"La Vie Hospitalière"

dimanche 27 novembre 2022

Un journaliste dévoile l’édifice des mensonges officiels

«Oui, on a vendu des milliards de vaccins grâce aux fausses vérités des autorités». Jeremy Hammond dévoile la dramaturgie artificielle des Etats-Unis qui a été largement reprise dans tout l'Occident.







Revenant sur la récente audition au Parlement européen d’une cadre de Pfizer, laquelle avait admis que les «vaccins géniques» n’avaient jamais été évalués pour leur effet sur la transmission du virus, Jeremy Hammond part du travail des «fact-checkers» (qui ne «contrôlent» que les voix indépendantes, mais jamais les gouvernants ni les pharmas). Ceux-ci ont «révélé» que c’était une chose connue (ce qui est vrai), et aussi que personne n’avait jamais prétendu que ces injections expérimentales prévenaient la contagion (ce qui est faux).


L’inventaire des mensonges

Le journaliste retrace alors une longue liste des mensonges – de l’État, des autorités de santé, de l’OMS, des producteurs de vaccins, des grands médias qui n’ont fait qu’induire la population en erreur. On sait désormais ainsi :


comment l’OMS a violé la science en imposant des définitions et des stratégies fallacieuses (ceci est décrit dans l’article qui suit);


comment le vaccinolâtre et faux philanthrope Bill Gates a, avec ses fondations, décidé de la réponse pandémique mondiale (telle que l’enquête de die Welt et Politico l’a révélé)


comment le cabinet de conseil McKinsey a coordonné la manœuvre en distribuant sa feuille de route à une soixantaine de gouvernements occidentaux tout en étant au service de Pfizer et du Forum économique mondial.


Une pensée unique qui a colonisé toute l’élite

L’inventaire de Hammond démontre à quel point la parole publique n’avait jamais encore été aussi trompeuse, colonisant par une pensée unique la totalité des élites, soit les acteurs sociaux ayant « le pouvoir de dire et de faire » (selon la définition du sociologue Michel Maffesoli).


Ce que révèle le journaliste s’applique à tout l’Occident (à de très rares exception près comme la Suède, la Floride, et dans une certaine mesure le Danemark). Partout, les mêmes propos trompeurs ont été affirmés par les mêmes homologues.


Son site d’information affiche un programme très clair: Renforcer le journalisme indépendant. Hammond fait simplement le travail que la majorité des médias grand public n’ont pas su ni voulu mener.


Il est également l’auteur du livre The War On Informed Consent (la guerre contre le consentement éclairé), préfacé par l’avocat Robert F. Kennedy Jr, et du livre électronique gratuit The FDA, COVID-19 Vaccines, and Scientific Fraud (la Food & Drug Administration, les vaccins et la fraude scientifique).

Vérification des faits : Oui, les vaccins Covid-19 ont été vendus à la population sur la base de mensonges

par Jeremy R. Hammond 14 novembre 2022


Contrairement à ce qu’affirment de faux articles de «fact-checking», les pontes de la «santé publique» ont délibérément prétendu que les vaccins Covid 19 empêcheraient la transmission du virus.

Introduction

Le 10 octobre 2022, lors d’un témoignage devant un comité du Parlement européen, un député a posé la question à Janine Small, représentante du président de Pfizer Albert Bourla: est-ce que le vaccin ARNm de Pfizer-BioNTech a été testé avant sa commercialisation pour déterminer s’il arrêterait la transmission du coronavirus responsable du Covid-19? Elle a répondu : «Non. Nous avons dû avancer à la vitesse de la science pour vraiment comprendre ce qui se passe sur le marché.»


Bien que cette déclaration ait suscité une grande attention en tant qu’«aveu» ce n’était pour autant pas une nouvelle. De nombreux observateurs, dont moi-même, ont souligné dès le début que les essais des vaccins de Pfizer et de Moderna n’étaient pas conçus pour déterminer cette efficacité.


Contrôler les «contrôleurs de faits»

Le 18 octobre 2022, FactCheck.org a publié un article intitulé « It’s Not News, Nor ‘Scandalous’, That Pfizer Trial Didn’t Test Transmission« . L’article s’inscrit en faux contre les informations en ligne qui présentent le témoignage de la responsable de Pfizer comme un aveu scandaleux. « Les essais cliniques n’ont pas évalué si le vaccin pouvait réduire la transmission, et ni les entreprises ni le gouvernement n’ont jamais prétendu le faire. »

Cette objection est toutefois trompeuse car elle néglige le fait que les représentants des laboratoires pharmaceutiques et les responsables gouvernementaux ont affirmé que les vaccins arrêteraient la transmission, comme si cela avait été démontré par des essais cliniques.


Mon but ici est simplement de remettre les pendules à l’heure. Le fait est que les vaccins ont en fait été vendus au public sur la base du mensonge selon lequel deux doses fourniraient une immunité stérilisante durable qui arrêterait la transmission et mettrait fin à la pandémie de Covid-19 en conférant une immunité de groupe.


Le grand mensonge : l’immunité naturelle est faible, celle des vaccins sera supérieure

Comme je l’ai largement documenté par ailleurs, tout au long de l’été et de l’automne 2020, le public a été bombardé de fausses affirmations selon lesquelles l’immunité naturelle au SarsCoV2 était faible et de courte durée et que des vaccins induisant une protection supérieure seraient donc nécessaires pour que la population atteigne l’immunité de groupe.


Ce mensonge reposait sur l’observation que les taux d’anticorps circulants diminuaient rapidement après la guérison de l’infection, ce qui, selon le public, signifiait que les gens perdaient leur immunité.


Les anticorps fonctionnent

Cependant, une diminution initiale rapide des niveaux maximaux est parfaitement normale et attendue et ne signifie pas que les gens perdent leur immunité. Les anticorps qui persistent, même à un faible niveau dans le sang, peuvent être suffisants pour prévenir l’infection, et même si ce n’est pas le cas, il reste une mémoire immunologique.


Le système immunitaire n’a pas besoin de réapprendre à combattre une infection, mais peut produire rapidement des anticorps en cas de besoin. Il existe également une immunité cellulaire, distincte de l’immunité humorale, ou protection conférée par les anticorps, de sorte que les personnes restent protégées contre les maladies graves en cas de réinfection.

Les promoteurs du confinement et des vaccins profitent de l’ignorance du public

Au lieu d’informer le public sur le fonctionnement du système immunitaire et sur les raisons pour lesquelles une diminution initiale rapide des anticorps n’est pas inquiétante, les promoteurs des régimes de confinement et de la vaccination de masse ont profité de l’ignorance des gens en leur faisant croire qu’ils devaient être vaccinés pour obtenir une protection solide et durable.


Les vaccins Covid-19, nous a-t-on dit, permettraient de sortir de la pandémie en stoppant l’infection et la transmission et en obtenant ainsi une immunité collective. Ce qui suit est une chronologie documentant la manière dont cette supercherie a été perpétrée par une propagande vaccinale effrontément trompeuse émanant de l’establishment de la «santé publique» et des médias grand public.


Ce qu’on a dit au public avant que les vaccins Covid soient disponibles

Le 1er mai 2020, le New York Times a véhiculé le message selon lequel des vaccins seraient nécessaires pour atteindre l’immunité collective et ainsi mettre fin à la pandémie, malgré l’absence totale de preuves que les produits alors en cours de développement induiraient effectivement une immunité stérilisante durable.


Ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres de la manière dont les médias ont propagé l’affirmation selon laquelle les vaccins en cours de développement permettraient de stopper l’infection et la transmission.


Message matraqué : vaccination, seule solution

Parmi ceux qui ont participé à la tromperie délibérée sur l’insuffisance de l’immunité naturelle et la nécessité de recourir aux vaccins pour stopper l’infection et la transmission, on trouve la Dre Rochelle Walensky, qui remplacera Robert Redfield à la direction des CDC (Centres pour le contrôle des maladies) en janvier 2021.


Le 15 octobre 2020, The Lancet a publié un commentaire coécrit par Walensky, qui préconisait le maintien des mesures de confinement jusqu’à ce qu’une immunité de groupe puisse être obtenue par une vaccination de masse.

Immunité naturelle? Bof

Prétendant faussement présenter un « consensus fondé sur des preuves » sur ce que l’on savait de l’immunité au SarsCoV2, Walensky et ses collègues ont menti de manière flagrante en affirmant: «Il n’existe aucune preuve d’une immunité protectrice durable au SarsCoV2 ‑après une infection naturelle».


En réalité, à cette époque, des études avaient déjà montré qu’en plus des réponses immunitaires cellulaires efficaces, les anticorps neutralisants induits par l’infection étaient persistants dans le sang de presque toutes les personnes qui guérissaient.


En outre, on savait que l’infection induisait des réponses mémoire, avec des indications de l’induction de plasmocytes de moelle osseuse à longue durée de vie, un marqueur immunologique connu de l’immunité à long terme, qui pourraient rapidement produire davantage d’anticorps en cas de réexposition au SarsCoV2. (En effet, les scientifiques ont confirmé que l’infection induit une mémoire immunologique à longue durée de vie en mai 2021).


L’OMS en remet une couche

Le 13 novembre 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est allée jusqu’à nier l’existence même de l’immunité naturelle en actualisant sa définition de l’«immunité de groupe».


Jusqu’alors, l’OMS la décrivait comme le phénomène par lequel les personnes non immunisées sont protégées d’une infection par celles qui étaient immunisées soit par une infection, soit par une vaccination.


Avec cette mise à jour, les personnes naturellement immunisées ont soudainement cessé de contribuer à l’immunité collective. Celle-ci était désormais définie strictement comme «un concept utilisé pour la vaccination». (Après un tollé public à propos de ce négationnisme scientifique scandaleux, destiné de manière évidente à faire avancer le programme de vaccination de masse, l’OMS est revenue sur sa définition pour reconnaître l’existence de l’immunité naturelle).

Vaccin clamé « efficace » avant même d’être autorisé

À la mi-novembre, avant que le vaccin de Pfizer ne reçoive l’autorisation d’utilisation d’urgence de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, Uğur Şahin, le PDG de BioNTech, le partenaire de Pfizer, a déclaré publiquement que, sur la base des données des essais cliniques, il était «très confiant que la transmission entre les personnes sera réduite par un vaccin aussi efficace».


Il suggérait ainsi que la vaccination pourrait réduire de moitié la propagation communautaire. Paraphrasé par le Guardian, il a exprimé son espoir «que des analyses plus poussées montreraient que le vaccin est également efficace pour stopper la propagation de la maladie».


«Vaccination massive indispensable pour passer un hiver normal»

Il laissait ainsi faussement entendre que la transmission était un résultat étudié au cours des essais cliniques. Il a ajouté qu’il était «absolument essentiel» d’atteindre «un taux de vaccination élevé» d’ici août 2021 «afin que nous puissions avoir un hiver normal l’année prochaine.» Il a ainsi propagé le mensonge selon lequel la vaccination mettrait fin à la pandémie en conférant une immunité de groupe.

Au même moment, le Dr Anthony Fauci, directeur des National Institutes of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) sous l’égide des National Institutes of Health (NIH), conseiller médical principal du président et membre du groupe de travail de la Maison Blanche sur le nouveau coronavirus, affirmait lui aussi au public que les vaccins bientôt autorisés mettraient fin à la transmission. L’immunité collective pourrait être atteinte, a-t-il dit, si 70 à 75 % de la population se faisait vacciner.


Ce qu’on a dit au public lorsque les vaccins Covid-19 ont reçu l’autorisation

La FDA a délivré son autorisation d’utilisation d’urgence pour le vaccin Covid-19 de Pfizer le 11 décembre 2020, et l’autorisation pour le vaccin de Moderna a suivi le 18 décembre 2020.


À l’époque, ne disposant que de données issues d’essais cliniques et d’aucune étude observationnelle, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) propageaient eux aussi la fausse affirmation selon laquelle le vaccin arrêterait la transmission.


Vaccinez-vous pour contribuer à l’immunité collective

Sur une page «Questions fréquemment posées» sur les vaccins, les CDC mentionnaient: «Quel pourcentage de la population doit être vacciné pour avoir une immunité de groupe contre le Covid-19?» La réponse des CDC était que le pourcentage restait inconnu, mais le message implicite était que le public pouvait être assuré qu’en se faisant vacciner, il contribuerait au développement de l’immunité collective en arrêtant la propagation du virus.

Au même moment, le Dr Moncef Slaoui, le conseiller en chef de l’opération «Warp Speed»  (collaboration entre le gouvernement et les pharmas pour développer rapidement des vaccins Covid sous l’administration Trump), a déclaré publiquement que les vaccins conféreraient une immunité collective, ce qui signifie par définition qu’ils empêcheraient la transmission.


Comme si tout était déjà garanti

Le 13 décembre 2020, Chris Wallace, de Fox News, lui a demandé : « Combien de temps avant que nous ayons une immunité collective grâce au vaccin, où suffisamment de personnes ont été vaccinées pour que la pandémie ait pris un tournant, et que vous et moi nous sentions en sécurité en sortant dans une foule? »


Au lieu de corriger Wallace en informant le public que les scientifiques ne savaient pas encore si les vaccins empêcheraient la transmission, Slaoui a répondu : «Donc, nous devrons avoir vacciné 75 ou 80 % de la population américaine avant que l’immunité collective puisse vraiment être établie.»


Affirmations à la chaîne sans preuves

Il a exprimé l’espoir que l’immunité collective soit atteinte d’ici l’été 2021. Dans ce contexte, il a déclaré que « maintenant que toutes les données sont sorties », les gens ne devraient pas hésiter à se faire vacciner, laissant ainsi faussement entendre que les essais cliniques avaient montré que les vaccins arrêtaient la transmission.

Le 15 décembre 2020, la Dre Deborah Birx, coordinatrice de la réponse au coronavirus à la Maison Blanche, bien qu’elle sache que les essais cliniques n’étaient pas conçus pour déterminer l’efficacité du vaccin contre l’infection et la transmission, a proclamé de manière mensongère que si 70 à 80 % des Américains se faisaient vacciner, les États-Unis pourraient  «véritablement atteindre une immunité collective».


Fauci promet la fin des masques et des confinements

Dans une interview du 16 décembre 2020, le Dr Anthony Fauci a déclaré au public que les essais cliniques avaient montré que les vaccins de Pfizer et de Moderna étaient «très efficaces» et qu’ils allaient «réellement inverser la dynamique» de la pandémie. M. Fauci a répété que les essais cliniques avaient montré que les vaccins étaient «sûrs et efficaces». Une fois que suffisamment de personnes auront été vaccinées, les gens pourront cesser de porter des masques et d’observer d’autres mesures de confinement car, a-t-il affirmé, «il serait extrêmement improbable que vous puissiez acquérir ou transmettre l’infection.»


Fauci a donc implicitement affirmé que les données des essais cliniques avaient montré que les vaccins empêcheraient la transmission.


Fauci monte les enchères

Constatant que Fauci était passé de l’affirmation, au cours des premiers mois de la pandémie, que l’immunité collective pourrait être atteinte si 60 à 70 % de la population était vaccinée, à celle selon laquelle il faudrait entre 70 et 85 %, le New York Times lui a posé la question. Fauci lui a répondu «qu’il avait lentement mais délibérément changé les règles du jeu», en partie parce qu’il avait «l’impression que le pays était enfin prêt à entendre ce qu’il pensait vraiment.»

En d’autres termes, l’explication de Fauci lui-même, c’était qu’il avait auparavant menti à la population «parce que de nombreux Américains semblaient hésiter face aux vaccins». Il disait maintenant au public qu’ «il faudra peut-être atteindre une immunité de près de 90 %», comme c’est le cas pour la rougeole. Mais, insistait-il, les gens pouvaient être assurés que les vaccins « arrêteraient le virus » – tout comme le vaccin contre la rougeole induit une protection durable contre l’infection et la transmission.


Les sondages donnent le feu vert

Jusqu’à ce qu’il voie des sondages indiquant un pourcentage croissant d’Américains exprimant leur volonté d’accepter la vaccination, il avait hésité à dire aux Américains qu’ «ils devraient accepter» les vaccins «presque universellement pour que le pays atteigne une immunité de groupe».


Toujours le 16 décembre 2020, la Dre Birx, ne disposant elle aussi que des données des essais cliniques, a déclaré : «Je comprends l’ampleur de l’efficacité de ce vaccin. C’est l’un des vaccins les plus efficaces que nous ayons dans notre arsenal de lutte contre les maladies infectieuses.»


La Dre Birx admet ne pas savoir si le vaccin protège

A nouveau le 17 décembre 2020, Birx a soutenu que les mesures de verrouillage autoritaire devaient rester en place jusqu’à ce que la population soit vaccinée. Les vaccins Covid-19  sont une «grande lueur d’espoir» , dit-elle, affirmant une fois de plus que les vaccins conféraient une immunité collective et qu’une fois que tout le monde aurait été vacciné au milieu de l’été 2021, les gens pourraient recommencer à faire la fête ensemble sans craindre de propager le virus.


Lors d’une interview le 22 décembre 2020, Birx a affirmé que les vaccins Covid19 conféreraient une «immunité de troupeau». Elle laissait donc clairement entendre que les vaccins avaient démontré leur capacité à prévenir l’infection et la transmission. Peut-être conscient du fait que son discours n’était pas étayée par des preuves scientifiques, l’animateur a répliqué en soulignant la différence entre la prévention de la maladie, qui était le résultat mesuré des essais cliniques, et la prévention de l’infection et de la transmission. Mme Birx a alors été contrainte de reconnaître tacitement qu’elle venait de mentir, car elle a admis explicitement: «Nous ne savons pas si cela protège contre l’infection».

Les médias sonnent l’hallali

Les commentateurs des médias grand public ont naturellement pris le train de la propagande en marche. Plutôt que d’expliquer au public que les essais cliniques n’étaient pas conçus pour déterminer si les vaccins empêchaient l’infection et la transmission, Aaron E. Carroll a propagé le message dans le New York Times du 30 décembre 2020, selon lequel une fois que les gens seraient vaccinés, ils aideraient à « mettre fin à la crise » en contribuant au développement d’une « immunité collective».


L’immunité naturelle disqualifiée malgré les preuves

Jusqu’au 30 décembre 2020, les CDC ont persisté dans leur mensonge – les preuves scientifiques «suggèrent que l’immunité naturelle contre le Covid-19 pourrait ne pas durer très longtemps» – alors que des études avaient en fait démontré la persistance d’anticorps chez des personnes précédemment infectées. Elles démontraient l’induction d’une immunité cellulaire robuste et des indications d’une mémoire immunologique de longue durée.


Par la suite, les CDC ont supprimé ce mensonge flagrant de leur site web, mais ont continué à affirmer que les personnes qui se remettaient de l’infection devaient tout de même se faire vacciner, au motif que la durée de l’immunité naturelle restait inconnue – ils ont ainsi continué à tromper volontairement le public en dissimulant délibérément les études montant que l’immunité naturelle était robuste, large et durable.



Ce qu’on a dit au public une fois la vaccination de masse lancée

Dans une interview accordée au magazine Newsweek le 1er janvier 2021, on a demandé à Fauci si les personnes vaccinées pouvaient encore transmettre le coronavirus, et Fauci a dit la vérité en répondant qu’on ne savait pas encore si les vaccins empêchaient l’infection et la transmission: «Ils pourraient très bien le faire, mais nous ne l’avons pas encore prouvé.»


Il n’a pas tenté de concilier cet aveu avec ses déclarations antérieures selon lesquelles les vaccins conféreraient une immunité de groupe, ce qui, par définition, nécessitait que les vaccins préviennent l’infection et la transmission du virus. Il a également déclaré au cours de l’interview que l’idée de rendre les vaccins obligatoires était «sur la table».


Biden fait pression, de même que les prestataires de soins et les assurances

Le 25 janvier 2021, le président Joe Biden a proclamé que son administration faisait pression pour que les Américains soient vaccinés en masse «afin d’arriver au point où nous atteindrons l’immunité de groupe.» Il a déclaré : «Je suis convaincu que d’ici l’été, nous serons en bonne voie pour nous diriger vers l’immunité collective.» Il a ainsi faussement prétendu que deux doses de vaccins Covid-19  assureraient une protection durable contre l’infection et la transmission.


Les prestataires de soins de santé et les compagnies d’assurance maladie ont également participé à la grande tromperie en diffusant de la propagande sur les vaccins au lieu d’informer correctement les gens pour qu’ils puissent faire leurs propres choix en toute connaissance de cause.


«Vaccinés non contagieux»


Le 26 janvier 2021, par exemple, Munson Healthcare, un prestataire de mon État natal, le Michigan, a envoyé un bulletin d’information par courriel aux consommateurs, déclarant qu’il était « fier de poursuivre l’important travail de vaccination de nos communautés » afin de « travailler à l’immunité collective. »


À ce jour, Munson continue de répondre à la question de savoir si les personnes vaccinées peuvent être contagieuses par un « non » ferme. Munson poursuit en disant aux gens qu’ils doivent continuer à prendre des précautions comme le port d’un masque et la distanciation sociale, surtout juste après avoir été vaccinés « dans le cas rare où une personne a été infectée par le Covid-19 juste avant ou juste après avoir reçu un vaccin.»


Mensonges à la chaîne

Munson sous-entend donc qu’il n’y a qu’une courte période pendant laquelle les personnes récemment vaccinées pourraient être capables de propager le virus. Plus loin sur la page, Munson renforce cette désinformation en ajoutant que, malgré la diminution des niveaux d’anticorps après la vaccination, les injections «contribuent encore de manière significative à l’immunité de groupe dans toute notre communauté.»


Munson continue également à ce jour à mentir effrontément au public en affirmant que même les personnes qui se sont déjà remises de l’infection doivent se faire vacciner car « les preuves suggèrent que l’immunité naturelle peut ne pas durer très longtemps». Ce mensonge s’accompagne d’un message trompeur selon lequel, même s’il n’est pas garanti que les vaccins empêchent la transmission du virus « parce qu’aucun vaccin n’est efficace à 100 % », ils contribueront tout de même à amener la communauté à une « immunité de groupe. »


«Seul le vaccin offre une immunité durable»

Sur une autre page de son site, Munson continue à propager le gros mensonge selon lequel les vaccins stoppent la transmission, en le renforçant par cette fausse affirmation, soulignée en gras: «les vaccins Covid-19 actuellement disponibles sont plus efficaces que les autres vaccins administrés en routine aux États-Unis.» Logiquement, selon lui, si les vaccins Covid-19 sont plus efficaces que celui de la rougeole, cela signifie qu’ils procurent une immunité stérilisante durable qui protège contre l’infection et la transmission du SarsCoV2.


La compagnie d’assurance Blue Cross Blue Shield a repris le même message trompeur: le fait que l’immunité naturelle offre une protection suffisante est un «mythe» et les personnes remises de l’infection doivent tout de même se faire injecter parce que «la vaccination peut offrir une protection plus durable contre le Covid-19», un mensonge éhonté totalement démenti dans la littérature scientifique.


Ils répètent les mantras des CDC

Bien entendu, les prestataires de soins comme Munson ne faisaient que suivre l’exemple donné par les CDC et les départements de santé des États. Aujourd’hui encore, le Département de la santé et des services sociaux du Michigan (MDHHS) propagent le même refrain: les personnes remises de l’infection doivent tout de même se faire vacciner car «les preuves suggèrent que l’immunité naturelle contre le Covid-19 peut ne pas durer très longtemps.»


En mars 2021, les CDC ont communiqué le message que les personnes vaccinées ne peuvent pas propager le virus. Ils ont adapté leur politique pour recommander que les personnes vaccinées soient exemptées du port du masque et du maintien de la distance sociale. Simultanément, les CDC ont indiqué que les personnes remises d’une infection n’étaient pas protégées contre une réinfection et pouvaient toujours propager le virus. Du coup, ils ne recommandent pas qu’elles soient dispensées de porter un masque.


Affirmations non scientifiques reprises par l’OMS et Twitter

La propagande mensongère selon laquelle les vaccins offraient une protection supérieure a été renforcée par l’OMS qui, le 28 mars 2021, a déclaré aux personnes qui avaient déjà récupéré de l’infection: «Vous devriez quand même recevoir la série complète de vaccins existants et qui sont à votre disposition.»


Twitter s’est joint à la campagne de propagande  en envoyant aux utilisateurs qui s’étaient remis de l’infection le message qu’ils « devraient se faire vacciner complètement», étayant son conseil médical non sollicité en citant les positions politiques des CDC et de l’OMS.


… répétées à la TV

Dans l’émission The Rachel Maddow Show de MSNBC, le 29 mars 2021, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a affirmé: «Nous pouvons presque voir la fin» de la pandémie parce que «les personnes vaccinées ne sont pas porteuses du virus, ne tombent pas malades, et que ce n’est pas seulement dans les essais cliniques mais aussi dans les données du monde réel.»


Cela contredit l’affirmation de FactCheck.org selon laquelle personne n’a jamais prétendu que les essais cliniques montraient que les vaccins empêchaient l’infection et la transmission. Walensky a en réalité déclaré le contraire non seulement implicitement mais explicitement.


L’animatrice de l’émission a répété ce gros mensonge: ce n’est «pas seulement en laboratoire» que les données ont montré que les vaccins arrêtent la transmission, mais aussi dans le «monde réel».


S’adressant à son public, Maddow a insisté : «Une personne vaccinée est exposée au virus. Le virus ne l’infecte pas. Le virus ne peut pas utiliser cette personne pour aller ailleurs. Il ne peut pas utiliser une personne vaccinée comme hôte pour infecter d’autres personnes. Cela signifie que les vaccins nous permettront d’en finir avec cette maladie. Si nous allons assez vite pour que toute la population soit vaccinée.»


Le site des médecins met en doute l’immunité naturelle

En avril 2021, WebMD (principal site d’information en ligne pour les médecins, NdT) a publié un article niant de manière absurde ce que les études avaient montré: que l’immunité naturelle était robuste, large et durable, avec des cas relativement rares de réinfection.


WebMD est allé jusqu’à émettre des doutes sur l’existence même d’une immunité naturelle contre le SarsCoV2. «Les experts de la santé ne savent pas si nous devenons vraiment immunisés contre le Covid-19 après avoir été infectés», mentait effrontément WebMD. Il y avait simplement « l’espoir » que les personnes qui se remettent de l’infection puissent développer une certaine immunité contre cette maladie.


Ainsi, d’un trait de plume, le principal site d’information médicale a effacé l’existence d’un grand nombre de publications scientifiques démontrant la force de l’immunité naturelle. Les lecteurs étaient informés que les vaccins – et uniquement les vaccins  «devraient permettre d’atteindre cet objectif à terme.»


Distribuer des vaccins pour les JO de Tokyo

Le 17 avril 2021, le président de Pfizer Albert Bourla a déclaré sur Twitter qu’il avait rencontré le premier ministre du Japon pour discuter de la livraison d’un plus grand nombre de vaccins «pour gérer la propagation du Covid-19» en vue des Jeux olympiques de Tokyo. Il affirmait ainsi bel et bien que le vaccin de Pfizer empêchait la transmission du SarsCoV2.


«Si vous êtes vacciné, vous reprenez une vie normale»

En mai 2021, les CDC ont continué à propager la fausse affirmation selon laquelle les vaccins empêchaient la transmission en disant aux gens que s’ils étaient complètement vaccinés, ils pouvaient reprendre une vie normale, exempts des restrictions sociétales imposées à tous les autres, y compris les personnes naturellement immunisées. Le message du CDC à tous les autres, y compris ceux qui avaient déjà acquis une immunité supérieure par l’infection, était de «trouver un vaccin.»


Le 13 mai 2021, Rochelle Walensky a déclaré sur Twitter  : «Si vous êtes entièrement vacciné contre le Covid-19, vous pouvez maintenant commencer à faire les choses que vous aviez cessé de faire à cause de la pandémie. » Le message clair était que l’immunité naturelle est insuffisante pour arrêter la transmission, mais que la vaccination entraînait une protection robuste et durable.


Biden renforce la discrimination

Le président Biden a renforcé cette propagande mensongère en tweetant simultanément la menace de continuer à discriminer les personnes non vaccinées, y compris celles qui ont déjà acquis une immunité naturelle supérieure : « La règle est désormais simple : faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu’à ce que vous le fassiez. Le choix vous appartient. »


Le 16 mai 2021, Fauci a déclaré dans l’émission Face the Nation de CBS News que les études sur «l’efficacité dans le monde réel» des vaccins étaient «encore meilleures que dans les essais cliniques.» Il était «très improbable qu’une personne vaccinée, même en cas de percée de l’infection, la transmette à quelqu’un d’autre.»


Fauci: «Avec le vaccin, vous protégez la communauté!»

Lorsque l’animateur a répété que la vaccination « élimine ou bloque leur capacité à transmettre le virus à d’autres personnes », M. Fauci a répondu : « C’est absolument le cas. Et c’est la raison pour laquelle nous disons que lorsque vous vous faites vacciner, vous protégez non seulement votre propre santé, celle de votre famille, mais vous contribuez également à la santé de la communauté en empêchant la propagation du virus. Vous devenez une impasse pour le virus. Et lorsqu’il y a beaucoup d’impasses autour de vous, le virus n’ira nulle part.»


Le 17 mai 2021, Walensky a remis une couche en tweetant : «La science est claire: si vous êtes vacciné contre le Covid-19, vous êtes en sécurité. Les vaccins fonctionnent. Vous pouvez enlever votre masque et ne risquez pas de contracter une maladie grave ou d’être hospitalisé. Si vous n’êtes pas vacciné, vous n’êtes pas en sécurité. Veuillez vous vacciner ou continuez à porter un masque.»


Naturellement, elle a refusé de reconnaître le grand nombre de publications scientifiques montrant la force de l’immunité naturelle.


Bourla réclame la vaccination généralisée des enfants – et les médias la vaccination obligatoire

Le 8 juin 2021, le président de Pfizer Albert Bourla a affirmé sur Twitter que la «vaccination généralisée» des enfants était «un outil essentiel pour aider à stopper la transmission.»


Les grands médias ont continué à remplir leur fonction de propagande en diffusant une désinformation fabriquée par le gouvernement au service de l’industrie pharmaceutique. Le 28 juin, le New York Times titrait «L’obligation vaccinale arrive. C’est une bonne chose.»


Sous ce titre, Aaron Carroll se plaignait que « des incitations telles que des billets pour des matchs de football et de la bière gratuite » étaient insuffisantes pour convaincre les gens d’aider les États-Unis à « atteindre l’immunité collective» en acceptant les vaccins Covid-19. Les carottes ne fonctionnant pas, «les gens ont besoin de bâtons» . C’est en rendant les vaccins obligatoires que «le pays atteindra une réelle immunité collective.»


Biden: «avec le vaccin, pas d’hôpital, pas de décès»

Le 8 juillet 2021, Albert Bourla a déclaré sur Twitter : «Nous savons que chaque personne non immunisée donne au virus l’occasion de se propager et de continuer à muter et à exposer davantage nos communautés, c’est pourquoi il reste une priorité absolue de vacciner le plus grand nombre de personnes le plus rapidement possible.»


Le 21 juillet 2021, le président Biden a déclaré qu’il était «très simple» de comprendre qu’il s’agissait «d’une pandémie pour ceux qui n’ont pas été vaccinés», alors que les personnes vaccinées étaient protégées. Il s’agit d’une proposition simple et fondamentale» , a-t-il dit, « Si vous êtes vacciné, vous ne serez pas hospitalisé, vous ne serez pas dans une unité de soins intensifs et vous ne mourrez pas. »


Il a ajouté: « Si vous êtes vacciné, vous ne devriez pas porter de masque», alors que les personnes non vaccinées, y compris celles qui ont une immunité naturelle, «devraient porter un masque.»


«La désinformation antivax érode la confiance dans les vaccins qui sauvent des vies»

Il a assuré aux personnes vaccinées que malgré la circulation du variant Delta, « vous irez bien. Vous n’allez pas… vous n’allez pas attraper le Covid-19 si vous avez ces vaccins. »


Après avoir propagé cette désinformation, M. Biden a ironiquement répondu à une question sur « la désinformation de la communauté anti-vaccins qui érode la confiance dans les vaccins qui sauvent des vies » en disant que son administration agissait «pour restaurer la foi de l’Amérique dans la science» en veillant à «écouter les scientifiques.»


Cette déclaration grotesque, démentie par les observations constantes de la littérature scientifique selon lesquelles les vaccins n’étaient pas conçus pour prévenir l’infection et la transmission et qu’il n’avait pas été démontré qu’ils le faisaient, a été applaudie par le public crédule de Biden.


 


Ce qu’on a dit au public quand les données ont montré que les vaccins n’empêchaient pas la transmission.

Fin juillet 2021, les chercheurs des CDC ont appris que 74% des personnes ayant développé le Covid-19 lors d’une grande épidémie dans le Massachusetts étaient entièrement vaccinées et que la quantité de virus excrétée par les personnes vaccinées était tout aussi élevée que celle des personnes non vaccinées, suggérant une contagiosité égale. C’est cette découverte qui a incité les CDC à revenir sur leur décision de ne plus exiger le port du masque pour les personnes vaccinées.


Le 5 août 2021, Walensky a admis publiquement sur CNN que les vaccins n’empêchaient pas la transmission du SarsCoV2.


Malgré l’évidence, le mensonge continue. L’obligation vaccinale progresse

Malgré cette reconnaissance, et malgré le fait que des études aient démontré de manière écrasante que l’immunité naturelle était à la fois plus large et plus durable, les CDC ont persisté à mentir au public pour que la population accepte la vaccination en affirmant fallacieusement que «les gens en étant complètement vaccinés obtiennent une meilleure protection qu’en ayant eu le Covid».


Le 9 septembre 2021, le président Biden a annoncé son intention d’imposer les vaccins Covid-19 aux Américains par le biais de diverses obligations. Son plan visait les personnes qui choisissaient de ne pas se faire vacciner, y compris les personnes naturellement immunisées, qui «bloquaient la santé publique» par leur choix. Rejetant le droit fondamental de l’être humain au consentement libre et éclairé, il a proclamé de manière absurde qu’il ne s’agissait «ni de liberté ni de choix personnel».


Biden : «notre patience est à bout !»

Malgré la reconnaissance publique du fait que les vaccins n’empêchaient pas la transmission, Biden a justifié son plan de contrainte par le fait qu’il s’agissait de « se protéger et de protéger ceux qui vous entourent – les personnes avec lesquelles vous travaillez, les personnes qui vous sont chères, les personnes que vous aimez. » Ces contraintes visent, a-t-il affirmé, à «réduire la propagation [du Covid] en augmentant la part de la main-d’œuvre qui est vaccinée dans les entreprises de toute l’Amérique.»


« Nous avons été patients« , a-t-il dit aux non-vaccinés, y compris ceux qui avaient une immunité naturelle supérieure, «mais notre patience est à bout. Et votre refus nous a tous coûté.»


Le New York Times a fait l’éloge du projet de Biden d’imposer les vaccins aux gens en violation de leur droit de faire leur choix en connaissance de cause. Il a relayé l’affirmation exubérante des «experts» selon laquelle «les obligations vaccinales sont très efficaces pour prévenir la propagation des maladies infectieuses.»


LinkedIn et Twitter censurent la vérité

Ce n’est que le 3 décembre 2021 que la désinformation officielle, selon laquelle les vaccins induisaient une protection supérieure à l’immunité naturelle, a été retirée du site Internet des CDC. L’affirmation des CDC selon laquelle l’immunité naturelle était inférieure pendant la période de prédominance du variant Delta a ensuite été falsifiée par les propres données des CDC publiées par les propres chercheurs des CDC dans la propre revue MMWR des CDC. Pour avoir tenté à plusieurs reprises de rapporter fidèlement ce fait sur LinkedIn, j’ai été définitivement banni.


Tout aussi imperméable aux faits, Twitter a mis à jour sa politique en décembre 2021 pour interdire aux utilisateurs de dire la vérité, à savoir que les vaccinés peuvent transmettre le SarsCoV2 aux non vaccinés.


Les deux doses ne marchent pas… OK, faites une 3ème

Quand il est apparu clairement que le régime à deux doses entraînait une diminution rapide de la protection contre l’infection et que les personnes vaccinées contribuaient à la propagation dans la communauté, le message incongru a continué: tout le monde devrait être encore plus fortement vacciné en recevant une injection de rappel pour aider à prévenir la transmission. Biden a encouragé les gens à accepter les rappels en annonçant son plan de contrainte en septembre.


Le 8 décembre 2021, Bourla a affirmé : «La science nous dit que la vaccination complète d’autant de gens que possible avec la première série de deux doses, et un rappel aussi rapidement que possible, reste le meilleur moyen de prévenir la propagation du Covid-19.»


Deborah Birx avoue: «Nous avons surestimé les vaccins»

Le 22 juillet 2022, la Dre Birx, qui a alors déjà démissionné de son poste à la Maison Blanche, a admis sur Fox News : «Je savais que ces vaccins ne protégeraient pas contre l’infection, et je pense que nous avons surestimé les vaccins.» Elle a donc tacitement reconnu qu’avec ses premières proclamations disant que les vaccins conféreraient une immunité de groupe, elle mentait délibérément.


Le 23 juillet 2022, lors d’une audition au Congrès, Mme Birx a été interrogée sur les fausses déclarations faites par les responsables gouvernementaux pour convaincre la population d’accepter la vaccination. Il est intéressant de noter qu’elle n’a pas tenté de nier que les vaccins avaient été vendus au public sur la base du mensonge selon lequel ils seraient très efficaces pour prévenir l’infection et la transmission. Au contraire, elle a répondu avec franchise en avouant que ces premières fausses affirmations étaient fondées sur la foi et non sur des preuves. Les responsables gouvernementaux avaient «espéré» que les vaccins préviendraient l’infection et la transmission, bien que ce résultat n’ait pas été mesuré au cours des essais cliniques.


 


Conclusion: où étaient les «vérificateurs de faits» durant cette escalade de mensonges ?

Les fact-checkers n’ont aucun problème avec leur désinformation

L’article de FactCheck.org, qui tente vainement de nier le fait que les vaccins ont été vendus au public sur la base de mensonges, n’est lui-même qu’une nouvelle illustration de la manière dont le public est sans cesse trompé par le gouvernement et les médias grand public.


Les faux «vérificateurs de faits» n’ont manifestement aucun problème avec la désinformation, tant qu’elle s’aligne sur l’agenda politique, qui sert à son tour les intérêts financiers de l’industrie pharmaceutique.


Les géants des médias sociaux très impliqués aussi dans ces tromperies

Les entreprises de médias sociaux ont, elles aussi, été profondément impliquées dans la perpétration de ces tromperies en interdisant aux utilisateurs de partager des informations factuellement exactes pour corriger la désinformation sanctionnée par le gouvernement.


Bref, pendant toute la durée de ces énormes mensonges sur l’infériorité de l’immunité naturelle et sur la capacité des vaccins à amener la population à une immunité collective, les soi-disant «vérificateurs de faits» étaient introuvables.


Il n’y a pas eu de vérification des faits par FactCheck.org ou tout autre contrôleur des médias grand public pour corriger le Dr Fauci, la Dre Walensky, la Dre Birx, le président Biden, Pfizer, les commentateurs des médias grand public, etc., pour avoir menti effrontément en affirmant: «la science» a montré que les vaccins sont très efficaces pour prévenir l’infection et la transmission du SarsCoV2.

Jeremy R. Hammond

 




Source : covidhub.ch

Pour plus d'informations 



Introduction, mise en forme et intertitres de Covidhub – Traduction J.-D. Michel



Jeremy R. Hammond est un journaliste indépendant américain ayant produit le travail le plus fouillé en lien avec la crise du Covid-19.







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