Le gouvernement vient de lancer les travaux de la Solution « Médecine du futur » qui s’inscrivent dans le cadre de la deuxième phase de la Nouvelle France Industrielle. Ces réflexions qui porteront en particulier sur la médecine personnalisée ou de précision, la médecine connectée, la médecine réparatrice et leurs impacts sur l’organisation des soins, devront aboutir d’ici la fin du premier trimestre 2016.
La Solution « Médecine du futur » a pour objectif de « soutenir la dynamique » de la France et de « renforcer les synergies entre tous les acteurs de l’innovation en santé ». La première réunion de son comité de pilotage, présidé par André Syrota, ancien président de l’INSERM et Olivier Charmeil, Président Directeur général de Sanofi Pasteur, et composé de 28 personnalités qualifiées du monde académique, industriel, et associatif, s’est tenue mardi au ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femme en présence de Marisol Touraine, d’Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, et de Thierry Mandon, secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
La Solution « Médecine du futur » a pour objectif de « soutenir la dynamique » de la France et de « renforcer les synergies entre tous les acteurs de l’innovation en santé ». La première réunion de son comité de pilotage, présidé par André Syrota, ancien président de l’INSERM et Olivier Charmeil, Président Directeur général de Sanofi Pasteur, et composé de 28 personnalités qualifiées du monde académique, industriel, et associatif, s’est tenue mardi au ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femme en présence de Marisol Touraine, d’Emmanuel Macron, le ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique, et de Thierry Mandon, secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Des propositions de projets industriels Les ministres ont souhaité qu’une feuille de route leur soit présentée d’ici la fin du premier trimestre de l’année 2016. Elle devra notamment intégrer une analyse synthétique des grandes orientations de la médecine de demain et des propositions de projets industriels et des possibilités de consortia d’industriels pour lancer des actions pilotes ou pérennes sur des thématiques prioritaires. Elle devra également identifier les verrous financiers, fiscaux, réglementaires et administratifs à lever pour permettre de libérer l’innovation dans le domaine de la santé et pour favoriser le développement de filières françaises. Enfin, elle devra formuler une proposition d’organisation permettant d’assurer une politique incitative en matière d’innovation industrielle en santé.
« Les propositions formulées dans le cadre de cette feuille de route devront s’inscrire en étroite cohérence avec les grandes orientations du projet de loi de modernisation de notre système de santé et de la Grande Conférence de la Santé », ont enfin indiqué les ministres dans un communiqué commun.
Source : Ministère de la Santé
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