"La Vie Hospitalière"

lundi 2 août 2021

Pass sanitaire ou pass suicidaire ? "Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France."

ENTRETIEN - Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.






France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans "Profession Gendarme", un article intitulé "Quand cesserons nous d'être des moutons ?" dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n'empêcheraient la deuxième vague. L'Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?


Jean-Pierre Joseph : Non seulement l'Histoire m'a donné raison, mais cela a continué, car j'avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n'auraient aucun effet sur le freinage de l'épidémie. En fait à l'époque, les gens croyaient qu'en obéissant cela s'arrêterait, et je leur disais "C'est justement parce que vous obéissez que cela ne s'arrêtera jamais..."


En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu'il m'est difficile d'accepter qu'une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n'a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n'aient pas d'avantage dénoncé ces contradictions :


- Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,

- Le confinement "allait faire accélérer l'épidémie", puis un mois plus tard, "allait la freiner"

- Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d'antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?

- Plus récemment "les enfants n'attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux" puis "Ils doivent se vacciner".

- Dans les restaurants, dès que l'on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu'en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?

- Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s'il travaillait de nuit comme les infirmières..."


Vous avez dénoncé ce que vous appelez la "Scientocratie". Comment définissez vous cela ?


Ce que j'appelle la Scientocratie, c'est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de "scientifiques" dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d'intérêts importants avec l'industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu'il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l'on tombait malade, car "il n'y avait pas de traitement", et que seul le "vaccin" nous sauvera.


Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant "laissez-nous prescrire", car quiconque prescrivait l'une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s'il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l'objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l'on continue d'écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l'inefficacité de leur "Savoir". Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.


La blouse blanche a remplacé la soutane.


Vous évoquez des "thérapeutiques mondialement connues". Pouvez vous préciser ?


Comme je l'ai déjà expliqué, l'on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d'un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :


1- l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine,

2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,

3- l'artemisia annua

4- l'ivermectine.


De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d'effets secondaires, à condition qu'elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s'ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l'on avait attendu que l'état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques "ne marchaient pas..."


Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le "vaccin" pourrait nous sauver.


Cette position, en toute logique, est inexplicable, d'autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.


Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d'arrêter l'épidémie ?


Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé "Covid 19 : injection chimérique transgénique- l'hécatombe vaccinale s'étend dans le monde" le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu... le variant anglais... Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n'en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu'ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l'un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd'hui.


J'ai l'impression que non seulement ce "vaccin" ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on "vaccine", plus il y a de malades !


On parle d'effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?


Sur le site européen de pharmacovigilance "EUDRAVigilance", il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.


Même le site de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu'au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d'effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.


Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).


Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». - COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu'il "y a très peu d'effets indésirables !". Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?


À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n'est pas parce que ce scandale sanitaire n'est pas mentionné par les médias « grand public » qu'il n'existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d'Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu'ils ont trouvé !


Et ce qui encore plus incroyable, est que l'on est sur le point d'assister à la publication d'un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d'essai clinique jusqu'en 2022, voire 2023.


La Convention d'Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d'entre nous risquent d'être contraints de recevoir une injection d'un produit expérimental, qui n'est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.


Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?


Il faut que cette hécatombe s'arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d'autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n'existait pas.


Depuis quelques jours, moi et d'autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d'infirmières ou de pompiers stupéfaits d'amener tous les jours des "vaccinés" aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : "Dois-je risquer de mourir ou d'être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?"


Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d'importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d'arrêter toute cette campagne de "vaccinations".


Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?


"On peut faire accepter n'importe quoi à une population qui a peur"


1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid. : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement "du Covid" ! La consigne dans les hôpitaux était d'en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m'ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d'hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l'épidémie.


2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.


3- Le masque que l'on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n'avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N'importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d'autre promeneurs, c'est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s'ils étaient dangereux pour les autres !


4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !


Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l'aide des slogans publicitaires, des affiches etc...


5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre "comme avant"... Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu'on le dit.


Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?


Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.


Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies "aux composants du vaccin..."


On baigne dans l'absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d'essai clinique ?


Quant aux composants du vaccin, c'est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens...) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.


Ainsi :

1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu'on ne connait pas.

2- Pour savoir si l'on est allergique à un des composants, il n'y a qu'une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, "Maintenant je sais que je suis allergique..."


Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu'avez-vous fait ?


Nous avons déposé deux plaintes collectives :


I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :

- Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)

- Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)

- Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)


a) La tentative d'empoisonnement :


La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l'Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d'empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d'instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d'encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n'est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu'ils qualifient faussement de "vaccin", dont l'efficacité n'est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d'encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves "sont très rares", procède d'une volonté criminelle délibérée.


Il s'agit donc bien d'une tentative d'empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l'intention de recevoir l'un des produits actuellement proposés, mais viennent d'y renoncer, devant la multitude d'informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.


b) La mise en danger de la personne :


De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu'ils appellent un "muselage de la population" Par dizaines, ils nous expliquent l'inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l'Irsan qui écrit : «De la même manière que le confinement généralisé d'une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n'a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 


Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.


c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :


Monsieur le Recteur de l'Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :

a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,

b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.


Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d'établissements de l'académie, il s'est rendu coupable, ainsi que d'autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d'obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l'expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d'enfants.


Les responsables des collectifs ayant des enfants d'âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.

 


II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d'instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l'Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n'étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)


Cette plainte regroupe des médecins, qui n'ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n'a pas pu être soigné à temps.


Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d'être interdite, étaient rappelés à l'ordre par le Conseil National de l'Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux "données acquises de la Science" et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :


a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et "prendre du Doliprane",

b) Soit de se rendre aux urgences à l'hôpital.


De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu'attendre que l'état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.


Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l'ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n'avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l'hôpital.


M. le Président du Conseil National de l'Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu'en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l'une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n'obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.


C'est donc en connaissance de cause qu'il a contribué à laisser s'aggraver l'état de santé de milliers de personnes.



Comment voyez-vous l'avenir de cette crise sanitaire ?


Depuis l'annonce du 12 juillet, j'ai reçu des dizaines d'appels d'infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :


- Inquiétude pour les personnes : Ils m'indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une "vaccination". Ils me parlent d'hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.


- Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.


L'avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on "vaccine", et plus les courbes remontent. Pourquoi ?


Lorsque l'on apprend que tant en Israël qu'en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic "Covid" avaient été "vaccinées", l'on est en droit de se demander si le "vaccin" n'a pas transmis la maladie.


Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit "n'avait pas eu le temps de faire son effet", comme si l'on allait tenir pour postulat que la personne l'aurait "attrapée" même sans le produit.


Ce qui pollue toute discussion, c'est que dans l'esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l'aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.


Pour la gauche, c'est un acquis social, un progrès de l'humanité. Il est vrai que j'y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l'évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu'il s'agit d'une coïncidence !


Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s'agit de décès ou d'effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu'on lui a envoyé.


Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d'école, font comme s'ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu'ils nous obligent à manger, nous perturbe autant... Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le "vaccin" était comme un simple bonbon totalement inoffensif.


Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu'ils voient. C'est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d'un kilomètre de cortège le long d'une avenue à quatre voies, le journal local écrivait "Quelques centaines de manifestants..."


Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.


Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.


Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu'en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n'en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : "La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé..."


Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s'arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l'ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on "vaccine", et plus il y a de malades.


Cela n'était jamais produit.


Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague "C'est de la faute des non-vaccinés", il est fort possible que dans beaucoup d'hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant "Etes-vous vacciné ?" Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l'information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.


Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l'efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n'annulerait pas les contrats...    [1]


Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. 

Je suggère qu'elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement "mort du Covid" (et non de l'injection)


Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l'on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.


 

L'association BonSens.org fait savoir qu'elle s'associera à ces plaintes en y apportant son soutien.






Source : francesoir.fr

Pour plus d'informations 




Jean-Pierre Joseph est auteur de "Vaccins On nous aurait menti ?" (5ème édition 2020)









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[1] Note de "La Vie Hospitalière"


Contrats scélérats qui créent de réels préjudices. Dans ce cas il faut considérer que ces textes sont contraires à la loi et qu'ils sont réputés nuls et non écrits ! Sachant d'autant que les clauses qui visent à écarter ou à limiter la responsabilité du fait des produits défectueux sont interdites et réputées non écrites.










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