"La Vie Hospitalière"

dimanche 27 septembre 2020

En Australie l'interdiction de l'hydroxychloroquine, c'est du pénal

Craig Kelly membre du parlement australien était sur SkyNews, une des principales chaînes de télévision australienne ce dimanche 27 septembre 2020. Il est membre du groupe libéral et Président de la commission de l'application des lois au Parlement qui s'intéresse de près à la Covid-19


Il a déclaré que :

« l'interdiction du traitement de la COVID-19 à l'hydroxychloroquine, par l'administration australienne, viole le serment d'Hippocrate prêté par les médecins et qui est basée sur une étude erronée. » 


M. Kelly a déclaré que les bureaucrates de la santé avaient interféré dans la relation médecin-patient en interdisant l'utilisation d'hydroxychloroquine même si le médecin pensait que le traitement sauverait la vie du patient.


« Les bureaucrates de la santé ont violé le tout premier principe du Serment d'Hippocrate qui est de ne pas nuire» (primum non nocere), a-t-il déclaré.


De plus l'administration ne devrait interdire l'utilisation de l'hydroxychloroquine que si les preuves montrent hors de tout doute raisonnable que d'une part l'hydroxychloroquine ne fonctionne pas et d'autre part, qu'elle est dangereuse.


« Des études récentes montrent que cette proposition n'est plus viable ... et ils doivent lever leurs interdictions, sinon ils sont impliqués dans des crimes contre l'humanité et ils devraient être traduits en justice pénale à La Haye", a-t-il déclaré.


"Ils refusent de donner un traitement médical aux Australiens. alors que les preuves montrent qu cela peut sauver la vie. " M. Kelly a également déclaré que le groupe de travail national sur les preuves cliniques COVID-19, qui a pris la décision faisant autorité et qui interdit l'hydroxychloroquine, s'est appuyé sur les résultats de l’étude Recovery menée à l'Université d'Oxford.

Il a soutenu que l'étude a finalement donné aux patients « le double de la dose de ce qu'ils savent être une surdose » et que le directeur de l'étude a déclaré que les doses étaient basées sur l'indication de « dysenterie amibienne ».

L'animateur de Sky News, Rowan Dean, a déclaré que l’investigateur en chef de l’étude avait clairement indiqué que "la dysenterie amibienne est ce sur quoi ils ont basé leurs doses, mais nous savons que l'hydroxychloroquine n'est jamais utilisée pour la dysenterie amibienne".


« En fin de compte, l'étude était défectueuse », a-t-il déclaré. «le journal France Soir lui-même dit que l'étude Recovery ne peut pas être considérée comme sérieuse. Et pourtant c'est l'étude sur laquelle tous les conseils médicaux australiens se sont basés, la grande majorité de leurs décisions et preuves proviennent de l’étude Recovery.»


FranceSoir a dénoncé l’étude Recovery depuis le 5 juin 2020.  Cette étude sert aussi de base de décision de nos instances décisionnaires dans le cadre du traitement prophylactique contre la Covid 19.  Depuis ce moment nous demandons un audit des résultats de cette étude afin que la souveraineté sanitaire des français soit basée sur une expertise indépendante par des tiers totalement indépendant.

Verrons-nous enfin les langues se délier à l’Assemblée Nationale, ou au sein des sociétés savantes.


Voir la vidéo complète de Craig Kelly en anglais en cliquant sur la vidéo  ici.



Source : francesoir.fr

Pour plus d'informations 



Note de "La Vie Hospitalière"

Il est écrit dans cet article :

« Des études récentes montrent que cette proposition n'est plus viable ... et ils doivent lever leurs interdictions, sinon ils sont impliqués dans des crimes contre l'humanité et ils devraient être traduits en justice pénale à La Haye"

Nous avons déjà dénoncé qu'interdire un traitement pouvant laisser une chance à un malade est un acte  à consonance criminelle, multiplié c'est un crime évident contre l'humanité !

Et, quand l'on sait que de nombreux individus ont montée une cabale contre le traitement à l'hydroxychloroquine, que le taux de guérison en France est maintenant de l'ordre de 17,99 % alors que le pourcentage moyen au niveau mondial est de 73,8 % il y a de quoi se poser bien des questions.

D'autant qu'il est démontré que les efforts du gouvernement ne sont pas dirigés prioritairement vers les soins aux malade mais vers un zèle profond voire diabolique à maintenir une politique de la peur, alliée à des mesures répressives et des orientations liberticides (même les enfants sont la cible de ces actions démesurées et dont la portée ne sera pas sans conséquence en plus pour leur santé). 

Nous sommes en toute légitimité en droit de demander bien des explications sur la politique menée actuellement qui va à l'encontre même de l'intérêt général de manière globale des citoyens et citoyennes.





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