La pression des médias et des gouvernements pendant la « pandémie » est digne des méthodes de torture de la guerre de Corée (25 juin 1950 - 27 juillet 1953)
Le sociologue Albert Biderman, né en 1923, entreprend des recherches pour décrire les méthodes d’interrogatoire des torturés. De ce travail, il déduit 8 critères connus sous le nom de Charte de contrainte de Biderman. La charte de torture psychologique illustre les méthodes de torture chinoises et coréennes sur les prisonniers de guerre américains pendant la guerre. Et ces prisonniers coopéraient avec l’ennemi. En ces temps de crise « sanitaire », 2020-2021, le parallèle entre ces 8 critères et les décisions des gouvernements est facile à faire.
Critère 1 : l’isolement. Priver la victime de tout soutien social qui lui donnerait la capacité de résister. Développer chez la victime une préoccupation intense d’elle-même. Rendre la victime dépendante de l’autorité. Application. Avec les mesures de confinement, de distanciation sociale, les pertes d’emploi massives, les quarantaines… nous n’avons jamais été aussi seuls. Face à la masse d’informations négatives et stressantes en provenance du monde entier, les cas de dépression et d’anxiété ont explosé au niveau mondial.
Critère 2 : la monopolisation de la perception. Fixer l’attention sur une situation difficile immédiate. Censurer ou éliminer les informations contraires ou en compétition avec l’autorité. Forcer l’introspection. Punir l’indépendance et toute action contraire à la soumission. Réduire la capacité de déplacement de la victime. Application. Deux ans à parler quasiment exclusivement du Covid à longueur de journée et même en privé, autant dire que cette « pandémie » monopolise toute notre attention. Cela est d’autant plus véridique avec la suppression de beaucoup d’activités de loisirs et les confinements à répétition. Nous sommes sans arrêt soumis au flux incessant d’informations, tandis que les discours contradictoires et polémiques sont censurés.
Critère 3 : l’épuisement induit. Affaiblir toute volonté de résistance mentale ou physique. Réduire la capacité de résistance mentale ou physique en épuisant la victime par des tâches inutiles. Application. L’épuisement, notamment mental, est perceptible partout. Confinés et cernés de discours négatifs, il paraît difficile de s’échapper de cette situation, qui pèse de plus en plus sur nos vies.
Critère 4 : des menaces. Cultiver l’anxiété, le stress et le désespoir en inondant la victime d’informations anxiogènes. La menace de se retrouver encore plus isolée si elle pense résister. Application. Plus que jamais, nous vivons sous la menace. La menace d’un autre confinement, la menace d’une extension de quarantaine, la menace des frontières fermées, des projets annulés… et ça continue, encore et encore.
Critère 5 : des indulgences occasionnelles. Promettre une récompense en échange de la soumission et procurer une motivation positive à se conformer et à se soumettre aux directives. Empêcher l’accoutumance aux privations imposées en lâchant la bride en de rares occasions. C’est le principe de l’âne et de la carotte. L’âne cherche désespérément à atteindre cette friandise perdue au bout d’une ficelle, sans succès. Mais en essayant, il avance conformément au souhait de son maître. La soumission à une autorité ne peut se faire sans ce jeu de récompenses. Application. Une fois massivement vaccinés, nous avons le droit de sortir de confinement et de partir en vacances… Une fois dotés du passe sanitaire, nous avons eu le droit de vivre « normalement ». Mais si la situation se corse, nous voilà menacés d’être dépouillés de tout cela.
Critère 6 : faire preuve d’omnipotence. Suggérer l’inutilité et la futilité de la résistance face à une autorité beaucoup plus puissante. Application. Plus que jamais, les autorités omnipotentes contrôlent tous les aspects de nos vies et mettent la pression pour éviter toute résistance potentielle. Les pays et leur économie se referment sur eux-mêmes, la population et ses mouvements sont contrôlés vie les passes sanitaires.
Critère 7 : dégradation. Convaincre la victime que résister porterait atteinte à son estime de soi. Induire qu’en capitulant, la victime agit pour la bonne cause. Réduire la victime à un niveau de survie animale par la suppression de tous les plaisirs « non essentiels ». Application. Non une dégradation des biens matériels, mais une dégradation mentale, liée à une diminution des libertés. Les non vaccinés, discriminés, sont poussés à bout, jusqu’à ce qu’ils aient honte de leur choix pour leur propre santé et se conforment au reste de la population. Nous nous retrouvons tous alignés, parqués comme du bétail à l’entrée des magasins, attendant notre dose de désinfectant comme sésame pour y accéder.
Critère 8 : faire respecter des exigences insignifiantes. Développer l’habitude à la soumission par des directives stupides, inutiles, illogiques ou infondées. Application. Nous avons été soumis à une multitude d’obligations, au gré des indications des autorités, sans que cela fasse réellement sens. Séparer les membres d’une même famille, porter un masque en intérieur, poser une limite d’âge pour le port du masque… Des règles parfois absurdes qui nous font tourner en bourrique. Les mesures imposées pendant ces années de « pandémie » sont dignes d’une torture psychologique.
Dans la crise dite sanitaire, les institutions qui décident les marches à suivre, refus des traitements précoces, confinement, distanciation sociale, masque, « vaccin » ou plutôt expérimentation génique, les institutions sont soumises à l’OMS et à des commissions corrompues par l’argent.
La médecine utilise de fausses preuves par intérêt économique et politique. On se retrouve dans un univers irrationnel typique des Kabbalistes, des Gnostiques, des Talmudistes, et ceux qui défendent la magie, la sorcellerie, le sacrificiel, l’argent. Les élites mondialistes, agents de Lucifer et autres démons, ont des projets prophétiques et messianiques.
Dans ce contexte, les injections expérimentales liées au Covid 19 contiennent des nanorobots de l’ordre d’un millionième de mètre. Ces nanorobots en graphène sont les transistors de l’avenir. Ces brocanteurs en graphène fonctionnent grâce aux radiofréquences pour tout savoir de vous. Les ondes surpuissantes de la 5G sont idéales pour cet usage et pour arriver à ces fins prétendument médicales. Ce dispositif révolutionnaire est devenu la violation la plus profonde et la plus radicale de l’intimité humaine.
La révolution technologique en cours promet de détruire l’humain, de pirater notre intimité la plus profonde. Le contenu des « vaccins » correspond à cette violation de primauté physique et cérébrale. La 5G, carburant de cette nouvelle révolution industrielle, est un désastre biologique et écologique. Elle promet de faire augmenter la stérilité, les cancers infantiles, d’accélérer l’extinction des insectes pollinisateurs et de la faune sauvage.
Le gros problème, c’est l’endommagement des cellules, le stress oxydatif, cause de vieillissement et de cancers, l’empoisonnement des cellules, la réduction de la reproduction cellulaire, les lames de rasoir du graphène qui coupent les capillaires sanguins. Les gens acceptent ces injections parce qu’ils ont peur. On a su leur faire peur, peur de la mort.
Or, en 2020, le Covid 19 est la seule cause de décès pour seulement 6 % des décès signalés par Covid 19, révélant une fraude médicale généralisée. Après quelques mois de vaccination, les hôpitaux reçoivent une incitation économique perverse pour gonfler les décès par Covid chez les non vaccinés. Des milliers d’infections courantes sont toujours désignées comme Covid 19.
L’idéologie mondialiste anime la grande majorité des élites. Celles-ci rêvent au sommet d’un monde ouvert à tous les échanges, à tous les flux migratoires, un monde doté d’un gouvernement et d’une monnaie uniques. L’individu y serait un être désincarné, sans passé ni racines, interchangeable, désexualisé. Mais le mondialisme n’est pas compatible avec la démocratie. En effet, la centralisation des décisions à l’échelle planétaire suppose que les nations, les peuples, transfèrent leur pouvoir à des entités supranationales, elles-mêmes animées par des dirigeants non démocratiquement élus, Union européenne, FMI, OMC, OMS…
La mondialisation ne peut coexister pacifiquement avec les États-nations et avec le suffrage universel. Pour les élites, les populations votent mal et sont devenues un obstacle à l’effacement des frontières et à l’instauration progressive d’un Ordre Mondial. Dissoudre les nations est devenu une priorité. Une nécessité. Macron a été choisi et élu pour cette raison. C’est pourquoi les mondialistes tournent le regard vers les modèles de gouvernance non démocratique, comme la Chine.
Le régime autoritaire que les édiles chinois ont instauré suscite le plus vif intérêt chez les mondialistes. Le passeport sanitaire est un outil de traçage, et ultérieurement un outil de de crédit social.
Une fois réalisée la fusion de l’identité physique et numérique, le passeport permettra de contrôler les masses par un solide mécanisme de sanction-récompense, comme dans les grandes villes chinoises. Les peuples doivent prendre conscience de ces enjeux terribles. Nos libertés sont trop précieuses pour les déposer au pied de quelques-uns ivres de pouvoir et d’argent.
Nous le voyons, les moyens et les buts du mondialisme s’enchevêtrent, se chevauchent, se recoupent et se répondent.
De plus, les mondialistes utilisent deux moyens sordides pour faire taire les résistants. D’une part, le dénigrement, le discrédit, la disqualification, par des mots injurieux et infamants : fasciste, raciste, homophobe, xénophobe, heures les plus sombres, antisémite, sectaire, complotiste, témoins de Jéhovah, scientologie… Alors que leur idéologie est fasciste, que leurs protégés antifas sont fascistes. Alors qu’ils font preuve d’un racisme et d’une discrimination anti-blanc. Alors qu’ils nous ramènent aux heures du nazisme et du stalinisme. Alors que l’antisémitisme prétendu consiste à dévoiler et dénoncer les banquiers et financiers multi-milliardaires, et à défendre le peuple juif, victime comme tous les peuples du monde. Alors que le sectarisme relève de la pensée unique politiquement correcte imposée à tous. Alors que ce sont eux les complotistes : des textes officiels, des paroles publiques, des citations sourcées prouvent sans ambiguïté l’existence d’un complot mondial. Alors que les Témoins de Jéhovah et les scientologues s’intègrent entièrement dans le mondialisme.
Encore une fois, c’est l’inversion accusatoire. D’autre part, la dramatisation, le ton catastrophe, le rabâchage employés pour instrumenter les peurs, peur du terrorisme, peur du réchauffement climatique, peur du Coronavirus, peur des restrictions, peur d’un effondrement économique, peur des pénuries alimentaires, peur de la guerre. Annonce d’un chaos généralisé. La sécurité, la santé, tiennent lieu de prétextes pour imposer des lois iniques de plus en plus liberticides, sans jamais demander l’avis des peuples. Or, la liberté est une offrande intangible, la liberté ne se négocie pas, la liberté ne s’achète pas, la liberté prime sur tous les autres problèmes. La peur orchestrée et sans cesse alimentée engendre la panique, l’affolement, la frayeur, et la sidération, l’anéantissement, la dépression. À partir d’une telle situation, les gens deviennent obéissants et serviles, acceptent toutes les dérives liberticides et totalitaires. Ils se plient aux exigences et aux finalités des oligarques.
Ainsi, les moyens utilisés par les oligarques reposent essentiellement sur le mensonge et la manipulation. Mark Twain, écrivain américain (1835-1910), confirme la puissance de la menterie : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés ».
Jean Saunier
Source : Blog de Lazare
Source : profession-gendarme.com
Pour plus d'informations
https://www.profession-gendarme.com/la-charte-de-biderman/
Blog de l'auteur
Lire aussi
Le livre de Cédric Debernard
"Mon article au titre visiblement évocateur de Quels outils pour résister au conditionnement mental de la Charte de Biderman ? ayant été consulté plus de 20.000 fois, la rédaction d’un ouvrage plus approfondi m’a paru non seulement nécessaire, mais presque indispensable.
La coercition, ou méthode pour forcer quelqu’un a adopter une conduite qu’on lui impose, ne date pas d’hier et n’est pas l’apanage de quelques malfaisants. On pense évidemment aux prisonniers de guerre ou aux mouvements sectaires, peut-être moins aux violences familiales ou aux manipulations orchestrées par nos propres gouvernements.
Le but de ce manuel de plus de 70 pages est de fournir à chacun une référence dans laquelle se plonger lorsque le lecteur s’interrogera sur les différentes techniques de manipulation, qu’elles soient physiques ou psychologiques, violentes ou non violentes, appliquée à sa propre personne ou à quelqu’un de son entourage."
Lien pour se le procurer :
https://cedricdebernard.com/identifier-dejouer-manipulation-biderman/
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