Il faut vraiment être aussi stupide et malhonnête qu’un journaliste de la presse achetée (ou un médecin de plateau) pour continuer à nier l’évidence du déferlement totalitaire dans lequel nous sommes embarqués…
Après la généralisation d’un journalisme de propagande et de haine au sein des titres de presse auparavant honorables, après une longue succession de mesures prétendument sanitaires abusives, destructrices et homicides, après le déchaînement de processus de harcèlement et destruction de réputation contre les experts et scientifiques intègres, la fureur psychotique des élites semble n’avoir plus frein ni garde-fou.
La récente exposition publique de la réalité des données de pharmacovigilance « vaccinale » relatives aux injections géniques a multiplié cette fureur : les médecins corrompus se sont rués sur les plateaux pour nier l’évidence, les politiciens véreux et les fonctionnaires serviles (préfets, procureurs) se sont soumis une fois de plus, et le milieu académique, en plein reniement de son âme et de ses valeurs, apporte de bon cœur sa contribution à l’ignominie.
Après la suspension pour une année de Vincent Pavan (avec diminution de moitié de son salaire) pour s’être opposé au port du masque dans ses cours, c’est au tour d’Emmanuelle Darles de subir les basses œuvres d’autorités universitaires indignes.
Il était amusant de voir la réaction du journaliste Pascal Praud, sur CNews, devant l’affirmation tranquillement répétée par Vincent Pavan que le masque ne sert à rien en population générale pour se protéger en cas d’épidémie respiratoire virale. Malgré que ce fait soit archi-connu et s’est vérifié une fois de plus depuis deux ans, Praud s’est cru obligé de rappeler que les médecins que plateau qu’il avait invités avaient tous prétendu l’inverse.
Certes, tout comme ils avaient prétendu que « tous vaccinés tous protégés », que l’épidémie de Sars-CoV-2 était cataclysmique, que le remdesivir était un remède convaincant, et que les fameuses injections géniques expérimentales, étaient, évidemment « sûres et efficaces ».
Vincent Pavan aurait pu demander (mais il n’en a pas eu le temps) en retour à Pascal Praud s’il s’était enquis des conflits d’intérêts des-dits médecins et si ceux-ci les avaient spontanément déclarés comme la loi l’exige en France. Je rappelle ici que la littérature scientifique atteste la manière dont les liens et conflits d’intérêts distordent les avis d’experts en défaveur de la vérité…
Or tout comme les speakers de la Radio Télévision Suisse prétendent respecter la science en invitant des experts médicaux et scientifiques systémiquement corrompus (c’est-à-dire inféodés à un système et à des pratiques malhonnêtes), Praud tombait des nues devant une conclusion pourtant solidement démontrée.
Le totalitarisme se doit d’attaquer impitoyablement tout ce qui vient contredire son idéologie et ses mensonges. Toutes les ressources de la pression sociale et toutes les bassesses deviennent permises. On a vu tant de ces « médecins » « journalistes » et « responsables politiques » tenir des discours proprement abjects pour que plus grand-chose ne nous surprenne.
Le traitement actuellement réservé aux experts intègres est hélas totalement prévisible et conforme aux connaissances dont nous disposons quant au phénomène totalitaire. Je l’ai souvent évoqué ici, des braves fonctionnaires et de petits chefs qui en temps normal se comportent en gens normaux se transforment en petits caporaux tordus .
Le directeur général des Hautes Écoles de Genève s’est fait récemment retoquer pour avoir été plus zélé dans les mesures abusives que ce qui était exigé. Il avait proféré à l’époque un commentaire énonçant en substance que « les étudiants qui ne voulaient pas se soumettre au pass sanitaire ne pouvaient s’en prendre qu’à eux-même s’ils devaient interrompre leurs études ». Ce qui dénote une conscience et une éthique simplement lamentables au regard de la responsabilité qu’il occupe.
Nous pourrions multiplier les exemples : ce sont des corps constitués entiers qui ont basculé dans la participation active aux outrances de la dérive totalitaire. Rien de plus zélé dans ce type de contexte que la cohorte des médiocres petits chefs, tout grisés de leur soudain pouvoir de nuire…
Emmanuelle Darles mène depuis des mois et des mois un combat infiniment méritoire contre cette dérive. Elle y met ses compétences et son cœur, pour restaurer une science digne de ce nom (c’est-à-dire non-confondue avec de la vulgaire publicité mensongère) et communiquer des données fiables et honnêtes à la population.
Ce qui par les temps qui courent n’a pas le goût de plaire aux minables fonctionnaires et aux petits chefs de l’université qui l’emploie, ni bien sûr à la troupe des trolls et harceleurs patentés en et hors ligne. Je publie sa réponse à ce qu’elle subit avec toute l’admiration que j’ai pour son courage et sa droiture ainsi qu’avec toute mon amitié.
Nous ne céderons pas, et les harceleurs et les lâches auront tôt ou tard des comptes à rendre. En attendant, et il importe que cela se sache : ILS NE NOUS FONT PAS PEUR !
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Entre procédures disciplinaires au contenu contestable et opposable, calomnie, diffamation et menaces de mort
par Emmanuelle Darles - le 30 août 2022
Membre du Conseil Scientifique Indépendant depuis l’année dernière, j’œuvre sans relâche depuis bientôt deux ans pour protéger nos enfants contre les protocoles sanitaires stupides et incohérents et pour dénoncer les effets secondaires des injections dites anti-covid. Je me fonde exclusivement sur des chiffres précis et avec une méthodologie scientifique indiscutable.
Il ne s’agit pas d’opinion ou de polémique, mais bien de science.
Le 8 août dernier, j’étais auditionnée, au sujet des effets secondaires des injections anti-covid, par la Commission d’enquête de l’Office parlementaire des choix scientifiques et technologiques (OPECST) sur « les effets indésirables des vaccins contre la covid-19 et le système de pharmaco-vigilance français ». Le même jour, je recevais, à 14 heures 37 exactement, par email, une lettre, accompagnée d’un dossier à charge, m’informant de ce que des poursuites disciplinaires - en d’autres termes des manquements aux règles de ma profession… - étaient engagées par mon Université contre moi.
Pourtant, je n’avais pas été informée en amont que de telles poursuites étaient envisagées et aucun contact en vue d’une éventuelle médiation n’avait été pris avec moi. Il s’agissait simplement de m’infliger une sanction ou, peut-être, de me dissuader d’exprimer une opinion contraire à la pensée dominante sur les injections anti-covid.
Ce dossier contenait - entre autres - des échanges d’emails de l’année précédente entre un collègue, qui avait transmis au Doyen de l’Université une capture de mon profil pris sur un réseau social, et moi. On y trouvait également un mail envoyé à toute une mailing list de collègues où étaient évoquées « mes humeurs » (dixit mes règles)…
Il m’était aussi reproché une communication agressive et en suréaction pour avoir effectivement dit au collègue qui avait trouvé intelligent d’évoquer mes règles dans un courriel et donc sous la forme d’une basse attaque sexiste qui mériterait, de ma part, une procédure contre lui. Bien entendu, des difficultés que je pouvais rencontrer dans le lourd climat de chasse des opposants à la doxa dominante, il n’était pas question… Pas plus que de la liberté d’opinion et d’expression dont je bénéficie comme tout citoyen et du droit de critique qui en découle, ni de la protection constitutionnelle de l’indépendance et de la liberté de parole des universitaires.
https://www.conseil-constitutionnel.fr/les-membres/statut-des-membres
Pire, j’avais commis, selon les termes des charges retenues contre moi, le délit d’être « anti-vax » - une rengaine maintenant bien connue - pour avoir envoyé à un collègue avec qui je tentais vainement d’établir un dialogue raisonnable un rapport de l’Agence nationale de santé et du médicament (ANSM), donc un organe tout ce qu’il y a d’officiel, sur les effets désirables déclarés des injections anti-covid !
Le plus inquiétant est peut-être que les emails produits au soutien de ces accusations sont des échanges privés que j’ai eu avec des collègues et dont je n’ai jamais autorisé la divulgation. Comment sont-ils arrivés dans ce dossier ? C’est l’une des graves question que pose cette procédure, sans mentionner la « coïncidence hasardeuse » de dates entre mon audition à la Commission d’enquête de l’OPECST et la réception du dossier disciplinaire à charge.
Alors que je suis encore dans l’attente du jugement par la commission disciplinaire de l’Université de cette première procédure disciplinaire, j’apprenais, le premier jour de mes vacances d’été, qu’une seconde procédure disciplinaire était lancée contre moi.
Cette fois, il s’agit de me poursuivre pour avoir monté une cagnotte avec Vincent Pavan – lui aussi poursuivi disciplinairement par son Université -, dans le but de contribuer aux frais d’avocat pour me défendre dans la première procédure, ce qui n’a absolument rien d’illégal. Bien au contraire, le droit de se défendre est l’un des droits fondamentaux de tout citoyen et, comme chacun le sait, les procédures ne sont pas gratuites.
Les fondements de cette seconde procédure disciplinaire sont pour le moins confus. En vrac : alors qu’on m’y accuse d’être « anti-vax », il est maintenant prétendu qu’il serait mensonger d’affirmer que je suis poursuivie pour mes prises de position publiques contre les injections anti-covid… Le choix (pour des raisons de simplicité) de faire une cagnotte commune avec Vincent Parvan serait « trompeur » et nuirait à l’image et à la réputation de mon Université.
Le dossier contient également des captures de mon compte twitter personnel, faites par un inconnu (inconnu qui retweet des tweets depuis le compte personnel de la Présidente de l’Université…), arguant de ce que ma communication (personnelle, soit dit en passant) serait « violente », économie faite du contexte général de violence à l’encontre des voix critiques à l’injection anti-covid et du bien-fondé des éléments scientifiques dont je me prévaut. Bien entendu, l’anonymat de ce délateur ne soulève, lui, aucune question.
Il va de soi que, là non plus, aucun dialogue préalable n’a été engagé par les instances universitaires.
Enfin, histoire d’achever de me crucifier, il m’est fait savoir, par l’intermédiaire d’un collègue de mon laboratoire de recherche, que ma « désinformation » mettrait en danger ceux qui sont déjà réticents à se faire injecter contre le covid… En d’autres termes, ouvrir un débat scientifique mettrait les gens en péril !
On pourrait presque en rire, si les choses n’avaient pas pris une tournure plus grave, à laquelle le discours haineux auquel je dois faire face chaque jour (« anti-vax », « conspirationniste », « charlatan », mes « humeurs », etc.) n’est probablement pas étranger.
Je recevais, en effet, le 28 août, sur ma boîte mail personnelle – dont l’adresse n’est pas publique – les menaces de mort suivantes : « Grosse conne on va te brûler vive ».
La quête de la vérité est parfois un poids lourd à porter et, si je ne prétends pas avoir à réponse à tout, je prétends cependant avoir le droit de porter la contradiction et de m’inquiéter de l’ampleur et de la gravité des effets indésirables des injections anti-covid que m’ont révélé mes travaux sur les bases de données publiques de déclaration de ces mêmes effets indésirables. N’en déplaise à mes détracteurs, les chiffres sont là. Débattons-en ! Ce serait là une réponse scientifique et digne de l’Université qui est - ou devrait être - le lieu du débat critique et contradictoire.
A-t-on jamais vu que faire taire les voix dissidentes soit jamais parvenu à faire disparaître la réalité ? La terrible réalité d’une population - et spécialement d’enfants - à qui l’ont injecte un produit expérimental sans qu’elle soit autorisée à s’interroger…
Si vous voulez, vous aussi, que l’entière lumière soit faite sur les injections anti-covid et leurs effets néfastes, vous pouvez y contribuer en m’aidant à me défendre dans cette seconde procédure disciplinaire et, si besoin était, à garantir ma sécurité.
Je ne lâche rien !
Protégeons nos enfants !
Emmanuelle Darles
Membre du Conseil Scientifique Indépendant (CSI)
Par Jean-Dominique Michel
Source : anthropo-logiques.org
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