"La Vie Hospitalière"

lundi 14 mars 2022

À Vannes, les urgentistes, en grève, usés jusqu’à la corde

À l’hôpital de Vannes, des soignants des urgences sont en grève depuis jeudi 10 février. En cause : l’engorgement du service, faute de moyens, de personnels et de lits d’aval. Reçus par la direction, ils ont obtenu la création d’un poste d’aide-soignante mais poursuivent le mouvement.







« Que veut la société ? Mettre en priorité de l’argent dans un système de soins public ou, par exemple, dans la 5G » ? La question était posée vendredi 11 février par un médecin de l’hôpital de Vannes venu lire une déclaration du collectif Santé en danger, prélude à la minute de silence, devant le service des urgences.


Manque de bras, manque de matériel

Parmi la soixantaine de soignants présents, des médecins et paramédicaux des urgences adultes, en grève depuis jeudi à minuit - sur un préavis illimité et reconductible déposé par la CGT. Les urgentistes réclament du renfort, entre autres une secrétaire à l’accueil, un brancardier, une infirmière, des agents d’entretien des locaux de soins supplémentaires. « Je suis infirmière et je me retrouve à faire le ménage à longueur de journée et à brancarder des patients sur des brancards pas entretenus, explique une gréviste, Julie*, qui travaille aux urgences depuis dix ans. Pour les médicaments, on regarde les prescriptions, mais on n’a pas le temps de vérifier les antécédents du patient. On n’a pas le temps de leur apporter de l’eau ni de les emmener aux toilettes. Les gens sont dépités ».


Mercredi 2 février, lors d’une première rencontre, la direction a promis de créer un poste supplémentaire d’aide-soignante la nuit, en mai. Une deuxième rencontre a eu lieu mercredi 9 février. « On n’a rien obtenu en renfort administratif, ni infirmier, note un représentant de la CGT. Mais la direction a lancé un inventaire du matériel pour répondre, entre autres, aux besoins en ordinateurs et en brancards ». « On n’a même pas de bureau pour les infirmières en traumatologie, pour faire la partie administrative », pointe Julie.


Le domino des lits d’aval

Dans un communiqué de presse, la direction de l’hôpital « comprend la fatigue des professionnels », et explique l’engorgement des urgences par l’absentéisme des soignants malades de la covid, y compris dans les services du CHBA et autres structures qui prennent en charge les patients après les urgences. La direction revendique par ailleurs « la création de lits d’aval en court séjour gériatrique et en médecine polyvalente ». « Mais en parallèle, 26 lits ont fermé en chirurgie, dont 13 en 2021, souligne le représentant de la CGT. Et il y a toujours 25 lits fermés en soins de suite et de réadaptation ».


Par un effet domino, le manque de lits en aval crée un embouteillage aux urgences. « En début de semaine, on a eu une dame qui a dû rester quarante-huit heures sur un brancard, avant qu’un lit d’aval se libère, témoigne Julie. Les brancards sont à touche-touche. Clairement on ne respecte pas les mesures sanitaires, ni le secret médical ». L’unité hivernale de 24 lits fermera le 30 avril, quand commencent à affluer les touristes, surtout les retraités. « On va être à nouveau submergés », prédit Julie.


* Prénom d’emprunt





Source : letelegramme.fr

Pour plus d'informations 







Note de "La Vie Hospitalière"


Les personnels suspendus que sont-ils devenus ? Quand l'on sait que la direction a mis en avant les dispositions qui visaient les personnels n'ayant pas été "vaccinés" afin de les suspendre sans revenus et sans le droit de travailler ailleurs, ceci est totalement digne des heure sombres de notre histoire et encore les nazis allemands auraient-ils été jusque là ? La devise de l'État français était : "Travail, Famille, Patrie" ni le travail, ni la famille, ni la patrie ( avec les orientations engagées...) ne sont respectés !

Ainsi les personnels ne peuvent être sanctionnés si ils refusent un vaccin car ce ne sont pas des vaccins mais des injections géniques expérimentales et le principe de précaution se doit d'être mis en avant ! Il faut prendre en considération que le fait d' imposer une injection qui s'avère dangereuse pour la santé d'autrui s'assimile à un empoisonnement volontaire de la personne ( en milieu hospitalier il ne peut être invoquée une non connaissance des produits injectables et de leurs effets secondaires qui peuvent mener jusqu'à la mort !)...

Le fait aussi de suspendre un agent en arrêt de travail est totalement illégal, l'arrêt de travail étant suspensif du contrat de travail, nous avons vraiment affaire à une bande d'individus dont nous préférons ne pas écrire les qualificatifs à employer.

Et le Code de Nuremberg dans tout ceci ? 

Écrit après la victoire contre le nazisme et le jugement dans un cadre militaire de certains collabos nazis...même  si le Code de Nuremberg  n'est pas un document juridique en l'état il a amené dans le droit international la notion de crime contre l'humanité !...

Nous en sommes là, et la situation est très grave.

Nous ne conclurons pas...





Lire aussi :

À Vannes et
à Auray, un médecin et 50 soignants non-vaccinés suspendus au GHBA







La mortalité liée aux injections géniques en Europe (multiplier par 10 car tous les décès ne sont pas rapportés).




...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pour information le courriel envoyé à l'UNSA, à ce jour sans réponse...:

Je ne comprends pas que votre organisation syndicale fasse de la politique dans le sens où l'UNSA est en théorie autonome ?...
Soutenir l'Ukraine, c'est de fait s'engager contre la Russie et accepter :
Les trafics d'enfants ! ( pédo criminalité)
Les "milices nazies" qui depuis 2014 ont tués 14.000 personnes dont des enfants !
D'alimenter un conflit qui peut s'étendre dangereusement (fournitures d'armes etc)
Tolérer des laboratoires qui sont peut être à l'origine du SRAS-Cov 2 ! (la Chine demande des explications aux USA)
Je ne développe pas plus mais c'est aussi et c'est très grave accepter la mise en place du Nouvel Ordre Normal (4ème Reich) !
Désolé mais tous autant que vous êtes vous vous conduisez pas comme une force revendicative mais quoi au juste, je ne trouve pas les mots !
Le syndicalisme a bien changé et je m'étonne aussi que vous ne défendiez pas les personnels qui ont été suspendus sans possibilité de subsister car pas de revenus ! Ceci est contraire notamment à l'art 23 signé par l'ONU en 1948 !
Même les nazis allemands n'avaient pas osé faire acte d'autant d'inhumanité !
Que la honte soit éternellement pour tous les collabos complices en plus d'un génocide (injections géniques toxiques), des gens sans aucune humanité, sans aucune conscience que c'est triste de constater cett déchéance. C'est encore plus triste pour les générations à venir...
Et, continuez à utiliser l'écriture inclusive comme des petits toutous (Soros doit vous subventionner c'est pas possible autrement), sachez que le Québec a abandonné ce système inclusif depuis 40 ans, mais rien ne m'étonne aujourd'hui dans cette société de dégénérés, de pervers qui ne savent même plus se respecter en tant qu'être humain. Bien à l'image des mafieux qui sont actuellement au pouvoir. La roue va tourner, et nous oublierons rien.

Loïc Roy

PS) Quelles ont été vos actions ? contre :
Le pass sanitaire ?
Le pass vaccinal ?
L'obligation "vaccinale" de personnels ? Leur suspension ?...
La dénonciation que les "vaccins" soient des injections géniques expérimentales, mutagènes et toxiques ?
La "vaccination" probable des jeunes enfants par ces poisons ? Ce qui est criminel !
Le port du masque (inutile) ?
Pire le port du masque en milieu scolaire ce qui est une maltraitance que seuls les pedo criminels peuvent imaginer ?
La composition des injections géniques ?
Etc etc