Les vaccins COVID-19 introduisent la protéine de pointe dans le corps humain. En plus de provoquer une réponse immunitaire qui supprime l’entrée virale, la protéine de pointe produite par les vaccins COVID-19 peut également affecter les cellules hôtes, déclenchant des événements indésirables. Des investigations complémentaires sur cette possibilité sont justifiées(scléroses en plaques, dysfonctionnements inflammatoires et immunitaires , hypertension pulmonaires ) ; https://faculty.georgetown.edu/ys82/index.html
Professeur SUZUKI
Alexandra Henrion Caude a été traitée de complotiste quand elle affirmait que la vaccination ne protégeait pas de la contamination, aujourd’hui même Pujadas reconnait que la vaccination s’accompagne d’une flambée des cas. Certes, précise t on la vaccination protègerait des cas graves. Alexandra Henrion Caude fut une des premières à avertir des dangers à moyens et long terme des vaccins expérimentaux. Aujourd’hui une pluie d’études scientifiques précise ces dangers et posent les bonnes questions . Les risques sont peut être acceptables pour des personnes âgées mais que dire de la vaccination des jeunes en bonne santé ?
1VACCINS ET ORGANES REPRODUCTEURS
L’Inserm se veut rassurant : Par ailleurs, il est important de préciser que l’ARN injecté via le vaccin n’a aucun risque de transformer notre génome ou d’être transmis à notre descendance dans la mesure où, comme mentionné plus haut, il ne pénètre pas dans le noyau des cellules. Or, c’est dans ce noyau cellulaire que se situe notre matériel génétique.
Par ailleurs, l’injection est locale et les cellules qui reçoivent l’ARN codant pour la protéine Spike sont principalement les cellules musculaires : en aucun cas l’ARN ne va jusqu’aux cellules des organes reproducteurs (les gonades). Il ne peut donc pas être transmis d’une génération à l’autre.
Enfin, les cellules produisant la protéine Spike suite à l’injection du vaccin sont rapidement détruites par le système immunitaire. L’ARN étranger ne reste donc pas longtemps dans l’organisme : il produit juste ce qu’il faut pour entraîner le système immunitaire à réagir en cas d’infection « naturelle » par le virus avant d’être éliminé.
Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades
Dans l’autorisation de mise sur le marché des vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna, il existe un paragraphe dédié à l’étude de biodistribution du vaccin. Ces documents sont publics et accessibles sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à ces adresses :
- AMM conditionnelle Pfizer : https:/www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf
- AMM conditionnelle Moderna : https:/www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf
À la page 54 de l’AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech, il est clairement noté que :
- Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, coeur, les reins, poumons, cerveau
- Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de biodistribution de ce vaccin
Le paragraphe sur la biodistribution de l’AMM conditionnelle (p47 et 52) du Vaccin Moderna, nous apprend que :
- Les ARNm vaccinaux sont détectables dans une grande variété d’organes : cerveau, coeur, poumon, yeux, testicules.
- Il est impossible de connaître la biodisponibilité dans les ovaires, car aucun rat femelle n’a été inclus dans l’étude de biodistribution du vaccin Moderna
- Les concentrations d’ARNm sont plus importantes dans la rate et les yeux par rapport au plasma
- Les ARNm vaccinaux passent la barrière hémato-encéphalique et atteignent le cerveau
2L’exposition à Spike augmente la protéine ENV de HERV-W ENV associée à la sévérité clinique
Le gène codant pour la protéine pHERV-W Env appartient aux éléments génétiques transposables de la famille des HERV-W, largement et inégalement distribués dans le génome humain. Les HERV représentent jusqu’à 8 % du génome humain. On pense que l’ADN des HERV se serait intégré dans le génome de cellules eucaryotes à la faveur d’infections de cellules germinales par ces virus. Des segments d’ADN viral, insérés de façon viable dans l’ADN des cellules, auraient ainsi été transmis dans les cellules filles.
Ces insertions, appelées « provirus », ont été transmises au génome de l’homme moderne à partir de nos ancêtres primates.
LA SPILF se veut rassurante :
. Ces séquences sont souvent considérées comme des fossiles : elles ne peuvent pas donner naissance à une transcriptase inverse ni à une intégrase. Il n’y a donc pas de possibilité que l’ARN des vaccins donne naissance à de séquences d’ADN et soit intégré dans le génome de la cellule hôte.
Pas aussi simple.
A-t-on un exemple d’ARNm qui se soit intégré dans le génome?
OUI, par exemple les ARNm de la protéine précurseur de l’amyloïde, qui sont transcrits et peuvent s’intégrer dans le cerveau par des reverse transcriptases présentes dans les neurones
Dans les années 1990, un membre pathogène de la famille des HERV-W, initialement appelé rétrovirus associé à la sclérose en plaques (MSRV), a été découvert dans des cultures isolées de cellules leptoméningées prélevées dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) de patients atteints de sclérose en plaques. Comme décrit plus haut, dans les conditions normales, les HERV sont génétiquement et/ou épigénétiquement réprimés chez les individus en bonne santé.
Ces séquences peuvent se réveiller par un stimulus externe tel qu’une infection, comme le #SARSCoV2/ou spécifiquement la protéine #spike (celle produite par les vaccins)
Nous savons que le réveil de ces séquences HERV peut contribuer à l’apparition et progression de maladies inflammatoires & neurologiques, dont: – la sclérose en plaques -au diabète de type 1 -à la polyarthrite rhumatoïde…
- Une infection (#SARSCoV2) -ou le booster d’une expression de protéine d’un autre virus (#SpikeProtein) peut déclencher neurotoxicité/inflammation juste via la protéine ENV de HERV-W?
le scénario d’implication d’ENV dans la schizophrénie https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21936762/
« La présence de la protéine HERV-W ENV dans le sang de patients COVID-19 hospitalisés est une véritable découverte, car cette protéine pro-inflammatoire ne se détecte habituellement que dans certaines pathologies très spécifiques, généralement dans le cerveau des patients. Elle n’a, à ce jour, jamais été observée dans la circulation sanguine à de tels niveaux de concentration, ni exprimée par des lymphocytes T, » commente le Professeur Claudia Matteucci du Département de Médecine Expérimentale de l’Université de Rome “Tor Vergata”. « Cette étude a montré une association claire entre l’expression de HERV-W ENV dans les lymphocytes des patients hospitalisés et la sévérité de l’évolution respiratoire de la COVID-19.
La compréhension des mécanismes qui vont de l’infection au SARS-CoV-2 aux formes graves de la maladie est primordiale pour le développement de traitements efficaces. L’identification d’un lien entre l’expression de HERV-W ENV et les dysfonctionnements inflammatoires et immunitaires provoqués par la COVID-19 ouvre la voie à de plus amples investigations sur le rôle de cette protéine en tant que déclencheur d’une réponse immunitaire délétère ainsi que comme cible potentielle de futures thérapies. »
À court terme, son activation chez des individus prédisposés pourrait agir comme un accélérateur de la réponse immunitaire innée, alimentant les complications et entrainant un besoin de ventilation. Mais même après l’infection primaire, si le HERV-W ENV a atteint un niveau d’expression autonome, il peut causer des dommages persistants aux cellules endothéliales des vaisseaux sanguins et également aux cellules du système nerveux périphérique et central, ce qui pourrait expliquer une grande partie des symptômes neurologiques à long terme chez des patients longtemps après l’infection au SARS-CoV-2, »
3 La protéine de pointe produite par les nouveaux vaccins COVID-19 peut également affecter les cellules hôtes
L’ADN du virus SARS-CoV-2 peut s’intégrer dans les génomes de l’hôte, ce qui peut expliquer pourquoi certaines personnes continuent à être testées positives pour # COVID19 via des tests PCR sans virus infectieux détectable. Dans PNAS: http: // ow.ly/cvPV50EGE6X
Il est important de savoir que la protéine de pointe produite par les nouveaux vaccins COVID-19 peut également affecter les cellules hôtes. Nous devons surveiller attentivement les conséquences à long terme de ces vaccins, en particulier lorsqu’ils sont administrés à des personnes par ailleurs en bonne santé. Les vaccins COVID-19 introduisent la protéine de pointe dans le corps humain. En plus de provoquer une réponse immunitaire qui supprime l’entrée virale, la protéine de pointe produite par les vaccins COVID-19 peut également affecter les cellules hôtes, déclenchant éventuellement des événements indésirables. Des investigations complémentaires sur cette possibilité sont justifiées.
En conclusion, les progrès récents dans le développement du vaccin COVID-19 à base de protéines de pointe SRAS-CoV-2 sont passionnants et ont éclairé la façon de mettre fin à la pandémie actuelle. Ces vaccins devraient bénéficier aux personnes âgées atteintes d’affections sous-jacentes s’ils ne présentent aucun événement indésirable aigu.
Cependant, nous devons examiner attentivement leurs conséquences à long terme, en particulier lorsqu’elles sont administrées à des personnes par ailleurs en bonne santé ainsi qu’à de jeunes adultes et enfants.
En plus d’évaluer les données qui deviendront disponibles à partir d’individus infectés par le SRAS-CoV-2 ainsi que de ceux qui ont reçu les vaccins à base de protéine de pointe, d’autres études sur les effets de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 dans les cellules humaines et les animaux appropriés les modèles sont garantis.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7827936/
DANGERS POUR LES ANCIENS MALADES …ET LES VACCINES/ devenir prédisposés à l’hypertension artérielle pulmonaire COMME CEUX QUI SUIVENT LE TRAITEMENT VIH
Les animaux expérimentaux qui sont infectés par le virus SRAS-CoV-2 ou traités avec des composants viraux du SRAS-CoV-2 peuvent développer les caractéristiques de l’HTAP et du remodelage vasculaire pulmonaire et / ou peuvent augmenter les sensibilités du déclencheur de l’HTAP comme l’hypoxie et SU5416 [
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0306987721000013
O. Sitbon , C. Lascoux-Combe , J.-F. Delfraissy , PG Yeni , F. Raffi , D. De Zuttere , et al.
Prévalence de l’hypertension artérielle pulmonaire liée au VIH à l’ère actuelle des traitements antirétroviraux
Par Patrice Gibertie
Source : pgibertie.com
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