Dix-neuf médecins et experts en santé ont envoyé une lettre ouverte au Collège des médecins du Québec et à la Direction générale de la santé publique du Québec
Ils dénoncent les risques liés aux vaccins comme les myocardites, surtout pour les enfants, les effets indésirables à long termes inconnus mais surtout le manque de précaution du Québec face aux vaccins.
Une lettre percutante, disponible plus bas pour téléchargement, est très claire à cet effet: le Québec n’a pas bien informé les gens dont les parents qui eux ont consenti à la vaccination sans vérifier les problèmes potentiels.
Pourtant, dans l’histoire des vaccins, ils y a eu plusieurs épisodes malheureux: thalidomide, DES (Diethylstilbestrol), vaccin pour la polio (voir Incident Cutter: enfants décédés ou handicapés), etc.
Idem pour des médicaments.
Pfizer est la compagnie qui a eu le plus d’amendes à payer dans le passé: des milliards!
NOTE: les extraits et la lettre peuvent contenir des fautes d’orthographes ou de grammaire; ils sont partagés intégralement.
Extraits:
Avis préliminaire Les informations contenues dans ces pages sont rigoureusement conformes à des connaissances scientifiques reconnues et accessibles. Nous sommes conscients qu’elles pourront heurter le lecteur qui en prendra connaissance pour la première fois.
Les informations contenues dans ce texte sont vérifiables et proviennent des Centers for Disease
Control , de la U.S. Food and Drug Administration ainsi que des fabricants Pfizer et
Moderna. Les principes à la base de ce texte sont ceux qu’on trouve dans le Code Civil du Québec
articles 10 et 11 et du Canada ainsi que le code de déontologie des médecins du Québec Certains relèvent du Code de Nuremberg.
Le devoir personnel et incontournable du médecin, inscrit dans son code de déontologie, et
auquel il ne peut se soustraire, lui impose de s’assurer qu’un consentement libre et éclairé soit obtenu de la part du patient.
Libre signifie sans menace ni contrainte et dans le cas d’un produit pharmaceutique expérimental, sans promotion aucune.
Éclairé veut dire que le patient reçoit une information véridique, factuelle, complète et clairement exprimée.
Le médecin a aussi le devoir déontologique de signaler des situations de santé publique à propos desquelles il juge que le public est mal protégé et/ou mal informé (articles 39 et 40 du code de déontologie des médecins).
Force est de constater que le public est mal servi à cet égard dans le contexte de la pandémie.
Un produit expérimental de manipulation génique a été présenté comme un « vaccin comme les
autres ». On a présenté ce produit comme un « vaccin sûr et efficace ».
Des messages non validés par la science ont été répandus, empreints d’une violence inouïe faisant peser sur les fragiles épaules des enfants une responsabilité lors de la maladie ou du décès éventuel d’un de leurs parents ou grands parents.
Les citoyens ont été dressés les uns contre les autres, toujours à l’encontre de la science en répandant les idées fallacieuses de contamination asymptomatique et de « pandémie des non vaccinés » pour ne citer que celles là.
Les médias
Ainsi donc, les médias ont comblé le vide d’information et se sont proclamés détenteurs et défenseurs de la vérité. Des journalistes souvent peu qualifiés ont présenté des vérités établies comme étant de la «désinformation » et des informations totalement fausses comme étant des dogmes scientifiques.
Les médias ont stigmatisé tous ceux qui se sont questionnés sur les « vaccins » expérimentaux en leur accolant des épithètes dégradantes anti vaxx, complotistes irresponsables, coucous, anti science etc.
Télécharger la Lettre ouverte (14 pages)
Par Daniel Brisson
Source : fnlnews.info
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