« Ne suppose pas, si quelque chose t’est difficile que cette chose soit impossible à l’homme. Mais, si une chose est possible et naturelle à l’homme, pense qu’elle est aussi à ta portée. » (Marc Aurèle, Pensées, livre 6, XIX)
En avril 2020, en prenant conscience du vacillement de notre démocratie, j’ai commencé à poster des alertes sur les réseaux, concernant les mesures prises, qui me paraissaient aller à l’encontre de la logique, du Droit et de notre devoir premier de respecter la dignité de la personne humaine.
J’ai alerté la présidente du Conseil National des Barreaux Français concernant l’administration du Rivotril aux personnes âgées qui, d’après des médecins et la fiche technique de ce médicament, correspondait à des homicides (à l’époque j’avais évoqué l’euthanasie, mais sachant que des traitements précoces auraient pu être administrés à ces personnes, il s’agissait donc potentiellement d’homicide et non d’euthanasie).
La situation a continué à se dégrader, avec des mesures de plus en plus attentatoires à la santé, aux libertés, aux droits fondamentaux, et je me suis donc tournée vers de nouvelles associations, que j’ai soutenues.
J’ai finalement décidé de mettre mes analyses et des modèles à disposition du peuple, dont un modèle d’annexe à la fiche médicale scolaire, afin que les parents et enseignants soient alertés et puissent s’opposer aux mauvais traitements et tortures infligés aux enfants en milieu scolaire, engendrés par le port du masque, les tests et injections expérimentales. Je me suis fondée sur le Droit pénal français, les conventions internationales et les études scientifiques à disposition (novembre 2020).
J’ai également pris l’initiative de réaliser une étude approfondie de l’ensemble des mesures prises par l’exécutif et le Parlement, de leurs conséquences sur la santé psychologique et physique des Français, toujours en rapport avec les multiples études scientifiques et alertes des plus éminents experts, afin de délivrer les premières qualifications juridiques potentielles, tant du point de vue du Droit international que du Droit national.
J’ai envisagé les problématiques de délitement du tissu social et économique, ainsi que les probables actions du gouvernement destinées à forcer le consentement des Français, concernant l’injection de substance génique expérimentale.
Mon rapport de novembre 2020 intitulé « Rapport Dictature 2020, Terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et crime contre l’humanité » a été publié en libre accès sur mon blog.
Ce rapport a été transmis à travers l’Europe en plusieurs langues, et j’ai été mandatée par mon client afin de le transmettre au Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’Homme, Madame Michelle Bachelet Jeria (décembre 2020). Ce rapport a également été publié par l’Observatoire du Risque génocidaire. Je dois ajouter une précision : je ne suis pas politisée, je n’adhère à aucune idéologie politique.
Après la publication de ce rapport, j’ai intégré une équipe de juristes internationaux.
En parallèle, j’ai entamé les démarches suivantes :
Action citoyenne contre les confinements forcés, par une requête en référé voie de fait devant le Tribunal judiciaire de Paris et devant la Cour d’appel de Paris, avec 1365 parties demanderesses à l’encontre du premier ministre, le ministre des Solidarités et de la santé et l’agent judiciaire de l’État (février 2021). Il s’agissait alors de demander l’inopposabilité des mesures de confinement, étant donné la violation de la liberté individuelle. Le juge judiciaire s’est déclaré incompétent, alors que la liberté individuelle relève de sa compétence.
Lettre ouverte adressée à M. Florent Boudié, rapporteur général et Mme Laetitia Avia, Mme Anne Brugnera, Mme Nicole Dubré-Chirat, M. Sacha Houlié, M. Éric Poulliat et Mme Laurence Vichnievsky, dans le cadre de l’examen du projet de loi confortant le respect des principes de la République n°3649 présenté par M. Jean Castex, M. Gérard Darmanin et Mme Marlène Schiappa, afin de contester les restrictions apportées au Droit à l’instruction en famille, la liberté d’enseignement étant un Principe fondamental reconnu par les lois de la République.
Action de représentation avec des intervenants auprès de l’Union européenne, afin que la mise en place du pass sanitaire soit rejetée par le Parlement européen (mai 2021). Le texte a été modifié à la suite de cette représentation massive notamment sur le fait que l’U.E. ne devait pas être liée à la décision de déclaration de pandémie de l’OMS car nous connaissons les liens entre l’OMS et les actionnaires des laboratoires pharmaceutiques, la finance et les médias.
Action auprès de Police for freedom/Police pour la vérité afin de sensibiliser les forces publiques (forces de l’ordre, militaires, pompiers) aux risques encourus par la population du fait des mesures prises et des liens de corruption et de collusion non apparents.
Actions en intervention devant le Tribunal de l’U.E. contre les autorisations conditionnelles de mise sur le marché des injections obligatoires pour les soignants et contre les autorisations conditionnelles de mise sur le marché des injections obligatoires pour les enfants (juin et septembre 2021).
Mise à disposition d’une boîte à outils juridique à l’attention des soignants, parents et autres, publiée par la LNPLV (juillet 2021).
Actions devant le CSA pour le compte des associations LNPLV et BonSens.org, à l’encontre des intervenants de plateaux et journalistes pour des propos attentatoires à la dignité humaine et appelant à la haine contre les personnes qui refusaient de participer à l’essai clinique de masse (juillet et décembre 2021).
Mémoire pour le compte de BonSens.org en vue d’une action juridique portée par mon confrère Maître Jean-Pierre Joseph, intitulé « Éléments juridiques contre l’injection de substance génique expérimentale sous la contrainte (septembre 2021).
Plainte pénale contre les médias et plateformes numériques devant le doyen des juges d’instruction du Tribunal judiciaire de Paris pour le compte des associations BonSens.org et l’AIMSIB ainsi qu’un particulier (novembre 2021) pour :
- Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse,
- Complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion
- Complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement.
Nous avons interjeté appel dans le cadre de cette procédure.
Plainte pénale contre le premier ministre, le ministre des Solidarités et de la santé, le ministre de l’Éducation nationale, de la jeunesse et des sports devant la commission d’enquêtes de la Cour de Justice de la République pour le compte des associations BonSens.org et l’AIMSIB (novembre 2021) :
- Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse,
- Extorsion et tentative d’extorsion (du consentement),
- Empoisonnement et tentative d’empoisonnement,
- Tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée,
- Escroquerie et tentative d’escroquerie commise en bande organisée,
- Génocide.
Sommation interpellative pour le compte de BonSens.org et l’AIMSIB transmise par voie d’huissier à une vingtaine de députés de la majorité, afin de les interroger concernant les pass de contrôle social mis en place, ainsi que les traitements précoces et injections de substances géniques (décembre 2021).
Plainte pénale contre les parlementaires de la Commission mixte paritaire devant le doyen des juges d’instruction du Tribunal judiciaire de Paris (décembre 2021), pour le compte de BonSens.org, AIMSIB, Collectif des syndicats et associations professionnels européens (CSAPE), Syndicat Liberté Santé, Monsieur Antoine MARTINEZ Général 2s Armée de l’Air pour :
- Complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement,
- Participation à une association de malfaiteurs,
- Complicité de génocide.
Nous avons interjeté appel dans le cadre de cette procédure.
J’ai été membre de l’équipe des avocats internationaux (totalement indépendants) en charge de mener les audiences du Grand Jury pour le compte de la Cour d’opinion publique internationale (séances de février/mars 2022).
Plainte pénale contre l’association LaREM pour dérives sectaires (avril 2022), pour le compte de BonSens.org et l’AIMSIB.
Sommation interpellative pour le compte de Réinfo Liberté adressée à la présidence de l’O.P.E.C.S.T. par huissier (mai 2022) concernant les effets dommageables des injections expérimentales.
J’ai de nouveau été membre de l’équipe des avocats internationaux (totalement indépendants) en charge de mener les audiences du Grand Jury, pour le compte de la Cour d’opinion publique internationale (séances de mai-juin 2022).
Plainte contre le premier ministre, le ministre des Solidarités et de la santé, le ministre de l’Éducation nationale, de la jeunesse et des sports devant la CEDH pour le compte de BonSens.org et de l’AIMSIB (juin 2022).
Défense de médecins devant les Ordres (depuis septembre 2022).
D’autres plaintes pénales et actions au niveau national, européen et international, sont en cours pour le compte d’associations, de syndicats, de personnes privées et autres. Celles-ci sont désormais confidentielles, afin de permettre aux différentes instances de traiter les dossiers sans subir de pression.
Étant donné la lenteur des procédures diligentées dans chaque État, tant au niveau européen qu’au niveau international, nous avons pu constater qu’aucune d’entre elles n’était adaptée à l’urgence dans laquelle nous nous trouvions. Puisqu’à aucun moment le ministère public ne s’est saisi des dossiers, nous avons décidé de donner la parole aux victimes et aux experts, dans le cadre d’un modèle de procédure, que l’on peut rencontrer aux États-Unis. Nous avons toutefois gardé à l’esprit les principes du Droit naturel préexistant aux règles de droit positif et à l’État.
À la suite de ces interventions, nous avons fait part de nos conclusions en Droit et procédé au vote afin de connaître l’opinion publique : elle était en faveur de la recherche des responsabilités.
Nous avons ainsi pu rendre publiques des interventions, que nous estimons encore aujourd’hui fondamentales, et qui ont pu être relayées dans plusieurs pays, grâce notamment aux équipes de traduction. Nous espérions ainsi transmettre aux populations et juristes des différents pays les éléments nécessaires afin d’engager des procédures. Nous avons indiqué dès le départ qu’il s’agissait d’un modèle, et non pas d’une procédure en tant que telle devant une instance internationale reconnue par le système en place. Cela rend caduques toutes les accusations dont nous avons fait les frais, disant que nous étions une « opposition contrôlée » car nous ne menions pas des procédures. Dans mon cas, c’est faux, car j’ai mené les procédures, mais dans le cas de cette commission d’enquête, l’objectif clair et affiché était de donner tous les outils et les avis d’experts pour que les citoyens et avocats s’en saisissent au niveau de leur juridiction nationale.
Grand Jury Proceeding by the Peoples´ Court of Public Opinion
Empowering Public Conscience through Natural Law
‘Injustice to One is an Injustice to All’
Procédure du Grand Jury par le Tribunal des Peuples de l’Opinion Publique
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
« L’injustice à l’égard d’un seul est une injustice à l’égard de tous »
Source : Dar-Avocats.com
...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire