"La Vie Hospitalière"

lundi 22 novembre 2021

L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie







Trop c’est trop! le monde libre de toute influence pharmaceutique a vu ce mois-ci arriver la limite du tolérable en terme de recul de ses libertés. Prorogation de passes sanitaires absolument imbéciles, violations perpétuelles des droits du public à une information contradictoire, restriction généralisée des autorisations de déplacement, intrusion permanente des industriels du médicament dans la gestion des politiques publiques, empoisonnement des population par administration forcée de pseudo-vaccins totalement inefficaces quelques semaines après injections (1), certainement non conformes au droit européen (2), épouvantablement toxiques (3)(4)(5), refus catégorique de reconnaître l’existence de thérapeutiques tant  préventives que curatives (6), répression féroce de tous les opposants à la politique édictée par Pfizer et ses employés (7), mais où va le monde? La France Libre et quelques-uns de ses représentants ont choisi de saisir la justice en désespoir de cause. Si celle-ci décide d’instruire, les conséquences seront incalculables en terme de retour à une démocratie respectueuse de ses fondamentaux essentiels… Bonne lecture.


« On ne saurait prétendre que le droit d’informer est pleinement exercé quand la majorité des citoyens en sont exclus et que le droit d’être informé est garanti quand il est arbitrairement mutilé. Le droit d’informer est, comme la liberté d’expression et d’opinion, un droit social qui devrait être universellement partagé. Le droit d’informer ne saurait être réservé à des groupements publics et privés qui prétendent s’en réserver l’usage parce qu’ils en monopolisent les moyens. »

Henri Maller (ACRIMED)



Introduction

Si dans quelques mois cette affaire est réellement instruite, nous devrons tous une reconnaissance particulière à  Maître Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris, pour l’exceptionnelle qualité rédactionnelle de son dépôt de plainte réalisé le 4 novembre 2021 auprès du Doyen des juges d’instruction. Les plaignants sont représentés par un particulier qui souhaite rester anonyme à ce jour, par l’association BonSens.org ainsi que par l’AIMSIB, au passage nous tenons à remercier chaudement l’ensemble de nos membres qui par le paiement régulier de leurs cotisations nous permettent d’assumer les coûts financiers parfois importants de plusieurs milliers d’euros, de certaines instances.


Les petits ruisseaux forment les grandes rivières, merci de ne jamais les tarir…

L’ensemble de la plainte est accessible par le lien ci-desous :

https://aimsib.org/PDFs/PlainteCaviardeeBonSens.orgAIMSIB-MP-04112021.pdf


Les termes de la plainte

Le choix technique de la plainte contre X autorise au juge d’instruction toutes les directions que son enquête exigera, c’est naturellement cet instrument du Droit qui a été choisi. l’objet de la plainte est résumé ici:






L’objet de cet article ne recherche pas à résumer le travail de Maître Virginie de Araujo-Recchia, mais simplement à le présenter, nul doute que dans les années à venir tout chercheur intéressé par l’histoire contemporaine pourra se référer avec bonheur dans la synthèse documentaire rassemblée par ce mémoire. 



Conclusion

L’AIMSIB est très heureuse d’avoir pu participer financièrement et techniquement à la réalisation de cette action judiciaire sans précédent dans l’histoire de la crise de la Covid. L’avenir nous dira si la justice Française se donnera le droit et les moyens d’investiguer dans les directions que nous lui présentons ici.

Accès aux annexes

Mais dès aujourd’hui ce travail de compilation des preuves permet à l’ensemble des parties attaquées par la doxa officielle d’argumenter avec force l’idée que le désastre sanitaire qu’on nous présente demeure diamétralement opposé à la réalité objective de la situation réelle.


Médecins attaqués par les Conseils ordinaux, journalistes indépendants, politiciens intègres, malades ayant à souffrir d’effets indésirables post-vaccinaux, soignants non vaccinés, salariés pourchassés par leurs DRH, médecins objectifs… Ce mémoire est pour vous. Défendez-vous, défendons-nous!


par La rédaction de l'AIMSIB



« Conformément à l’art 85 alinéa 2 du Code de Procédure Pénale, les plaignants n’avaient pas l’obligation préalable de dépôt de plainte entre les mains de M. le Procureur de la République, puisqu’ils se plaignent notamment de crimes ».




Source : aimsib.org

Pour plus d'informations 










...

Aucun commentaire: