"La Vie Hospitalière"

mardi 1 septembre 2020

Le Grand Oral de Christian Perronne


COVID : Cédons-nous à l'hystérie collective ?

Aujourd'hui, c'est au tour de Christian Perronne, infectiologue, de passer le Grand Oral des GG. - Avec : Charles Consigny, avocat. Didier Giraud, agriculteur. Et Isabelle Saporta, éditrice. - Les Grandes Gueules, du lundi 31 août 2020, présenté par Alain Marschall et Olivier Truchot, sur RMC et en simultané sur RMC Story.



Professeur Christian Perronne"...Ce qui m'affole aujourd'hui c'est que j'avais listé un nombre d'erreurs pensant qu'ils avaient tout commis mais il y a encore des erreurs qu'ils continuent de commettre, j'ai de quoi écrire un deuxième tome, mais c'est ça qui m'affole.
Aujourd'hui ils veulent faire croire que l'épidémie progresse partout dans le monde alors que c'est faux, l'épidémie régresse, le virus a perdue de sa virulence, la mortalité qui est dans le monde entier est entrain de baisser.
En France on est passé à moins de 10 décès par jour, on a eu un petit pic à un peu moins de 20 décès ces dernières semaines...ça repart à la baisse, il y a quelque cas hospitalisés c'est clair j'en ai dans mon service mais ce sont des cas moins sévères qu'il y a trois, quatre mois, on voit que le virus perd de sa virulence.
Il y a des scientifiques qui ont démontré que c'est le génome (les acides nucléiques qui composent le virus), certaines souches de virus ont perdue une partie de ce génome et du coup il a l'air d'être moins virulent, alors, maintenant la plupart des cas qu'on voit  ce sont des sujets jeunes en bonne santé qui ont très peu de symptômes, il y a toujours quelque personnes âgées qui font des formes un peu sévères mais moins sévères qu'avant, il y a encore quelque passages en réanimation ça c'est vrai, mais à moins de dix décès par jour en France c'est pas plus que n'importe quel virus respiratoire chaque année, et là on est entrain de confiner tous les français, c'est pas un vrai confinement, un vrai mais on ne peut plus sortir dans la rue sans un masque...on est en plein délire. Qui est instrumenté par Big Pharma je pense et puis aussi des politiciens qui ont peut être intérêt à ce qu'il n'y ait plus de rassemblement dans la rue au mois de septembre, octobre, alors qu'il y avait des grandes manifestations annoncées, parceque là la police va pouvoir réprimer tout rassemblement, on l'a vu ces derniers jours, et tout ça est instrumentalisé...     

...On a dit que dans mon livre j'avais diffamé, que j'avais été contre le code de déontologie, j'ai jamais diffamé, j'ai jamais fait aucune affirmation non-déontologique, et d'ailleurs j'ai aucune attaque, si j'avais diffamé l'Élysée m'aurait déjà attaqué en diffamation. Donc je suis très tranquille car je dis la vérité et la vérité elle dérange, c'est tout.

Moi j'ai toujours eu le même discours depuis le début, quand il fallait confiner, il fallait confiner de façon ciblée, confiner les personnes fragiles, mettre sous surveillance les EHPAD, pourquoi pas, si il y a un cas dans un EHPAD qu'on puisse faire les tests et isoler puis traiter avec l'hydroxychloroquine et l'azytromycine (avec toutes les études récentes on sait que ça marche très bien ). 
Qu'on puisse traiter tout de suite les patients. Mais faire ces tests , vous vous rendez compte que le ministre a annoncé qu'il allait faire un million de tests par semaine, mais c'est du grand délire parceque les tests PCR ont 3 % de faux positifs, ce sont des données scientifiques, quand vous testez un million de personnes qui demandent rien, et qui ont pas de symptôme vous allez trouver 30.000...pas du tout malade qui sont des faux positifs et le gouvernement va se réjouir en disant ; "regardez l'épidémie continue" ... et si vous comparez tous les continents, aux États-Unis, et au Canada ils recommandent pas de tester, d'ailleurs on voit que l'épidémie se casse la figure, en Asie pareil, en Afrique pareil, il y a plus beaucoup de cas, et en Europe l'Union européenne encourage (j'ai pas vérifié, mais il paraît qu'il y a des encouragements dans certains pays) pour déclarer un maximum de tests, et c'est une fausse épidémie de faux résultats du à l'erreur du test diagnostic pas parfait, après il y avait des vrais cas qui sont diagnostiqués je le reconnais l'épidémie n'est pas totalement terminée...(...)..."

Alain Marshall :  Big Pharma, c'est qui, c'est quoi, et pourquoi, quel est le but ?

Professeur Christian Perronne : Parcequ'on veut vous vendre un vaccin, ils ont quand même investis des milliards là dedans, et quand je dis "ils" c'est toute l'Union européenne et certains pays riches qui ont investis des milliards et les fabriquants de vaccins, vous savez que les 5 fabriquants se sont déjà partagés les 7 milliards d'individus de la planète pour se partager le marché, ils veulent des centaines de milliards de retour sur investissements.
Donc la logique globale c'est de vous faire peur de vous dire l'épidémie est toujours là, attention ça tue...
Oui, ça tue de temps en temps des personnes fragiles qu'on pourrait traiter à l'hydroxychloroquine, mais on préfère pas les traiter, mais il y a moins de 10 décès aujourd'hui en France  par jour.

Alain Marshall :  Vous défendez encore l'hydroxychloroquine ?

Professeur Christian Perronne :  Mais bien sur, c'est prouvé c'est archi prouvé ! L'étude qu'est sortie récemment soit disant "Méta-analyse"c'est un scandale car quand on regarde ils ont pris 800 études publiées, ils en ont retenues 29 , ils ont éliminées toutes les études qui ne les arrangeaient pas, et quand on regarde c'est des étudiants qui ont fait ça, étudiants en thèse, dont un interne de médecine qui est un élève de Yazdan Yazdanpanah (1), qui est un interne de Bichat, qui travaille actuellement à l'Imperial College, et l'Imperial College a été financé par Bill Gates pour dire que la pandémie allait être catastrophique, il allait y avoir 500.000 morts en Grande Bretagne.
...c'est une faute grave...[ dans l'étude ] ...c'est marqué pas de conflit d'intérêt ... c'est même pas mentionné qu'un des auteurs travaille à l'Imperial College, donc là c'est très grave !  

Charles Consigny (avocat) : Je trouve édifiant ce que nous raconte le Professeur Perronne, moi je pense en effet qu'il faudra élucider dans quelque mois tout ce qui se tramait en coulisse dans les interventions des uns et des autres...l'influence de ce laboratoire Gilead par exemple, dont moi on me parle depuis le mois de mars dernier déjà, c'est quelque chose qui n'est pas élucidée. Les praticiens qui étaient financés par ce laboratoire, c'est quelque chose qui n'est pas élucidée, ils ont pas clarifié aujourd'hui leurs liens avec ce laboratoire.
Il y a en effet beaucoup de gens qui disent que la chloroquine les a soigné , après comme c'est une maladie dont on se soigne un peu soi même, c'est un peu comme l'homéopathie, n'empêche que ce n'est pas élucidé et il y a une donnée qui est objective c'est le nombre de personnes en réanimation, ça c'est quand même quelquechose qui peut pas être truqué, et ce nombre il est au tour de 400 depuis plusieurs semaines, si ce n'est plusieurs mois déjà, donc j'ai tendance à souscrire à ce que dit, sans être aussi compétent que lui dans ce domaine, le Professeur Perronne et je pense que ce serait bien, pourquoi pas, par exemple, faire une commission d'enquête parlementaire ou autre enquête puisque des plaintes sont déposées. Mais bon il ne faut pas trop compter sur la Cour de justice de la république pour condamner qui que ce soit, c'est une juridiction qui est faite sur mesure pour que l'impunité règne. Je pense qu'il faut élucider le rôle de chacun et les influences qui se trament en coulisse.

Professeur Christian Perronne : Je voudrai tout de suite rebondir là dessus, que les gens aient des conflits d'intérêt, que ça favorise des bénéfices financiers à la limite je dirai bon c'est comme ça, ça a toujours été c'est pas trop grave, mais là il y a morts en jeu.
Quand vous voyez l'étude frauduleuse, du Lancet, de Monsieur Mehra il y a quelque temps, si vous regardez ont été publiées toutes les statistiques du Monde entier, plein de pays qui prescrivaient de façon massive l'hydroxychloroquine la mortalité était en train de baisser, ils avaient d'excellentes statistiques.
Quand les médecins ont lu l'article du Lancet qui est une revue très prestigieuse  ils ont pensé : "finalement on se trompe", ils ont arrêtés de prescrire pendant plusieurs semaines, on avu un pic de mortalité dans des dizaines et des dizaines de pays dans le Monde, l'effet "Mehra-Lancet " . C'est à dire que la publication du Lancet a été responsable d'un nombre incalculable de morts dans le Monde entier, donc c'est très grave, on ne peut pas jouer comme ça avec la vie, il faudra que ces gens là un jour rendent leurs compte devant l'Humanité parce qu'il s'est passé des choses extrèmement graves !

Isabelle Saporta : Sur la chloroquine vous faites comme ci toutes les études vous donnaient raison, or, en ce moment c'est plutot l'inverse, toutes les études récentes qui sont sorties ont tendance à dire que la chloroquine n'est pas utile.
Moi je veux bien qu'on dise qu'il y a eu des millions de morts mais voilà, après vous parlez des pays qui l'utilisent encore, et ce sont souvent des pays pauvres, où il n'y a pas de système de santé et on voit bien que finalement dans un pays où tu n'as pas de système de santé, où il n'est pas possible de faire de la distanciation sociale effectivement t'essayes tout ce que tu peux essayer, notamment un médicament dont vous avez raison de faire remarquer qu'il n'est pas cher, alors que effectivement des médicaments comme des antiviraux comme le remdesivir qu'on nous a tous survendus qui sont hyper chers ne fonctionnent en tout cas pas plus que la chloroquine. Je voulais vous interroger juste sur ces deux publications que vous aviez faites sur les tisanes d'Artemisia et qui ont été dépubliées, est-ce que vous pouvez nous expliquer.

Professeur Christian Perronne : Je suis bien content que vous me posez la question, parceque là j'ai été victime du même lobby, quand on a montré que l'Artemisia marchait, une étude randomisée sur plus de mille patients sur le paludisme et une autre sur la bilharziose c'était imparable la tisane marchait mieux que le médicament officiel, ça a suscitée une colère monstre de Bill Gates, de l'OMS parce qu'ils voulaient absolument promouvoir un vaccin contre le paludisme qu'ils arrivent pas à fabriquer depuis 20 ans. Et, on a été victime, vous ne pouvez pas savoir, d'une cabale terrible et nous on a reconnu on avait très peu d'argent pour faire cette étude, avec des conditions diffficiles, une situation politique instable dans la république démocratique du Congo. 
On a reconnu nous mêmes qu'il y avait quelques imperfections dans la base de données parceque les dispensaires avaient arrondis les chiffres quand ils comptaient les parasites dans les globules. Et, même on était tellement honnête et naïf on avait donné notre base de données à nos détracteurs...ils ont pris prétexte qu'il y avait quelques imperfections pour harceler le journal quasiment tous les jours depuis un an et demi pour exiger la rétraction il y avait des lobbys très puissants derrière, donc cette rétraction j'en suis très fier parceque on a montré à l'Afrique que l'Artemisia marchait, toute l'Afrique, la plupart des pays ont adopté ce traitement, partout où il y a l'Artemisia le palu est entrain de régresser et même des instituts prestigieux comme l'Institut Pasteur, l'Institut Max Planck, ont repris nos études, ont confirmés que ça marchait aux laboratoires et sont entrain de mener des études pour confirmer ce qu'on a dit. 
Donc cette rétraction est un exemple de l'inluence de Big Pharma.   
          
Isabelle Saporta : Mais pardonnez moi, mais, par exemple quand vous avez dit sur la maladie de Lyme, (vous êtes un spécialiste de ces questions là), que ça avait été créé par un ancien nazie est-ce que vous avez pas l'impression souvent de verser sur des thèses un peu complotistes?  

Professeur Christian Perronne : Pas du tout et je suis fier d'être complotiste dans ce cas là, parcequ'il y a un livre qui a été publié par Madame Kris Newby de l'Université de  Stanford, qui a eu les archives de Willy Burgdorfer et qui décrit dans son livre, parcequ'elle a eu les archives du laboratoire, car Willy Burgdorfer avant de mourir il a eu des remords à la fin de sa carrière, il voulait pas que toutes ses archives soient brulées.Elle l'a publié et je vous rappelle que la chambre des représentants États Unis l'année dernière a demandé au Pentagone de rendre des comptes là dessus, donc il y a des choses publiées, scientifiques, ces pas moi qui invente toutes ces histoires, et je voulais revenir sur la  chloroquine, vous saviez que toutes les études ça marche pas, c'est totalement faux, c'est l'inverse. Regardez les études au Bangladesh, les études en Italie, les études à New York, sur des milliers de patients ça marche à 95, 98 % dans certains cas. Les études qui disent que ça marche pas c'est la fameuse analyse que je vous parlait tout à l'heure qui est une étude bidon où ils ont écartées toutes les études qui marchaient pour dire que ça marchait pas et c'est des études sous influence, et on en aura encore je ne suis pas inquiet.

 Alain Marshall :   Pour aller audelà des études, simplement ce qui va être le quotidien des français : le masque en entreprise, le masque à l'école, est-ce que c'est quand même une bonne chose pour protéger, pour se protéger ou protéger même les plus fragiles.

Professeur Christian Perronne : Il n'y a plus d'épidémie, il y a encore un petit peu de circulation du virus, mais les sujets jeunes qui font la maladie je préfère qu'ils se contaminent entre eux qu'ils soient immunisés, après il faut protéger les personnes fragiles, je ne dit pas qu'il n'y a plus rien du tout, mais vous imaginez un prof dans une classe avec ses élèves... porter le masque tous les jours, non stop, pendant des heures alors qu'ils vont aller jouer dans la cour de récré, ils vont se toucher, si jamais il y avait un virus dans la classe ils vont se contaminer en touchant des objets, ça n'a pour moi strictement aucun sens. Il faut que  soit à l'école soit en entreprise on dise que toute personne qui a le rhume ou la grippe, un peu de fièvre, une consigne très forte de rester chez vous, faites-vous tester, là c'est logique et puis dans le fond si il y a un cas positif on le détecte autour des cas mais de façon ciblée, pas de façon généralisée comme ça.      
    
Olivier Truchot : Professeur  Perronne, je veux bien vous dites ça mais il y a d'autres médecins disent le contraire par exemple le docteur Marty qui a demandé le port du masque dès l'âge de 6 ans. 

Professeur Christian Perronne : Moi je vois pas la justification scientifique à tout ça, ça me paraît aberrant et bon on fera les comptes dans quelques temps... honnêtement il faut quand même que les décisions qui sont prises soient faites de façon justifiée.
J'ai hurlé au début quand il y avait plein d'épidémies, qu'il y avait beaucoup de morts chez les personnes fragiles heureusement pas les sujets en bonne santé mais on avait au pic de l'épidémie  pas de masques, ce que moi je trouvais ça scandaleux, j'étais même pur le port du masque un petit peu généralisée pendant quelque temps, c'était normal. Mais aujourd'hui ça n'a plus d'intérêt.

Olivier Truchot : Oui, mais on veut éviter le retour de ce pic. 

Professeur Christian Perronne : Il n'y en a plus de retour, mais attendez, pour qu'il y ait une deuxième vague il faut que le virus mute et devienne plus virulent.Dans l'histoire c'est totalement exceptionnel car dans l'histoire de la grippe de 1916, maintenant les autopsies faites à posteriori ont montré que les gens n'étaient pas morts du virus mais de surinfection bactérienne puisqu'on avait pas d'antibiotiques à l'époque. 
Moi je veux bien peut être qu'il y aura une deuxième vague, on en sait rien et si il y a une deuxième vague je suis prêt à dire l'inverse de ce que j'ai dit aujourd'hui : on y va on met des masques prtout on teste tout le monde.
Mais aujourd'hui c'est pas le cas le virus perd de sa virulence partout, c'est les statistiques, regardez la France a une létalité à 18,5 % début juillet au mois d'août c'était tombé à 15,5 %, partout ça baisse, donc c'est pas moi qui l'invente moi je me repose sur les chiffres de Santé Publique France et les chiffres internationaux du Johns-Hopkins hospital etc 
Didier Giraud : Moi je voudrai votre avis est-ce qu'il y a des risques qu'on ait le Covid-22, qu'on ait le Covid-24, et est-ce que les changements climatiques et la fonte du permafrost, c'est demain pour l'humanité des vrais risques d'autres saloperies qui traînent.  

Professeur Christian Perronne : Peut-être je ne suis pas sur que ce virus soit lié forcément aux problèmes écologiques, mais peut être raison sur d'autres microbes qui vont peut être profiter de la situation, mais pour l'instant, vous savez dans toute l'histoire des épidémies (je ne parle pas des virus ou des bactéries qui sont habitués à l'homme depuis des décennies, où ils bougent pas de trop) mais quand vous avez un virus tout neuf qui attaque la population mondiale, comme c'était le cas, c'était un virus nouveau il est toujours très méchant au début et après il baisse de virulence. On a eu la même chose quand la syphilis est tombé en Europe il y a quelque siècles, la syphilis à l'époque tuait les gens, ça a décimée une partie de la population, après la syphilis est devenue une maladie chronique qui n'a plus tué sauf très tardivement, et ça c'est une constante, et là ça se confirme on voit le virus...   

Didier Giraud : La mutation du virus qui serait actif parcequ'il retrouve un bout d'ADN.
Professeur Christian Perronne : C'est toujours possible, je ne dit pas que c'est impossible, si c'est possible et bien je dirai on change de braquet et on retourne sur des mesures coercitives, à ce moment là ça sera justifié mais aujourd'hui ce n'est absolument pas justifié. 

Didier Giraud : Aujourd'hui il a perdu un bout de son ADN.

Professeur Christian Perronne : Il y a des virologues qui ont dit, il y a beaucoup de souches qui circulent mais il y en a qui ont déjà perdus des bouts d'ARN.

 Alain Marshall : Donc on pourrait si je suis votre raisonnement, on pourrai recommencer à aller largement au théâtre, au restaurant, recommencer les fêtes de familles. Parce que vous avez entendu ce qu'a dit Jean Castex la semaine dernière, il a dit évitez les fêtes de famille, que les grands parents évitent d'aller chercher les enfants. On pourrait retourner au stade peut être en étant masqué, on pourrait reprendre nos vies.  
  
Professeur Christian Perronne : Alors il faut peut-être être prudent dans les espaces clos, qu'on garde encore dans certains cas des mesures de précautions je suis d'accord, mais à l'air libre franchement je ne vois pas l'intérêt. Moi je vois des gens qui se promènent tout seul sur la plage, ils sont verbalisés parce qu'ils ont pas de masque. C'est complètement délirant ça.   

Alain Marshall : Mais pourquoi il y a cette peur ? C'est la peur de quoi de se faire attaquer en justice derrière.

Professeur Christian Perronne : Là c'est une peur qui est organisée, à mon avis, pour des raisons politiques, de profits, économiques. 
Charles Consigny : Les lobbys des laboratoires pharmaceutiques.

Professeur Christian Perronne : Regardez l'Union Européenne a quand même investis des milliards dans le vaccin, donc l'Union Européenne elle investi pas comme ça.

Alain Marshall : Est ce qu'il faudra le rendre obligatoire, parce qu'il y aura un débat là-dessus.

Professeur Christian Perronne : Ce serait totalement déraisonnable de rendre obligatoire un vaccin pour un virus qui ne tue plus. Il y a eu dans le passé des vaccinations obligatoires  comme pour la variole, mais là la variole tuait 30 % des gens, 33 % des gens, c'était un taux de mortalité considérable. Donc c'était peut être justifié à ce moment là, parce qu'il y avait 30 % de mortalité dans la population générale, y compris chez les jeunes, je serai peut être le premier à dire il faut un vaccin obligatoire, mais on n'est pas du tout dans ces conditions.  

Alain Marshall : Il y a de quoi écrire un deuxième livre. 

Professeur Christian Perronne : Je vais m'y mettre, ça me rend fou de voir toute cette désinformation permanente... quand ce n'est pas cohérent avec la réalité scientifique, avec la vérité...

Alain Marshall : Vous êtes dans un hôpital ou vous avez de vos confrères qui tiennent un raisonnement inverse du votre.

Professeur Christian Perronne : Oui je sais, c'est les jeunes, c'est pas les plus anciens mais ils ont été sous pression majeure, même de jeunes infectiologues qui les ont appelé en leur disant mais t'es complètement fou, si tu travailles avec Perronne c'est un charlatant, ta carrière elle est foutu, ils ont eu peur et m'en ont parlé, mais, bon Il y a des pressions énormes partout, et moi je résiste à la pression, et je suis fier de dire aujourd'hui que j'ai toujours pas de conflit d'intérêt.
J'aimerai que mes collègues qui passent à la télé tous les jours, en arrivaant sur le plateau, disent voilà mes conflits d'intérêt, ils le font jamais, c'est bizarre parce que normalement c'était dans la charte de bonne conduite et d'éthique   








1) Chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Bichat et  membre du conseil scientifique.  
2) Kris Newby, scientifique de Stanford, dans son livre « Bitten : The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons »,   affirme que l'épidémie de la maladie de Lyme en cours aux États-Unis provient d'une expérience militaire ayant mal tourné.
Le livre comprend notamment des entretiens avec le scientifique américain (d'origine suisse) Willy Burgdorfer,  qui avait identifié la maladie en 1982 (la borrélie, responsable de la maladie, Borrelia burgdorferi, porte d'ailleurs son nom.






...

Aucun commentaire: