"La Vie Hospitalière"

jeudi 20 janvier 2022

Près de 50.000 patients de Medicare sont décédés peu après avoir reçue l'injection COVID dénonce un lanceur d’alerte

Un lanceur d’alerte a fourni des données gouvernementales documentant 48.465 décès dans les 14 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 parmi les seuls patients de Medicare, selon Me Thomas Renz, un avocat spécialisé dans la défense des droits à la liberté médicale








L’annonce en a été faite samedi par Me Renz - basé en Ohio - qui reste impliqué dans plusieurs affaires majeures intentées contre des agences fédérales pour fraude et violation des droits à la liberté médicale.


Dans sa présentation, Renz a exprimé sa reconnaissance aux lanceurs d’alerte qui se manifestent pour fournir au public ces informations si importantes provenant des Centers for Medicare & Medicaid Service (CMS). Il a décrit la base de données du CMS comme étant la plus importante disponible aux États-Unis pour l’étude des tendances du COVID-19, car elle contient les données d’environ 59,4 millions de bénéficiaires de Medicare.

Une diapositive montre que le nombre de « personnes décédées dans les 14 jours suivant un vaccin COVID-19 » s’élève à 19.400 pour les moins de 81 ans et à 28.065 pour les 81 ans et plus, soit un total de 47.465 décès.


« Ce sont des données brutes », a expliqué Renz. « Il n’y a pas d’analyse ». Et, a-t-il souligné, ces chiffres de décès concernent moins de 20 % de la population américaine.


« Vous voulez savoir pourquoi 14 jours sont importants ? » a-t-il demandé. « Parce que si vous mourez à 14 jours, vous n’êtes pas considéré comme vacciné ». Selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), on n’est pas considéré comme « vacciné » avant 14 jours après la fin de son régime d’injection, suscitant la question de savoir si les autorités gouvernementales ont classé ces décès comme autre chose que des décès liés à la vaccination.


Renz a fourni des captures d’écran des « données brutes provenant des serveurs de Medicare », les qualifiant de « cadeau pour les salauds de “vérificateurs de faits” qui continuent de mentir ».


« Et ce que je veux savoir, c’est si vous allez vérifier les faits du HHS maintenant ? » a-t-il raillé. « Allez-vous vérifier les faits de Fauci ? »


En juillet, un lanceur d’alerte qui exerce la profession de programmeur informatique dans le domaine de l’analyse des données liées aux soins de santé a déclaré, sous peine de parjure, que les données de la CMS révélaient « au moins 45 000 » décès liés aux injections du vaccin expérimental COVID-19. USA Today et d’autres ont vérifié cette affirmation et l’ont qualifiée de fausse information.


Un communiqué de presse publié sur le site Internet de Renz répond : « Les révélations d’aujourd’hui confirment que la “Trusted News Initiative” est en fait la source de la désinformation et de la propagande, et que le dénonciateur, l’avocat Thomas Renz, avait raison depuis le début ».


Depuis que le déploiement des vaccins génétiques COVID-19 a commencé en décembre dernier, et que les effets indésirables - y compris les décès - ont été passivement signalés dans le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des CDC, beaucoup pensent que le nombre réel de blessures est beaucoup plus élevé.


Les données les plus récentes du système VAERS des CDC, publiées vendredi dernier, permettent de constater que 726.965 événements indésirables ont été signalés aux États-Unis à la suie d’une vaccination, dont 15.386 rapports de décès et 99.410 rapports de blessures graves, entre le 14 décembre 2020 et le 17 septembre 2021.


La présomption de chiffres réels beaucoup plus élevés est étayée par une étude de 2010 du Harvard Pilgrim, constatant que « moins de 1 % des blessures liées aux vaccins » sont signalées au VAERS. En outre, même les fabricants de vaccins ont calculé que les événements indésirables sont cinquante fois moins signalés à ce système [par rapport à la réalité].


De plus, un rapport récent de Project Veritas révèle que le personnel médical des hôpitaux fédéraux confirme la présence de nombreux patients souffrant de blessures dues au vaccin COVID, mais que « personne » ne les signale au VAERS.


Renz a également fourni des preuves affirmant que la Food and Drug Administration (FDA) a utilisé ces mêmes données CMS pour surveiller différents types de réactions indésirables aux injections en « temps quasi réel », tandis que ces mêmes agences gouvernementales et les médias continuent de répéter que ce vaccin génétique est « sûr et efficace ».


L’affichage des données des bénéficiaires de Medicare dans le seul État de New York a révélé des milliers d’événements cardiovasculaires, de cas de COVID-19 et de décès parmi un total de 16 effets indésirables suivis.


« Rappelez-vous, ce sont des “effets secondaires” qui, selon ce que le gouvernement, les médias et les médias sociaux continuent de dire au public, ne se produisent pas », a-t-il déclaré. « Ils mentent. Il n’y a aucun doute qu’ils mentent. »


« Le mantra de “sûr et efficace” doit cesser après les informations d’aujourd’hui », a déclaré Renz.

Par Patrick Delaney


Publié par Geneviève De Vriendt   13 Octobre 2021

Traduit par Campagne Québec-Vie - (Photo : LifeSiteNews)




Source : cqv.qc.ca

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1 commentaire:

Anonyme a dit…

plissken https://youtu.be/_LK3avKAF2c a dit...

Le « code de Nuremberg » établi une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 - août 1947) qui précisent les conditions auxqeuelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l'être humain pour être considérées comme « acceptables »/ Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir: qu'elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle, afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L'obligation et la responsabilité d'apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l'initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s'attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.
L'expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens: elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.
Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.
L'expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et out dommage physique et mental, non nécessaires.
L'expérience ne doit pas être tentée lorsqu'il y a une raison a priori de croire qu´elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l'exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.
Les risques encourus ne devront jamais excéder l'importance humanitaire du problème que doit résoudre l'expérience envisagée.
On doit faire en sorte d'écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l'invalidité ou la mort.
Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l'expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.
Le sujet humain doit être libre, pendant l'expérience, de faire interrompre l’expérience, s'il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller.
Le scientifique chargé de l'expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s'il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l'invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

(Extrait du jugement du TMA, Nuremberg, 1947. Trad. française in F. Bayle, Croix gammée contre caducée. Les expériences humaines en Allemagne pendant la Deuxième Guerre Mondiale, Neustadt, Commission scientifique des Crimes de guerre, 1950.)
Consensus éthiques

Serment d’Hippocrate
Le code de Nuremberg - 1947
Rapport Belmont
Bonnes Pratiques Cliniques