Selon ce rapport on a le CHU de Nantes (98 millions d'euros - données 2012 -) le CHU de Saint-Etienne (96 millions d'euros), les hôpitaux franciliens de Montreuil (80 millions d'euros), de Juvisy (25 millions d'euros), de Meaux (22 millions d'euros) ...
Pierre Morange a donné son avis : « Ces prêts à taux variable sont en train d'étrangler les hôpitaux. C'est insupportable quand on sait les centaines de milliards d'euros d'aides publiques qu'ont reçu ces banques pour survivre à la crise ! »
Effectivement, c'est insupportable, mais ce qui est le plus inconcevable c'est d'entraîner dans le cadre de Groupement hospitalier de territoire (GHT), et pire de fusions d'autres établissements de santé dans une dérive financière qui s'avérera dans le temps catastrophique pour l'avenir même des hôpitaux publics qui ont contractés ces emprunts toxiques, il est temps, grand temps d'en prendre conscience, et de prendre en considération les risques d'un effet domino, en cas de fusion particulièrement.
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