Julie est médecin homéopathe, acupuncteur, installée en libéral. Elle exerce depuis 20 ans. Très tôt dans son parcours elle a eu l’opportunité de soigner par d’autres pratiques que la médecine générale apprise à la faculté, pour une approche plus holistique. Aujourd’hui elle peut exercer jusqu’en avril 2022 sans être vaccinée, avec un certificat de rétablissement Covid. Passé cette date, elle devra arrêter son activité
Dès le début de la crise, en mars 2020, j’ai ressenti le besoin de me relier à des citoyens et soignants qui partageaient ma vision critique de la crise. J’ai intégré le collectif de soignants ReinfoCovid en décembre 2020, très rapidement après sa création.
J’ai entendu Louis Fouché et Jean-Dominique Michel qui exprimaient les incohérences, les contraintes et les injonctions absurdes dont les médecins faisaient l’objet. Je n’étais donc pas la seule à penser cela. D’avoir rejoint ReinfoCovid m’a évité de tomber en dépression.
Au tout début j’ai été dans la peur de ce virus et j’ai fermé mon cabinet médical pendant trois semaines, comme tous les médecins, d’autant que nous n’avions pas les masques FFP2. À la reprise des consultations au cabinet, pendant le 1er confinement, puis après, j’ai très peu travaillé car les patients ne venaient pas pour leur suivi habituel. N’étant pas médecin référent allopathe j’ai vu très peu de patients Covid, au début.
J’ai vraiment pris la mesure des effets de la peur sur la population, elle était proportionnelle à mon incompréhension.
Depuis la mise en application de la loi sur l’obligation vaccinale des soignants, en septembre 2021, j’ai des troubles du sommeil et je suis très perturbée sur le plan émotionnel. Je réfléchis beaucoup à ma future activité, lorsque je serais rayée du conseil de l’ordre. C’est pour moi très compliqué aujourd’hui de faire le deuil de la médecine.
Refuser la vaccination, penser autrement, résister à la doxa entraînent progressivement un isolement relationnel très difficile à vivre. Les valeurs que je défends, face à la manipulation et l’hypnose généralisée, ne peuvent être partagées que par une minorité. L’indifférence de la majorité des gens face à la souffrance des soignants refusant l’injection, la résignation des patients face à la pression vaccinale, la soumission aveugle de mes pairs et parfois leur maltraitance me rendent très triste et impuissante !
Malgré le soutien du collectif, la compassion de nombreux patients, je vis un grand traumatisme qui laissera des traces.
Les raisons de mon refus de la vaccination Covid-19 sont nombreuses :
1 - La vaccination proposée aujourd’hui en France est complètement différente de la vaccination classique qui utilise un virus entier.
2 - C’est une injection expérimentale utilisant la technologie ARN ou ADN, jamais utilisée auparavant en thérapeutique à grande échelle sur une population saine et dont on ne connaît pas les effets à court, moyen et long terme. En refusant l’injection génique, j’applique à moi-même le principe de précaution « Primum non nocere » (d’abord ne pas nuire) qui aurait dû prévaloir à l’échelle collective. Je rappelle que tout médecin se doit de respecter, envers ses patients, le serment d’Hippocrate incluant ce principe. J’ai lu beaucoup d’articles scientifiques sur ces injections pour en comprendre la dangerosité et l’inefficacité sur l’ensemble de la population.
3 - La défense des libertés fondamentales de l’être humain est une valeur à laquelle je suis très attachée. Elle est complètement bafouée auprès des populations soumises à la pression politique, qui occulte la notion de consentement libre et éclairé lors des campagnes de vaccination.
4 - Les traitements précoces du Covid sont utilisés avec d’excellents résultats, grâce au travail de nombreux médecins de terrain, qui ont établi des protocoles de soins efficaces, que j’ai pu prescrire à certains de mes patients, ma famille et moi-même, fin 2021, avec un recul suffisant. Le protocole avec l’Ivermectine a été validé dans de nombreux pays, dont l’Inde et la Japon. En France, nous devons nous battre pour obtenir cette molécule !
Pour finir, je déplore que la médecine, qui est à la fois un art et une science, soit prise en otage de la façon la plus abjecte par un système perverti par l’argent. Cela ne date pas d’hier, mais cette crise en révèle toutes les failles inacceptables.
Ce système de santé qui s’effondre doit être entièrement réformé ou reconstruit, afin de servir l’intérêt commun, dans la solidarité et l’éthique, pour retrouver un visage humain.
Julie (Médecin)
Source : lesessentiels.org
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