...ne les injectez pas par ce produit génique inefficace et dangereux
« FAUX ! De fait quelques milliers de petits ont été injectés sur avis de leur « spécialiste » les trouvant déjà à risque » et les vigilants ont eu grand mal à trouver le suivi.
« Coupable d’avoir commis un mensonge d’état par omission d’une gravité exceptionnelle pour les enfants de France, revoilà Adrien Taquet !
Par deux fois au cours de cette interview (*), Taquet, alors Secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance, a fait semblant d’ignorer les plus de 4500 enfants de moins de cinq ans et les plus de 20 000 enfants âgés de 5 à 11 ans injectés avec des doses adultes en 2021, avant ses déclarations mensongères.
“Alors le Premier ministre, vous l’avez entendu, a parlé de nécessité, je crois, en fin de semaine dernière, il y a déjà eu un avis de la Haute autorité de santé, notamment pour les enfants les plus vulnérables, et d’ailleurs, (la) campagne de vaccination pour ces 360 000 enfants atteints de maladies chroniques, de cancers, débute aujourd’hui…”
“Il a déjà été décidé d’ouvrir la vaccination pour les enfants fragiles, ça commence aujourd’hui, ça, c’est une certitude, on attend les décisions des autorités de santé… 4
Avec Christèle Gras-Le Guen, sa complice dans la scandaleuse affaire des injections des sérums Pfizer pour adultes sans AMM perpétrées contre près de 30 000 enfants de France en 2021, au cours du printemps prochain, il va présider les Assises de la Pédiatrie et de la Santé de l’enfant ! Adrien Taquet coprésidera le comité d’orientation des Assises de la Pédiatrie et de la Santé de l’enfant”. »5
Et voici ce que l’on sait enfin en France (sûrement très parcellaire)
« 14 enfants de moins de 5 ans (*) gravement malades (dont un enfant décédé) par suite de l’injection non autorisée d’ARNm de Pfizer en France !!! Ces données “brutes” émanent de l’ANSM et sont rapportées par Emmanuelle Darles et Vincent Pavan. Les médecins qui ont piqué ces enfants gravement handicapés ou décédés — sans autorisation de mise sur le marché de ces pseudo “vaccins” pour les enfants de moins de cinq ans — ont-ils été mis en examen ?
Alors que ces données datent de l’été dernier (rapport publié le 8 septembre 2022), l’ANSM dans son rapport du 24 novembre 2022 continue d’ignorer l’existence des plus de 4512 enfants de moins de 5 ans injectés avec des doses adultes avant la mi-novembre 2021 et tous ceux qui ont été injectés avec des doses adultes et/ou pédiatriques depuis lors. Pourquoi ? Dans ce rapport, l’ANSM évoque 15 enfants de moins de 5 ans gravement atteints après vaccination. Et, comme expliqué, au cours du Conseil Scientifique Indépendant du 15 décembre, les données présentées dans les rapports de l’ANSM concernant les enfants sont sous-estimées par rapport aux données brutes. »6
PFIZER PUBLIE LES EFFETS INDÉSIRABLES RECONNUS7
Effets indésirables
1. Résumé du profil de sécurité
Nourrissons âgés de 6 à 23 mois — après 3 doses
« Dans une analyse de l’étude 3 (phase 2/3), 1 776 nourrissons (1 178 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 598 ayant reçu le placebo) étaient âgés de 6 à 23 mois. D’après les données de la période de suivi en aveugle, contrôlé contre placebo, jusqu’à la date limite du 29 avril 2022, 570 nourrissons âgés de 6 à 23 mois ayant reçu les 3 doses du schéma de primo-vaccination (386 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 184 ayant reçu le placebo) ont été suivis pendant une durée médiane de 1,3 mois après la troisième dose.
Les effets indésirables les plus fréquents, chez les nourrissons âgés de 6 à 23 mois ayant reçu une dose quelconque du schéma de primo-vaccination, étaient une irritabilité (> 60 %), une somnolence (> 40 %), une diminution de l’appétit (> 30 %), une sensibilité au site d’injection (> 20 %), une rougeur au site d’injection et une fièvre (> 10 %).
Enfants âgés de 2 à 4 ans — après 3 doses
Dans une analyse de l’étude 3 (phase 2/3), 2 750 enfants (1 835 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 915 ayant reçu le placebo) étaient âgés de 2 à 4 ans. D’après les données de la période de suivi en aveugle, contrôlé contre placebo, jusqu’à la date limite du 29 avril 2022, 886 enfants âgés de 2 à 4 ans ayant reçu les 3 doses du schéma de primo-vaccination (606 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 280 ayant reçu le placebo) ont été suivis pendant une durée médiane de 1,4 mois après la troisième dose.
Les effets indésirables les plus fréquents, chez les enfants âgés de 2 à 4 ans ayant reçu une dose quelconque du schéma de primo-vaccination, étaient une douleur au site d’injection et une fatigue (> 40 %), une rougeur au site d’injection et une fièvre (> 10 %). »
2. Liste récapitulative des effets indésirables observés dans les études cliniques et dans le cadre de la surveillance après l’autorisation chez les personnes âgées de 6 mois et plus.
Les effets indésirables observés au cours des études cliniques, énumérés ci-dessous, sont classés selon les catégories de fréquence suivantes :
- très fréquent (≥ 1/10) ;
- fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ;
- peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100) ;
- rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000) ;
- très rare (< 1/10 000) ;
- indéterminée (la fréquence ne peut être estimée à partir des données disponibles).
Affections hématologiques et du système lymphatique
- Peu fréquent : lymphadénopathie 1.
Affections du système immunitaire
- Peu fréquent : réactions d’hypersensibilité (par exemple éruption 9, prurit, urticaire, angio-œdème 2).
- Indéterminée : anaphylaxie.
Troubles du métabolisme et de la nutrition
- Peu fréquent : diminution de l’appétit 10.
Affections psychiatriques
- Très fréquent : irritabilité 11.
- Peu fréquent : insomnie.
Affections du système nerveux
- Très fréquent : céphalées, somnolence 11.
- Peu fréquent : léthargie.
- Rare : paralysie faciale périphérique aiguë 3.
- Indéterminée : paresthésie 4, hypoesthésie 4.
Affections cardiaques
- Très rare : myocardite 4 et péricardite 4.
Affections gastro-intestinales
- Très fréquent : diarrhée 4.
- Fréquent : nausées, vomissements 4.
Trouble de la peau et du tissu sous-cutané
- Peu fréquent : hyperhidrose ; sueurs nocturnes.
- Indéterminée : Érythème polymorphe 4.
Affections musculo-squelettiques et systémiques
- Très fréquent : arthralgies, myalgies.
- Peu fréquent : douleurs des extrémités 5.
Affections des organes de reproduction et du sein
- Indéterminée : saignements menstruels importants 12. (Ajout lors de la mise à jour du 06/12/2022)
Troubles généraux et anomalies au site d’administration
- Très fréquent : douleur au site d’injection 11 ; fatigue, frissons, fièvre 6, gonflement au site d’injection 11.
- Fréquent : rougeur au site d’injection 8.
- Peu fréquent : asthénie, malaise, prurit au site d’injection.
- Indéterminée : gonflement étendu du membre vacciné 3, gonflement du visage 7.
1 : une fréquence plus élevée de lymphadénopathie a été observée chez les participants âgés de 5 à 11 ans dans l’étude 3 (2,5 % contre 0,9 %) et chez les participants âgés de 16 ans et plus dans l’étude 4 (2,8 % contre 0,4 %) recevant une dose de rappel par comparaison avec les participants ayant reçu les 2 premières doses.
2 : la fréquence dans laquelle l’angioœdème a été classé est « rare » ;
3 : sur la période de suivi de la sécurité de l’essai clinique jusqu’au 14 novembre 2020, une paralysie faciale périphérique aiguë (paralysie de Bell) a été rapportée chez quatre participants dans le groupe vaccin à ARNm contre la covid 19. La paralysie faciale est apparue le jour 37 après la première dose (ce participant n’a pas reçu la dose 2) et les jours 3, 9 et 48 après la dose 2. Aucun cas de paralysie faciale périphérique aiguë (paralysie de Bell) n’a été rapporté dans le groupe placebo ;
4 : effet indésirable déterminé après autorisation ;
5 : fait référence au bras dans lequel le vaccin a été administré ;
6 : une fréquence plus élevée de fièvre a été observée après la deuxième dose par rapport à la première dose ;
7 : des cas de gonflement du visage chez les personnes vaccinées ayant reçu des injections de produits de comblement dermique ont été signalés lors de la phase post-commercialisation ;
8 : la rougeur au site d’injection est survenue plus fréquemment (très fréquente) chez les enfants âgés de 6 mois à 11 ans ;
9 : la fréquence dans laquelle le rash a été classé est « fréquent » chez les participants âgés de 6 à 23 mois ;
10 : la fréquence dans laquelle la diminution de l’appétit a été classée est « très fréquent » chez les participants âgés de 6 à 23 mois ;
11 : l’irritabilité, la sensibilité au site d’injection et la somnolence concernent uniquement les participants âgés de 6 à 23 mois ;
12 : La plupart des cas se sont révélés de nature non grave et temporaire. »
CONTRATS PERDUS EN ISRAËL, REFUS DE RÉPONDRE AU PARLEMENT EUROPÉEN
À l’heure où le ministère israélien prétend avoir « perdu » les contrats avec Pfizer8, et que le PDG Bourla de Pfizer refuse de répondre aux questions du parlement européen9, les fraudes, les mensonges apparaissent aux yeux du monde entier. Et en même temps l’accumulation dramatique des effets toxiques, mortalité directe liée à l’injection, mais aussi surmortalité globale (toutes causes confondues) dans les pays injectés fortement, témoignent au minimum d’une baisse immunitaire importante.
En Allemagne, les informations arrivent au Parlement et sur les médias mainstream
« À force de persévérance l’analyste allemand Tom Lausen a marqué un beau coup. Après avoir obtenu et analysé les données de la KVB, l’association des caisses d’assurance maladie, qui comprend 72 millions d’assurés, et constaté le décuplement des “morts subites inexpliquées” en 2021 et 2022, soit depuis le début de la vaccination Covid, l’expert est parvenu à faire remonter son dossier explosif jusqu’au niveau fédéral. »
La conférence de presse du 12 décembre, où il a présenté les données indiquant que les chiffres des décès et de différentes autres maladies sont absolument hors-norme, a été suivie d’une interpellation au parlement fédéral par des députés de l’opposition. Les partis de la majorité sont sur la sellette et contre-attaquent en force.
Entretien avec Tom Lausen :
« Bonjour et merci de partager ces informations ailleurs en Europe, c’est très important. Je vous avoue que depuis la conférence de presse et l’interpellation du député Stichert, c’est assez intense. Hier les députés du Bundestag (le parlement fédéral allemand) ont passé plus d’une heure à se réunir au sein de leurs partis pour décider de la stratégie à adopter en réponse à ce scandale. Ils sont dans une position très embarrassante, car les données de la KVB sont vraiment les plus fiables dont on dispose. Elles consolident les informations de tous les médecins d’Allemagne, à l’exception des données provenant des hôpitaux. »10
DES ÉLUS ALLEMANDS EXIGENT LES AUTOPSIES DES DÉCÉDÉS APRÈS VACCIN
Publié le 14 décembre 2022.
Le monde politique allemand — notamment le vice-président du Parlement — réagit à la suite d’une étude montrant que 30 % des morts suspectes après vaccination sont dues aux injections.
Des élus de haut niveau exigent un suivi systématique, une récolte de données sérieuse et des autopsies pour tous les cas problématiques. Et les chercheurs souhaitent mener d’autres investigations pour lever les nombreuses questions encore en suspens.
Le vice-président du Bundestag Wolfgang Kubicki, également vice-président du FDP (Parti libéral-démocrate), veut que l’on s’intéresse de plus près aux éventuels dommages causés par les vaccins Covid.
« Je pense qu’il est indispensable que tout décès inexpliqué survenant dans les 14 jours suivant une vaccination soit automatiquement enregistré comme cas suspect auprès de l’Institut Paul-Ehrlich. Ce n’est manifestement pas encore le cas », a-t-il déclaré au journal Welt.
Une étude aux résultats inquiétants : le politicien s’est référé à une étude récemment publiée par le Pr Peter Schirmacher, pathologiste en chef de l’hôpital universitaire de Heidelberg : à la suite d’autopsies de personnes décédées peu après avoir été vaccinées, il s’est avéré que la vaccination était la cause dans 30 % des cas.11
COMMENT OSER RECOMMANDER L’INJECTION DES BÉBÉS ?
Bébés qui sont à risque zéro du covid, et singulièrement des plus fragiles alors qu’il est maintenant démontré chez les vieillards que les pseudo vaccins, loin de les protéger, les rendent plus vulnérables à toute agression infectieuse ou autre12.
LA RECOMMANDATION HONTEUSE DE LA HAS CONTRAIRE A TOUT BON SENS MÉDICAL
« Seuls les tout-petits à risque de développer une forme grave de la maladie, ou de décès, seront éligibles à l’injection par le Pfizer et BioNTech ». Cela comprend pour la HAS « les enfants qui ont une de ces comorbidités : les cardiopathies congénitales, les maladies hépatiques chroniques, les maladies cardiaques et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère nécessitant un traitement continu), les maladies neurologiques, l’immunodéficience primitive ou induite par médicaments, l’obésité, le diabète, les hémopathies malignes, la drépanocytose et la trisomie 21. À cela s’ajoutent les cas de cancer récent, maladie rénale chronique ou handicap neurologique. La vaccination est aussi recommandée aux bébés dont l’entourage est à risque de forme grave du Covid. »
Ajouter le cancer à cette liste est particulièrement choquant quand les démonstrations nombreuses de la multiplication de tumeurs malignes chez les vaccinés, dont beaucoup chez les jeunes, et la récidive précoce des cancers en rémission est devenue explosive. Comment ignorer ces observations cliniques mondiales ? 13
LES MENSONGES SE POURSUIVENT MALGRÉ L’EXPLOSION DES RÉVÉLATIONS INTERNATIONALES
Cet avis de la HAS s’inscrit dans un contexte où très peu d’enfants français sont vaccinés contre le Covid, alors que la vaccination est ouverte aux moins de douze ans depuis la fin 2021. Actuellement, à peine 5 % des enfants de cinq à onze ans sont vaccinés en France.
Le mensonge de la Cour des comptes suivant est impressionnant :
« L’échec de la vaccination des enfants contribue à expliquer les moins bons résultats globaux de la vaccination en France par rapport à l’Italie, à l’Espagne et au Portugal », a noté la Cour des comptes dans un récent rapport sur la vaccination anti-Covid en France.
On se demande d’où la Cour des comptes tire son expertise et son affirmation tellement inexacte. Juge-t-elle le résultat médical d’une vaccination au seul pourcentage de vaccinés sans en regarder les résultats médicaux ? Car presque partout dans le monde, plus on est vacciné plus la mortalité est élevée.
Dans aucun pays la vaccination anticovid ou dite telle n’a présenté de résultats positifs. Partout dans le monde, ce sont les victimes de l’injection qui s’accumulent pour une maladie bénigne et à risque zéro chez le jeune et chez l’enfant, maladie de surcroît curable avec des médicaments sans risque et à faible coût (ivermectine, hydroxychloroquine, macrolides, zinc, etc.).
Nous avons déjà listé les effets secondaires importants chez les enfants qui auraient dû conduire à l’interdiction de ce produit toxique14, selon l’avis de nombreux groupes de professionnels anglais, canadiens, etc..
Chaque jour apparaissent de nouvelles études confirmant les inquiétudes : par exemple cette publication portugaise :
Health chiefs call attention to risks of myocarditis/pericarditis in children “within 14 days of Pfizer Covid jabs”—Portugal Resident 15 :
« Les responsables de la santé attirent l’attention sur les risques de myocardite/péricardite chez les enfants “dans les 14 jours suivant les injections Covid de Pfizer”»
Au Portugal, seul le vaccin Pfizer Cominarty est offert aux enfants : les responsables de la santé ont publié aujourd’hui une nouvelle norme sur le site officiel du pays, recommandant aux professionnels de la santé de rechercher « des signes de myocardite et de péricardite chez les enfants au cours des 14 premiers jours » suivant l’administration du vaccin Pfizer Covid. L’autorité sanitaire fait également remarquer que :
« Dans la mesure du possible, un intervalle de deux semaines devrait être respecté en ce qui concerne l’administration d’autres vaccins, quel que soit le vaccin ».
La « norma » « Vaccination contre le Covid-19 : Cominarty Original/Omicron BA, 4-5 5 10μg/dose® de vaccin — Formulation pédiatrique pour les 5 à 11 ans » fait référence à de « très rares cas » de myocardite et de péricardite qui « ont été observés après la vaccination avec Comirnaty » (…) « le plus souvent après la deuxième dose et chez les garçons les plus jeunes ».
Dans la norme, la DGS appelle également les professionnels de la santé, avant la vaccination, à :
« alerter les parents/tuteurs de consulter immédiatement un médecin si (les enfants) développent des symptômes évocateurs d’une myocardite ou d’une péricardite après la vaccination, tels que des douleurs thoraciques aiguës et persistantes, une dyspnée ou des palpitations. »
« Les données disponibles suggèrent que l’évolution clinique de la myocardite et de la péricardite après la vaccination n’est pas différente de celle de la myocardite et de la péricardite en général, c’est-à-dire qu’elle a généralement une évolution bénigne après le repos et/ou le traitement symptomatique », lit-on dans le document.
« Si ce problème survient après l’administration d’une dose de Comirnaty Original/Omicron BA.4-5® 10μg/dose, l’administration de la dose suivante doit être reportée au moins jusqu’à la résolution complète du tableau clinique et le bénéfice de son administration doit être évalué au cas par cas par le médecin traitant », indique le DGS, Terminant par le conseil que « les effets indésirables les plus fréquents sont d’intensité légère ou modérée et disparaissent quelques jours après la vaccination : douleur au site d’injection, fatigue, maux de tête, frissons, douleurs articulaires, fièvre (plus fréquente après la 2e dose par rapport à la 1re), gonflement et rougeur au site d’injection ».
Comment accepter même de rares myocardites chez l’enfant pour une maladie bénigne et curable par de simples médicaments ? Et affirmer que l’évolution de la péricardite ou de la myocardite sera bénigne relève de Mme Soleil. Les lésions ne sont pas réversibles et les séquelles sont impossibles à estimer sans recul.
La plainte posée par un mouvement de protection des enfants portugais n’a toujours pas reçu de réponse. Alors que les autorités sanitaires admettent essayer d’encourager davantage d’enfants et de jeunes à accepter l’offre de vaccins contre le Covid, le mouvement civique « pelas crianças e jovens na pandemia » a déposé une plainte de 36 pages auprès du bureau du procureur général. Il présente des données qui, selon lui, montrent :
« De graves manquements en matière de sécurité dans la transparence de l’information, la pharmacovigilance et la réglementation des médicaments en ce qui concerne les vaccins Covid-19 chez les enfants et les jeunes au Portugal ».
« Le groupe met en évidence les données de pharmacovigilance envoyées par les autorités de ce pays au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) des États-Unis qui, selon lui, ont été “cachées au niveau national”, mais “qui permettent la détection d’indications graves de problèmes avec les vaccins chez les enfants” »
Sur 116 pages, les différents incidents sont donnés dans leur intégralité — y compris les « évanouissements » d’adolescents décrits dans les premiers jours du déploiement du vaccin, les convulsions, la perte temporaire de la vision, la perte de la fonction motrice, la surdité, la mycocardite, etc.
L’enfant de six ans décédé des suites d’une vaccination en janvier figure dans la liste — à la page 82 — la gravité de la réaction répertoriée comme « mortelle ».
« Ils soutiennent qu’en ne signalant pas pleinement les effets indésirables du vaccin dans ce pays, INFARMED et les autorités sanitaires ont essentiellement “caché” ce qui, dans de nombreux cas, est des situations “scandaleusement graves” »
« Une autre question concerne le consentement éclairé. Le groupe se demande pourquoi les parents ne sont pas “dûment informés… en ce qui concerne le caractère génétique et expérimental de ces vaccins” ; les “effets indésirables possibles déjà connus et leur fréquence” ; “l’absence d’études sur les effets indésirables à long terme” ; “l’absence d’études sur les effets sur la grossesse, l’allaitement, l’embryon et le fœtus ; sur les immunodéprimés, sur la génotoxicité et sur la cancérogénicité”. D’où l’appel au procureur général de la République “pour enquêter sur la vérité factuelle”. »
Au Canada
Pourtant des décès symboliques devraient alerter comme celui de ce canadien de 35 ans, fervent adepte de la vaccination mort subitement…16 ou l’annulation des tournées de Justin Bieber et de Céline Dion peu de temps après leur vaccination et leur exigence de vacciner les spectateurs. Certains parlent de karma…
En France et en Europe, les chiffres cachés apparaissent peu à peu
Surmortalité des enfants européens de moins de 15 ans par rapport aux trois années d’avant vaccination (2020 covid sans vaccin en marron, 2021 en bleu foncé, 2022 en bleu clair)
https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps 17
ATTENTION À CETTE ALERTE :
NE FAITES PAS INJECTER VOS PETITS PAR LE PSEUDO VACCIN COVID
et MÉFIEZ-VOUS DE LA SUITE PRÉVUE À ÉVITER ABSOLUMENT !
« Prévenir les parents
Le vaccin Covid va être associé au ROR et tous les enfants recevront ce combo
Publié le 29 Juillet 2022Maintenant, ils veulent lier le C19-modRNA avec le ROR — La vaccination obligatoire pour les enfants par la porte dérobée. Dès qu’il sera sur le marché, les autres fabricants retireront complètement leur vaccin ROR normal du marché, et il n’y aura alors que des médicaments de thérapie génique MMR-C19modRNA pour les enfants. Dites-le à tous les parents !18 »
ET OBTENIR LA SUPPRESSION DE TOUTES CES INJECTIONS
Par la Docteure Nicole Delépine
Cancérologue
Cet article a été publié initialement sur le site nouveau-monde.ca
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