"La Vie Hospitalière"

samedi 27 septembre 2014

NON à la vaccination massive des enfants

Une pétition à l’attention du Président de la République Française, de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, et de la Ministre de l’Education Nationale.

Monsieur le Président, Madame la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé, Madame la Ministre de l’Education Nationale,


Le Haut Conseil de la Santé Publique préconise, dans un avis relayé par la presse, le 15 Septembre 2014 : d’introduire dans les écoles la vaccination contre les papillomavirus (HPV) pour essayer de lutter contre le cancer du col de l’uterus et d’autres infections sexuellement transmissibles ; d’abaisser si nécessaire à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons.

Cette proposition suscite une très vive émotion des citoyens et du monde médical.

Nous sommes très nombreux à redouter que nos écoles servent de paravent pour vacciner les enfants en masse contre les HPV, sans réelle réflexion individuelle ni information transparente sur l'efficacité et la dangerosité de ce vaccin.

Rappelons que l’analyse des données de pharmacovigilance a fait état de 26 675 effets indésirables graves dont 113 cas de sclérose en plaques en lien avec ces vaccins.

Rappelons également que le seul moyen démontré de prévenir le cancer du col de l'utérus est de faire des frottis. Si des lésions précancéreuses sont trouvées, elles peuvent alors être soignées.

Le vaccin, lui, ne protège pas à 100 %, loin de là. Toutes les sources médicales s'accordent sur ce point. Il est très dangereux que les personnes vaccinées aillent imaginer le contraire.

Par la présente pétition, nous vous demandons donc de stopper le projet de vaccination de masse dans les écoles contre les papillomavirus :

-Tant qu'une efficacité raisonnable du vaccin n'aura pas été démontrée .

-Tant que les effets secondaires du vaccin ne seront pas connus et maîtrisés

-Tant que la garantie ne sera pas donnée que ces vaccinations massives ne réduisent pas la vigilance préventive (frottis), seul moyen prouvé de prévenir le cancer du col de l'utérus.

Cela permettra d'éviter d’inutiles accidents et des souffrances considérables à de nombreux enfants. Vous contribuerez ainsi également à maintenir la confiance des parents et la nécessaire sérénité dans les écoles.

Veuillez agréer Monsieur le Président de la République, Madame la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé Publique et Madame la Ministre de l’Education Nationale, l’expression de mes salutations respectueuses.




"La Vie Hospitalière" estime (en l'absence de certications scientifiques indiscutables sur les bienfaits de cette vaccination) que les vaccinations contre le papillomavirus sont pour certaines personnes l'objet d'un risque réel de développer une maladie grave (sclérose en plaques notamment) nous rappelons (pour exemple) le cas d'une adolescente vaccinée il y a quatre ans (à l'âge de 15 ans) et qui a développé une sclérose en plaques, elle a porté plainte contre le laboratoire Sanofi Pasteur MSD pour "atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine".

Concernant ces vaccins, plusieurs pays sont méfiants : dans l’attente de nouvelles études, le Japon ainsi a décidé en juin 2013 de ne plus recommander cette vaccination en raison de douleurs chroniques apparues chez certaines adolescentes. Ces études devront répondre à plusieurs questions : ces symptômes sont-ils liés à cette vaccination ? Existe-t-il des personnes plus à risque de développer des effets secondaires graves liés à cette vaccination ? Si oui, est-il possible de les identifier et d’identifier le composé à l’origine de ces réactions ?... Autant de questions qui animent la controverse autour de ces nouveaux vaccins.

De là, et, écartant de fait toutes vaccinations contre les papillomavirus, la prévention du cancer du col de l’utérus se doit de  reposer sur un dépistage régulier par frottis. Ce frottis doit être réalisé entre 25 et 65 ans, tous les 3 ans, puis un tous les deux ans après 65 ans.
C'est de loin la solution la plus préférable aujourd'hui.

Rappelant à juste titre que des scientifiques  ont effectuées des recherches approfondies sur les troubles auto-immuns pouvant être causés par la vaccination, ont publié un nouveau papier dans l'American Journal of Reproductive Immunology (Journal Américain d'Immunologie de la Reproduction) au terme duquel ils estiment qu' « Il appartient aux médecins de rester dans les règles rigoureuses de la médecine fondée sur les preuves afin de pouvoir adéquatement évaluer les risques et les avantages de la vaccination contre le HPV. » (Voir le site)

Dans leur article, il apparaît clairement qu’il n’existe pas de preuves d’un rapport bénéfices/risques positif pour les vaccins contre le papillomavirus humain  (Gardasil et Cervarix). 

Consulter pour simple information la page du blog Alterinfo : "Les effets indésirables du Gardasil se dénombrent par milliers"...

(A suivre)

1) Adresse: Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, Rue du Vieux Marché Au Grain, 48 – 1000 Bruxelles (Belgique).

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