Il y a quelques jours, Olivier Véran assurait n'avoir connaissance d'aucun cas de décès imputable à la vaccination. À l'instar d'Éric Verhaeghe, le Dr Amine Umlil s'étonne, pour dire le moins. Selon lui, le ministre de la Santé omet de signaler des précisions importantes. Il développe sa vision des choses dans ce débriefing, proposé en partenariat avec BonSens.org :
Pharmacien spécialiste de la pharmacovigilance, il revient sur des questions essentielles, telles que :
Comment fait-on une déclaration de pharmacovigilance, combien de temps cela prend-il, qui fait ces déclarations ?
Les propos tenus par le ministre de la Santé Olivier Véran, selon lesquels il n’y a pas de décès avérés liés à la vaccination contre la Covid-19
Les divers documents à disposition formant la base de l’analyse
Amine Umlil confirme ce que disait M. Verhaeghe : seulement pour le vaccin Pfizer, il y a plus de 900 décès enregistrés dans la base de l’ANSM, dont une trentaine probablement reliés à la vaccination, et 16 pour lesquels on ne peut pas exclure un lien d’imputabilité.
Tandis que le fondateur du "Courrier des stratèges" parlait de "parjure", M. Umlil rapporte quant à lui que le ministre de la Santé aurait simplement dû suivre les règles mises en place par l’ANSM : en l’occurrence, parler de décès « suspects ».
Durant l'entretien, Amine Umlil épluche les chiffres de l'ANSM et revient sur d’autres assertions du ministre, qu’il considère préjudiciables au consentement libre et éclairé. Il montre que les données nous poussent à douter, et qu' "en cas de doute, la responsabilité du vaccin ne peut être exclue".
Auteur(s): FranceSoir
Source : francesoir.fr
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