"La Vie Hospitalière"

vendredi 4 juin 2021

De quel côté sont les malades ?

Décidément il y a quelque chose de pourri au royaume de France !



Mise à jour du 29 Mai 2021 : 

12.855 décès  et  1.380.369 effets secondaires



Faisant suite au dernier communiqué de l'Académie de médecine, nous rappelons que la thérapie génique prophylactique est expérimentale et que vouloir  injecter à la population des produits qui ont déjà faits de nombreux morts en Europe !?...( 12.855 - source EMA -) devient à la limite criminel, le risque d'une violation du Code de Nuremberg n'est pas à exclure tout autant.

L'épidémie (si épidémie il y a) est en baisse de manière naturelle, les traitements qui pouvaient dès le départ annihiler le coronavirus chinois dès février 2020 ont été interdits sous le prétexte qu'ils ne guérissaient pas !? 

Étrange dans la plupart des pays africains des traitements précoces ont été utilisés et pour un Continent qui a 1.373.170.899 habitants  on compte 131.787 décès soit 21.930 de plus que la France qui a 65.406.354 habitants...On voit la mauvaise foi (ou l'incompétence grave) des autorités sanitaires, qui a entraînés des milliers de morts qui pouvaient être évités !

Quelle a été la position de l'Académie de médecine à cette période si son souci actuel est d'enrayer ladite épidémie qui lamentablement perdure elle doit bien se retrouver quelque part ...en faveur des traitements sans aucun doute.


Si nous prenons un pays comme le Vietnam (pourtant proche de la Chine) et qui a plus de 98 millions d'habitants nous nous apercevons qu'ils ont 49 morts depuis le début de l'épidémie et quant à la Chine elle a 4.636 morts pour près de 1,5 Milliard d'habitants, mais ils ont traités dès le départ leurs malades comme l'avait signalé le Professeur Didier Raoult qui préconisait alors au début même de l'épidémie de la chloroquine.


La France a aujourd'hui 109.857 décès (pour les hôpitaux et les EHPAD/EMS  (sans compter les décès à domicile). 

Au niveau des "traitements" la seule prescription a été celle d'un antalgique pourtant très loin de soigner la cause de la maladie !  

Ce qui a fait que 17 % des personnes, dont les cas se sont aggravés (faute d'être prises en charge), sont décédées le premier jour de leur hospitalisation...


Où était l'Académie de médecine quand le Docteur Véran, a osé prescrire du Doliprane (paracétamol) aux malades ? Où ?...

Il est clair que les orientations des autorités françaises  dès le départ n'étaient pas de soigner les malades mais bien de leur injecter des produits géniques expérimentaux ! Et, ce qui est pire pas seulement aux malades ! N'importe quel médecin sait qu'il ne faut pas vacciner en plus en pleine épidémie. On attend toujours l'avis de l'Académie de médecine sur ce point précis.


L'Académie de médecine s'est elle penchée sur les nombreux effets indésirables graves des thérapies géniques expérimentales? 

Compte tenu des nombreux cas de décès et d'effets secondaires les injections à ARNm doivent être arrêtées.

Primum non nocere...on en est loin.




Prix Nobel de physiologie ou médecine de 2008, 

pour la découverte, en 1983, du rétrovirus (1) 

de l'immunodéficience humaine



Nous aimerions savoir pourquoi le SARS-CoV-2 possède deux séquences du VIH ? D'autant que ceci ne peut être qu' une manipulation génétique faite en laboratoire ! 

L'Académie de médecine doit être capable de répondre, elle doit être aussi en mesure de nous informer des composants injectés et nous garantir un bénéfice/risque qui ne saurait faire l'objet d'un manque de clarté compte tenu des très nombreux décès et des effets secondaires graves déjà observés. Autrement ces injections expérimentales peuvent être considérées comme une violation du Code de Nuremberg, dit Code qui a introduit dans le Droit international le crime contre l'humanité qui est par définition imprescriptible.





1) Un rétrovirus est un virus dont le génome est constitué d'ARN et dont le cycle viral comprend une étape de rétrotranscription au cours de laquelle un ADN est produit à partir de cet ARN. Un rétrovirus possède une enzyme appelée transcriptase inverse, un ADN polymérase qui permet la fabrication d'un ADN à partir de l'ARN viral lorsque celui-ci entre dans la cellule-hôte. Cet ADN complémentaire du génome viral s'intègre dans le génome de la cellule-hôte. Le rétrovirus utilise ensuite la machinerie cellulaire pour fabriquer ses protéines et se répliquer.






(Article réactualisé le 4 juin 2021)






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