"La Vie Hospitalière"

lundi 28 août 2023

Injections et effets secondaires : Un banquier dénonce le crime contre l'humanité

Pascal Najadi a été triplement vacciné et rejoint le camp des résistants ou plutôt les "gardiens de l'humanité" comme il dit.  Je dirais que les résistants qui dénoncent et qui combattent activement cette politique sanitaire criminelle sont évidemment également des "gardiens de humanité"!






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Pour rappel :

Publié en 1947, le code de Nuremberg fut un tournant dans la conception de la bioéthique médicale. Il reste un socle immuable, en dépit des avancées de la science. 


Les fondements de l’éthique biomédicale contemporaine ont été forgés il y a plus de soixante-dix ans, à Nuremberg, au cours du procès dit « des médecins ». Le procès dura six mois, à partir de décembre 1946 soit quelques semaines après la fin du premier procès de Nuremberg qui avait jugé les principaux dignitaires du régime nazi.


Sur les 23 accusés, la plupart sont des médecins réputés, chirurgiens ou bactériologistes, parfois chercheurs à l’université. Ils racontent leurs terrifiantes expérimentations dans les camps d’emprisonnement ou de concentration. Euthanasie de malades mentaux, tests de vaccins sur des détenus, inoculation de poisons ou de maladies infectieuses, stérilisation forcée, collection de squelettes de déportés… 


Le procès aboutit à l’énonciation de dix principes, rassemblés dans le code de Nuremberg et qui constituent le premier socle bioéthique moderne [ aujourd'hui bafoué !!! ]. Publié en 1947, il fixe le caractère licite des expériences médicales et met en place des limites destinées à protéger les sujets qui y participent.

https://www.erasme.ulb.ac.be/fr/enseignement-recherche/comite-d-ethique/consensus-ethiques/le-code-de-nuremberg-1947


Parmi ces dix principes figurent la nécessité du consentement « éclairé » de toute personne impliquée dans une recherche médicale, le caractère humanitaire de la recherche qui doit avoir pour but de guérir, traiter ou prévenir les maladies, ou encore la supériorité des bénéfices attendus par rapport aux risques courus. L’expérience doit ainsi être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique ou mental. Le sujet est par ailleurs libre d’interrompre l’expérience à tout moment.


source et suite : https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Le-code-Nuremberg-socle-principes-bioethiques-2022-01-31-1201197762


Où est le consentement éclairé quand les laboratoires pharmaceutiques, lesquelles refusent de communiquer les ingrédients des injections toxico-génétiques expérimentales ARNm aux parlementaires de l'UE, et pour cause car il ne s'agit pas de tout d'un vaccin dans le sens classique mais d'une arme biologique crée par des crimnels en passent par le "gain de fonc-tion" c'est à dire de l'art de créer des super virus !  https://crowdbunker.com/v/3uPQTtNgrJ




"Nous sommes les défenseurs de l'humanité"







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