"La Vie Hospitalière"

vendredi 19 mai 2023

Senta Depuydt présente le film de Vera Sharav, qui ose comparer nazisme et covidisme

Ce parallèle, risqué, a déjà suscité des réactions virulentes. Pourtant le documentaire cite de nombreuses victimes juives choquées par les discriminations qui ont frappé les personnes non vaccinées contre le covid


Dans cette interview, la journaliste Senta Depuydt se risque à un parallèle très délicat entre le national-socialisme dans les années 30 et les mesures discriminatoires contre les réfractaires à la « dictature sanitaire » imposée par les pouvoirs et la médecine dominante lors de l’épidémie de covid.


Elle s’appuie pour cela sur une survivante juive des camps nazis, la Roumaine Vera Sharav, qui vit aux Etats-Unis. A l’âge de 3 ans, elle avait été déportée dans un camp en Ukraine. A 85 ans, elle vient de réaliser un documentaire en 5 épisodes intitulé Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial. La journaliste belge, qui vient de le traduire en français, le décrit ainsi:


LE sujet tabou


«Une œuvre exceptionnelle qui compare la montée du nazisme aux trois années de cauchemar que nous venons de vivre. C’est LE sujet tabou qu’il faut oser aborder aujourd’hui, car ce plan est toujours en marche. Tout y est dit, par ceux qui ont le plus de légitimité pour s’exprimer: des rescapés de l’Holocauste et leurs familles.»


Le film donne aussi la parole à des Allemands, des Israéliens et des «justes» qui ont sauvé des gens de la barbarie.


Des attaques violentes contre Vera Sharav


Auparavant, Vera Sharav s’est heurtée, raconte Senta Depuydt, à une réaction de violence systématique à ses propos. Ainsi, en été 2022, lors du 75ème anniversaire du Code de Nuremberg dans cette même ville, son discours pourtant prudent et bien documenté a été descendu en flamme par la presse locale, l’accusant d’abuser de la mémoire de l’Holocauste, sans mentionner qu’elle était elle-même juive et rescapée.


Des associations ont porté plainte contre elle. Elle a ensuite renoncé à s’exprimer à Munich après des menaces policières d’arrestation. Bref, le système pharmaco-intellectuel dominant semble vouloir criminaliser toute comparaison entre les deux processus.


Analogies frappantes


Et pourtant, le film relève des analogies frappantes: censure, propagande, «braves gens» qui deviennent intolérants contre les impurs (juifs ou non vaccinés), stigmatisation, exclusion, insultes, mensonges auxquels on fait croire la population… Ainsi, les juifs ont aussi été dénigrés par des arguments sanitaires, accusés de transmettre des poux ou le typhus; le ghetto devient alors une mesure d’hygiène.


S’en est suivie une idéologie eugéniste qu’on retrouve dans certaines déclarations «covidistes». Le traçage des israélites par les premières cartes perforées rejoint les QR-code et les pass vaccinaux.


En abordant ce sujet périlleux, Senta Depuydt tente de «penser l’impossible». En sachant que l’idéologie sanitaire utilise la peur pour discréditer les milieux critiques: antivax=antisémite=extrême-droite, etc. C’est ainsi qu’on a pu réduire la capacité de penser par soi-même.



Interview - Le film de Vera Sharav, rescapée de la Shoah, présenté par Senta Depuydt




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Source : covidhub.ch

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