La Belgique est maintenant l’un des rares pays à ne pas avoir suspendu le vaccin d’AstraZeneca. Vu le climat de méfiance ambiant, beaucoup de personnes s’interrogent sur le fait d’accepter ou non le vaccin. Notamment avant la réponse d’EMA ce jeudi
Il y a plusieurs cas de figure. La Task Force Vaccination a donné ses explications par communiqué.
- Je refuse mon rendez-vous: "En cas de refus de la vaccination, le citoyen ne recevra plus d’invitation et il ne pourra plus bénéficier de la vaccination dans le cadre de la campagne", explique la TFV. Cela ne signifie pas que nous ne pourrez plus être vacciné, mais vous passerez après tout le monde, dans une future campagne de vaccination, fin 2021 voire 2022.
- Je refuse le vaccin d’AstraZeneca: vous ne pouvez pas choisir votre vaccin. Vous ne pouvez donc pas refuser un vaccin particulier, tant qu’il reste recommandé, ce qui est le cas du vaccin d’AstraZeneca. Refuser le vaccin d’AstraZeneca, c’est comme refuser un rendez-vous: vous sortez de la campagne de vaccination.
- Je reporte mon rendez-vous: c’est une possibilité. Si vous voulez vous rassurer un peu en attendant les avis des experts, notamment européens, vous avez la possibilité de postposer votre rendez-vous. Mais attendez-vous à perdre du temps.
- Je refuse un vaccin: vous sortez de la campagne de vaccination et vous ne serez plus sollicité. Il reste toutefois possible de changer d’avis.
"À prendre ou à laisser"
Cette méthode du à prendre ou à laisser scandalise les médecins. Il s’agit selon le Collège de médecine générale d’une forme de pression: "Nous estimons qu’un citoyen a tout à fait le droit de refuser temporairement de se faire vacciner, quelle qu’en soit la raison, sans pour autant perdre son droit à recevoir le vaccin dans le cadre de la campagne. Cette philosophie du ‘maintenant ou jamais’ est une forme de pression violente et inacceptable. Nous espérons que cela ne restera qu’une maladresse qui sera corrigée rapidement."
Source : businessam.be
Note de "La Vie Hospitalière"
Imposer un vaccin c'est déjà une violation du Code de Nuremberg ! Une atteinte aux droits humains universels !
Préparez-vous à engagez des actions en justice, car cette tentative d'injecter des produits dont personne connaît exactement ce qu'ils contiennent peut être considéré comme un empoisonnement compte tenu que le bénéfice ne semble pas réellement être pour la personne qui reçoit l'injection...
Et, puis derrière cette injection qui démontre que la politique sanitaire engagée n'est pas de traiter les personnes malades mais d'aller vers des orientations qui apparaissent de plus en plus douteuses il est grandement souhaitable de prendre du recul. Pourquoi ne pas traiter les malades (1%) et vouloir injecter des produits à 99 % des personnes qui ont pas besoin d'être les cobayes de cette "opération" qui pourrait très vite devenir criminelle (compte tenu des effets secondaires, des personnes handicapées - à vie pour certaines - et des morts !).
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