie mais dont les compétences tiennent plus de la rhétorique et des relations publiques que des sciences dures...
Article d'Éric Gebus
Bulletin de l’Académie de médecine, séances de janvier 1887, Paris, en particulier p. 158.
ALTMAN, Lawrence, « The Doctor’s World ; Revisionist History Sees Pasteur As Liar Who Stole Rival’s Ideas », NewYork Times, 16 mai 1995.
DEBRE, Patrice. Louis Pasteur, Paris, Flammarion, 1994, en particulier p. 482-485 et la citation p. 383.
GAMET, André, La Rage, Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1973, en particulier p. 88.
P. LEPINE, et V. SAUTTER, « Essais expérimentaux sur la valeur pratique des vaccins antirabiques phéniqués », Annales de l’Institut Pasteur, vol. 59, 1937, p. 39-56.
Notes
[1] http://www.cosmovisions.com/EmpirismeMedical.htm
[2] Voir l’étude https://onlinelibrary.wiley.com/loi (le lien ne semble pas fonctionner)
Source : geopolintel.fr
(Article datant du 3 mai 2020)
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