"La Vie Hospitalière"

vendredi 27 août 2021

Peter McCullough : "Il n'y avait aucune raison d'approuver définitivement le vaccin Pfizer"

Nous avons eu le plaisir d’accueillir plusieurs fois le professeur McCullough lors de debriefings précédents - le dernier en date pour critiquer les assertions scientifiques de l'allocution d'Emmanuel Macron le 12 juillet, dont aucune n'était fondée à ses yeux






Après plusieurs jours de spéculations, c’est sans surprise que la FDA (Federal Drug Administration) a accordé lundi 23 août une autorisation définitive au vaccin Pfizer-BioNTech (Comirnaty) pour les personnes âgée de 16 ans et plus. Malgré cela, la FDA a demandé un grand nombre d’études complémentaires. Peter McCullough revient sur cette décision et ses différentes implications.


Sa critique se porte entre autre choses sur la limitation des nouvelles données, qui ne sont pas présentées ou très partiellement dans le nouveau document. La plupart des informations ne sont pas nouvelles et ont été récoltées à partir de souches de virus antérieures qui ne sont plus en circulation aujourd’hui, alors que le variant Delta change la donne notamment en terme d’efficacité des vaccins.


Il revient sur les données de sécurité qui ont été enregistrées dans le monde et qui n’ont pourtant pas été prises en compte avant cette autorisation définitive, alors que Pfizer-BioNTech devait fournir des éléments supplémentaires sur la biodistribution, l’immunologie, les toxicités notamment la génotoxicité - ce qui n’a pas été fait.


Peter McCullough expose les effets secondaires liés à la vaccination, en particulier les pathologies cardiaques comme les myocardites, péricardites, et pense que cela doit faire l’objet d’un examen sur le long terme beaucoup plus sérieux. Il explique ce qui était le cycle « normal » d’un médicament ou d’un vaccin avant cette crise, et rappelle que l’approbation définitive prenait entre 10 et 20 ans.


Cette crise a cependant révélé d’autres pratiques : la vaccination en population générale alors que ce vaccin n’avait obtenu qu’une AMM conditionnelle a été une première dans l’histoire de la vaccination. La rapidité avec laquelle l’autorisation définitive a été accordée est également sans précédent. Et cette approbation intervient alors que très peu de données supplémentaires ont été fournies par rapport aux essais cliniques initiaux.

Tandis que l’efficacité de la vaccination est toujours avancée par les autorités, de nombreux scientifiques constatent l’échec de ces produits qui ne montrent pas de protection évidente contre la contamination, l’hospitalisation et dans une moindre mesure les décès.


Puis il détaille les différents vaccins à ARN messager et la quantité d’ARN messager pour chacun d’eux, ce qui entraîne une différence d’efficacité.


Le docteur McCullough analyse enfin les statistiques de différents pays qui connaissent une recrudescence de cas chez les personnes qui ont reçu les deux injections, et commente le rapport d’Oxford publié dans le Lancet sur des travailleurs hospitaliers vietnamiens entièrement vaccinés, qui ont contracté le variant Delta et dont l’analyse de la charge virale était 251 fois supérieure à celle d’une personne similaire avant le commencement de la campagne de vaccination. Les conclusions de l’études sont sans appel : les vaccinés sont de super-propagateurs qui peuvent contaminer les non vaccinés.


Enfin, il regrette que les organes régulateurs comme la FDA et le CDC n’aient pas tenu compte des événements cliniques graves engendrés par la vaccination et pense que si cela avait été effectué correctement par un organe indépendant, ce programme aurait dû être interrompu dès le mois de février, alors que de très nombreux effets secondaires et décès étaient déjà enregistrés, sans compter les cas inexpliqués qui n’ont jamais fait l’objet d’un examen approfondi.

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :





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Le professeur McCullough, spécialiste de médecine interne, cardiologue et épidémiologiste. Il a la certification ABIM (Annual Biocontrol Industry meeting) en médecine interne mais également pour les maladies cardiovasculaires. 

Il pratique à la fois la médecine interne, ce qui comprend également la gestion des maladies infectieuses courantes, ainsi que les complications cardiovasculaires liées à la fois à l'infection virale et aux blessures qui se développent suite au vaccin CONTRE LA COVID-19 à Dallas TX, aux États-Unis. 

Depuis le début de la pandémie, le docteur McCullough est devenu un chef de file dans la réponse médicale à la catastrophe de la COVID-19. Il a publié « Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection », la première synthèse des différents traitements existant et répondant aux différentes phases de la maladie pour des patients en ambulatoires, infectés par le SARS-CoV-2. Cette synthèse a été publiée dans l'American Journal of Medicine et par la suite mise à jour dans Reviews in Cardiovascular Medicine. 


Il a 46 publications a son actif, évaluées par des pairs sur l'infection et a beaucoup commenté la réponse médicale à la crise covid-19 sur le site d’information américain The Hill et sur la chaîne Fox News. 

Le 19 novembre 2020, le Dr McCullough a témoigné devant le Comité du Sénat américain sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales. Tout au long de l’année 2021, il a également été entendu par le Comité sénatorial de la santé et des services sociaux du Texas, par l'Assemblée générale du Colorado et par le Sénat du New Hampshire concernant de nombreux aspects de la réponse à la pandémie.


Le docteur McCullough a consacré une année complète d'efforts universitaires et cliniques à la lutte contre le virus SARS-CoV-2 et, ce faisant, a examiné des milliers de rapports, a participé à des congrès scientifiques, à des discussions de groupe, à des communiqués de presse et a été considéré comme l'un des experts mondiaux de la COVID-19.


Source : francesoir.fr

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