"La Vie Hospitalière"

mardi 6 décembre 2022

« Je suis médecin et je m’adresse à tous les médecins qui liront ce témoignage. »

Vincent a 62 ans, il est marié, il a 2 enfants. Il exerce depuis 35 années, ayant travaillé 15 ans en milieu hospitalier, puis 20 ans en milieu libéral. Il est officiellement interdit d’exercice depuis le depuis le 17 Mai 2022




Vincent, Médecin radiologue (Haute-Savoie)




Je suis docteur en médecine, radiologue, docteur en sciences et j’ai obtenu une habilitation à diriger des recherches. Mon témoignage fait certainement parti de ceux dont vous avez déjà entendu certains arguments, mais il est aussi celui de quelqu’un qui commence à voir un peu la vie en noir, sa vie personnelle, mais aussi la vie collective du pays.


Comme tellement de gens, j’ai été écrasé par l’ambiance dramatique dans laquelle on a été plongé au tout début de l’histoire, « la guerre », un virus qui arrive et qui déferle sur le monde, des morts à la pelle… Ça avait quelque chose de l’ordre de la peste noire, ressenti du coté médical c’était vraiment effrayant. Le confinement, le vide, le retour sur la famille, plus de travail, et puis, très progressivement, de toutes petites lumières qui s’allument dans cette histoire dramatique.

La première histoire qui m’a questionné c’est que des équipes médicales publiaient des articles sur l’évolution de la pandémie et ses nouveaux virus. On peut dire nouveaux virus plutôt que nouveaux variants, parce que, à chaque mutation du virus COVID, on avait des bestioles qui étaient manifestement, scientifiquement, médicalement et visuellement beaucoup moins dangereuses que les précédentes. Est arrivée une obligation vaccinale qui m’a posé question, puisque jamais, jusqu’à présent, on avait vacciné en masse pour une infestation qui avait plutôt tendance à être moins méchante. En plus, on vaccinait avec des produits totalement, mais totalement nouveaux. Donc, dans le souci de comprendre j’ai regardé les fiches des vaccins sur « mesvaccins.net », éditées par le ministère et j’ai vu que certains de ces vaccins contenaient des OGM.


Alors je ne sais pas si ça a la même résonnance chez d’autres personnes mais pour moi, OGM, je n’en veux pas dans mon assiette, je n’en veux pas dans mes sols et évidemment je n’en veux pas dans mes veines. Donc j’ai écrit au Ministre en disant : « Au regard des informations disponibles dans les fiches de chaque vaccin, des OGM je n’en veux pas. De plus, chaque fiche de vaccin rappelle qu’il faut un consentement libre et éclairé et moi je ne peux pas le donner. Je vous demande donc, M. le Ministre, de me donner accès à ces autres vaccins qui sont distribués sur la planète, à peu près à part égale des vaccins que vous proposez, les vaccins chinois par exemple. » Au début il y en avait deux, puis d’autres sont arrivés … Dès le mois de mai, puis juin 2021, il existait des vaccins conventionnels à virus inactivé. J’étais prêt à me vacciner avec ceux-là, parce que je ne suis pas du tout anti-vaccin.

Aucune réponse du Ministre et puis les choses se sont durcies progressivement et, singulièrement, elles se durcissaient de plus en plus à mesure qu’arrivaient les variants (les nouveaux virus), pourtant manifestement moins méchants qu’au début.


Pas de réponse. J’ai pris mes responsabilités, un ami médecin était malade, je lui ai demandé de mettre un coton-tige dans son nez et j’ai mis ce coton-tige malade dans mon nez. J’étais en accord avec moi-même, je me suis vacciné de façon naturelle, j’ai choisi ma vaccination, on ne me l’a pas imposée et de plus, scientifiquement, elle est bien plus satisfaisante puisque je me suis vacciné contre le virus Delta.  À l’époque on savait que le Delta était plus contagieux mais beaucoup moins létal. J’étais donc « vacciné » et avec une « vaccination » bien supérieure en qualité à celle acquise avec un vaccin issu de la souche originelle de Wuhan.


Vous connaissez la suite, nouvelle obligation vaccinale et au 15 février 2022 les soignants devaient avoir une troisième piqure, sinon ils étaient purement et simplement virés.


Je m’arrête là-dessus ; des soignants virés, non pas parce qu’ils ont fait quelque chose de mal, au contraire, ils ont fait quelque chose de bien pendant toute la période Covid, ils ont reçu et soigné les gens. Et là, au motif qu’ils ne s’injectaient pas une troisième dose parce qu’ils se posaient des questions tout à fait légitimes sur des produits dont on ne connait pas les effets secondaires et dont on constatait l’inefficacité croissante, ces gens-là étaient mis dehors purement et simplement !

Donc deuxième échéance, deuxième vaccination pour moi, un coton-tige de malade dans le nez et à nouveau je me suis vacciné naturellement. Avec Omicron cette fois-ci, en choisissant une fois encore mon vaccin.


J’ai donc une double vaccination, que je juge scientifiquement optimale, raisonnable, efficace. Malgré tout, mon deuxième pass vaccinal arrive à échéance et je ne officiellement plus autorisé à travailler depuis le 17 Mai 2022.


Ce qu’il se passe est, de mon point de vue, anormal. Je considère que je suis vacciné, mais on me met dehors parce que ce je n’ai pas eu de piqûre ! Je ne veux pas de ce produit nouveau que j’interroge, et j’irai bien évidemment jusqu’au bout.


Je m’adresse à tous les médecins qui liront ce témoignage :


- Avez-vous déjà vu dans votre histoire médicale que l’on vaccine des milliards de gens avec un produit en phase expérimentale ?

- Avez-vous déjà vu ça, dans votre passé médical, un vaccin aussi spectaculairement inefficace que celui-là ? En France, on était à 80 % de vaccination et on enregistrait un nombre phénoménal d’infestations, puisqu’on comptait 526.000 cas Covid déclarés, au pic d’un taux de vaccination qu’on n’avait jamais atteint, le 25 Janvier 2022 ! Et on nous oblige à nous vacciner avec un produit qui manifestement ne fonctionne pas !

- Avez-vous déjà vu un oncologue qui dit : « Monsieur, vous prenez ce traitement-là sinon je vous vire et vous n’avez plus accès à l’hôpital » ? Avez-vous déjà vu que l’on mette dehors des gens parce qu’ils n’ont pas un pantalon rouge, ou un pantalon bleu, pour rentrer dans un service ?  Vous rendez-vous compte des excès dans lesquels on est arrivé sans réfléchir ?

- Avez-vous déjà vu, c’est une question qui dépasse le simple fait de cette épidémie, avez-vous déjà vu une maladie qui n’est traitée que par UN MEDICAMENT et pour laquelle on n’a absolument pas le droit d’imaginer qu’il pourrait y en avoir un autre ? ça n’a JAMAIS EXISTÉ ! C’est tout aussi sidérant que le « Nous sommes en guerre ». C’est incroyable qu’on en soit arrivé là. Très étrangement, en France il y a eu vaccin ou rien.

- Dernier point. Il faut bien comprendre le conditionnement qu’il y a en ce moment sur ces vaccins ARN. Regardez le site vaccins de l’OMS et vous verrez qu’il est explicitement dit qu’ils n’ont jamais été utilisés jusqu’à présent, qu’il s’agit d’une démarche nouvelle en matière de vaccins. En aucun cas il ne faut croire que ça avait déjà été utilisé avant. Certes, il y a des protocoles de recherche sur ces vaccins, des protocoles de recherche sur la thérapie génique, aucun doute là-dessus, mais des vaccins ARN ayant validé une AMM donnant le droit d’être injectés a des patients, NON, ça n’est pas vrai ! Il faut le souligner, C’EST FAUX ! C’est ce qu’on appelle du conditionnement de l’esprit, mais ça n’est pas vrai ! Regardez simplement le site de l’OMS.


Alors aujourd’hui, s’il vous plait, interrogez-vous !


Il faut bien comprendre que rien, strictement rien dans cette pandémie (qui n’est plus une pandémie, puisque même l’OMS l’a dit, puisque les pays scandinaves le disent et sont sortis de la période Covid), rien n’est habituel dans les comportements actuels. Avant, quand j’étais petit, vous aviez la grippe et on vous disait : « Tu prends de la vitamine C, de l’aspirine et tu te couches » et quand on était un peu plus grand, on avait droit à un grog avant de se coucher. Contre les virus il n’y avait pas de traitements et puis on s’est quand même aperçu que certains médicaments accéléraient la guérison. C’était des médicaments conventionnels très connus, il n’y a pas que Raoult qui en a parlé, on sait que ça diminue le temps d’infestation et puis il y avait plein d’autres médications. Regardez le protocole de traitement précoce de l’Inde. Il y a aussi maintenant des revues scientifiques qui parlent de tout ce qui a été proposé de par le monde.


Encore une fois, interrogez-vous !

Je voudrais ajouter une chose. Je suis médecin, je suis scientifique, j’ai énormément lu. Je crois que j’ai parlé de la noirceur qui était en train de m’habiter, pour moi et pour la démocratie, mais je crois que le moment de colère le plus intense que je n’ai jamais eu sur cette période, c’est le moment où le Président de la République, le Président de tous les Français s’est autorisé à dire : « Moi, les non-vaccinés, j’ai bien envie de les emmerder jusqu’au bout. » Voilà un Président qui a envie d’emmerder les gens, de les emmerder jusqu’au bout, simplement parce qu’ils se posent des questions. Là j’ai vu rouge. Je me suis dit un Président n’a pas le droit de faire ça, il n’a pas le droit de virer des soignants

On connaît la détresse actuelle des hôpitaux, elle est formidablement relayée dans les médias. Un Président, c’est un Président pour TOUS les français. Il n’a pas le droit d’ostraciser des gens, il n’a pas le droit de les désigner à la vindicte populaire. Moi, je me suis senti humilié, j’ai fait tout ce que j’ai pu pour être logique, j’ai interpellé le ministre, je lui ai envoyé quatre courriers auxquels il n’a pas répondu, alors que mes arguments étaient légitimes.


Monsieur le Président vous n’avez pas le droit de dire ce que vous avez dit !


En conclusion, dans ma tête actuellement, il y a du rouge et il y a du noir. Ne croyez pas que c’est de la littérature, ça n’est pas du Stendhal, je crois qu’on est entré purement et simplement dans le monde de Kafka.







Source : lesessentiels.org

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