"Je n’oublierais jamais…
Les premiers pas de ma dernière en petite section de maternelle à qui on déguénait chaque matin du gel hydro ALCOOLIQUE et qui était la seule à aller se savonner les mains car je refusais formellement qu’on lui brûle ses petites mains…
Les premières récrées de mes bébés en maternelle, l’une en petite section, l’autre en moyenne section qui étaient empêchées de se rapprocher l’une de l’autre, la cour étant séparée par rubalise.
Leur question à 16 heurs 30 : « maman, pourquoi on n’a pas le droit d’être mélangées en récrée ? ».
(Dois-je rappeler qu’elles mangent et dorment ensemble…)
Mon beau-fils humilié en cour de récréation par les CPE car il ne portait pas « comme il faut » ce putain de masque. À qui l’on a obligé de porter pour la peine un masque en paille, dénommé par l’école « le masque d’âne » en forme de bec de canard.
Cette peur dans les yeux et dans la voix de mes filles sorties de l’école à 10 heures 30 car d’après les maîtresses « l’école était contaminée ». Il y avait des cas du coronavirus …
Le regard de mes filles cherchant le réconfort de leur maman, je ne l’oublierais JAMAIS.
Je n’oublierais pas tous ces enseignants devenus les bourreaux des enfants, qui les obligeaient à porter le masque durant les cours de sport.
Mon beau-fils faisait athlétisme avec …
Ces enseignants moralisateurs, traumatisant les mômes avec le fameux « tu vas tuer Papi et Mamie ».
Ces gens au pouvoir spectateurs de la détresse de toute une génération.
Ces milliers de témoignages de parents en détresse, impuissants face au rouleau compresseur qui s’abattait chaque jour sur le fruit de leurs entrailles.
Ces mères misent aux bancs des accusées, faisant l’objet de signalement de la part des directions d’écoles car elles n’avaient pas trouvé d’autres solutions que de déscolariser leurs enfants en détresse.
Je n´oublierais jamais Sofia, cette jeune fille de 17 ans morte 10 jours après son injection, que je n’ai pas eu la chance de connaître si ce n’est le jour de ses funérailles.
Je n’oublierais jamais, celles et ceux qui auront combattus à mes côtés.
Ceux qui ont donné gratuitement de leur temps pour défendre la cause la plus chère au monde : celle des enfants.
Par contre, je rayerais de mon esprit et de toutes mes cellules celles et ceux qui de près comme de loin, n’auront pas levé le petit doigt pour des innocents.
Il y’a UNE chose au monde qui ne s’achète pas : c’est sa conscience."
(Auteur inconnu)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire