"La Vie Hospitalière"

samedi 11 décembre 2021

Comment refuser l’injection de votre enfant à l’école? Conseils de Me Gloriane Blais

 Voici les conseils de Me Gloriane Blais concernant le refus des injections pour les enfants. Ces conseils sont tirés de la vidéo suivante :

https://www.facebook.com/100074537994119/videos/433671708464219



« Selon la loi Québécoise, les deux parents ont l’autorité parentale, qu’ils aient la garde ou non », affirme Me Blais. Les décisions importantes doivent être prises par les deux parents. « Ce n’est pas parce que tu n’as pas la garde que tu dois t’exclure d’une décision aussi importante que la vaccination. Si un parent décide de faire confiance à l’autre parent pour prendre cette décision, ce sera sa décision. Chacun doit assumer ses responsabilités.




En tant que parent tu te dois de t’informer auprès d’experts indépendants, pas auprès de ceux qui sont financés par les compagnies pharmaceutiques, pas auprès des gouvernements qui ont d’autres intérêts, ou des médias qui sont financés directement ou indirectement par le gouvernement ou par ces compagnies pharmaceutiques, donc les fabricants […] Tous les experts qui sont actuellement à la télévision et à la radio ne déclarent pas leurs conflits d’intérêts. Si on fait des recherches on voit que plusieurs ont reçu soit du financement des compagnies pharmaceutiques [ou] des gouvernements […]


Un seul parent peut refuser l’injection. Si l’autre parent n’est pas d’accord, il pourra entamer une procédure. »


Me Blais souligne qu’il est important de refuser maintenant pour vous donner le temps de vous informer, quitte à changer d’idée par la suite. Elle termine sa vidéo en disant que les informations communiquées par les autorités sur ces injections sont erronées, qu’il est faux de dire que ce traitement est sûr, malgré ce que dit François Legault. « Ce qu’il a déclaré est faux, illégal et criminel, » affirme-t-elle sans équivoque.


Voici ses recommandations :


A) MARCHE À SUIVRE POUR SIGNIFIER VOTRE REFUS À LA DIRECTION DE L’ÉCOLE ET PROCÉDURE À ENTAMER EN CAS DE DÉSACCORD ENTRE PARENTS


1- Prendre le formulaire suivant :


Version statique (PDF à imprimer et remplir à la main) : AH-636_DT9592 (2021-07) S.pdf


Version dynamique (PDF à remplir à l’écran) : AH-636_DT9592 (2021-07) D.pdf


Source des PDF : http://msssa4.msss.gouv.qc.ca/intra/formres.nsf/a9b0958ceee59c7685256e2a0052d887/b8387482f04c58ea852586e000621199?OpenDocument


2- À la page 1 : Remplir les INFORMATIONS GÉNÉRALES et barrer avec une ligne en diagonale les questions 1 à 5 du QUESTIONNAIRE PRÉ-IMMUNISATION (QUESTIONS LIÉES À L’ÉTAT DE SANTÉ DE VOTRE ENFANT). Écrire « CONFIDENTIEL » dans l’espace blanc de la colonne « PRÉCISION » (Voir photos ci-dessous);


3- À la page 2 : cocher « JE REFUSE que mon enfant soit vacciné contre la COVID-19 »;


4- Écrire en majuscule en haut de chaque page « REFUS » très clairement;


5- Signer et dater la page 2;


6- Imprimer trois copies : une pour vous, une pour l’école et une pour l’autre parent;


7- Amener 2 copies à l’école de votre enfant, demander au directeur ou à la directrice d’accuser réception du formulaire en bas de la page 2; conserver une copie, remettre l’autre copie à la direction;


8- Donner une copie conforme à l’autre parent, écrire son nom complet en lettres moulées et demander sa signature. Il est possible d’envoyer un scan ou une photo à l’autre parent et lui demander d’accuser réception par courriel.









Vous pouvez également envoyer le tout par courrier recommandé et demander un accusé de réception, mais il est préférable de se rendre à l’école et de remettre les documents et de demander un accusé de réception en personne.


Rappelez-vous que c’est le gouvernement qui demande aux écoles de vous faire signer ce formulaire.


SI VOUS NE POUVEZ PAS IMPRIMER LE FORMULAIRE 


1) Écrire une lettre : « Ayez l’obligeance de prendre note que je refuse catégoriquement et formellement le vaccin contre la COIVD-19 pour mon enfant (ou mes enfants et inscrire le(s) nom(s) et date(s) de naissance). Il est illégal de faire vacciner un enfant sans le consentement des deux parents ou l’autorisation de la Cour supérieure. Veuillez agir en conséquence »;


2) Inscrire votre nom en lettres moulées, signer et dater.


3) Faire une case et écrire « ACCUSÉ DE RÉCEPTION » avec la date et le nom du directeur ou de la directrice de l’école, le nom de l’école et faire signer;


4) Écrire « ACCUSÉ DE RÉCEPTION » avec la date et le nom du parent et faire signer;


5) Conserver l’original et faire 2 copies, envoyer une copie à l’école et une copie à l‘autre parent.


UN SEUL PARENT PEUT REFUSER parce que le refus n’a pas de conséquences irrémédiables. L’autre parent peut faire une demande d’autorisation de l’injection à la Cour supérieure.


Cependant LES DEUX PARENTS DOIVENT ACCEPTER l’injection. En ce sens, le formulaire du gouvernement est illégal puisqu’il ne demande qu’une signature et l’autorisation des deux parents est nécessaire. Si un seul parent signe sans le consentement de l’autre parent, le parent qui a signé sera dans l’erreur et non pas le gouvernement. Chaque parent a la responsabilité d’obtenir le consentement de l’autre.


LES INTERVENANTS SCOLAIRES qui participent à la campagne d’injection doivent s’assurer que les DEUX SIGNATURES SONT SUR LE FORMULAIRE.


B) MARCHE À SUIVRE SI UN PARENT VEUT CONSENTIR ET QUE L’AUTRE REFUSE


1- Le parent qui souhaite faire injecter son enfant doit faire une demande introductive d’instance d’autorisation de vaccination devant la Cour supérieure.


2- Il est suggéré au parent qui refuse que son enfant soit injecté de :


se présenter en cour avec 3 copies du rapport d’expertise judiciaire de la généticienne, biologiste moléculaire et professeure Alexandra Henrion-Caude disponible ici : Rapport-Final-Vaccination-ARNmessager-AHenrion-Caude-VCopy.pdf. Imprimez une copie pour le juge, une copie pour l’avocat de l’autre parent et une copie pour vous;

demander à la Cour supérieure de déposer ce rapport d’expert;

demander à la Cour de suspendre la présente instance parce qu’il y a déjà un dossier à la Cour d’appel sur le même sujet : numéro de dossier 500-09-029756-210 (Pascal Antonin); demander au juge d’attendre que ce dossier soit traité, le 31 janvier 2022, de voir si l’appel est accepté et de se soumettre à la décision de la Cour d’appel.

Notez qu’il est possible pour un parent qui refuse l’injection de faire une demande introductive d’instance pour autorisation de refus de vaccination, et ce, que vous ayez la garde ou non. Il suffit d’avoir l’autorité parentale, ce que possèdent 99,999 % des parents au Québec.


Vous pouvez faire cette demande vous-même ou demander à un avocat. Il n’est PAS recommandé d’entamer ce recours si l’autre parent respecte votre choix. Cette procédure est pour les cas extrêmes où vous craignez que l’autre parent fasse injecter l’enfant sans votre consentement.


C) MARCHE À SUIVRE POUR UN PARENT REFUSE DE CONSENTIR ET CRAINT QUE L’AUTRE PARENT FASSE INJECTER L’ENFANT


1- Faire la demande introductive d’instance pour autorisation de refus de vaccination


2- Déposer le rapport d’expertise de Dre Henrion-Caude cité plus haut (Rapport-Final-Vaccination-ARNmessager-AHenrion-Caude-VCopy.pdf), 3 copies (une pour vous, une pour la Cour, une pour l’autre partie);


3- Demander que cette demande soit suspendue et soumise à la décision qui sera prise dans le dossier 500-09-029756-210 (Pascal Antonin).


CONCLUSION DU RAPPORT D'ALEXANDRA HENRION-CAUDE

7.4. Conclusion

« En conclusion, l’arrivée sur le marché des vaccins expérimentaux anti-COVID19 nécessite une information transparente, complète et actuelle, qui est difficilement accessible pour le grand public. Or, cet accès lui permettra notamment d’appréhender le côté unique de cette nouvelle classe de vaccins qui sont des « injections géniques expérimentales ». 


Le présent rapport reflète l’état récent de notre compréhension à l’aune de nos connaissances. Comme nous en donnons les éléments, cette campagne de vaccination anti-covid-19 avec les « vaccins à ARNm » ou « vaccins OGM » présente bien la capacité de modifier le génome des personnes vaccinées, ainsi que leur descendance, et de manière totalement imprévisible. Dans des contextes non repérables en population générale, la modification est possible au minimum au niveau épigénétique, voire par intégration à nos chromosomes ; l’un comme l’autre étant héritable. Le risque de transformer définitivement le génome de certaines cellules est donc bien réel, sans qu’aucune donnée scientifique ne permette d’écarter clairement ce risque, bien au contraire.


Dans le cas du « vaccin » génique expérimental à ARNm, le sujet vacciné se trouve modifié, pouvant s’assimiler à un OGM, ou plutôt un humain génétiquement modifié, car il est transformé en « outil de production » d’une protéine virale, avec des risques de réaction autoimmune. Cette modification est présentée à tort comme « transitoire ». Pourtant, l’aspect transitoire de la modification n’est pas démontré dans le contexte des vaccins à ARNm ou OGM, ni leurs effets génétiques, ni même épigénétiques.


Enfin, ces modifications géniques/épigénétiques pouvant avoir lieu au niveau de nos spermatozoïdes, comme de nos ovules, elles pourraient se transmettre à la descendance. Ce risque doit faire l’objet d’une discussion éthique fondamentale, large et approfondie. Ce rapport met en lumière l’état des connaissances scientifiques sur ces outils qui posent des questions éthiques fondamentales, notamment au regard des principes de la Convention d’Oviedo, signée par la France en 1997, puis ratifiée le 13 décembre 2011, et selon lesquels


«Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance”. »





Liens pertinents :


Rapport d’expert de la généticienne Prof. Alexandra Henrion-Caude :


https://fddlp.org/wp-content/uploads/2021/11/LEX_FDDLP_RapportVaccin_FINAL_AHenrion_Caude_11nov21-75-pages.pdf


Tous les rapports d’experts de la Fondation :


https://fddlp.org/actualites/recours-legaux/


Pamphlet d’information sur les injections :


https://fddlp.org/injections-des-enfants-etes-vous-informes/


Plainte pénale de l’avocat Jeffrey Rath contre le gouvernement canadien, Injection des 5-11 ans: Plainte pénale contre le gouvernement Trudeau :


https://fddlp.org/injection-des-5-11-ans-plainte-penale-contre-le-gouvernement-trudeau/


Un groupe d’enseignants refuse de participer à l’injection des enfants :


https://fddlp.org/un-groupe-denseignants-refuse-de-participer-a-linjection-des-enfants-dans-les-etablissements-scolaires/


Nicolas Derome (PhD), Thérapie génique chez les 5 à 11 ans : quels sont les risques ?


https://www.youtube.com/watch?v=JNtt_GfNI6Y&ab_channel=R%C3%A9infoCovidQu%C3%A9bec


Le Dr Nagase explique qu’il signe des exemptions pour les injections en raison de mécanismes biologiques favorisant les cancers (version française) :


https://odysee.com/@ReligiareOriginel:d/Dr-Daniel-Nagase:2







Source : fddlp.org

Pour plus d'informations 



Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple





Note de "La Vie Hospitalière"


L'article est publié à titre purement informatif pour  apprécier les actions qui sont faites au Québec. Elles peuvent être utiles, voire complémentaires avec les actions menées  en France par des avocats dont Maître Carlo Brusa (association RÉACTION 19).

Il faut que les parents fasse preuve d'une grande prudence car ils chercheront par tous les moyens à injecter les enfants avec ces produits toxiques. Rappelant que l'OMS déconseille les injections des enfants. Nous avons affaire à des gens qui ont aucune conscience, aucune humanité et qu'il faudra les poursuivre devant les tribunaux.









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