Le principe d’un rendez-vous annuel afin d'assurer, au moins, le maintien du pouvoir d’achat en fonction de l’inflation a été retenu (ouf)...
Quant à la hausse de la
valeur du point d’indice elle se réalisera toutefois en 2 fois : 0,6 % au 1er
juillet 2016 et 0,6 % au 1er février 2017...ce qui sous-entend qu'il n'y aura pas de réévaluation en 2017 ?...Ils se moquent vraiment des fonctionnaires ces politiques et quand l'on pense que certains syndicats acceptent cette situation, il y a de quoi mourir de rire !
En clair l'augmentation du point d'indice pour 2016 est de toute évidence que de 0,6 % ...et en 2017 elle le sera d'autant, c'est ce qui s'appelle faire d'une pierre deux coups (sic bien évidemment)...
"La Vie Hospitalière" rappelle que depuis 2010 le gel du point d’indice a été de
nature à faire perdre un pouvoir d'achat relativement important aux fonctionnaires.
Les
plus petits traitements ont supportés les aléas d'une vie de plus en plus chère, une décison injuste et
incohérente de la part des gouvernements successif car entraînant une baisse de la consommation et de ce fait contribuant à la perte du dynamisme de notre économie (comprenne qui veut)...
La reconnaissance
du travail des agents publics doit être effective et pérenne, ces 1,2 %
d'augmentation du point d'indice ne doivent pas faire oublier ce que les agents
ont perdu en argent depuis 5 années de gel...
Le coût de cette augmentation sera d’environ 1,2 milliards d’euros en 2016 et autant en 201.Une dépense qui au moins sera bénéfique pour l'économie, même si nos
politiques ne prennent pas en considération les retombées positives des
augmentations de traitement, de salaires qui entraînent aussi la création d'emplois...
Les mesures restrictives tuent l'économie.
Les mesures restrictives tuent l'économie.
Ceci écrit, n'oublions
pas la fameuse loi Travail qui tente notamment de réformer le Code du Travail... il y en a assez de toutes
ces manoeuvres qui visent à déréguler
le marché de l'emploi entraînant encore plus de précarité notamment, et
ce sont toujours les plus pauvres, les plus jeunes, et, tout autant les seniors
qui supportent les impacts de ces mesures inconsidérées.
La France souffre, en effet, de toutes ces "mesures
réformatrices" qui ne profitent pas vraiment aux salariés bien qu'il est
prétexté le contraire...
Ouvrons les yeux sur l'avenir...(pas n’importe lequel) celui du
progrès social dicté par l’intérêt général.
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