Nous vous recommandons de visionner le documentaire du réalisateur Bernard Crutzen intitulé "Ceci n'est pas un complot", traitant de divers mensonges éhontés des médias et des autorités au sujet du Covid-19:
650.000 vues !
Merci à tous pour le formidable partage ! Nous avons dépassé 650.000 vues sur les différentes plateformes, c’est énorme. Les adaptations en néerlandais, anglais, italien et malgache sont en cours.
Les retours sont très majoritairement positifs. Malheureusement, certains médias ont réagi négativement, nous nous y attendions. J’ai décidé de répondre aux critiques -nécessaires en démocratie - dans le but de faire avancer le débat, en espérant qu’il dépasse les réseaux dits sociaux.
Tout d’abord, une précision sur le GENRE. Il s’agit d’un documentaire, et la meilleure définition que je connaisse du documentaire est « le cinéma du réel » Il s’agit bien d’une démarche cinématographique avec un scénario, des mises en scène, une musique originale, etc.
Mais ce n’est pas une fiction puisqu’il s’attache au réel. Or dans cette crise, il m’a semblé que le réel n’était pas nécessairement celui que nous présentaient la plupart des médias. Il y a comme une distorsion entre réalité et perception, les chiffres sont éloquents à ce sujet (0,02% de mortalité à l’échelle mondiale au 31/12/2020). Non, je ne balaie pas du revers de la main les 20 000 décès belges : je les mets en perspective. C’est le cœur de mon projet. D’où l’enquête que j’ai menée pendant quelques mois.
Entre cinéma et investigation, c’est donc un film hybride, transgenre, ce qui gêne les journalistes professionnels en recherche d’objectivité.
Je suis en tous cas déçu que certains journalistes collent au film l’étiquette complotiste, « à la sauce Hold-Up » comme le titre Le Vif le 8 février.
C’est précisément l’écueil que j’ai tenté d’éviter. Déçu aussi de décevoir Arnaud Ruyssen, qui s’est senti attaqué alors qu’il a probablement organisé les débats les plus équilibrés. J’en déduis que le journaliste est allé se faire un café lorsque le commentaire disait : « On me reprochera de me focaliser sur les gros titres des JT et les unes des quotidiens, c’est vrai ! Parce que ce sont les gros titres que l'on envoie d’un clic et qui créent la panique. J’admets que certains journalistes ont analysé et investigué, mais très peu se sont aventurés à questionner le discours dominant, à douter.»
Je ne répondrai pas aux multiples « pourquoi » parce que la réponse est simple : un documentaire de 70 min ne peut pas traiter tous les aspects d’une problématique aussi complexe. Quant aux possibles erreurs factuelles, j’y répondrai après avoir vérifié mes sources.
On accuse mon film de "manipuler le spectateur en sous-entendant un complot mondial mêlant médias et élites vers une société de contrôle". Je n'ai pas dit ça. On prétend aussi que je les trouve « complices », un mot que je n’ai pas utilisé. Mon hypothèse est que le traitement médiatique (la peur, le sensationnalisme, la cécité sur les conflits d'intérêts...) déroule le tapis rouge pour ceux qui rêvent d’une société hygiéniste et sécuritaire, pour laquelle nous n’avons pas voté. Il me semble que peu de journalistes rêvent de ce monde-là.
J'accepte que mon film soit démonté par des médias blessés, mais j’espère en retour que les rédactions s’intéresseront à ce que le film pointe du doigt (VanRanst, le papa, AstraZeneca…) J’attends que les médias cessent d’annoncer « de nouvelles contaminations » alors qu’ils savent que ce ne sont que des tests positifs. Ce genre de glissement sémantique provoque une réaction disproportionnée de la part des citoyens et des gouvernements.
On estime que je n’ai pas assez parlé du CŒUR du problème ? Pour moi, le cœur du problème ce n’est pas la saturation hospitalière, mais la NARRATION autour de la saturation hospitalière. Cette façon de rejeter la faute sur un virus ou des comportements sociaux, et non sur des choix économiques et politiques. Cette manière de faire porter au virus la responsabilité du tsunami économique qui va nous tomber dessus dans les mois à venir. Ce n’est pas moi qui le dis dans le film, c’est un professionnel de la finance internationale.
Oui, je persiste : les journalistes pourraient se montrer plus critiques à l’égard des autorités. Il me semble que certains ont confondus information et communication.
Je ne suis pas devenu complotiste, je suis plutôt un réalisateur “mainstream”. Mes documentaires antérieurs ont été co-produits par des télévisions grand public et ont connu un beau succès d’audience. Je n'ai pas changé, je travaille toujours de la même manière. C’est le sens du courant qui a changé. Je me retrouve aujourd’hui à contre-courant. C’est fatigant de nager à contre-courant, mais je suis poussé dans le dos par des milliers de personnes, qui ont bien compris le message : «douter, douter, et encore douter».
Merci à ma petite équipe pour le soutien moral, et à vous, toutes et tous, pour les encouragements massifs !
Terminons enfin par l'attitude de Emmanuel André et de Savics, une réaction qui masque assez mal la peur il nous semble.
Bernard Crutzen
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