Manifestation coronavirus à Vienne
(rappel d'une situation passée il y a quelques mois permettant un recul)
Actuellement, des mesures plus strictes ont de nouveau été ordonnées en Autriche en raison de la pandémie de coronavirus. Une nouvelle loi pour les futures restrictions de sorties a été mise en place. Il s'agit clairement de préparatifs pour une deuxième vague de « plandémie » déjà annoncée.
Voici ce qui a provoqué l'agitation et le mécontentement de la population autrichienne depuis l'apparition du corovavirus :
En avril 2020, un document stratégique a été divulgué lors d'une réunion à la Chancellerie. Le document publié visait, sciemment de la part du gouvernement, à renforcer la peur de la population.
Cette stratégie de la peur a servi de fil rouge à la communication du Chancelier et du gouvernement. Le Chancelier Sebastian Kurz a annoncé : « Bientôt, chacun de nous connaîtra quelqu'un qui est mort du coronavirus » et « Coronavirus sera synonyme de maladie, de souffrance et de mort pour beaucoup ».
Une chose est bien connue : La peur et la panique constituent la meilleure base pour une intervention importante dans les droits fondamentaux.
C'est ce qui s'est passé. Il s'en est suivi une atteinte majeure aux droits et libertés fondamentaux de la population autrichienne, comme les restrictions nationales de sorties. Celles-ci étaient surveillées par un contrôle policier strict et les infractions étaient sanctionnées par de lourdes amendes. Ces règles de sortie ont ensuite été déclarées anti-constitutionnelles par la Cour constitutionnelle autrichienne. Néanmoins, sans plus attendre, fin septembre 2020, une nouvelle loi a été adoptée au Conseil national, qui prévoit que le gouvernement peut dans un avenir proche à nouveau imposer des restrictions de sorties ou interdire les manifestations.
C'est également le Chancelier Kurz qui prépare les Autrichiens à la vaccination depuis l'apparition du coronavirus. En avril 2020, il a déclaré : « Sans vaccination ni médicaments, la liberté de voyager reste limitée. » Dans ce contexte, l'information selon laquelle 6 millions de doses de vaccin pour la population autrichienne ont déjà été commandées à la société pharmaceutique AstraZeneca a attiré l’attention. Cela correspond également au fait qu'il y a quelques semaines, Kurz a rencontré les présidents des principales sociétés pharmaceutiques et a ensuite annoncé le début de la vaccination au cours du premier semestre 2021.
Des médecins autrichiens tels que le Dr Peer Eifler et le Dr Konstantina Rösch, qui interviennent lors de manifestations, mettent en garde de toute urgence contre cette vaccination contre le coronavirus et critiquent les mesures et l'alarmisme du gouvernement ; ces médecins sont licenciés par leurs employeurs et menacés d'interdiction de travail. Le Dr Eifler, qui a été le premier médecin en Autriche à expliquer les mesures de coronavirus s'est même vu, depuis, retirer sa licence médicale.
Surtout en temps de crise, il est important d'observer attentivement et de remettre en question de manière critique les mesures prises par le gouvernement. Cette tâche devrait incomber en premier lieu aux médias principaux. Mais le Chancelier Kurz a utilisé la crise du coronavirus pour contrôler encore plus ces médias-là précisément.
En avril 2020, par exemple, les médias autrichiens ont reçu un paiement spécial de 32 millions d'euros en plus du financement annuel des médias. Le Kronen Zeitung a reçu à lui seul environ 2,7 millions, le Heute Zeitung 1,8 million et le Kleine Zeitung 1,1 million. Quinze autres millions ont été versés aux médias autrichiens par le biais de publicités promouvant les mesures-coronavirus du gouvernement. En conséquence, les médias autrichiens ont fait un compte-rendu très unilatéral des mesures-coronavirus du gouvernement autrichien.
Il y a quelques mois Kla.TV a donc écrit à tous les agences de médias en Autriche et leur a envoyé une compilation d'informations cruciales sur le contexte de la fraude mondiale liée au coronavirus, les pressant de faire un reportage sur ce sujet. Mais ces informations importantes sont systématiquement cachées à la population autrichienne. Le diffuseur privé Servus.TV est une exception, il permet également aux voix critiques de se faire entendre sur la politique du coronavirus. Mais « l'obéissance » des médias autrichiens au gouvernement a entre-temps conduit le Kleine Zeitung, par exemple, à dénoncer même l'apparition du célèbre virologue le Dr Sucharit Bhakdi sur la chaîne privée autrichienne Servus.TV en première page et dans un reportage spécial de deux pages.
D'autre part, les résultats d'un récent sondage nous ont fait prendre conscience qu'un tiers des Autrichiens pensent que les mesures contre la crise du coronavirus sont différentes de ce que la politique et les médias nous disent. 45% de la population considère même que le mot « presse mensongère » est approprié pour les médias autrichiens.
Au cours des derniers mois, des manifestations et des défilés ont eu lieu en de nombreux endroits en Autriche – également pour les raisons mentionnées dans cette émission. La population a lancé une pétition pour un référendum en faveur de la liberté de vaccination, qui a déjà été signée par plus de 62 000 Autrichiens.
Le 26 septembre, la manifestation « Sans peur grâce au dévoilement – Fin de la PLANdémie » de l'Initiative Heimat und Umwelt (Patrie et environnement) a eu lieu à Vienne. Dans l'invitation, il était annoncé : « Le 26 septembre, vous pourrez connaître en direct ce que vous ne pouvez pas lire ou voir dans les médias. »
Les orateurs de la manifestation – parmi lesquels le Dr Peer Eifler, initiateur de la pétition pour un référendum sur la liberté de vaccination, le Dr Rudolf Gehring et bien d'autres – s'exprimeront ensuite comme voix-contre des médias autrichiens manifestement achetés, pour ne pas dire soudoyés.
Résumé des discours
Inge Rauscher (Initiative Heimat & Umwelt) :
C’est incroyable comme on a pu mentir aux gens partout de la même manière, non seulement ici mais presque partout dans le monde, depuis mars de cette année, afin d'instaurer une dictature, de faire de citoyens responsables des sujets soumis. Même les enfants doivent le faire maintenant. S'il vous plaît, où allons-nous ? Ça vous permettra de respirer le CO2 que votre corps a expulsé de vos poumons. C’est préjudiciable à votre santé et ne protège pas du tout contre les virus. Car ces minuscules particules sont plus petites que les pores des masques et passent donc à travers eux comme à travers une porte de grange ouverte. Les masques ne peuvent donc pas du tout protéger les autres, comme on le prétend toujours. Ce sont de purs instruments de répression. Et il est scandaleux que leur utilisation soit imposée sous la menace d’une forte amende.
Toutes les mesures coercitives sont justifiées par le gouvernement et les experts soumis, avec comme seul argument des résultats de tests prétendus positifs. Cependant, ils n'ont aucune signification clinique. Ils ne peuvent détecter aucun virus. Par conséquent, ces tests ne peuvent pas déterminer si une personne est infectée. Lorsque nous entendons ou lisons dans les médias chaque jour, presque chaque heure, que le nombre de cas de coronavirus remonte déjà, il s'agit d'une tromperie massive et d'une manipulation sans précédent. Les personnes prétendues « testées positives » ne sont ni malades, ni infectées, elles ne peuvent mettre en danger d'autres personnes. Il est hautement irresponsable d'utiliser ces tests sur des millions de personnes pour justifier des mesures de privation de liberté, de surveillance, comme les récentes listes d'enregistrement dans les auberges.
L'alarmisme quotidien, dû aux prétendus résultats positifs des tests, est utilisé à tort par les politiciens pour faire croire aux citoyens à un nombre croissant de personnes infectées, et comme prétexte pour des restrictions toujours plus importantes des droits fondamentaux et des libertés de tous les citoyens, et la création d'une obligation indirecte de vaccination.
Chers participants à la manif, je vous prie de saluer avec moi un médecin qui travaille depuis des mois à une véritable information des citoyens en prenant des risques personnels élevés et en consacrant beaucoup de temps à permettre aux citoyens de vivre à nouveau à l'abri de la peur. Il s'agit du docteur en médecine générale et professionnelle et en psychothérapie, le Dr Peer Eifler.
Dr. Peer Eifler :
Ce que je veux vous dire est sérieux. Il est vraiment plus que temps. Nous vivons dans une dictature. Il n'y a plus de démocratie. Toutes ces bêtises avec les tests PCR, avec les masques, avec les vaccinations, ce n'est en fait qu'un spectacle secondaire. Et je pense qu’à force vous avez tous entendu et appris. Je le répète pour ceux d'entre vous qui veulent l'entendre : le test PCR est complètement inutile, il n'a pas de résultats. Ils ne savent même pas ce qu'il mesure. Probablement des composants cellulaires. Et maintenant, je le dis aussi à tous les microbiologues et autres spécialistes : Vous n'avez aucune preuve directe du virus. Le virus est probablement un modèle de pensée. Et il existe aussi des formes complètement différentes. Par exemple, il pourrait s'agir d'un échange collectif d'informations immunitaires comme une mise à jour, ce qui rend tout cela beaucoup plus utile. Cette histoire remonte à plus de 100 ans. En fait, on parle de Pasteur, on parle de Koch, on parle de Henle et d'Enderlein. Mais la médecine, telle que je la vois, est un spectacle secondaire. Actuellement, elle sert à dégrader les gens, à les priver de leur pouvoir, à les transformer en lémurien, afin de pouvoir ensuite faire avec eux ce qui a été prévu depuis longtemps. Cette « plan-démie » a été mis en place depuis longtemps.
Les statistiques disent le contraire. Il y a un taux de mortalité en-dessous de la moyenne. Le test PCR n'est pas concluant. C'est une insolence de parler encore de cas d'infections. Chacun de nous aurait échoué avec fracas au troisième semestre d’étude s’il avait prétendu une telle chose. Et c'est maintenant la pensée dominante. Le test PCR n'est pas concluant. Il est toujours écrit : Pas pour un usage clinique. Il s'agit d'une procédure de laboratoire très complexe qui fait d’une petite quantité un petit peu plus, afin qu’on puisse la mesurer et savoir combien il y en a, mais ça ne dit pas ce qu’on mesure. Il appartient à chaque laboratoire, c'est choquant, de déterminer où finit le négatif et où commence le positif. La vraie science, basée sur des preuves, compréhensible, est tout à fait de notre côté. Et ce n'est pas ce que l'association médicale et les autres sbires de l'OMS veulent entendre. Tous les postulats de Koch, ça parlera à peu d'entre vous, mais ce sont les règles de base de la classification des pathogènes, ne sont pas remplies par ce coronavirus. Alors, tout ce qui est important sur le plan médical est simplement jeté par-dessus bord. Quel est l'intérêt ? Je suis sûr que ce qu'ils disent depuis des mois arrive maintenant : la seule issue est la médication ou la vaccination, pour quelque chose qui n'existe pas. Comment suis-je censé produire un vaccin pour quelque chose qui, en réalité, a changé depuis longtemps ?
Mon collègue Wolfgang Wodarg, ainsi que quelques autres virologues, ont ensemble compté tout ça. Entre mi-mars et mi-mai seulement, il y a déjà eu 8 000 mutations. Vous pouvez donc imaginer à quel point c'est stable. Bien sûr le pire c’est qu'ils savent qu'il ne peut pas y avoir de médicaments antiviraux ; il ne reste donc que la vaccination.
Fabriquer un bon vaccin, même s’il existe, prend 10 à 12 ans minimum. Un mauvais vaccin, ça peut prendre huit ans. Et il devrait être là dans six mois ? Soit il existe déjà, mais alors d’où le savait-on ? Deuxièmement, ça n'aura certainement aucun sens, troisièmement, qu'y a-t-il d'autre là-dedans ?
... Il s'agit donc d'une véritable mise sous tutelle, d'une destruction, d'une déresponsabilisation. La seule façon est d'unir nos forces, de rendre cela public, d'impliquer les médias qui n’existent presque plus. Je vois encore très peu de médias grand public ici aujourd'hui, et quand on les voit, ils produisent des ordures.
Il est vraiment grand temps. Mais je veux vraiment vous appeler : Ce n'est plus de la rigolade. Ce n’est pas une absurdité hors de contrôle. Il s'agit d'une destruction planifiée et maléfique de notre identité collective, dans le but de décimer, de dégrader et… disons… de conduire une élite au pouvoir et là nous n'avons plus rien à dire. C'est vraiment une dictature qui vient.
L'orateur suivant est maître Christian Zeitz de l'association académique de Vienne et de l'Institut d'économie politique. Je vous en prie.
Maître Christian Zeitz :
Merci beaucoup ! Chers amis de la liberté, chers amis de l'autodétermination, chers amis de la vie dans la dignité, je vous salue tous très chaleureusement. Je suis heureux que vous soyez ici. Nous l'avons déjà entendu dans les remarques du Dr. Eifler : cette pandémie n'existe pas vraiment, c’est une fiction. Mais je crois aussi que nous devons nous creuser la tête à ce sujet : Comment est-il possible de mettre en scène une telle pandémie ? Comment crée-t-on une pandémie ? Je pense que le premier mot-clé est « Storytelling » (l’art de raconter des histoires). Il y a des personnes qui travaillent professionnellement pour raconter des histoires, les visualiser, les faire entrer dans la tête des gens ; pour créer des images, pour relier les statistiques à des faits supposés et pour marteler des mensonges dans le cerveau des gens. Cela se fait sans interruption et à un haut niveau de professionnalisme. Un homme a créé un blog qui a déjà été repris par des millions de personnes : « The Hammer and the Dance » (Le marteau et la danse). Je ne sais pas si vous le savez, mais certains d'entre vous l'ont probablement déjà regardé. Des millions de visites. Cet homme sait quelque chose sur ce storytelling et il relie, de manière très précise, des données prétendues objectives provenant d'enquêtes avec des images, avec des admissions à l'hôpital, avec des personnes mourantes, avec des personnes mortes, avec des circonstances similaires, afin que les gens aient quelque chose en tête qui évoque la pandémie. Cet homme… et je crois qu'il est important que nous en tenions compte… c’est quelqu'un qui a étudié à l'Université John Hopkins et qui a étudié le sujet du storytelling. Et vous savez, l'Université John Hopkins est l'une de ces institutions qui est financée par un certain Bill Gates et cet homme est l'un de ses disciples. Le « storytelling » est la méthode qui consiste à entraîner les gens dans la fiction d'une pandémie. Je voudrais citer un exemple particulièrement flagrant : Beaucoup d'entre vous ont vu comment sont arrivés ces chiffres d'horreur sur les États-Unis et sur New York. Que ça aurait été si grave que les morts ne pouvaient pas être enlevés à temps. On ne pouvait pas les brûler à temps, on ne pouvait pas les enlever. Et vous avez vu des photos de personnes enterrées dans Central Park. Ce scénario de Manhattan, certaines voitures qui livrent des cercueils et d'autres personnes en tenue de combat qui les enterrent. Je suis sûr que beaucoup d'entre vous ont vu ça dans les journaux. Et ces images ont fait le tour du monde. Savez-vous d'où vient réellement cette photo ? Du film « Contagion » (2011) - je ne sais pas si quelqu'un le connaît ou l'a vu, un film de Hollywood, la « Contagion ». Vous pouvez le trouver dans Wikipédia ou un autre site de recherche. Ce film décrit exactement la pandémie que nous connaissons actuellement. Et cette photo, qui a été prise comme une photo prétendue réelle de milliers de morts dans Central Park, est tirée de ce film ! Vous pouvez les mettre l'une à côté de l'autre. C'est l'un des nombreux mensonges dont nous avons été victimes. Maintenant, nous savons que les Américains et les autorités sanitaires américaines ont réduit le nombre de décès à 9 500. Cela représente 6 % des personnes qui ont été initialement déclarées mortes du coronavirus. Mais c’est du storytelling, de la manipulation de l'opinion publique, de la création d'images ! Oui, même l'image, par exemple en Italie. Savez-vous d'où vient la photo ? Ou les cercueils, qui étaient empilés par rangées dans une cathédrale, c'était un accident de bateau il y a environ dix ans. Et cela s'est répandu dans le monde entier sans interruption, on peut donc imaginer à quel point la situation est grave actuellement. Ce sont donc ces mensonges qui nous hantent et nous tourmentent constamment. Mais, chers amis : les mensonges ont des jambes courtes ! Les mensonges ont des jambes courtes, c'est sûr. Et qu'en est-il des mots avec lesquels nous sommes constamment tourmentés ? Les politiciens, les membres de haut rang du gouvernement fédéral autrichien parlent de ceux qui tombent malades ou de ceux qui sont présumés malades, qui mettent en danger. Chers amis, ce terme est issu de la description des terroristes de l’EI, des terroristes de l'État islamique. Les citoyens de la République d'Autriche doivent pouvoir être décrits ainsi ; il en va de même, par exemple, du terme négationniste de la Covid. Tous ceux qui comprennent ce qui se passe le savent : le déni est un terme de la loi d'interdiction du national socialisme. On utilise consciemment les associations avec les choses les plus sombres du passé, comme une arme contre la population du pays. Ou par exemple ce joli mot de covid-iots. Les politiciens traitent d'idiots le peuple qui leur a donné leur fonction. Avons-nous besoin de cela ? Les covid-iots, chers amis, sont ceux qui, malgré les faits, croient encore à la folie de cette pandémie. Ce sont les vrais covid-iots.
Martin Rutter:
Il y a peu de temps, une nouvelle Loi d'autorisation a été adoptée au Parlement, permettant aux politiciens de nous enfermer. Et pouvoir dire que nous ne pouvons plus entrer dans les bus, que nous ne pouvons plus entrer dans les magasins, que nous ne pouvons plus entrer dans les lieux publics sous certaines conditions. Que nous ne sommes même pas autorisés à quitter notre propre maison, notre espace de vie, notre appartement ! Où est le tollé des médias ? Où est la soi-disant quatrième puissance, qui aurait en fait la tâche de dévoiler cette directive complètement erronée (mal dirigée), de s'en occuper et de porter la résistance dans les peuples au lieu de nous taper dessus ? De plus en plus de gens disent que ces médias sont achetés, et je crois qu'ils le sont. Mesdames et Messieurs, il y a maintenant quelque chose sur les négationnistes du coronavirus dans le Rapport d’activité 2019 sur les questions sectaires, et cela pourrait être soit parce que le rapport 2019 a la capacité de regarder vers l'avenir… parce que selon mes informations, le coronavirus n'était pas un sujet de préoccupation avant 2020. Et d’ailleurs : De parler de faits tels que le taux d'hospitalisation, le taux de mortalité, depuis quand cela a-t-il un rapport avec le sectarisme ? Est-ce que l'un de ces rédacteurs politiques sur les sectes peut me le dire ? Qui pense qu'il n'y a pas de coronavirus, pas du tout de Covid, etc. ? Car où sont tous ces prétendus « négationniste du coronavirus », c'est-à-dire ceux qui disent : il n'y a pas de coronavirus, il n'y a pas un seul mort, il n'y a pas de symptômes ? Eh bien je vous le dis franchement, je ne connais personne qui dirait vraiment que le coronavirus est entièrement inventé sous cette forme. Personnellement, je pense qu'il y a un coronavirus, et qu'il pourrait y avoir quelques morts. Mais dites-moi – malheureusement les gens meurent tout le temps – mais jamais auparavant l'économie n'a été détruite à cause de cela, jamais auparavant le taux de suicide n'a explosé. Jamais auparavant ce genre de peur n'avait été inoculé dans les gens, dans le cœur et l'âme de notre peuple, de nos enfants. Où sont les chiffres qui justifient cela ? Ils n'existent pas ! Et c'est précisément parce que ces faits ne sont pas là que la phalange médiatique unifiée ne peut nous taper dessus qu'avec des méthodes injustes et malveillantes, faute de faits.
Permettez-moi maintenant de vous présenter une femme très spéciale : Mme Franziska Loibner. Elle est la veuve du Dr Loibner, qui a écrit ce merveilleux livre « Mythos Infection (Le mythe de l’infection) ». Elle est la présidente de l'association AEGIS, qui critique la vaccination.
Franziska Loibner :
Mon mari était tout autant engagé que le Dr Peer Eifler aujourd'hui et il a été interdit d’exercer son métier parce qu'il informait les gens avec des conférences, etc. et des livres sur la vaccination. Pourquoi lui a-t-on interdit d'exercer sa profession ? Il a été écrit noir sur blanc : Il informe la population ignorante. Nous sommes donc tous la population ignorante et nous ne devons pas être éclairés. Comme l'a dit Peer Eifler, nous avons 45 000 médecins en Autriche. Si seulement 5 % d'entre eux étaient plus courageux et disaient, par exemple, « Je fermerai mon cabinet lundi », cela aurait un tel effet qu'aucun médecin ne serait alors cité devant le Conseil d'honneur, comme l'a été le Dr Peer Eifler hier et comme l'a été mon mari à maintes reprises. Mon mari a alors fait appel et après quatre ans d'interdiction d’exercer, l’interdiction a été levée par le tribunal administratif au motif qu'il n'avait jamais porté préjudice à personne par son opinion. Chaque médecin est tenu d'informer avant chaque vaccination. C'est dans la loi.
Une médecin scolaire du Land de Carinthie a été condamnée parce qu'un enfant est devenu aveugle à la suite de la vaccination contre l'hépatite pendant la campagne de vaccination scolaire. Elle a été condamnée parce qu'elle n'a pas informé. En avez-vous entendu parler de la part de vos enfants et petits-enfants ? Les médecins, les médecins scolaires, les responsables de la santé publique viennent comme ça, simplement, à l'école et vaccinent sans sourciller, sans informer. Nous le savons grâce aux anciennes vaccinations et il en sera de même avec les nouvelles. Sans informer ! Leur simple présence à l'école suffit comme déclaration de consentement. Aujourd'hui, une enseignante de Linz est présente ici, elle a également voulu être contre, contre les tests, contre les masques etc. Dans l'heure qui a suivi, son directeur lui a dit : « Si vous ne passez pas le test, je dois malheureusement vous renvoyer ». Les enseignants sont renvoyés s'ils ne se soumettent pas aux tests – et à quelle distance de la vaccination se trouve-t-on encore ? Bientôt, quand le nouveau vaccin arrivera, ils diront : « Si vous ne vous faites pas vacciner, vous ne pourrez pas aller à l'école maternelle ». Nous avons déjà la situation suivante : dans le Land de Styrie, les enfants non vaccinés contre la rougeole ne sont plus acceptés. C'est un scandale ! Nous ne pouvons réussir que si nous informons beaucoup, beaucoup, beaucoup plus. Tous ceux qui sont ici doivent continuer à informer sur ce qui se passe. On estime que seuls 20 % d'entre nous comprennent cette situation à l'heure actuelle. Et il faut qu’il y en ait beaucoup plus ! Nous ne devons plus avoir peur d'être attaqués et combattus ou d'être pris pour des idiots. Ça ne devrait plus nous déranger. Il faut simplement informer connaissances, parents, enfants, voisins, amis. Nous parlerons à tout le monde de cette situation de coronavirus. C'est le seul moyen de réveiller plus de gens. La nouvelle vaccination, qui modifie notre ADN dès qu'elle pénètre dans l'organisme, doit être évitée à tout prix. A tout prix !
J'ai le grand privilège de vivre dans une maison avec un de mes petit-enfant de sept mois. Ce serait merveilleux s’il n’y avait pas le coronavirus. Je suis sortie de la maison et j'ai vu une énorme chenille grimper le long de la maison. Une très longue chenille brune. Et c'est là que j'ai eu l'idée : que va devenir cette chenille ? Elle fera tourner un cocon autour d’elle – si un oiseau vorace ne la mange pas d'abord – comme toutes les chenilles et elle sera emprisonnée dans ce cocon, dans cette coquille rigide. Et ce sera son destin de devenir un papillon. C'est là que j'ai eu l'idée que nous sommes maintenant, comme la chenille, dans un cocon. Nous sommes figés. Nous devons garder nos distances, porter des masques, la vaccination nous menace. Nous sommes à sa merci, immobilisés comme la chenille dans le cocon. Mais la chenille a en elle-même la prédisposition à devenir un papillon, un rouge, un jaune, un coloré, un brun. Nous sommes donc maintenant appelés à vivre tous nos talents, toutes nos capacités et nos visions dans ce cocon, à croire au bien. Notre Créateur ne nous a pas envoyés ici dans le monde par hasard. Il nous a donné le libre arbitre et nous voulons utiliser ce libre arbitre !
J'aimerais maintenant demander au Dr Rudolf Gehring de monter sur scène. Avec d'autres personnes, il a franchi une étape très importante ce printemps. Il a lancé la pétition pour un référendum sur la liberté de vaccination. Et c'est un point très important.
Dr. Gehring
Ce que nous avons constaté – et les orateurs précédents l'ont déjà mentionné, c'est qu'en tant que citoyens, en tant que peuple, vous, moi, tous ensemble, nous ne sommes pas réellement sollicités pour donner notre avis. Nous n'avons pas vraiment le droit d'avoir notre mot à dire. Une petite clique, une élite, enrichie de quelques experts autoproclamés, nous disent ce que nous devons faire ; ils nous disent comment nous devons nous comporter. Ils veulent nous faire expliquer quelle route prendre. Mais ils nous mènent dans l'égaremment. Nous avons donc décidé de présenter une pétition pour un référendum, une pétition pour la liberté de vaccination. Une pétition pour un référendum contre la vaccination obligatoire qui nous menace - de manière directe ou indirecte. Ils veulent nous forcer à injecter des vaccins ou à les administrer sous forme de comprimés, alors que l'on ne sait pas quelles seront les conséquences de cette vaccination. Nous savons que les dommages causés par la vaccination sont possibles et qu'ils se produisent malheureusement à maintes reprises. Nous rejetons donc fermement cette vaccination obligatoire, quelle qu'en soit la forme. Cette pétition pour un référendum est en cours depuis plusieurs semaines maintenant. Heureusement, nous avons environ 62 000 personnes qui ont déjà signé. C'est un très beau chiffre, mais il doit bien sûr y en avoir beaucoup d'autres. Nous ferons une demande d'inscription au ministère de l'intérieur le 5 octobre, puis viendra la semaine d'inscription, où j'espère que nous recevrons plusieurs centaines de milliers de partisans.
Nous voulons la liberté. Nous voulons conserver notre dignité humaine. Nous voulons retrouver nos droits fondamentaux et nos libertés en nombre illimité. Nous ne voulons aucune restriction. Et nous ne voulons certainement pas être forcés ! Nous continuerons la résistance et je vous demande d'y jouer un rôle très important. Signez la pétition pour un référendum sur la liberté par rapport à la vaccination !
Sources / Liens :
Le gouvernement autrichien se prépare à une deuxième vague
https://orf.at/stories/3181267
www.diepresse.com/5867179/covid-19-gesetz-bringt-zutrittsshybeschrankungen-im-privaten
www.derstandard.at/story/2000119998479/corona-krise-was-droht-wenn-es-wieder-ernst-wird
Stratégie de peur du gouvernement autrichien
https://orf.at/stories/3163480
www.diepresse.com/5784951/bundeskanzler-kurz-krankheit-leid-und-tod-fur-viele
Les règles de sortie du coronavirus étaient anti-constitutionnelles
https://kurier.at/politik/inland/vfgh-corona-ausgehregeln-waren-verfassungswidrig/400978343
Loi sur les épidémies adoptée au Conseil national
https://orf.at/stories/3182466
Sebastian Kurz et les médias font de la promotion pour la vaccination
L'Autriche commande 6 millions de doses de vaccins
www.medmedia.at/relatus-med/erster-corona-deal-oesterreich-fixiert-6-millionen-impfdosen
Rencontre de Sebastian Kurz avec des représentants de grandes entreprises pharmaceutiques
https://twitter.com/sebastiankurz/status/1307261021174800393
Des médecins menacés d'interdiction de travail en raison de critiques sur les mesures de coronavirus
www.sn.at/panorama/oesterreich/arzt-droht-berufsverbot-wegen-kritik-an-corona-massnahmen-86594140
www.wochenblick.at/corona-kritik-aerztekammer-droht-unbotmaessigem-arzt-mit-ausschluss
www.wochenblick.at/kritischem-arzt-dr-eifler-lizenz-entzogen-und-hausdurchsuchung
Paiement spécial aux médias autrichiens
https://kontrast.at/medienfoerderung-pressefoerderung-corona-oesterreich
www.inside-politics.at/coronavirus-krise-wie-viel-kostet-die-werbekampagne-der-bundesregierung
Kleine Zeitung dénonce le Dr. Sucharit Bhakdi et Servus.TV
Kleine Zeitung, 29. September 2020, Titelseite + Seite 6-7
Sondage : les Autrichiens perdent confiance dans les médias et la politique
ORF-Report vom 22. September 2020
www.market.at/fileadmin/user_upload/Studien/2020/KW32/Charts_KW31_CHART_1.png
Manifestations et actions par rapport au coronavirus en Autriche
Discours et interviews lors de manifestations sur le coronavirus en Autriche
www.youtube.com/c/DasRechtaufWahrheit/videos
Référendum pour la liberté de vaccination en Autriche
https://p-on.voting.or.at/Inhalt/de/Volksbegehren_FÜR_IMPF-FREIHEIT
www.cpoe.or.at/bilder/files/Aktueller%20Text%20Volksbegehren%202.pdf
Manifestation « Sans peur grâce au dévoilement - Fin de la PLANdémie »
https://heimat-und-umwelt.at/uploads/pdfs/Wegwarte_2020-06demo.pdf
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