"La Vie Hospitalière"

vendredi 30 juillet 2021

Urgent: la vie dans ces camps de la honte !


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Pour voir la vidéo




Les camps d'enfermements sanitaires sont loin d'être justifiés !


Il y a aucune raison de créer des centres d'hébergement covid  qui sont en fait des centres d'enfermement sanitaire compte tenu que les personnes ne sont pas libres de sortir.

Il y a des services de soins de suite dans les centres hospitaliers avec des personnels formés et diplômés.Pourquoi créer de fait des lits alors que des services ferment des lits d'hôpitaux ?

Ces lits créés dépendent de quel statut ? Est-ce une association qui gère ces hébergements? Ces établissements ne devraient pas exister, d'autant qu'il ne semble pas qu'ils aient toutes les conformités nécessaires au niveau de la sécurité.

On veut plus d'éclaircissement concernant ces établissements qui rejoignent certains camps déjà mis en place dans d'autres pays.


Il existe des services de psychiatrie qui ont été fermés, pourquoi ne pas les réhabiliter ? De nombreuses maisons de retraites ont été désaffectées aussi, les lits ne manquent pas...Pourquoi créer des camps d'hébergement covid qui pourraient s'identifier à des camps privatifs de libertés, là où l'individu pourrait se retrouver avec des traitements dont il n'aurait pas réellement connaissance, et même avec la contrainte de recevoir une injection génique (expérimentale) donc en violation du Code de Nuremberg car je ne pense pas  que les personnes seront informés réellement des produits injectés et des effets possibles, encore moins qu'ils seront informés des milliers de morts en Europe liés à ces inoculations  !...

C'est donc de la part de ceux qui prennent la décision de faire ces injections un acte répréhensible car attentatoire à l'intégrité humaine et pouvant être considéré comme une tentative d'empoisonnement.

Sans perdre de temps la préfète a diffusé le lendemain, un communiqué de presse afin de donner certaines explications... 





Quand on écoute Richard Boutry dans sa deuxième vidéo on s'aperçoit qu'il y a une prise en charge qui ne semble pas vraiment correspondre au respect des libertés tels qu'avancé, à analyser pour mieux comprendre...ça, ainsi que les projets d'injections géniques des enfants dans les milieux scolaires sont des actes qui dépassent toute logique nous avons affaire à des gens qui sont prêts à tout pour avancer dans des orientations incohérentes et particulièrement diaboliques...

Il est temps, grand temps que soit exercé un contrôle de ces établissements avec des rapports clairs portés à la connaissance des citoyens et citoyennes.


Voir pour rappel la première vidéo de Richard Boutry dénonçant un camp covid (postée le 26 Juillet) :

https://www.laminutedericardo.com/LMDR/exclusif-le-premier-camp-covid-en-france/

Voir aussi la visite de deux journalistes alternatifs à la suite du passage de Richard Boutry, à leur grande surprise il y a plus aucune personne d'hébergée...un climat anxiogène semble se dégager de cet espace...prendre le temps de la regarder pour avoir une idée de la situation réelle...


Visite au Centre Covid Hector Serres à Oeyreluy, sur les traces de Richard Boutry









Chaîne Maximus le Renaissant

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https://www.youtube.com/channel/UCQc1spzZ1YIKUHUcGZiXZog






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1 commentaire:

Anonyme a dit…

C’est exactement ce qui existe en Nouvelle Calédonie, territoire français, depuis 18 mois déjà.
Et personne ne dit rien…

Pour tous les voyageurs débarquant en NC, c’est enfermement dans des hôtels réquisitionnés, promenade aléatoire quotidienne, avec masque, de 45 mn (sauf si l’herbe est mouillée ), double clôture, enfermés à clé dans leur chambre … etc etc: 2 semaines sans ménage, sans changer draps, serviettes, sans contact avec le monde extérieur ni entre les enfermés. On peut leur apporter des affaires que l’on dépose à un centre de contrôle où les sacs sont minutieusement fouillés.
Ni positif, ni malade: c’est juste au cas où…

Et s’ils s’avèrent être positifs après leur 2 semaines d’enfermement, symptômes ou pas, c’est direct hôpital et enfermement +++.
S’ils partageaient leur chambre, décidé de façon arbitraire par les autorités sanitaires, et que l’un des occupants soit positif à l’issue des 2 semaines, l’autre sera enfermé dans une chambre de l’hôpital de la même manière, sans aucune sortie quotidienne, ni dans les couloirs, ni à l’air libre….