"La Vie Hospitalière"

jeudi 26 novembre 2020

Situation sanitaire du 26 Novembre 2020

 2.183.660 personnes ont été ou sont contaminées par le SRAS-CoV-2, dont 158.236 sont guéries.

 339 décès comptabilisés ce jour ce qui donne un total de 50.957 morts.

Le taux de guérison est de  7,25 % (ce pourcentage est  très médiocre).

Afin de comparer le taux de guérison au niveau mondial  est de 69,15 %  !

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne, dont 50 personnes de la grippe  saisonnière.

Pour avoir une idée du désastre sanitaire français, la totalité de l'Afrique a répertoriés 297 personnes décédées...

La France a 2.183.660 personnes contaminées, l'Afrique 2.134.283...

La France a un total de 50.957 personnes décédées, l'Afrique 51.033... mais leur population est de 1.360.514.467 alors que la France a 65.985.428 d'habitants.

Posez-vous la question sur le traitement utilisé en Afrique, et interrogez-vous sur les raisons que certains traitements sont interdits en France...

Quant au taux de guérison de l'Afrique il est de 84,37 % alors que la France a un taux de 7,25 %.

Triste conclusion à faire....













Voir aussi : 








Halte à la maltraitance des enfants !





 NOS LIBERTES (chanté par Ingrid Courrèges)




















Faisons arrêter ces criminels !









Lorsque nous examinons les événements entourant la pandémie du SRAS-CoV-2, diverses questions demeurent sans réponse. Le 18 octobre 2019, quelques semaines seulement avant que ground zero ne soit déclaré à Wuhan, en Chine, deux événements majeurs ont eu lieu. L’un était « Événement 201 », l’autre les « Jeux mondiaux militaires », qui s’est tenue à Wuhan. Depuis lors, une pression mondiale pour les vaccins et le suivi biométrique a été lancée.


Bill Gates, qui a publiquement déclaré son intérêt à « réduire la croissance démographique » de 10 à 15 %, au moyen de la vaccination, est à l’avant-garde de cette question. Gates, l’UNICEF et l’OMS ont déjà été accusés de manière crédible d’avoir stérilisé intentionnellement des enfants kenyans grâce à l’utilisation d’un antigène HCG caché dans les vaccins contre le tétanos.


















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